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Nouvelle Conserverie Algérienne de Rouba.


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Entreprise dynamique montée par un ingénieur Algérien ayant vécu en Tunisie et au Canada.

Il développe le jus en "tertapack".

 

 

Historique

 

La Nouvelle Conserverie Algérienne, NCA, est une société par action (SPA) relevant du secteur privé. Fondée le 02 Mai 1966, par la famille Othmani.

 

 

 

La NCA a axé sa première activité sur les conserves de légumes, à savoir, la tomate et

 

la harissa. Puis, le nombre de produits s’est multiplié pour offrir une gamme de produits de plus en plus large, en proposant des boissons et nectars de fruits dans des boites métalliques de 33cl en 1983.

 

 

 

L’évolution du marché algérien et des techniques d’emballage et de conditionnement ont amené les décideurs de l’entreprise à adopter un choix stratégique qui est le « Tetra Brik Aseptique » intervenu en 1990 par le partenariat avec Tetra Pack. Cette nouvelle technologie parfaitement adaptée au conditionnement des jus, boissons et nectars aux fruits dans le souci de répondre aux normes internationales et de fait, répondre aux nouvelles exigences du consommateur.

 

 

 

L’autre grand défi fut de permettre à la société de parfaire son système de gestion par la certification ISO9002, version 1994, acquise en l’an 2000.

 

 

 

L’année 2003 a connu le lancement d’un nouveau concept tout à fait novateur : « une cannette en carton, TPA » d’une contenance de 25 cl baptisée Zoom.

 

 

 

En 2004, NCA a lancé les boissons mixées lait et jus dans un emballage Titra Prisma Aseptique (T.P.A)

 

 

 

L’année d’après, l’entreprise étend ses activités, en lançant le Lait UHT-aseptic (Ultra Haute Température).

 

Cette année a aussi, été l’occasion de la préparation de l’entreprise à l’ouverture de son capital à un fond d’investissement international, en l’occurrence, Africinvest, ceci afin de doter la NCA des ressources indispensables à soutenir sa croissance et à accompagner le changement stratégique opéré.

 

 

 

Aujourd’hui, la Nouvelle Conserverie Algérienne, forte de ses 41 années d'expérience marque un point de référence dans le milieu économique Algérien. Cette Entreprise familiale a le mérite d'avoir soutenu une démarche progressiste et innovatrice tout au long de son activité sous un rythme dynamique et professionnel.

 

 

 

Algérie : Slim Othmani à la porte de la Bourse

Mercredi, 26 Décembre 2012 10:57 Par Ryadh Benlahrech, envoyé spécial à Alger Jeune Afrique.

 

Devenu directeur général de NCA Rouiba en 1999, l'homme d'affaires a quitté ce poste pour présider, depuis deux ans, le conseil d'administration. © Sidali Djenidi/JA

Depuis plus d'un an, le président de NCA Rouiba se bat pour introduire sa société sur la Place d'Alger. Mais les contraintes légales et bureaucratiques bloquent le processus.

 

« La réglementation algérienne sur le contrôle des changes pour les transactions internationales freine le développement économique. Surtout pour les entreprises comme la nôtre qui ont un partenaire étranger et qui veulent s'introduire en Bourse », déplore Slim Othmani, président du conseil d'administration de la Nouvelle Conserverie algérienne de Rouiba (NCA Rouiba). En effet, le fonds d'investissement AfricInvest détient 36 % du capital de la société agroalimentaire (spécialisée dans les jus de fruits), l'une des entreprises privées algériennes les plus dynamiques. Le reste est toujours aux mains des actionnaires familiaux historiques. « On serait heureux d'être en Bourse pour offrir et partager notre croissance avec les consommateurs algériens. Malheureusement, la réglementation est trop complexe pour l'instant », constate, impuissant, l'homme d'affaires de 55 ans.

 

À la tête de l’entreprise familiale

 

• Algérien, a grandi en Tunisie

• 55 ans, père de deux enfants

• Diplômé en informatique de la faculté des sciences de Tunis et titulaire d’un MBA de la Mediterranean School of Business (MSB) de Tunis

• Directeur général de NCA Rouiba de 1999 à 2010, puis président du conseil d’administration

 

Déconvenue

 

Depuis plus d'un an, Slim Othmani se démène pour introduire sa société sur une place financière qui n'en compte que trois cotées. L'ex-ingénieur réseaux a multiplié les demandes d'agrément auprès des autorités compétentes et les appels du pied en faveur de la révision de certains articles de loi. En vain : « L'administration affiche sa bonne foi, mais elle est enfermée dans un ensemble de textes et de doctrines qui ne lui offrent pas beaucoup de flexibilité. »

 

Devenu directeur général de NCA Rouiba en 1999, l'homme d'affaires a quitté ce poste pour présider, depuis deux ans, le conseil d'administration. Et il n'en est pas à sa première déconvenue. Si l'entreprise ne dispose que d'une seule usine, située à 25 km à l'est d'Alger, c'est, là encore, parce que les projets de développement sont freinés par des éléments extérieurs, dont le coût du foncier : « Il y a trop d'incohérences en matière d'investissements fonciers industriels, juge Othmani. C'est une aberration que 60 % du budget de certains projets soient accaparés par l'achat du terrain. » Dans son bureau spacieux, cet amateur de golf plaide pour une décentralisation plus poussée et un meilleur aménagement du territoire, centré sur la qualité de vie, qui développerait l'attractivité d'autres régions par rapport à la capitale.

 

Heureusement, l'entreprise familiale fondée en 1966 affiche des taux de croissance annuels de 20 %. En 2011, elle a réalisé un chiffre d'affaires de 50 millions d'euros, pour 450 employés. Cette année, elle espère encore enregistrer une belle progression et escompte 60 millions d'euros de ventes. L'objectif à court terme est de doubler les ventes de jus en Tetra Pak d'ici à 2014 pour écouler 280 millions de briques par an.

 

Maghreb

 

Mais l'entreprise aspire aussi à élargir son horizon. De nationalité algérienne, Slim Othmani a grandi à Tunis et ne s'est installé dans son pays d'origine qu'en 1991, après une expérience dans une start-up au Canada. Rien d'étonnant, du coup, à ce qu'une stratégie de développement régional lui trotte dans la tête. « Nous affichons clairement des ambitions maghrébines, souligne-t-il. Mais nous ne pouvons pas investir hors de nos frontières, toujours à cause du contrôle des changes imposé par l'administration. » Un brin désabusé, ce père de deux enfants conclut : « Nous espérons que la réglementation changera, sinon nous devrions la contourner avec des artifices pour poursuivre notre développement. »

 

Lire l'article sur Jeuneafrique.com : Algérie : Slim Othmani à la porte de la Bourse

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