Zoubir8 174 Posted February 20, 2013 Partager Posted February 20, 2013 Wallah, c'est triste de voir ces jeunes chômeurs dans cette situation. j'espère que des solutions vont leur être proposé comme par exemple l'Ansej. La riposte des jeunes Editorial | 31. mars 2013 - Algérie Patriotique. Tahar Belabès a très opportunément clarifié la position du mouvement dont il est le porte-parole, en dénonçant les tentatives de manipulation du Comité national de défense des droits des chômeurs (CNDDC) et qui s’apparentent en fait à de grossières provocations visant à détourner la lutte des jeunes chômeurs et à les exploiter pour des objectifs antinationaux. Le mouvement social autour de l’emploi des jeunes ne plaît pas à ceux que Tahar Belabès désigne par «des cercles occultes dans les wilayas de Ouargla ou Laghouat» et sans doute d’ailleurs aussi. Ces cercles font tout pour amener les pouvoirs publics à tomber dans le piège de la répression d’un mouvement porteur de revendications légitimes et pour isoler les jeunes chômeurs du reste de la population. Dans ce but, toutes les accusations sont bonnes : «séparatistes ou communistes ou chiites ou agents étrangers». La meilleure riposte pour le mouvement des jeunes chômeurs est celle qu’a utilisée leur porte-parole : la clarification. «Nous ne sommes pas intéressés par le printemps arabe», a-t-il lancé à l’adresse de ceux qui veulent éloigner le mouvement de sa lutte sociale et l’entraîner dans l’impasse des manœuvres politiciennes qui ne servent ni l’intérêt des jeunes ni celui du pays. Il est bon de savoir que les membres du mouvement ont chassé plusieurs députés et dirigeants politiques qui avaient fait le déplacement dans la région de Ouargla, pour tenter de manœuvrer et détourner le mouvement de ses revendications sociales, liées particulièrement à l'emploi. Les jeunes chômeurs ont pris conscience de cette situation. Non pas qu’ils soient apolitiques, au contraire, quand ils exigent du gouvernement d’inscrire l’emploi des jeunes comme priorité, ils font, à leur manière, de la politique, la vraie, celle qui va dans le sens de l’intérêt général. Kamel Moulfi Tahar Belabbès Laghouat : des dizaine d’émeutiers présumés arrêtés le 20.02.13 | 17h26 El Watan Des dizaines de chômeurs de la wilaya de Laghouat se sont rassemblé ce mercredi, un des dirigeants du mouvement de Ouargla. comme à l’accoutumé devant le bureau de main-d’œuvre pour dénoncer la mauvaise gestion dans laquelle il se trouve et la mal-vie et leur exclusion, mais cette fois-ci le rassemblement a été violement réprimé par les force de l’ordre. Ces derniers n’ont pas hésité à bastonner les jeunes chômeurs lesquels ont tenté de manifester pacifiquement. Des émeutes ont éclaté dans les quartiers traditionnels de la wilaya par la suite «kser farroudj et Chetit et Kser bezaim », où les forces antiémeute continuaient, vers midi, à utiliser des bombes à gaz lacrymogène pour tenter de disperser les chômeurs protestataires. Ainsi, une dizaine d’émeutiers, des jeunes pour la plupart, ont été arrêtés et conduits à la brigade de gendarmerie de Laghouat. Taleb Badreddine Citer Link to post Share on other sites
MedVal 10 Posted February 22, 2013 Partager Posted February 22, 2013 C'est pas nouveau ca ! Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted February 22, 2013 Author Partager Posted February 22, 2013 C'est pas nouveau ca ! Il faut aider les jeunes chômeurs. Il faut pas que l'argent ce soit Khelil qui le prenne.:phone2: Citer Link to post Share on other sites
Bourourou 11 Posted February 22, 2013 Partager Posted February 22, 2013 Pour la mal-vie et l'exclusion, je pense que tout le monde doit manifester et pas seulement les chômeurs. Il faut militer pour qu'il y ait une véritable politique de divertissement et lutter contre la mal-vie à la racine. En commençant par l'embellissement des cités et la protection des espaces verts et de jeux. Mais je comprend pas pourquoi ils sont allés manifester devant le bureau de BMO. Citer Link to post Share on other sites
clairvoyant 10 Posted February 23, 2013 Partager Posted February 23, 2013 bonjour Une pension chomage serait la bien venue pour ces damnés de la terre. 200 millions de dollars pris par SHARON SHAKIB ? Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted March 10, 2013 Author Partager Posted March 10, 2013 Loiusa hanoune révèle que deux responsables du mouvement des jeunes chômeurs sont des aventuriers irresponsables. Meeting de Louisa Hanoune à Alger Le pouvoir doit autoriser les marches Taille du texte normaleAgrandir la taille du texte le 10.03.13 | el watan Saisissant l’occasion du 8 Mars, Journée internationale de la femme, Louisa Hanoune, secrétaire générale du Parti des travailleurs, a animé un meeting à la salle Sierra Maestra à Alger. Durant deux heures, devant une salle pleine à craquer et une assistance acquise, Mme Hanoune a jugé utile de rappeler les acquis arrachés par les femmes, comme elle est revenue sur ce que la femme n’a pas encore obtenu. Louisa Hanoune s’est également attardé sur la situation préoccupante qui prévaut dans le Sud du pays et la guerre au Mali. A l’entame de son discours, la leader du PT interpelle le gouvernement à autoriser les marches dans la capitale. Une démarche qui permettra, selon elle, aux femmes de se faire entendre et de crier haut et fort leurs revendications. Pour Mme Hanoune, le pouvoir doit impérativement revoir sa copie à ce sujet : «Nous ne nions pas que des acquis ont été arrachés, mais il reste beaucoup à faire. Pour l’heure, la femme n’a pas encore arraché son droit à manifester sa colère dans la rue. Au PT, nous sommes persuadés que la rue demeure une solution appropriée pour se faire entendre», explique l’oratrice. Proposition acclamée par l’assistance... Plus loin, Mme Hanoune évoque avec fierté la présence des femmes dans les différentes activités, mais a critiqué fortement le système des quotas imposé par le pouvoir. Pour elle, cette politique n’a rien apporté à la femme : «Est-ce que le système des quotas a contribué à changer le code de la famille ? Est-ce que ces femmes parlementaire, qui ne sont pas militantes, ont apporté un plus à la femme algérienne ? La réponse est : non», réplique Mme Hanoune, qualifiant «d’aberrant» et «d’injuste» le code de la famille, car il est en contradiction avec un certain nombre de lois, notamment la Loi fondamentale du pays dans son article 29. Il est aussi, note-t-elle, en opposition avec le code de la nationalité et la loi sur les partis politiques. Mme Hanoune invite le gouvernement à corriger ces bévues : «Je ne demande pas au Parlement de se pencher sur ces situations, car nos propositions faites à l’Assemblée ont été rejetées par les partis majoritaire, mais nous nous adressons au gouvernement pour qu’il règle ces problèmes», explique-t-elle, persuadée que la femme reste vulnérable dans notre société. Sur un autre chapitre, Mme Hanoune appelle les femmes à se mobiliser contre les tentatives de déstabilisation du pays et la priorité de la femme, doit être, à son avis, la préservation de la souveraineté nationale de toute velléité guerrière qui menacerait sa stabilité. Les regards aujourd’hui, précise Hanoune, sont braqués sur le Sud. Un Sud en ébullition et assis sur une poudrière en raison des problèmes socioéconomiques qui persistent, en premier le chômage. Avant d’interpeller le gouvernement pour une prise en charge sérieuse de ses problèmes, l’oratrice, sans citer les noms, a tiré à boulets rouges sur deux responsables de l’association des chômeurs. Il s’agit de MM. Belkhodja et Belabes, qu’elle accuse d’être derrière la tentative de manipulation des jeunes de la région et d’avoir l’idée macabre de diviser le sud du pays. «Ces deux manipulateurs parlent de l’organisation d’une marche de millions de personnes et demandent le départ de M. Sellal. C’est insensé. Le pouvoir doit intervenir afin d’éviter l’embrasement dans cette région», insiste Mme Hanoune. Par ailleurs, la responsable du PT a évoqué la situation au Sahel pour mettre en garde contre «un complot visant la déstabilisation du pays», et a qualifié le Printemps arabe d’un événement préfabriqué par l’étranger. Nabila Amir Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted March 10, 2013 Author Partager Posted March 10, 2013 Dans le Sud algérien, le spectre de la radicalisation des mouvements de protestation Hadjer Guenanfa La colère monte au Sud. Tahar Belabès, porte-parole du Comité national de défense des droits des chômeurs (CNDDC) et ancien membre du Mouvement des enfants du Sud, est formel : des jeunes sont récemment partis au Mali, après l’intervention française visant à reconquérir cette région tombée entre les mains des groupes terroristes pendant plus d’un an. « Je connais des personnes, de Ouargla et d’autres régions du Sud, qui sont parties au Mali, après le déclenchement de la guerre, pour participer aux combats », affirme-t-il. « Ils veulent manifester leur colère contre le régime algérien. Parmi ces personnes, certaines sont poursuivies en justice », ajoute-t-il. En proie à des difficultés sociales, les jeunes du Sud font aussi l’objet des convoitises des groupes islamistes et des contrebandiers, explique Tahar Belabès. Des députés de l’Assemblée populaire nationale (APN) issus de cette région ne sont pas du même avis. « A ma connaissance, il n’y a pas de jeunes d’Adrar qui soient partis combattre au Mali. Pour les autres wilayas, je ne sais pas », précise Ali Hamel, député du FLN pour la wilaya d’Adrar. Même son de cloche chez Mohamed Guemama, qui est également député du FLN pour la wilaya de Tamanrasset. « Cette information n’est pas fondée », lance-t-il. « On a des liens familiaux avec les Touareg du Mali, du Niger, de la Mauritanie et de la Libye, mais un Algérien reste un Algérien, et un étranger reste un étranger », explique-t-il. Pour lui, les jeunes du Sud souffrent des mêmes problèmes que ceux du Nord et des autres régions du pays. Et puis, « ce qu’il y a comme moyens dans des communes situées aux frontières, comme Bordj Badji Mokhtar, Timyaouine, Tinzerouatine, In Guezzam, n’existe pas dans les capitales des pays voisins », explique le député. M. Guemama rappelle que les manifestations contre le chômage et le mal-vivre ont vu d’abord le jour au Nord, pas au Sud. « Et elles sont partout », insiste-t-il. Le chômage ? « Il existe même en France, en Russie et aux Etats-Unis », dit-il. Au commencement, le Mouvement des enfants du Sud pour la justice Le désarroi des jeunes des wilayas du Sud ne date pas d’aujourd’hui. Dès 2004, ils lancent le Mouvement des enfants du Sud pour la justice. « Il était pacifique avec des revendications principalement sociales (droit au travail et au développement régional), mais aussi politiques », dit Tahar Belabès. « On voulait transmettre un message aux autorités, qui croient qu’Alger est l’Algérie », ajoute-t-il. L’aventure n’a pas duré longtemps et les initiateurs et les membres du mouvement ont été violemment réprimés, selon lui. « J’ai été accusé d’attroupement, de trouble à l’ordre public et d’agression contre un agent de l’ordre. J’ai été emprisonné à deux reprises », raconte-t-il. Le mouvement s’est par la suite dissous. « Certains, comme moi, ont continué à manifester pacifiquement. D’autres ont pris les armes et se sont radicalisés. » Parmi ces derniers, on retrouve un certain Mohamed Lamine Benchneb. En janvier dernier, il était parmi le groupe de preneurs d’otages d’In Amenas. « Il était avec nous lors de la création du Mouvement des enfants du Sud pour la justice », affirme Tahar Belabès. Une attaque contre un avion d’Air Algérie à Djanet Les radicaux ont mené quelques attaques, mais sans viser les civils ni les militaires. « Ils ciblaient les symboles économiques de la région », souligne Tahar Belabès. « Leur première action était une attaque contre un avion d’Air Algérie, à l’aéroport de Djanet », rappelle-il, en précisant que l’attaque s’est déroulée de nuit pour éviter de faire des victimes. Après quelques opérations, les radicaux du Mouvement des enfants du Sud pour la justice ont fini par déposer les armes. Ils ont négocié avec les autorités, après l’intervention des notables de Ouargla et de Djanet. Ils ont bénéficié d’une loi de réconciliation afin de prouver qu’ils n’avaient rien à voir avec Aqmi. Mais la démarche des autorités s’est arrêtée à ce niveau. Aucun suivi n’a été engagé pour prendre en charge ces jeunes et éviter de nouveaux évènements. Selon Tahar Belabès, « Benchneb ne comprenait pas grand-chose à la religion. Je ne sais s’il a été endoctriné par la suite, mais, avant, il pouvait à peine lire une ou deux sourates ». Lors des dernières législatives de 2012, Mohamed Lamine Benchneb s’est porté candidat. Mais sa candidature a été refusée au motif qu’il avait pris part à l’attaque de l’aéroport de Djanet. « L’auteur de l’attentat contre le commandement de la gendarmerie à Ouargla était mon voisin » Comme Mohamed Lamine Benchneb, l’auteur de l’attentat suicide contre le commandement de la gendarmerie à Ouargla, en juin 2012, n’était pas un islamiste. « Je le connaissais, car c’était mon voisin. Un jeune qu’on appelait Sinane et qui s’est rebellé contre la hogra (oppression, ndlr), pas pour la religion », explique Tahar Belabès. Se sentant abandonnés par les autorités, les jeunes font dans la contrebande, quand ils ne prennent pas les armes. « Pour faire vivre leurs familles, ils peuvent même approvisionner des groupes islamistes en essence et en armes. Il y a des semblants de petites stations (informelles) dans le désert et l’Etat est au courant de tout », continue le porte-parole de la CNDDC. « Et si ça continue comme ça, la situation sera semblable à celle du Nord-Mali, car on a les mêmes problèmes », insiste-t-il. « Ouargla ressemble à Tora Bora, alors que c’est la wilaya la plus riche du pays. Une région qui souffre d’exclusion et d’oppression », dit-il. Les habitants ne se soulèveront pas pour des idéaux religieux, mais contre « l’exclusion », la « marginalisation » et la « répression ». « La lutte pacifique se poursuit » Mais d’autres jeunes refusent de prendre les armes ou de mener des actions violentes. Ils veulent continuer à lutter pacifiquement pour revendiquer leur droit au travail et au développement de leur région. De nouvelles manifestations sont prévues à partir de la semaine prochaine, souligne M. Belabès. « Et il n’y aura pas que des chômeurs, avertit-il. D’autres personnes vont peut-être y prendre part. » Le militant évoque une grande tension à Ouargla et dans d’autres wilayas du Sud. L’idée d’une scission du Sud ? Elle est véhiculée par le pouvoir, selon Tahar Belabès. Pourquoi ? « Ils voudraient faire passer un message : soit vous acceptez ce régime, soit c’est la division entre le Sud et le Nord, donc la guerre civile. » Le porte-parole de la CNDDC affirme que les habitants de Ouargla sont très hostiles à l’idée de la scission. « Si vous parlez de cela à Ouargla, on vous tabassera ! » Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted March 11, 2013 Author Partager Posted March 11, 2013 Recrutements, formations rémunérées… Situation dans le Sud : les premières mesures concrètes du gouvernement Samir Allam Après plusieurs réunions interministérielles, le gouvernement va annoncer dans les prochaines heures (probablement cet après-midi) une série de mesures concrètes en direction des wilayas du Sud, en proie depuis quelques semaines à une agitation sociale. Selon nos informations, le plan qui sera annoncé s’articule autour de plusieurs volets : des formations rémunérées dans différents métiers, une campagne de recrutement et un outil de suivi de l’évolution du dispositif mis en place. « Nous avons entendu les messages des jeunes du Sud et nous allons apporter des réponses concrètes à leurs revendications légitimes sur l’emploi », explique à TSA une source proche du gouvernement. Sonatrach va lancer dans les prochaines semaines un centre de formation à Ouargla, avant d’en ouvrir d’autres dans les autres wilayas du Sud (Illizi, Laghouat, Tamanrasset, etc.). But : proposer aux chômeurs des formations rémunérées dans les différents domaines liés aux hydrocarbures. A la fin de la formation, Sonatrach s’engage à les recruter dans ses différentes structures. « Nous voulons proposer des emplois aux chômeurs du Sud. Mais une telle décision ne doit pas se faire au détriment de Sonatrach. L’entreprise va donc les former », explique notre source. « Sonatrach s’engage à recruter tous ceux qu’elle va former dans ses centres », affirme notre source. Parallèlement, une vaste campagne de recrutement sera lancée, notamment par Sonatrach et Algérie Télécom. Notre source ne fournit pas de chiffres précis, mais elle évoque « plusieurs milliers » de postes qui seront proposés. Le gouvernement va également sévir contre les sociétés de sous-traitance, régulièrement mises en cause pas les chômeurs. Désormais, toutes les offres d’emploi devront obligatoirement passer par l’Anem. A terme, le gouvernement ambitionne de convaincre même les entreprises étrangères présentes dans le Sud d’adopter cette méthode. Dans le même temps, le gouvernement a demandé à l’Anem (son responsable a pris part aux réunions interministérielles) d’accélérer le rythme de traitement des dossiers. Mais, au Sud, « il n’y a pas que le pétrole et le gaz », souligne notre source. Le gouvernement veut pousser les chômeurs de la région vers d’autres métiers, notamment l’agriculture et le BTP. « Nous allons expliquer et vulgariser les dispositifs d’aide existants », explique notre source. Le gouvernement proposera notamment des exploitations agricoles, avec un accompagnement financier et technique. Le gouvernement entend aussi accélérer la réalisation du programme spécial Sud du président de la République. Notre source avoue que ce programme ambitieux a connu d’importants retards, du fait des lenteurs bureaucratiques notamment. « Nous avons lancé des initiatives en novembre dernier. Mais elles n’ont pas été suivies sur le terrain », reconnaît notre source. Cette fois, le gouvernement promet d’assurer un suivi régulier des différentes décisions prises en faveur du Sud. « C’est dans ce contexte que s’inscrit le récent mouvement des walis. Le but est de donner une nouvelle dynamique à l’administration locale », explique-t-elle. Le Premier ministre et les membres du gouvernement effectueront des visites sur le terrain pour suivre l’application des nouvelles mesures. D’ailleurs, Abdelmalek Sellal sera dès samedi à Béchar pour une visite de travail. Enfin, le gouvernement veut délivrer un message d’apaisement en direction des jeunes contestataires, qui s’apprêtent à organiser une manifestation le 14 mars. « Nous avons entendu leurs revendications sur l’emploi, qui sont légitimes. Nous savons aussi qu’ils sont attachés à l’unité nationale. Mais les solutions ne viennent pas par les manifestations et les marches », explique notre source, qui affirme que le Premier ministre Abdelmalek Sellal n’a à aucun moment traité ces jeunes de « cherdima ». « Nous avons visualisé tous les enregistrements de l’ENTV. A aucun moment, ce mot n’a été prononcé. Nous pouvons leur donner les enregistrements, s’ils souhaitent le vérifier. » Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted March 14, 2013 Author Partager Posted March 14, 2013 Citer Link to post Share on other sites
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