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ALGERIE TSC: Tout Sur Condor.


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Vous êtes passionné par le développement de Condor?

Je propose ce topic afin d'en discuter.

 

Son PDG l’a affirmé aujourd’hui

Condor sous traitera pour Renault Algérie

25 fév 2013 L'Econews.

 

 

Les responsables de l’usine Renault ont pris contact avec le groupe Condor pour leur proposer une sous-traitance dans la boulonnerie. C’est ce qu’a affirmé aujourd’hui Abderrahmane Benhamadi, PDG de Condor au Forum de notre confrère « Dknews ».

 

 

 

Il précisera que les dirigeants de Renault Algérie se déplaceront au niveau du groupe pour visiter les usines et exprimer leurs besoins, mais aussi aider Condor à se mettre à niveau si le besoin s’en fera sentir. L’invité du forum avait auparavant fait une rétrospective de la naissance du groupe à commencer par la petite entreprise créé dans les années 60 par Benhamadi père.

 

Un groupe qui connaît aujourd’hui une réussite à tous les niveaux à telle enseigne qu’il n’hésite plus à investir dans des créneaux qui hier coûtaient au Trésor public des sommes mirobolantes en devises pour l’importation de certains produits. Climatiseurs, électroménagers, High Tech, etc. Côté nouvelles réalisations, une usine de production de panneaux solaire sera opérationnelle en mai prochain.

 

Le groupe a investi également dans une usine de production de médicaments qui elle sera opérationnelle l’année prochaine. Se prêtant au jeu des questions réponses et au sujet de la conquête des marchés internationaux, Abderrahmane Benhamadi a indiqué que le groupe exporte vers l’Irak, la Jordanie, la Syrie. L’exportation vers la Tunisie est pour le moment suspendue en raison de la situation sécuritaire prévalant dans ce pays.

 

A propos des marchés européens, l’hôte de notre confrère indiquera que cela est difficile, en ce sens que l’Etat ne facilite pas tellement les choses. « On ne nous donne que 50% sur le transport. Et c’est insuffisant. Concernant le climat des affaires en Algérie, M. Benhamadi a indiqué que les choses se sont beaucoup améliorées, même s’il reste encore des obstacles à lever, tels le changement des mentalités et la bureaucratie. « Pour ceux qui veulent investir, le climat est propices. Quant aux étrangers, ils n’ont qu’à s’associer avec les Algériens ».

 

Faouzia Ababsa

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  • 5 months later...

Condor, de la merde

 

Récemment, j'ai eu un problème sur ma cuisinière de marque Frigor, le défaut est le suivant, j'allume le four, et après quelques secondes je lâche le bouton mais il s'éteint, j'ai donc aussitôt acheté une autre cuisinière CONDOR, la plus chère étant à 36.000DA, mais une fois arrivé chez moi, je constate le même problème, donc j'ai investi de l'argent pour rien!!!j'ai donc appelé le service après vente; on m'a envoyé un technicien 10 jours plus tard, celui-ci l'a réparé; mais dès qu'on a eu l'occasion de l'utiliser, CADUC, rien, le problème persiste, en somme, c'est DE LA MERDE!!!

 

Par conséquent, nous avons passé un Ramadan des plus terribles puisqu'on était incapable de cuisiner avec le four, et donc incapable d'inviter des parents ou amis, et le pire voire incapable de préparer les gâteaux pour Laid!!!J'ai investi 36.000DA pour de la merde,

 

Je déconseille fortement à quiconque qui veut acheter ces pourris produits, car ils risquent de tomber dans ma sale expérience avec ces produits pourris,

 

et le pire c'est le manque de respect de ce producteur vis-à-vis des consommateurs, car pour moi, celui qui n'essaye pas ses produits avant la commercialisation manque de respect à sa clientèle, désormais si j'ai besoin de quelque chose je prendrai un fourgon et je partirai en Allemagne acheter mes affaires, au lieu d'acheter de la merde!!!

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Tout sur CONDOR ?

Je pensais que le titre allait nous révéler pourquoi la 3G existe partout dans le monde, même en Somalie, mais toujours pas en Algérie à cause d'un Benhamadi !

Je sais qu'au un Benhamadi à piégé l'Internet en Algérie depuis qu'il était DG au CERIST !

Alors, ce topic devrait s'intituler, Rien Sur CONDOR !

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Zoubir n ' a jamais visité l'Algerie

Et n 'a jamais utilisé un produit CONDOR

Si les Algeriens achettent CONDOR,c'est uniquement par obligation et moins cher par rapport au produit français ou Allemand en Algerie

 

Et chez moi qd on rentre chez un membre de la famille,si on detecte qu'il a meublé sa maison avec des produits CONDOR

On comprendera vite qu'il a raté sa vie et son salaire est modeste

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Zoubir n ' a jamais visité l'Algerie

Et n 'a jamais utilisé un produit CONDOR

Si les Algeriens achettent CONDOR,c'est uniquement par obligation et moins cher par rapport au produit français ou Allemand en Algerie

 

Et chez moi qd on rentre chez un membre de la famille,si on detecte qu'il a meublé sa maison avec des produits CONDOR

On comprendera vite qu'il a raté sa vie et son salaire est modeste

 

Donc quand on a une télé ENIE , vaut mieux en finir avec cette vie ! :D

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Zoubir n ' a jamais visité l'Algerie

Et n 'a jamais utilisé un produit CONDOR

Si les Algeriens achettent CONDOR,c'est uniquement par obligation et moins cher par rapport au produit français ou Allemand en Algerie

 

Et chez moi qd on rentre chez un membre de la famille,si on detecte qu'il a meublé sa maison avec des produits CONDOR

On comprendera vite qu'il a raté sa vie et son salaire est modeste

 

On n'a même pas besoin de rentrer chez toi pour le savoir, il suffit de te lire. :D

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et la tablette Condor ... vous en pensez quoi ... et les smartphones ???

 

Saha ftourek cheikh Djallal .

 

Ana kraht Condor à cause du conflit d'intérêt engendré par la présence du cousin à la tête de la poste et des technologies de l'information .

 

Question service après vente , rabbi ijib , je n'ai pu récupérer mon écran 22" que six mois après , le temps que la carte mère necessaire soit acheminée de Bordj Bouarreridj vers Oran . :D

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Saha ftourek cheikh Djallal .

 

Ana kraht Condor à cause du conflit d'intérêt engendré par la présence du cousin à la tête de la poste et des technologies de l'information .

 

Question service après vente , rabbi ijib , je n'ai pu récupérer mon écran 22" que six mois après , le temps que la carte mère necessaire soit acheminée de Bordj Bouarreridj vers Oran . :D

 

Saha Ftourek ... Wahrani ... c'est simple : le jeune frangin a acheté un téléviseur Condor qui est encore dans son emballage depuis des mois ... on a peur d'y toucher :D

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Saha ftourek cheikh Djallal .

 

Ana kraht Condor à cause du conflit d'intérêt engendré par la présence du cousin à la tête de la poste et des technologies de l'information .

 

Question service après vente , rabbi ijib , je n'ai pu récupérer mon écran 22" que six mois après , le temps que la carte mère necessaire soit acheminée de Bordj Bouarreridj vers Oran . :D

 

le cousin à la tête des télécom ... hadi mliha !!!

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  • 5 months later...

Voilà encore une autre nouvelle qui pourra te réjouir ami Zoubir8..

 

L’usine de Condor Electronics opérationnelle...

 

Production de panneaux photovoltaïques..

 

Condor Electronics a procédé, aujourd’hui, au lancement de la production de son usine de panneaux solaires, implantée dans la wilaya de Bordj Bou-Arreridj et annonce à la même occasion la réalisation prochaine d’un autre complexe destiné à produire des composants photovoltaïques.

 

L?usine de Condor Electronics opérationnelle - Energie - L'ECONEWS

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  • 11 months later...

Abderrahmane Benhamadi : "L'État algérien doit donner plus d'importance à l'entreprise"

 

vendredi 23 janvier 2015 12:00 Par

Propos recueillis par Chloé Rondeleux à Alger

 

Troisième fils du fondateur, Abderrahmane Benhamadi a pris les rênes de l'entreprise. © Sidali Djenidi pour J.A.

S'il n'a pu concrétiser son partenariat avec Renault, Abderrahmane Benhamadi l'héritier du groupe familial algérien investit de nouveaux secteurs et sonde le marché subsaharien.

 

Hôtellerie, métallurgie, énergies renouvelables... Le groupe algérien Benhamadi s'est montré actif sur de nouveaux fronts en 2014. Treize ans après avoir entamé sa diversification, la petite entreprise familiale spécialisée dans l'alimentaire et les transports est devenue un holding en plein essor, avec une dizaine de filiales dans divers secteurs et 10 000 employés. Mais le moteur de son développement reste sa filiale Condor Electronics.

 

Avec sa marque phare Condor, elle contrôle près de 40 % du marché électronique en Algérie. En trois ans, son chiffre d'affaires a doublé, passant de 21 milliards de dinars (213 millions d'euros) en 2011 à 44 milliards de dinars en 2013. Après avoir atteint un record de 46,6 milliards de dinars sur les six premiers mois de 2014, le groupe table sur 75 milliards de dinars d'ici deux à trois ans. Récemment, Condor Electronics a mis le cap sur l' Afrique subsaharienne. Une stratégie pilotée par Abderrahmane Benhamadi, 57 ans, troisième fils du fondateur, diplômé de l'École supérieure de commerce d'Alger et aujourd'hui PDG du groupe.

 

Jeune Afrique : L'année 2014 a été riche en événements pour votre groupe. Comment se profile 2015 ?

 

Abderrahmane Benhamadi : Contrairement aux apparences, 2014 a été une année difficile. L'été n'a pas été très chaud, et cela a eu des répercussions sur nos ventes de climatiseurs [30 % du chiffre d'affaires du groupe], qui ont baissé de 10 %. Par conséquent, l'activité traditionnelle de Condor, l'électronique et l'électroménager, n'a pas vraiment progressé. Alors que nous étions habitués à une croissance annuelle de 25 % à 30 %, voire 50 %, nous prévoyons pour 2014 une progression faible de 18 %. Ce ralentissement est cependant atténué par le lancement des smart devices, nos tablettes et smartphones.

 

Nous avons écoulé près de 800 000 pièces sur l'année, ce qui représente 15 % du marché national. En 2015, nous allons renforcer notre présence dans les produits TIC [technologies de l'information et de la communication] et nous planifions une croissance de 50 % par rapport à 2014 grâce à l'introduction de nouveaux modèles mais aussi à l'extension du réseau 3G.

 

Lire aussi :

 

L'Algérie autorise ses entreprises à investir à l'étranger

 

Les stars du business kabyles, véritables fleurons nationaux

 

A. Benhamadi : "Rien à envier aux usines chinoises ou sud-coréennes"

 

Algérie : la stratégie de l'évitement

 

Amara Benyounès : "Nous allons dépoussiérer l'économie algérienne"

 

Algérie : Pourquoi Issad Rebrab quitte le FCE

 

Algérie : profession patronnes

 

Vous étiez annoncés comme sous-traitant de Renault pour la fabrication du GPS de la Symbol made in Algeria, sortie d'usine en novembre. Mais cela ne s'est finalement pas fait. Que s'est-il passé ?

 

Nous avons travaillé avec Nomago, une société franco-algérienne, afin de produire des GPS pour Renault. Condor devait fabriquer les terminaux et Nomago installer le système dans le véhicule. Mais, visiblement, le constructeur français a changé de stratégie et a préféré opter pour un GPS intégré à la voiture. Toutefois, nous avons reçu la visite des responsables de la sous-traitance de Renault, qui se sont montrés intéressés par l'injection plastique, dont l'une de nos usines est spécialiste. À présent, nous attendons leur réponse.

 

En 2012, votre groupe avait annoncé son intention de se lancer dans la construction automobile. Depuis, plus rien. Ce projet était-il trop ambitieux ?

 

Étant déjà présents dans l'électronique, nous avons pensé que la fabrication de voitures électriques n'était pas très éloignée de notre coeur de métier et représenterait une niche. Nous avons été en contact avec une société sino-américaine mais elle n'a pas voulu nous laisser fabriquer en Algérie. Comme nous refusons d'importer des véhicules, nous continuons à explorer des possibilités avec d'autres fournisseurs.

 

En 2014, vous avez lancé la première usine de panneaux photovoltaïques en Algérie et démarré la production du plus grand complexe métallurgique d'Afrique du Nord. Quels sont vos objectifs ?

 

Dans le cas de l'énergie solaire, notre usine fonctionne pour l'instant à 30 % de ses capacités [de 50 MW]. Le vote de la loi sur le rachat de l'électricité, en avril 2014, va permettre de lancer des fermes solaires et de revendre l'électricité produite à la société nationale Sonelgaz avec une marge de 20 % à 25 %, à un des meilleurs prix au monde. Nous avons aussi un projet d'intégration verticale de fabrication de cellules photovoltaïques. Néanmoins, l'investissement étant de 55 millions de dollars [46 millions d'euros], nous voulons être sûrs que le plan de charges soit intéressant avant de sauter le pas.

 

Benhamadi JA2818Nous avons aussi investi dans la métallurgie, dont nous importions jusqu'à présent les produits. Pour la première année, nous avons un objectif de 8 000 tonnes de charpentes et nous comptons arriver à terme à 16 000 t. En 2015, nous nous lancerons également dans l'extrusion, la fabrication d'aluminium. Actuellement, tout est importé, et nous pensons pouvoir occuper une petite place sur ce marché.

 

Ces projets nécessitent des ressources importantes et disponibles rapidement... Allez-vous entrer en Bourse et ouvrir votre capital en 2015 ?

 

Pas pour le moment. D'une part, parce que le crédit d'investissement en Algérie n'est pas cher, avec un taux de 3,5 %, qui devrait descendre à 2,5 %. D'autre part, comme nous jouissons d'une bonne réputation auprès des banques, nous obtenons l'ensemble des crédits demandés. Nous envisageons éventuellement une levée de fonds sur le marché obligataire. Quant au capital du groupe, il reste entre les mains des sept associés Benhamadi.

 

L'économie algérienne, fortement subventionnée, va sans doute souffrir de la chute du cours des hydrocarbures. Cela vous inquiète-t-il ?

 

Cette baisse des prix peut paraître catastrophique mais à long terme, elle ne peut être que bénéfique pour l'Algérie. Il faut que l'État donne plus d'importance à l'entreprise car c'est elle qui crée les richesses, les emplois, encourage la recherche et permet de diversifier les ressources de la nation. Mais quand tout va bien, on a tendance à l'oublier.

 

Vous venez de signer un protocole d'accord de partenariat avec le groupe industriel public soudanais Giad. Comment envisagez-vous votre expansion en Afrique subsaharienne ?

 

Nous commencerons par des exportations vers le Soudan qui, avec le Tchad, la Centrafrique et les autres pays de la Cemac [Communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale], représente un marché de 500 millions de consommateurs. Ce potentiel nous permet d'envisager la création d'un bureau de liaison et de chaînes de montage sur place.

 

 

 

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