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Ce soir un autre Lion est mort ,adieu Chavez


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Bonjour

Ce soir un autre Lion est mort ,Adieu El Présidente hugo Chavez

 

Ce soir un autre lion est mort

Oui un grand homme Amis des pauvres

Et des faibles Anti- impérialisme et Anti du libéralisme

ADIEU CHAVEZ

Avec le peuple Vénézuélien Nous partageons votre douleur Elle est aussi la notre

 

ALGÉRIE. VÉNÉZUELA FUT UN TEMPS UN MÊME COMBAT

 

 

 

UN HOME

UN PRESIDENT QUI AVAIT DU COURAGE ET QUI OSAIT S'OPOSE EN FAVEUR DS FAIBLES ET DE LA JUSTICE ET DU DROIT

VOICI QUELQUES ANNES CONTRE LA COMUNAUTE INTERNATIONALE

HUGO CHAVEZ OSA OUVRIR UNE EMBASADE VENEZULIENNE EN PALESTINE

 

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Venezuela*: Hugo Chávez est mort

5 mars 2013 à 22:58*(Mis à jour:*6 mars 2013 à 01:27)(Reuters)

 

Agé de 58 ans, le président vénézuélien est mort d'un cancer.

Le gouvernement a déployé l'armée dans tout le pays.

Par*AFP Le président vénézuélien Hugo Chavez est décédé mardi à Caracas à 58* ans des suites de son cancer diagnostiqué en juin 2011, sans avoir pu prendre congé de ses compatriotes, point final de 14 années de pouvoir sans partage qui ouvre la voie à des élections anticipées.

«Nous avons reçu l’information la plus éprouvante et la plus tragique que nous puissions annoncer à notre peuple.

 

A 16h25 aujourd’hui 5 mars, est mort notre commandant président Hugo Chavez Frias après avoir combattu avec acharnement contre une maladie depuis près de deux ans», a déclaré dans une allocution retransmise par toutes les chaînes de télévision du pays le vice-président et héritier désigné, Nicolas Maduro, au bord des larmes.

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Venezuela : Hugo Chávez est mort

 

?modified_at=1362521816&ratio_x=03&ratio_y=02&width=476Un cancer dans la région pelvienne détecté à Cuba en juin 2011 a eu raison du leader bolivarien, après quatre opérations chirurgicales infructueuses. Crédits photo : Fabio Cuttica/Fabio Cuttica/Contrasto

 

PORTRAIT - Arrivé au pouvoir en 1999, il a réussi à s'y maintenir jusqu'à son décès, mardi, des suites d'un cancer du colon.

 

Hugo Chavez aimait cultiver son image de dirigeant incontrôlable, fantasque, imprévisible comme s'il était entré en 1999 au palais présidentiel de Miraflores par hasard et sans préparation. La réalité est toute différente. Il a très tôt dans sa vie conçu le projet de diriger le Venezuela et n'a jamais perdu cet objectif qu'il a fini par atteindre en 1999. Il venait de se faire réélire à la tête du Venezuela le 7 octobre 2012.

 

Un cancer dans la région pelvienne détecté à Cuba en juin 2011 a eu raison du leader bolivarien, après quatre opérations chirurgicales infructueuses. «Nous avons reçu l'information la plus éprouvante et la plus tragique que nous puissions annoncer à notre peuple. À 16H25 aujourd'hui 5 mars, est mort notre commandant président Hugo Chavez Frias», a déclaré à la télévision publique le vice-président vénézuelien Nicolas Maduro.

 

Son ami d'enfance, Federico Ruiz, raconte cette anecdote : «En 1983, nous sommes partis nous promener tous les deux dans un Dodge Dart qui lui appartenait, avec une bouteille de rhum. Il m'a dit : “Sais-tu une chose ? Un jour, je serai président de la République.”» Federico poursuit: «Alors tu me nommeras ministre de je-ne-sais-quoi, ai-je plaisanté… Mais je me suis rendu compte qu'il parlait sérieusement…»

 

Une vision messianique de son destin

Né le 28 juillet 1954, il évoquait, dès 1977, la vision messianique de son destin dans son journal intime : «Je dois me préparer pour agir… Mon peuple est passif… Les conditions ne sont pas réunies. Pourquoi ne pas les créer…» En 1977 en effet, le pays connaît une situation politique stable et économique florissante qui rendait incongrue toute tentative de renversement du régime.

 

 

Chavez, le 4 février 1992. Crédits photo :

Il est entré dans l'armée en 1971 pour devenir champion de baseball. Mais très vite son frère aîné Adan, membre du Parti révolutionnaire vénézuélien, lui enseigne les rudiments de la pensée révolutionnaire. Petit à petit, le jeune Hugo entre en contact avec des groupes clandestins de l'armée qui fomentent des projets pour renverser le pouvoir en place. Avec ses camarades, ils rêvent de reproduire l'expérience du général Velasquez au Pérou ou de Trujillo au Panama. Hugo Chavez raconte son voyage à Lima en 1974 pour la célébration de la bataille d'Ayacucho : «J'avais 20 ans, j'étais en dernière année d'académie… J'ai rencontré personnellement Juan Velasco Alvardo (renversé quelques mois plus tard). J'ai lu pendant des années son manifeste révolutionnaire, La Revolucion nacional peruana que le général péruvien lui avait offert.» Hugo Chavez résumait ses influences ainsi : «Torrijos m'a converti en torrijiste, Velasco en velaquiste et Pinochet en antipinochet » et non en allendiste, le président socialiste chilien qui s'est suicidé lors du bombardement du palais présidentiel chilien, le 11 septembre 1973.

 

 

Hugo Chavez, après son arrestation, le 5 février 1992. Crédits photo :

Un héros national a pris une place privilégiée dans la pensée politique d'Hugo Chavez : Simon Bolivar, dont il n'hésite pas à «interpréter » les théories, pour en faire un nationaliste promoteur de la démocratie et défenseur du droit des plus faibles et des peuples indigènes. Un vrai anachronisme qui transforme el Libertador en combattant prémarxiste. Le 24 juillet 1983, lors du 200e anniversaire de la naissance du héros national, Hugo Chavez fonde au sein de l'armée le Movimiento bolivariano revolucionario 200 (MBR 200). Après une longue préparation, le MBR 200 organise finalement un coup d'État, le 4 février 1992. De nombreuses casernes se soulèvent à travers le pays. Ironie de l'histoire, Fidel Castro, autre grand modèle d'Hugo Chavez, enverra un message de soutien au président Carlos Andres Perez.

 

«Pour le moment»

À Maracaibo, Valencia ou Maracay, les forces putschistes tiennent les principaux points névralgiques, mais à Caracas, les choses s'avèrent plus compliquées: la tentative de capture du président Carlos Andres Perez échoue et les forces loyalistes font plus que résister. Très vite, Hugo Chavez comprend que la partie est perdue. Il décide de se rendre, alors que ses camarades de province continuent le combat. Car Hugo Chavez a un projet politique personnel et il sent que son heure n'est pas encore venue. Il se rend au ministère de la Défense et dépose les armes. Les autorités lui demandent de faire une allocution télévisée pour appeler ses compagnons à se rendre. Le message devait initialement être contrôlé mais, par manque de temps, il est enregistré sans préparation. Hugo Chavez en profite alors pour dire : «Compagnons, lamentablement, pour le moment, les objectifs que nous nous étions fixés n'ont pas pu être atteints dans la capitale » Pour le moment ! Une fois président, il fera du 4 février le jour de la Dignité nationale.

 

 

Le 26 mars 1994, Hugo Chavez s'adresse à la presse, juste après sa libération. Crédits photo :

Il reste deux ans en prison. Le président Perez est destitué en 1993 pour détournement de fonds publics. Le président Rafael Caldera qui lui succède gracie Hugo Chavez, l'estimant moins dangereux hors de prison. Libéré le 26 mars 1994, Hugo Chavez entreprend un long voyage à l'intérieur du Venezuela.

 

Il vivra deux ans dans une camionnette sillonnant tout le pays pour rencontrer le Venezuela de l'intérieur. Il s'installe ensuite à Caracas dans un petit appartement où vit la famille de son ami Luis Miquilena. Ce vieux communiste réussit à le convaincre que les urnes sont un moyen plus efficace pour entrer au palais de Miraflores qu'un coup d'État. La situation politique est très instable et les partis politiques traditionnels totalement discrédités.

 

Un an avant l'élection présidentielle de 1998, c'est une ex-reine de beauté qui est en tête dans les sondages. Maintenant qu'Hugo Chavez est convaincu qu'il doit gagner les élections, son discours se fait plus politique, il promet une nouvelle Constitution, la fin de la corruption, l'augmentation des salaires. Il veut incarner l'antipolitique et y parvient.

 

• Toujours le 6 décembre, le journal télévisé revient sur les raisons du succès de la campagne de Chavez.

Il gagne avec 56 % des voix la présidentielle. Prêtant serment le 2 février 1999, il jure «sur la Constitution moribonde qu'il impulsera les changements démocratiques nécessaires ». Il organise ensuite une série de scrutins qu'il emporte haut la main : référendum, constituante, nouvelle présidentielle, législatives. L'opposition semble écrasée, sans capacité de réagir.

 

 

Le 2 février 1999, Chavez prête serment. Crédits photo :

Depuis sa première victoire dans les urnes en 1998, Chavez a toujours conservé une forte popularité grâce, notamment, à ses programmes sociaux qui ont amélioré la vie de millions de Vénézuéliens jusque-là exclus des bénéfices d'une fantastique rente pétrolière. Mais son allié le plus efficace a toujours été l'opposition, qui a accumulé les erreurs. Le 11 avril 2002, un putsch est organisé contre lui. Il suit les conseils de Fidel Castro qui, dans la nuit où le président est arrêté, lui explique au téléphone : « Négocie avec dignité, ne va pas t'immoler… » Les hésitations et les incohérences dans les rangs des putschistes finissent par remettre Hugo Chavez en selle et lui permettent de gagner l'image de garant de la stabilité.

 

Mais cela ne suffit pas à l'opposition. Une «grève insurrectionnelle » débute en décembre 2002 dans l'industrie pétrolière. Elle est organisée par la Confédération des travailleurs du Venezuela (CTV) et la fédération patronale, Fedecamaras. L'activité de PDVSA, la compagnie pétrolière nationale, est totalement bloquée. Les livraisons de pétrole aux États-Unis sont interrompues. Hugo Chavez utilise la solidarité avec les autres pays producteurs de pétrole pour honorer les contrats internationaux du pays. La grève durera deux mois et son but est clairement la destitution de Chavez. L'opposition en sort laminée. Hugo Chavez licenciera plus de 19 000 salariés de PDVSA, soit la moitié de l'effectif.

 

L'opposition fera une nouvelle erreur en refusant de se présenter aux législatives de 2005, permettant aux partisans de Chavez d'occuper tous les sièges et laissant le pouvoir chaviste sans contrôle.

 

Ces années de pouvoir ont révélé un Chavez provocateur, cabot, combatif, surprenant parfois, mais surtout un homme qui adorait se mettre en scène. Chaque dimanche, il apparaissait dans un programme appelé «Alo presidente ». L'émission commençait en général vers 11 heures du matin pour durer plusieurs heures. Sans plan précis, le programme avançait grâce aux talents d'improvisation du président. Il n'était pas rare qu'il pousse la chansonnette ou récite des poèmes. Il pouvait aussi licencier en direct des personnages importants de son administration ou annoncer la nomination de ministres clés, comme il le fit en 2004 en révélant le nom des nouveaux ministres des Relations extérieures et de l'Information. Ces dernières années, il avait habitué les Vénézuéliens à nationaliser des entreprises en direct.

 

Un pays économiquement affaibli

En février 2010, passant devant l'immeuble La France situé sur la place Bolivar au centre de Caracas, il demande : «Cet immeuble, c'est quoi ?» Un immeuble qui regroupe des bijoutiers, lui répond-on. «Qu'on le nationalise !», s'écrie-t-il. On apprit ensuite que l'immeuble appartenait à l'Université, donc à l'État.

 

Il multipliait les propos outranciers contre Israël ou les déclarations belliqueuses contre Washington, tout en continuant de livrer son pétrole aux États-Unis. Il s'était montré en compagnie de hauts responsables des Farc (Forces armées révolutionnaires de Colombie), au balcon de Miraflores. Il aimait surprendre aussi, comme lorsqu'il lança à Barack Obama récemment élu, lors du sommet de Trinidad en avril 2009: «Je veux devenir votre ami .» Il lui offrit un livre dénonçant les forfaits commis par les États-Unis en Amérique latine, Les Veines ouvertes de l'Amérique latine, d'Eduardo Galeano. Ce jour-là, il laissa à Evo Morales, le président bolivien, et Daniel Ortega, son homologue nicaraguayen, le soin d'attaquer Washington.

 

Hugo Chavez laisse un pays économiquement affaibli. La production pétrolière stagne depuis que tous les cadres ont été licenciés, l'exploitation gazière ne décolle pas, les industries de l'aluminium et du ciment, florissantes à la fin des années 1990, sont pratiquement arrêtées depuis leur nationalisation. L'insécurité atteint des niveaux intolérables et l'inflation dépasse allégrement les 20 %.

 

Hugo Chavez a officiellement appelé à voter pour son vice président, Nicolas Maduro, lors de l'élection présidentielle qui sera organisée dans les semaines qui viennent. Mais le chavisme peut-il survivre à la mort de son mentor? Rien n'est moins sûr.

 

LIRE AUSSI:

 

» EN IMAGES - Hugo Chavez, les exubérances d'un révolutionnaire

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Guest Soizik

il est retourné vers le néant d'où nous venons tous , loin des vicissitudes de ce monde... quelle délivrance ...

 

mais j'attends Zapata pour avoir un avis sur son "règne" ...

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il est retourné vers le néant d'où nous venons tous , loin des vicissitudes de ce monde... quelle délivrance ...

 

mais j'attends Zapata pour avoir un avis sur son "règne" ...

 

OUI COMME TU DIS DRUCILLA

belle delivrance

nous reste un tres grand un des plus grands de ce monde

LE CUBAIN

FIDEL CASTRO

 

SON RÈGNE ?

 

TRÈS NOBLE ET DIGNE

 

SON PEUPLE LE PLEURE

IL EST UN AMI DE L'ALGERIE

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Castro grinçait des dents au nom Chavez.

 

Castro n'a rien à voir avec Chavez.

Castro s'enrichit sur le dos de son peuple qu'il maintient dans la misère.

 

Chavez... Je crois que je ne saurai jamais si je l'aime ou pas. Un grand homme c'est certain, un certain courag aussi, j'admire sa façon d'avoir tenu tête aux USA.

Il a fait baucoup lui, pour son peuple, contrairement à tous les despotes actuels.

Mais son entourage amical,je comprendrai jamais...

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Guest Zapata

Je suis partagé sur le personnage. J'ai pas aimé son soutien à Kadhafi et cie, j'ai mis ça sur le compte de son anti américanisme ( bien légitime quand on sait ce que les ricains ont fait à l'Amérique du Sud notamment durant les années 60 et 70 )... Sur le plan intérieur, il a quand même essayé de redistribuer la manne pétrolière, chose qu'aucun pays arabe n'a jamais fait même en rêve.. Alors dictateur mégalo à la Castro ou bien authentique révolutionnaire à la Bolivar ? L'histoire jugera.

 

Une chose est sûr, il danse mieux que notre Boutef :rolleyes:

 

[YOUTUBE]VWror-pgjms[/YOUTUBE]

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Castro grinçait des dents au nom Chavez.

 

Castro n'a rien à voir avec Chavez.

Castro s'enrichit sur le dos de son peuple qu'il maintient dans la misère.

 

Chavez... Je crois que je ne saurai jamais si je l'aime ou pas. Un grand homme c'est certain, un certain courag aussi, j'admire sa façon d'avoir tenu tête aux USA.

Il a fait baucoup lui, pour son peuple, contrairement à tous les despotes actuels.

Mais son entourage amical,je comprendrai jamais...

 

C'est pareil pour moi je ne sais pas trop quoi en penser ...

Une chose que je retiens c'etait un homme politique assez proche de son peuple et concerné par les problèmes sociaux de celui ci.

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Guest Soizik
Je suis partagé sur le personnage. J'ai pas aimé son soutien à Kadhafi et cie, j'ai mis ça sur le compte de son anti américanisme ( bien légitime quand on sait ce que les ricains ont fait à l'Amérique du Sud notamment durant les années 60 et 70 )... Sur le plan intérieur, il a quand même essayé de redistribuer la manne pétrolière, chose qu'aucun pays arabe n'a jamais fait même en rêve.. Alors dictateur mégalo à la Castro ou bien authentique révolutionnaire à la Bolivar ? L'histoire jugera.

 

Une chose est sûr, il danse mieux que notre Boutef :rolleyes:

 

 

tu as vu que j'attendais ton point de vue ... :D je pense que c'est assez bien vu ...

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Je suis partagé sur le personnage. J'ai pas aimé son soutien à Kadhafi et cie, j'ai mis ça sur le compte de son anti américanisme ( bien légitime quand on sait ce que les ricains ont fait à l'Amérique du Sud notamment durant les années 60 et 70 )... Sur le plan intérieur, il a quand même essayé de redistribuer la manne pétrolière, chose qu'aucun pays arabe n'a jamais fait même en rêve.. Alors dictateur mégalo à la Castro ou bien authentique révolutionnaire à la Bolivar ? L'histoire jugera.

 

Une chose est sûr, il danse mieux que notre Boutef :rolleyes:

 

[YOUTUBE]VWror-pgjms[/YOUTUBE]

 

BOnjour Zapata

tu as le merite de te distancer et c'est respectable

moi je ne suis pas d'accord avec ce discours

car il fut un temps ou tout le monde etait d'accord avec Kadafi et meme une partie de la communauté internationale comprenaient

ils etait avec les opsoant a l'alemagne et ceux de l'espagne

 

BEAUCOUP ETAIENTT D'ACCORD AVEC KADAFI ET CARLOS

 

il il y eut les non aligner

 

N'oublions pas d'ou on vien

moi je veux bien jouer les humainistes

mais je prefere dire les choses

 

SI NON C'EST TRAHIR L'HISTOIRE

 

c'est pourquoi on aime pas trop mon discours

 

 

MOI IL M'A TOUJOUR SEDUIT CHAVEZ

et comme il seduit beaucoup d'occidenetaux aussi

le seule qui a repondu a l'amerique dans toutes les situations

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qui reste et de loin son premier client et son premier fournisseur !!

 

 

MAIS CA ON LE SAIS QU'ON DEPEND SOUVENT DE SON PIRE ENNEMI

 

NE FAUT IL RIEN DIRE

 

souvent je me suis dit pourquoi dans une pays il y a tant de partis politique

 

et je me disait n'etais ce pas pour que lorsque l'un est mechant , l'autre pour retablir le commerce

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qui reste et de loin son premier client et son premier fournisseur !!

 

 

MAIS CA ON LE SAIS QU'ON DEPEND SOUVENT DE SON PIRE ENNEMI

 

NE FAUT IL RIEN DIRE POUR AUTANT?

 

souvent je me suis dit pourquoi dans une pays il y a tant de partis politique

 

et je me disait n'etais ce pas pour que lorsque l'un est mechant , l'autre pour retablir le commerce

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Pour Mélenchon, «ce qu'est Chavez ne meurt jamais»

Libération

 

- ‎Il y a 7 heures ‎

 

Reportage Devant les journalistes mercredi matin, le coprésident du Parti de gauche s'est présenté ému et a défendu le président vénézuélien, un homme qui «a fait progresser d'une manière considérable la démocratie». Par LILIAN ALEMAGNA. Libération ...

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Pour Mélenchon, «ce qu'est Chavez ne meurt jamais»

Libération

 

- ‎Il y a 7 heures ‎

 

Reportage Devant les journalistes mercredi matin, le coprésident du Parti de gauche s'est présenté ému et a défendu le président vénézuélien, un homme qui «a fait progresser d'une manière considérable la démocratie». Par LILIAN ALEMAGNA. Libération ...

Pourtant , à peine élu, il a essayé de faire passer une loi le nommant le président à vie. Drôle de démocratie.

Il jouait sur tous les tableaux: dictateur et démocrate.

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PAR ELMOUDJAHAD

 

Décès du président vénézuélien Hugo Chavez : Une vie d’engagement révolutionnaire

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D.R

 

 

Le président vénézuélien, Hugo Chavez, est décédé mardi à Caracas à 58 ans des suites de son cancer diagnostiqué en juin 2011, sans avoir pu prendre congé de ses compatriotes, point final de 14 années de pouvoir qui ouvre la voie à des élections anticipées. "Nous avons reçu l'information la plus éprouvante et la plus tragique que nous puissions annoncer à notre peuple. A 16h25 (20h55 GMT) aujourd'hui 5 mars, est mort notre commandant président Hugo Chavez Frias après avoir combattu avec acharnement contre une maladie depuis près de deux ans", a déclaré dans une allocution retransmise par toutes les chaînes de télévision du pays le vice-président et héritier désigné, Nicolas Maduro, au bord des larmes. En outre, "toute la Force armée nationale bolivarienne (et) la police nationale bolivarienne (...) sont en train de se déployer en ce moment pour accompagner et protéger notre peuple et garantir la paix", a ajouté M. Maduro. Depuis la veille, l'incertitude planait sur le sort du président, hospitalisé dans un établissement militaire de la capitale. Il luttait depuis juin 2011 contre un cancer dans la zone pelvienne et son état de santé s'était aggravé ces dernières heures, selon le gouvernement. Après plus de deux mois d'hospitalisation à Cuba, M. Chavez était rentré à Caracas le 18 février, mais n'avait ni été vu ni entendu depuis cette date.

Depuis des semaines, le pays vivait au rythme des rumeurs et démentis autour de la santé du président, le gouvernement affirmant qu'il continuait de diriger le pays, l'opposition réclamant des informations claires. Vainqueur de toutes les élections auxquelles il a participé depuis son arrivée au pouvoir en 1999, Hugo Chavez est mort alors qu'il avait été réélu pour un nouveau mandat de six ans, le 7 octobre 2012.

 

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Sept jours de deuil au Venezuela

La dépouille du président Hugo Chavez est exposée à compter d’hier dans le hall de l'Académie militaire de Caracas, avant des funérailles nationales prévues demain, a annoncé le ministre des Affaires étrangères vénézuélien Elias Jaua, alors que sept jours de deuil officiel ont été décrétés. "Les obsèques et l'hommage posthume dans la chapelle ardente du hall de l'Académie militaire (se dérouleront) mercredi, jeudi et vendredi", a indiqué M. Jaua, sans préciser l'endroit où reposera la "sépulture chrétienne" du défunt. "Vendredi à 10 heures du matin, nous allons organiser la cérémonie officielle" à l'Académie militaire, a précisé M. Jaua, qui a remercié tous les chefs d'Etat qui ont manifesté leur intention d'assister aux funérailles.

 

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Vibrant hommage du président Abdelaziz Bouteflika :

"Chavez marquera à jamais l'histoire de son pays"

Le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a rendu un vibrant hommage au président vénézuélien Hugo Chavez, décédé mardi dernier, saluant le combat d'un homme "qui marquera à jamais l'histoire de son pays". "Hugo Chavez s'est battu jusqu'au bout, comme il l'avait toujours fait pour ses idées, car il avait conscience que son destin dépassait sa propre personne. L'hommage que nous devons à sa mémoire, l'est aussi pour le combat de toute une nation dont il a été le porte-voix et la

conscience dans la lignée d'un Simon Bolivar. A ce titre, il marquera à jamais l'histoire de son pays mais aussi de toute l'Amérique latine", a relevé le président Bouteflika dans un message qu'il a adressé à M. Nicolas Maduro, président par intérim de la République Bolivarienne du Venezuela, à la suite du décès de Chavez. "C'est avec une immense douleur que j'ai appris la disparition de mon ami le président Hugo Rafael Chavez Frias", a-t-il souligné."En adressant, au nom du peuple algérien, à sa famille, à ses proches et au peuple vénézuélien, nos plus vives condoléances, je voudrais exprimer notre admiration pour l'engagement de Hugo Chavez dans le combat universel pour la défense de la dignité, de la souveraineté et du droit des peuples à l'émancipation", a indiqué le chef de l'Etat. "En vous réitérant mes plus sincères condoléances et ma profonde sympathie, je forme le vœu que le peuple vénézuélien poursuive sa marche vers le progrès et le développement", a ajouté le Président de la République dans son message.

 

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actualite2[39085].jpg

 

l’ambassadeur de la République Bolivarienne du Venezuela à Alger

Approfondir la voie tracée par le président Hugo Chavez

Visiblement attristé et ému par la disparition du président Hugo Chavez, M. Hector Michel Mujica, ambassadeur du Venezuela à Alger, a salué l’élan de solidarité qui s’est spontanément exprimé de la part de nombreux compatriotes algériens, dès l’annonce du décès de M. Hugo Chavez. Le diplomate a tenu à transmettre un sentiment de reconnaissance à l’égard de tous ceux qui ont eu l’obligeance de partager avec le peuple du Venezuela, sa peine. M. Michel Mujica a été très sensible aux marques de sympathie de nos concitoyens, du gouvernement par le canal du ministère des Affaires étrangères, des partis politiques, et autres représentants de la société civile. « On va continuer à approfondir la révolution bolivarienne dans tous les domaines, et contribuer à agir de manière active pour un monde meilleur et plus solidaire, à œuvrer dans le sens de la promotion des voies du dialogue pour éviter à tout prix les conflits. Le président Hugo Chavez a été un grand architecte de l’unité sud-américaine, sur la base de l’Alternative bolivarienne.

Le défunt fut l’instigateur d’institutions régionales d’intégration économique et politique comme le MERCOSUR et l’UNASUR fondées sur une approche latino-américaine qui furent d’un apport appréciables pour résoudre des problèmes graves. De même que la politique du président Chavez a puissamment favorisé l’organisation de sommets latino américains. Cette vision s’inspire dans une très grande mesure de l’œuvre émancipatrice du leader Simon Bolivar.

Au Venezuela, le peuple a coutume de dire : « Somos Todos Chavez », c’est-à-dire « nous sommes tous Chavez ». On est décidé à préserver l’héritage du président Chavez, en marchant sur le chemin de l’unité du peuple latino-américain, de l’instauration d’une société plus égalitaire, en somme, participer à l’émergence d’une grande république latino-américaine, conformément à la charte des Nations unies qui stipule que tous les pays sont égaux devant le droit international. Le Venezuela s’est illustré sous la conduite du défunt président Chavez par un développement social et économique. Nous sommes le pays le plus égalitaire d’Amérique du Sud. On a réduit la pauvreté, le chômage, amélioré la qualité de la vie, élevé le revenu par habitant qui est aujourd’hui, de 12.000 dollars. Mais le plus important, c’est que le peuple est conscient. Notre Constitution proclame la démocratie participative, égalitaire et respectueuse de la souveraineté des nations. Le Venezuela sous l’ère du président Chavez a encouragé une politique de coopération avec l’Afrique, les Etats sud-américains, les pays arabes ». Son œuvre fut titanesque, a conclu en définitive, le diplomate vénézuélien.

M. Bouraib

 

----------------------

 

L’Ouragan bolivarien ne soufflera plus

L’Ouragan Bolivarien n’est plus. Le souffle de celui qui a porté le Venezuela sur le devant de la scène s’est éteint à l’âge de 58 ans. L’homme au béret rouge qui a su faire de la démocratie un allié implacable, laisse derrière lui une œuvre que ses successeurs auront bien du mal à égaler. Au pouvoir depuis 1999, après avoir remporté à la loyale toutes les élections, Chavez a réussi à donner un sens à la citoyenneté : « Aimer son pays ». Ses partisans ainsi que ses détracteurs les plus acharnés, reconnaissent cependant en lui son amour pour les plus démunis auxquels il a voué toute son énergie… sa vie. El Comandante savait galvaniser les foules par des mots simples et justes.

Son rejet de « l’impérialisme », et des inégalités sociales ont fait de lui un chantre du socialisme et un des chefs de fil de l’alter-mondialisme aux côtés de Morales, Correa, Lula da Silva et bien d’autres. A la tête du premier exportateur de pétrole sud-américain, Chavez à bâti sa popularité sur de nombreux programmes sociaux, notamment dans la santé, l'éducation et le logement. Les plus défavorisés lui vouent depuis une reconnaissance sans limites, proche de la dévotion, répétant à l'envi qu'il leur a rendu leur "dignité". Au-delà des frontières, Hugo Chavez demeure pour l’histoire un fervent défenseur de l'union de l'Amérique latine. La montée du courant gauchiste dans le continent depuis les années 1990, lui a permis surtout de mettre en place des structures d'intégration régionale. L’homme qui a qualifié Bush Jr de « diable » à la tribune de l’Onu a su faire preuve aussi de pragmatisme, ne suspendant jamais ses livraisons de pétrole aux Etats-Unis, en dépit de ses critiques acerbes contre "l'impérialisme yankee".

M. T.

 

 

Journal El Moudjahid Presse Algerie

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Dans ce bas monde les pauvres le regretteront....

 

il est retourné vers le néant d'où nous venons tous , loin des vicissitudes de ce monde... quelle délivrance ...

 

 

Il n'est pas retourne vers le neant mais vers son destin eternel qu'il s'est batit ici bas de ses propres mains....ca c'est certain.

 

Dans ce bas monde il etait brave et a tenu tete aux usa...mais en meme temps il donnait du petrole gratuit pour les americains pauvres....ces americains l'aimaient...

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Il n'est pas retourne vers le neant mais vers son destin eternel qu'il s'est batit ici bas de ses propres mains....ca c'est certain.

 

Dans ce bas monde il etait brave et a tenu tete aux usa...mais en meme temps il donnait du petrole gratuit pour les americains pauvres....ces americains l'aimaient...

 

Bonsoir YaraM

mieux ils sera embaume

ou comme Lenine en Russie ou poura visite son cercueille

 

 

Le corps de Chavez sera embaumé «comme Lénine»

 

 

Le Parisien

 

- ‎Il y a 4 minutes

 

La dépouille d'Hugo Chavez, dont les funérailles d'Etat auront lieu vendredi, sera visible «au moins sept jours de plus», a annoncé jeudi le président vénézuélien par interim, Nicolas Maduro. Après les funérailles d'Etat, la dépouille de Chavez sera exposée ...

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Guest Soizik
Il n'est pas retourne vers le neant mais vers son destin eternel qu'il s'est batit ici bas de ses propres mains....ca c'est certain.

 

Dans ce bas monde il etait brave et a tenu tete aux usa...mais en meme temps il donnait du petrole gratuit pour les americains pauvres....ces americains l'aimaient...

 

à chacun son espoir ...le mien est que la mort soit la fin de tout ...donc je dis que cet homme est reparti vers le néant ... et j'en suis heureuse pour lui

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