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Le détail ne change rien quand aussi peu de familles ont été impliquées.Si le détail valait quelque chose,ils auraient pris 5 ''familles'' et ca aurait suffi...Hey hey.

 

Si tu savais combien d'études font poids avec moins d'échantillons... Mais bon quand elles disent ce que tu vux qu'elles disent, on ne s'en soucis guère hein mackia ;)

 

Il y a beaucoup d'éléments aussi voir plus important que le nombre dans une étude scientifique. La qualité et la démarche scientifique, l'attention au détail etc. la représentativité de l'échantillon, la qualité de l'échantillon comparatif.

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Ce qui me fait rire, c'est que tu ne changes pas.

Tu attaques la forme pour te défiler sur le fond.

 

Hey,hey,trés false.Quand on parle de ce genre d'adoptions,il faut prendre en considération l'environnement direct et indirect de l'enfant .L'environnement scolaire diffère d'un quartier à un autre ,d'une ville à une autre,par exemple.Il y a combien de milliers de grandes villes toutes avec des réalités differentes? Donc,une etude comme celle-la sur 130 ''familles'',dans environnement précis et choisi ne vaut rien face à la réalité mondiale.

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Ah bon,comment savoir qu'elles sont representatives.Un couple gai qui élève dans le quartier gai n'est pas dans la meme situation que celui qui élève à Herouxville...hey hey!

 

Je prends pour acquis qu'une université qui commande une étude est en mesure de fournir les experts en échantillonnage. Les recensements étant plus exhaustifs, on est en mesure de mieux cibler les milieux et de les diversifier selon les besoins des études.

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Contre-argument

 

A lire l'étude, les coupoles gay sont l'idéal pour un enfant lol

 

Que l'on nous dit que les enfants élevés pour un couple gay soient aussi heureux que les autres, beaucoup de personnes pourrait l'admettre, mais qu'on nous dit "PLUS HEUREUX" ou (les enfants élevés par des couples homosexuels,vont bien mieux que les enfants élevés par leurs parents biologique) je ne vois pas ...

 

Quand on pense que les enfants d'hétéros ont des problèmes! Hétéros, un bon conseil, laissons tomber, nous sommes nuls!

 

J'ai lu tout l'article, mais je n'ai trouvé aucun fondement statistique seulement de la propagande, contrairement à l'étude publié par le chercheur sociologue Mark Rengnerus il y a quelque mois.

 

 

L’étude de Mark Regnerus (US) sur les enfants ayant eu un parent homosexuel

 

Concernant l’homoparentalité, une nouvelle étude de sociologie américaine nous met en garde contre l’usage abusif des science sociales dans le débat public, tout en offrant un bon aperçu de l’expérience d’avoir eu un parent homosexuel pour la génération aujourd’hui adulte. Cette étude va dans le sens de ce qui a longtemps été une évidence, et qui fait aujourd’hui l’objet de controverses : en moyenne, un enfant s’en sort mieux lorsque son père et sa mère restent mariés.

 

L’apport américain

 

La spécificité des États-Unis en matière de débat sur l’homoparentalité est double : l’évolution de la société fait que des situations d’homoparentalité de fait existent depuis les années 1990, et donc une génération d’enfants de ces foyers est parvenue à l’âge adulte ; l’autre spécificité est le grand respect pour l’apport des sciences sociales : aux États-Unis, même les sujets controversés, comme par exemple les inégalités sociales, sont abordés à travers de grandes enquêtes sociologiques et statistiques. Les chercheurs en sciences sociales jouissent d’une assez grande autonomie pour étudier divers objets sans nécessairement se soucier de l’opinion dominante.

 

Un des problèmes du débat français sur l’opportunité d’accorder le droit aux personnes de même sexe de se marier, et d’adopter des enfants, est la mise en avant de statistiques dont les origines sont assez obscures. Ces chiffres portent sur le nombre de foyers homosexuels où des enfants sont élevés, et sur les conséquences pour ces enfants, présentées comme égales, sinon optimales par rapport aux enfants élevés dans un foyer composé d’un père et d’une mère mariés. La plupart de ces affirmations ne sont pas fondées sur des études sociologiques françaises, mais sur des études américaines, qui se sont multipliées depuis le début des années 2000.

 

L’étude de Mark Regnerus

 

Dans un article intitulé « How different are the adult children of parents who have same-sex relationships? Findings from the New Family Structures Study » ["A quel point les enfants devenus adultes de parents ayant eu une relation homosexuelle sont-ils différents ? Résultats de l’Étude sur les nouvelles structures familiales" ] et rendu public le 11 juin 2012, Mark Regnerus, chercheur en sociologie à l’université du Texas, présente une étude considérée comme rigoureuse et complète selon l’analyse de plusieurs de ses pairs1, ou même de promoteurs de l’homoparentalité2.

 

Cette étude remet en cause le dogme, qui s’était établi dans le milieu scientifique et militant, selon lequel grandir dans un foyer où les parents sont de même sexe ne changerait rien, voire serait bénéfique pour l’enfant en comparaison à d’autres configurations familiales. Quelques-unes de ces études avaient même été jusqu’à affirmer la supériorité d’un foyer composé de deux femmes sur un foyer avec père et mère mariés. Cela constituait un changement de paradigme scientifique très brusque puisque au milieu de la décennie 1990, moment où les fictions télévisuelles commencèrent à présenter divers arrangements familiaux impliquant des homosexuels sous une perspective favorable (pensons à la série Friends par exemple), les experts de la famille considéraient encore que l’arrangement familial le plus favorable pour le devenir des enfants était avoir un père et une mère toujours mariés. Ce brusque bouleversement de paradigme est apparu comme suspect aux yeux de Regnerus, sociologue respecté, dont les études précédentes portent notamment sur l’activité sexuelle des jeunes gens non mariés3.

 

Méthodologie de l’enquête

 

Aidé par des collègues, Mark Regnerus a repris une base de données sociologique très fouillée appelée New Family Structures Study4, et il a posé une question à plus de 15 000 américains devenus adultes entre 1990 et 2009 et sélectionnés de façon aléatoire : « Est-ce que l’un de vos parents biologiques a eu, entre votre naissance et l’âge de vos 18 ans, une relation amoureuse avec quelqu’un de son propre sexe ? » 175 ont répondu que c’était le cas pour leur mère, 73 pour leur père. Ces personnes, ainsi qu’un échantillon représentatif de cette génération de la population américaine, ont passé un entretien approfondi portant sur leur vie, leurs relations amoureuses et leur propre éducation, – soit en tout 2 988 personnes interrogées. L’objet de l’enquête est de tester le paradigme de l’absence de différences. Pour cela, Mark Regnerus a constitué huit groupes parmi les personnes interrogées suivant les structures familiales dans lesquelles ils avaient grandi :

 

- Famille biologique intacte (“still-intact, biological family”) : un père et une mère marié depuis la naissance de l’enfant jusqu’à aujourd’hui. (919)

 

- Mère lesbienne : la mère a eu une relation amoureuse avec une femme. (163)

 

- Père gay : le père a eu une relation amoureuse avec un homme. (73)

 

- Adopté : adoption par un ou deux parents avant l’âge de deux ans. (101)

 

- Divorce tardif ou garde partagée : l’enfant a vécu avec ses deux parents jusqu’à 18 ans, ils ne sont plus mariés. (116)

 

- Belle-famille : les parents biologiques n’ont jamais été mariés ou ont divorcé, le parent ayant la garde s’est marié avec quelqu’un d’autre avant les 18 ans de l’enfant. (394)

 

- Monoparentalité : les parents biologiques n’ont jamais été mariés ou ont divorcé, le parent ayant la garde ne s’est pas marié ou remarié avant les 18 ans de l’enfant. (816)

 

- Autres configurations, dont le décès d’un des parents. (406)

 

Les résultats significatifs

 

Comparés aux enfants de “famille biologique intacte”, les enfants aujourd’hui adultes dont la mère a eu une relation amoureuse avec une femme présentent 25 différences significatives sur les 40 variables testées :

Variable testée Enfants devenus adultes de famille biologique encore intacte Enfants devenus adultes dont la mère a eu une relation amoureuse avec une femme avant leur majorité

Questions de type OUI ou NON, résultats moyens en pourcentages

En cohabitation actuellement 9% 24%

La famille a reçu des aides publiques pendant la jeunesse des enfants 17% 69%

Bénéficiaires d’aides publiques actuellement 10% 38%

Employés à temps plein actuellement 49% 26%

Actuellement au chômage 8% 28%

Ont voté à la dernière élection présidentielle 57% 41%

S’identifient comme entièrement hétérosexuels 90% 61%

Ont eu une relation extraconjugale alors que mariés ou en cohabitation 13% 40%

Ont subi des attouchements sexuels par un parent ou un adulte 2% 23%

Ont subi une relation sexuelle contre leur consentement 8% 31%

Questions portant sur une échelle continue, résultats moyens.

Niveau d’éducation atteint (échelle de 1 à 5) 3,19 2,39

Sentiment de sûreté dans la famille d’origine (1 à 5) 4,13 3,12

Impact négatif de la famille d’origine (1 à 5) 2,3 3,13

Auto-estimation de la santé physique (1 à 5) 3,75 3,38

Index de dépression (échelle de 1 à 4) 1,83 2,2

Échelle d’évaluation du degré de dépendance à autrui (1 à 5) 2,82 3,43

Niveau de revenu (1 à 13) 8,27 6,08

Relation amoureuse actuelle en difficulté (1 à 4) 2,04 2,35

Questions portant sur des fréquences, des occurrences, moyenne sur une échelle

Fréquence d’usage de la marijuana (1 à 6) 1,32 1,84

Fréquence d’usage de la cigarette (1 à 6) 1,79 2,76

Fréquence d’utilisation de la télévision (1 à 6) 3,01 3,70

Fréquence d’arrestations par la police (1 à 4) 1,18 1,68

Fréquence de ceux ayant reconnu avoir commis un délit (1 à 4) 1,1 1,36

Nombre de partenaires sexuels féminins pour les femmes (0 à 11) 0,22 1,04

Nombre de partenaires sexuels masculins pour les femmes (0 à 11) 2,79 4,02

 

 

 

Lecture : En moyenne, 9% des enfants aujourd’hui adultes dont le père et la mère sont encore mariés vivent en cohabitation sans être mariés, contre 24% des enfants devenus adultes dont la mère a eu une relation amoureuse avec une femme entre le moment de leur naissance et l’âge de 18 ans.

 

Les résultats présentés ci-dessus sont une sélection traduite de tableaux pris directement dans l’article de Regnerus. Ces 25 variables présentent des différences statistiquement probantes et testées entre “avoir grandi dans une famille dont les parents biologiques sont mariés”, et “avoir fait l’expérience entre 0 et 18 ans d’une mère ayant eu une relation amoureuse avec une femme”.

 

Quelques conclusions à retenir

 

- Toutes les recherches scientifiques précédentes sur l’homoparentalité sont d’une utilité quasiment nulle, car leurs conclusions ne peuvent pas être extrapolées à la population entière : d’une part, les échantillons y sont trop faibles (des échantillons de 44 personnes au maximum, d’après Regnerus, p. 754, qui donne un résumé de ces recherches) ; d’autre part, ils sont constitués de façon non aléatoire, selon la méthode « boule de neige » : les membres de l’échantillon sont sélectionnés à l’intérieur d’un réseau dont les membres se cooptent. Pour ces raisons, ces échantillons ne sauraient refléter la composition socio-économique, religieuse, raciale et géographique des Etats-Unis. Par ailleurs, les interviewés ont souvent conscience de l’impact politique de l’enquête à laquelle ils participent.

 

- Cette étude est novatrice car elle donne avec une grande rigueur méthodologique le point de vue de l’enfant sur le fait d’avoir eu un parent homosexuel, alors que la parole était jusqu’ici monopolisée par les parents.

 

- Le trait le plus marquant de cette enquête sociologique, s’il fallait en retenir un, est l’instabilité de la vie de l’enfant dont la mère a eu une relation amoureuse avec une femme : davantage de temps passé dans un foyer d’accueil, davantage de temps passé chez les grands parents, davantage de temps passé de manière autonome avant 18 ans. En fait, moins de 2% de ces enfants ont passé leur enfance entière avec leur mère et sa partenaire.5

 

Les limites d’une telle recherche

 

- Cette étude ne dit rien sur l’expérience de grandir dans des foyers homoparentaux dans la période actuelle, et ce pour deux raisons : 1. Avoir un parent ayant eu une relation homosexuelle n’est pas synonyme d’avoir grandi dans un foyer homoparental. 2. Cette étude porte sur une génération aujourd’hui adulte, pour laquelle le fait homosexuel était peut-être moins bien accepté socialement qu’aujourd’hui.

 

- Il ne faut pas demander aux sciences sociales plus qu’elles ne peuvent donner : une bonne recherche ne peut être normative ou prédictive. C’est la description qui doit guider la démarche, mais elle est elle-même dépendante de catégories utilisables et opportunes. Les catégories prises ici reflètent cela : ce n’est pas tant une étude de l’homoparentalité que de l’expérience d’avoir un père ou une mère biologique ayant eu au moins une fois une expérience homosexuelle avant la majorité de l’enfant. Même si dans l’échantillon, certaines personnes ont effectivement eu une expérience de vie dans un foyer homoparental, ils sont bien moins nombreux que les membres des deux catégories ciblées. (23% des enfants dont la mère a eu une relation amoureuse avec une femme ont vécu avec ces deux femmes pendant au moins trois ans avant d’atteindre 18 ans; moins de 2% des enfants dont le père a eu une relation amoureuse avec un homme ont vécu avec ces deux hommes pendant au moins trois ans avant d’atteindre 18 ans).

 

- Mark Regnerus met prudemment en garde contre l’utilisation d’une telle étude à des fins politiques : ses seules applications solides et concrètes seraient de défaire l’utilisation politique et idéologique des études précédentes participant du paradigme de l’absence de différences, et d’indiquer la rareté d’une telle configuration familiale pour les générations dont les enfants sont devenus adultes. La sociologie nous ordonne ici à grands frais de nous méfier d’elle, offrant une remise à plat du bruit médiatique autour de l’apport de la « Science » au débat sur la légitimité de l’homoparentalité.

 

- En fait, ce qui est fondamentalement en jeu ici, c’est le maintien de l’idéal de la famille biologique mariée. Pour Mark Regnerus : « La famille nucléaire biologiquement intacte et stable semble être, même si c’est une fausse impression, une espèce en voie de disparition. Cependant, elle demeure l’environnement le plus sain et sécurisant pour le développement de l’enfant. [...] Ce qu’affirmaient les sociologues Sarah McLanahan et Gary Sandefur en 1994 reste une réalité : ” S’il nous était demandé de concevoir un système destiné à répondre aux besoins essentiels de l’enfant, nous finirions probablement par inventer quelque chose d’assez proche de l’idéal d’une famille avec deux parents.” Ses avantages sont amplement démontrés : accès au temps et à l’argent de deux adultes, un système d’équilibre des pouvoirs, une double connexion biologique à l’enfant, le tout renforçant la “probabilité que les parents s’identifient à l’enfant et soient capable de se sacrifier pour cet enfant, ce qui réduirait la probabilité que l’un des parents abuse de l’enfant.” Cette étude confirme la sagesse du sens commun. »6

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Guest asteroideB612
Rien de surprenant dans les conclusions de cette étude.

 

Les couples qui adoptent doivent y penser longtemps à l'avance. Les démarches sont longues et onéreuses.Ils ont donc le temps de bien se préparer à recevoir cet enfant.

 

Pour être parents, ils sont prêts à défier les préjugés. Ce ne sont pas des enfants adoptés par convenance ou pression familiale ou sociale.

 

C'est forcément un enfant désiré. Et il le sent.

 

Ha parce qu'un couple hétéro qui adopte ne le fait que par convenance ou pression familiale ?

 

Cet enfant n'est pas désiré ???????

 

Que les gays demandent le droit à l'adoption est une chose mais de là à sublimer leur acte : point trop n'en faut .

 

La comparaison avec un couple hétéro est malvenue : chacun a ses motivations.

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Je vois plus de propagande dans ton étude que celle de Cambridge.

Vu que le mec affirme son but dès le départ: prouver que le couple biologique est meilleur, et qu'il le réaffirme à la fin.

Qu'il admet qu'il étudie dans un contexte social précis et limité.

Il étudie des enfants ayant des parents homosexuels mais sans avoir forcément grandit dans une maison avec des parents gays.

 

 

J'ai tendance à faire confiance au professionalisme d'une étude sortant de Cambridge, surtout quand on voit le rigorisme des aspects observés.

 

De plus, les résultats ne me surprennent guère. Comme a expliqué hurle, vu ce qu'on fait endurer aux couples gays pour devenir parents, ce ne sont que les meilleurs, les plus prêts, qui y pardiendront. Contrairerement aux couples hétérosavec nombre de bébés accidents, des ados parents, des mères seules des pères qui abandonnent etc.

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Ha parce qu'un couple hétéro qui adopte ne le fait que par convenance ou pression familiale ?

 

Cet enfant n'est pas désiré ???????

 

Que les gays demandent le droit à l'adoption est une chose mais de là à sublimer leur acte : point trop n'en faut .

 

La comparaison avec un couple hétéro est malvenue : chacun a ses motivations.

 

Non, pas uniquement. Mais cela représente un certain pourcentage qui affectera réalistement les statistiques de l'hétéroparentalité.

Je crois que si on faisait subir aux couples hétéro ce qu'on fait subir aux couples gays ou hétéros adoptant, il y aurait 1° beaucoup moins d'enfants :D 2° beaucoup moins de problèmes :04:

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Guest asteroideB612
Non, pas uniquement. Mais cela représente un certain pourcentage qui affectera réalistement les statistiques de l'hétéroparentalité.

Je crois que si on faisait subir aux couples hétéro ce qu'on fait subir aux couples gays ou hétéros adoptant, il y aurait 1° beaucoup moins d'enfants :D 2° beaucoup moins de problèmes :04:

 

Les couples hétéros galèrent pour adopter .... on n'a pas assez de recul en France pour parler de ce qu'endurent les parents homos ( pour ne pas dire, point de recul du tout )

 

Quand l'envie d'être parent est là ... peu importe ton orientation sexuelle.

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Les couples hétéros galèrent pour adopter .... on n'a pas assez de recul en France pour parler de ce qu'endure les parents homos ( pour ne pas dire, point de recuul du tout )

 

Quand l'envie d'être parent est là ... peu importe ton orientation sexuelle.

 

Oui, relis ce que j'ai dit.

 

Il y a des pays plus durs que la France que cela.

Je regardais un reportage il y a quelques jours sur les orphlinats au.... Vietnamje crois? d'un côté des orphelinats pleins à craquer 2 à 3 enfants pour un lit jetés à la rue car on ne peut plus s'occuper d'autres. De l'autre côté une procédure tellement difficile que c'est presque possible pour un couple du pays adopter :confused:

 

J'ai aussi lu ici l'autre jour un topic où une femme algérienne demander pour adopter. Et quelqu'un raconte que son couple (posé, travail, bonne situation apparente) a voulu adopter et a été refusé d'office car ils ont un enfant naturel donc pas besoin d'adopter. :confused:

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Les couples hétéros galèrent pour adopter .... on n'a pas assez de recul en France pour parler de ce qu'endure les parents homos ( pour ne pas dire, point de recuul du tout )

 

Quand l'envie d'être parent est là ... peu importe ton orientation sexuelle.

 

L'autre jour au poste: une petite fille dit: c'est le mari de mon tonton,

 

Dans un couple, j'ai remarqué que le soir venu, c'est à sa mère que la petite fille demande des câlins. Deux "papas" pourront-ils jouer ce rôle?

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Guest asteroideB612
Oui, relis ce que j'ai dit.

 

Il y a des pays plus durs que la France que cela.

Je regardais un reportage il y a quelques jours sur les orphlinats au.... Vietnamje crois? d'un côté des orphelinats pleins à craquer 2 à 3 enfants pour un lit jetés à la rue car on ne peut plus s'occuper d'autres. De l'autre côté une procédure tellement difficile que c'est presque possible pour un couple du pays adopter :confused:

 

J'ai aussi lu ici l'autre jour un topic où une femme algérienne demander pour adopter. Et quelqu'un raconte que son couple (posé, travail, bonne situation apparente) a voulu adopter et a été refusé d'office car ils ont un enfant naturel donc pas besoin d'adopter. :confused:

 

ce probléme d'enfants adoptables et non adoptés est aussi récurent en France ... il suffit de voir combien d'enfants arrivent à leur majorité sans avoir attiré le coeur d'un couple ou que ce couple n'a pas été jugé apte !

 

Avec le nombre de demandes...les orphelinats ne devraient plus exister ... mais qu'en est il des enfants avec handicapes : homos ou pas.... ils seront toujours les derniers sur la liste.

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Guest asteroideB612
L'autre jour au poste: une petite fille dit: c'est le mari de mon tonton,

 

Dans un couple, j'ai remarqué que le soir venu, c'est à sa mère que la petite fille demande des câlins. Deux "papas" pourront-ils jouer ce rôle?

 

Selon Oedipe....les petites filles préfèrent les câlins de papa !

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L'autre jour au poste: une petite fille dit: c'est le mari de mon tonton,

 

Dans un couple, j'ai remarqué que le soir venu, c'est à sa mère que la petite fille demande des câlins. Deux "papas" pourront-ils jouer ce rôle?

 

Et moi j'ai connu des couples hétéros où les enfants pleuraient pour papa.

Ma mère et ma tante, racontent toujours qu'à la maison, le "méchant flic" était leur mère et qu'elles couraient toujours vers mon grand-père pour tout, calins, rassurances, moments calins ou moment de jeux... ma grand-mère ne leur parler que pour les corvées et les punir de pas faire les corvées.

Alors dis-moi elles auraient fait comment dans un couple avec 2 mamans comme ma grand-mère? :D

 

Tout ça pour illustrer que tirer une pseudo morale de ton exemple particulier...

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Je pense qu'un couple gay n'est pas meilleure qu'un couple hétéros à la base. On peut bien avoir cravacher pour avoir un enfant et se retrouver en parents médiocre.

Je ne pense pas que la difficulté d'acquisition puisse entrer en compte.

Mais pour ma part ce doit être un droit fondamentale l'adoption et tout ce qui est insémination artificielle.

 

On nous bassine avec des études qui passe toujours à côté de l'essentiel, qui sont totalement de propagande, pourquoi ne pas demandé au premier concernés, les enfants, de toute façon les études ne servent à rien dans ce cas elle révèle toujours la même chose selon le camp choisis par l'auteur.

Dans chaque familles les choses seront différentes les moqueries des autres

On a pas besoin de vivre dans une famille homo pour les recevoir ...

 

C'est à nous en tant qu'adultes d'expliquer tout cela aux enfants de leurs transmettre une ouverture d'esprit , une curiosité de la vie etc

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Avec le nombre de demandes...les orphelinats ne devraient plus exister ... mais qu'en est il des enfants avec handicapes : homos ou pas.... ils seront toujours les derniers sur la liste.

 

complétement d'accord avec ça !! malheureusement...

 

j'ai remarqué que le soir venu, c'est à sa mère que la petite fille demande des câlins.

non pas du tout ! l'enfant se tourne vers le parent le plus sécurisant et le plus disponible , souvent le père prend cette fonction pour certains enfants de la fratrie quand la mère s'occupe des autres enfants ou quand elle n'est pas de nature à le faire .

 

les pères dignes d'être parents sont là pour leur enfant, ils sont une ancre et un tuteur de vie pour ces jeunes vies.

 

IL faut arrêter avec ces distributions des rôles qui ne correspondent pas à la réalité . chaque individu dans un couple apportent à sa famille avec qui IL EST , comment lui même a été bâti comme humain et non pas avec le rôle sociétal de son sexe.

 

JE PENSE que les mieux à même de parler sur ce sujet sont les enfants eux mêmes et les adultes qu'ils deviennent

 

on a préjugé de tellement de chose :

mariage blanc / noir ( mon dieu les enfants !!!)

mariage religion différente ( mon dieu les enfants !!! )

mariage avec un du village d'a côté ( mon dieu les enfants !!!)

on a dit la même chose pour les enfants issu de famille monoparentale

on fait la même chose aujourd'hui !

 

les enfants ont besoin de mur solide , d'une niche affective stable si au moins 1 des adultes sait donner cela à son enfant , celui ci a les bases solides pour se construire.

 

les gosses s'adaptent très bien a leur milieu et aux circonstances.EUX !

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Je vois plus de propagande dans ton étude que celle de Cambridge.

Vu que le mec affirme son but dès le départ: prouver que le couple biologique est meilleur, et qu'il le réaffirme à la fin.

Qu'il admet qu'il étudie dans un contexte social précis et limité.

Il étudie des enfants ayant des parents homosexuels mais sans avoir forcément grandit dans une maison avec des parents gays.

Comment t'as pu le constater? Tu as l'article que j'ai posté ou l'étude?

Tu as lu l'étude de Mark Regnerus en moins de 5 minutes? ou tu la connaissais déjà?

J'ai tendance à faire confiance au professionalisme d'une étude sortant de Cambridge, surtout quand on voit le rigorisme des aspects observés.

Le rigorisme des aspects observés? Lesquelles?

A part propager, je n'ai trouvé aucun critère lors de ma lecture de cette étude d'une étrange méthodologie ..... qui semble conclure enfin que les parents gay sont heureux ! lol

 

Des critères lamentables oui! Je viens de constater que l'age des enfants des 130 familles qui ont fait l'objet d'étude se situe entre 4 et 8 ans ....

Compte-tenu que seuls devraient être pris en compte les avis des enfants donc j'aimerai en savoir plus ...quel est l'opinion ce ceux qui ne sont pas exprimé et pourquoi? ..... Et surtout combien ont atteint l'âge de l'adolescence ?

 

N'oublions pas que l'enfant a dû mal a verbaliser pertinemment ces désirs,

N'oublions pas le nombre d'années qu'il faut à un individu pour se rendre compte qu'il ne va pas bien. On ne craque pas enfant !

 

De plus, les résultats ne me surprennent guère. Comme a expliqué hurle, vu ce qu'on fait endurer aux couples gays pour devenir parents, ce ne sont que les meilleurs, les plus prêts, qui y pardiendront. Contrairerement aux couples hétérosavec nombre de bébés accidents, des ados parents, des mères seules des pères qui abandonnent etc.

 

Tu manques de sens logique Bloody ! Tu cites à chaque fois des cas spéciaux pour faire passer les hétéros pour des méchants, et les Homo pour des anges.

 

Le sujet n'est pas les parents et leurs orientation qu'ils soient homosexuels ou hétérosexuel, j'en doute pas de leurs capacités d’élever un enfant. Nuance.

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Ha parce qu'un couple hétéro qui adopte ne le fait que par convenance ou pression familiale ?

 

Cet enfant n'est pas désiré ???????

 

Que les gays demandent le droit à l'adoption est une chose mais de là à sublimer leur acte : point trop n'en faut .

 

La comparaison avec un couple hétéro est malvenue : chacun a ses motivations.

 

Pourquoi tu interprètes au dela de ce que j'ai dit.

D'abord je parle de couples hétéro qui ont des enfants par convenance ou pression familiale.Et ça, c'est très fréquent.

 

Si tu veux étudier le phénomène de l'enfant élevé par un couple gay, tu dois nécessairement le comparer à ce qui existe dans d'autres modèles de famille.Je ne vois pas comment tu peux l'éviter.

 

J'en conviens que chacun a ses motivations. Mais quand on vise un groupe en particulier ( les couples gay qui adoptent), on doit s'attendre à ce que les motivations des autres groupent soient étudiées et comparées.

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L'autre jour au poste: une petite fille dit: c'est le mari de mon tonton,

 

Dans un couple, j'ai remarqué que le soir venu, c'est à sa mère que la petite fille demande des câlins. Deux "papas" pourront-ils jouer ce rôle?

 

Chez moi, notre fille demandait les calins à son papa et notre garçon se tournait vers moi.Ca arrive souvent en bas çage que l,enfant soit attiré par le parent de sexe opposé. Ils comprennent tot que le papa craque pour sa princesse et la maman pour son petit roi....

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A lire l'étude, les coupoles gay sont l'idéal pour un enfant lol

 

Que l'on nous dit que les enfants élevés pour un couple gay soient aussi heureux que les autres, beaucoup de personnes pourrait l'admettre, mais qu'on nous dit "PLUS HEUREUX" ou (les enfants élevés par des couples homosexuels,vont bien mieux que les enfants élevés par leurs parents biologique) je ne vois pas ...

 

Quand on pense que les enfants d'hétéros ont des problèmes! Hétéros, un bon conseil, laissons tomber, nous sommes nuls!

 

J'ai lu tout l'article, mais je n'ai trouvé aucun fondement statistique seulement de la propagande, contrairement à l'étude publié par le chercheur sociologue Mark Rengnerus il y a quelque mois.

 

je n ai pas lu attentivement

 

mais je ne vois pas trop ce qu il essaie de demontrer ici

qu il faut se mefier des etudes socio, quelqu elles soient et en particulier, celles sur l homoparentalite?

 

mais la, il est question de parents qui ont eu une relation homo, pas d homoparents

ok, il parle lui meme de limite a son etude, mais ca n est pas une limite, ce sont 2 sujets differents

 

d ailleurs, quand on lit ca

La famille a reçu des aides publiques pendant la jeunesse des enfants 17% 69%

Bénéficiaires d’aides publiques actuellement 10% 38%

Employés à temps plein actuellement 49% 26%

Actuellement au chômage 8% 28%

 

ca dit que les familles avec un parent qui a eu une relation homo ont une situation eco plus basse que dans le cas du pere et de la mere maries ( sauf si je me suis trompee de sens)

 

seulement, c est le contraire qui est reproche aux etudes qui donnent une conclusion positive sur l homoparentalite, que les parents homo qui adoptent sont dans une sitiation eco plus elevee que la moyenne

 

si deja sur ca, on a 2 resultats contraires, y a pas de comparaison possible

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