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Paris: Une épouse du Roi Séoud laisse une ardoise de 6 M€.


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Une princesse saoudienne est saisie pour impayés

Paris

 

Un juge de Nanterre a ordonné la saisie conservatoire de biens acquis en France par une princesse saoudienne en raison d'impayés.

Mis à jour le 06.03.2013 6 Commentaires

 

 

En juin 2009, dans cette lingerie de luxe proche de l'hôtel George V, la princesse saoudienne avait déjà laissé une ardoise de quelque 70'000 euros (86'000 francs).

 

Vêtements de luxe, objets d'art, bijoux et maroquinerie. Voici ce que contiennent les boxes situés à Clichy-la-Garenne (Hauts-de-Seine) de Maha al-Sudaïri, épouse répudiée de l'ancien prince héritier d'Arabie saoudite, Nayef ben Abdelaziz Al Saoud (décédé en juin 2012). Ils doivent être ouverts prochainement par un huissier.

 

Lors d'un séjour à Paris, entre le 22 décembre 2011 et le 17 juin 2012, la princesse avait fait parler d'elle en tentant de quitter le palace Shangri-La, avenue d'Iena (XVIe), en compagnie de sa suite d'une soixantaine de personnes, laissant au passage une ardoise de près de 7 millions 400 mille francs suisses (6 millions d'euros).

 

Sept nouveaux créanciers lui réclament aujourd'hui de l'argent. L'un d'entre eux, une société de location de véhicules de luxe avec chauffeurs, Cinquième étoile, l'a assigné en justice. Le gérant de cette entreprise, qui n'a pas souhaité donner son nom, assure qu'elle lui doit environ 1, 9 millions de francs (1,5 million d'euros), correspondant entre autres à la location de «deux Rolls-Royce Phantom» et à la mobilisation d'«une trentaine de chauffeurs». «Nous centralisions aussi les paiements pour trois sociétés de sécurité, deux restaurants et un pressing auprès desquels elle a laissé des dettes. Aujourd'hui, certains nous attaquent en justice parce que nous ne pouvons pas les payer», a expliqué le gérant de Cinquième étoile.

 

11'000 francs de pressing

 

Contacté, Estephan Daou, gérant d'un pressing dans le XVe arrondissement, affirme que la princesse lui doit 11'500 francs (9 300 euros). «Elle venait une à plusieurs fois par semaine nous déposer des dizaines de vêtements lui appartenant ou appartenant à son personnel. Elle a réglé les trois premiers mois de janvier à mars mais plus rien jusqu'à la mi-juin», a-t-il affirmé. «Le problème, c'est que nous n'avons aucun moyen d'atteindre cette femme. Nous avons tenté d'entrer en contact avec l'ambassade (d'Arabie Saoudite en France) mais cela n'a rien donné», a ajouté le gérant de Cinquième étoile.

 

En 2009, la princesse Maha al-Sudaïri avait déjà défrayé la chronique pour des impayés. La chaîne vestimentaire Key Largo avait à l'époque saisi la justice pour obtenir le règlement de quelque 110'000 francs (89'000 euros) correspondant à des achats effectués à son nom.

 

(afp/Newsnet)

 

Créé: 06.03.2013, 14h45

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