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Oran en panne sèche

 

Les automobilistes oranais se sont réveillés ce samedi en panne sèche de carburant. Toutes les stations service se trouvaient en rupture de ce précieux liquide. Des chaînes monstres de véhicules se sont aussitôt formées devant les stations en attente d’une improbable alimentation en carburant, alors que les taxieurs ont carrément arrêté leur activité.

 

Renseignement pris auprès d’un responsable Naftal, celui-ci semblait surpris, puisqu’il a déclaré que l’alimentation des stations service se fait régulièrement et aucune perturbation n’est enregistrée au niveau régional.

 

Quant aux automobilistes, certains ont affiché leur mécontentement, tout en accusant les distributeurs privés d’être, à chaque fois, derrière ces pénuries récurrentes alors que d’autres accusent les “hallaba”, contrebandiers du carburant, qui viennent s’approvisionner à Oran et Misserghine en essence pour les besoins de ce trafic transfrontalier.

 

Cela dit, le peu de stations isolées ont été prises d’assaut, chaque automobiliste demandant à faire le plein ce qui a eu pour conséquences d’épuiser les citernes en trois heures.

 

Naftal, quant à elle, déclare qu’aucune crise d’essence n’est au programme, et précise que des dispositions ont été prises ce matin pour remédier à cette panne sèche dans les plus brefs délais.

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Certains "journaleux" ou journalistes par défaut se précipitent à pondre leur articles en prenant un phénomène localisé pour une catastrophe .

Il y eut quelques stations services en rupture , mais cela n'a nullement perturbé la circulation en général .

 

Ils sont capable de décréter qu'Oran meurt de soif , juste parcequ'ils n'ont pas d'eau dans leur quartier .

 

Concernant les "hallaba" , le trajet à partir d'Oran bouffe trop du précieux carburant , puisque les multiples barrages de la gendarmerie et des douanes interdisent tout transport clandestin en masse des carburants .

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Certains "journaleux" ou journalistes par défaut se précipitent à pondre leur articles en prenant un phénomène localisé pour une catastrophe .

Il y eut quelques stations services en rupture , mais cela n'a nullement perturbé la circulation en général .

 

Ils sont capable de décréter qu'Oran meurt de soif , juste parcequ'ils n'ont pas d'eau dans leur quartier .

 

Concernant les "hallaba" , le trajet à partir d'Oran bouffe trop du précieux carburant , puisque les multiples barrages de la gendarmerie et des douanes interdisent tout transport clandestin en masse des carburants .

Y a trop

.... de gallets a Oran

.... aussi bien chez les journalistes

.... que chez les gerants de stations service

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il y a un mois, pour faire le plein en super j'ai été obligé de me rendre dans trois petites stations pas trop encombrées. Des queues se pressaient dans les grosses stations , telle celle connue du beau frère d'un général qui n'est jamais en manque, mais qu'épidermiquement je n'approche pas.

 

la dysfonction est toujours endémique , l'arrêt de la prodction de Skika a encore perturbé les circuits et peut-être a guerre du Mali.

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