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Le meilleur lycée de France est un lycée ... musulman.


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je sais, pour moi le collège c'est vraiment la période clef pour les gosses, j'ai décidé ce sera catho de centre ville.

 

Catho ou public, le principal, c'est de choisir un établissement de centre ville. Ce sont les meilleurs...

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Oui, la conservation du pouvoir. L'école, comme le langage par exemple, est un mécanisme de pouvoir symbolique. Les classes dominantes perpétuent les inégalités sociales en se transmettant leurs privilèges par héritage culturel.

 

C'est dans Les Héritiers que Bourdieu montre admirablement que l'école (et ce, du primaire à l'université) n'est pas un instrument neutre au service de l''éducation de tous les citoyens, mais bien un mécanisme de reproduction des élites.

 

non, mais la conservation d'une certaine éducation.......que des surdoués de banlieues torrides feraient disparaitre.......en un clin d'oeil.......

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je sais, pour moi le collège c'est vraiment la période clef pour les gosses, j'ai décidé ce sera catho de centre ville.

 

Oui, je suis d'accord avec toi, je pense que la période collège est déjà déterminante. Si on commence à ne travailler qu'au lycée, il est déjà trop tard parfois.

 

Mais vérifie quand même que le catho est bon. Parce qu'il y a des tout dans les établissements catho, le meilleur comme le pire.

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Applicable à toutes les villes ? Pourquoi ne pas suivre le classement des collèges ?

 

Evidemment que ce n'est pas applicable à toutes les villes, tu as raison de le souligner. Ce n'est pas la localisation du lycée qui fait forcément sa qualité.

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Oui, je suis d'accord avec toi, je pense que la période collège est déjà déterminante. Si on commence à ne travailler qu'au lycée, il est déjà trop tard parfois.

 

Mais vérifie quand même que le catho est bon. Parce qu'il y a des tout dans les établissements catho, le meilleur comme le pire.

 

je sais. j'ai bien bossé la question, pour moi les cathos sont plus stricts niveau discipline, entrées et sorties des gosses, ils lâchent pas les jeunes dans le boulot, les poussent + etc, ils leur apprennent la rigueur.

 

chose que je n'ai évidemment pas connu dans mon collège de zep. puis dans mon lycée de zep aussi. :cool: j'avais des bonnes notes parce que j'aimais bien travailler, mais les matières qui ne m'intéressaient pas je zappais, voir au lycée je n'y allais carrément pas (genre math, sciences physiques etc...)

 

hors de question qu'il se passe ça pour mes filles.

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franchement moi je n'étais au courant de rien. c'était déjà un vrai prestige dans ma famille que j'aille à "l'université" c'était moi la 1ere :crazy:

 

c'est après que j'ai appris l'existence de ces fillières parallèles, réservées aux enfants de l'élite.

 

il faut dire que niveau orientation, on est au courant de RIEN!

 

Oui, il y a un déficit d'information terrible sur ce sujet. Il y a bien des associations de type "Une grande école, pourquoi pas moi?" qui essaient d'aller informer les jeunes de lycées où personne ne va leur parler de ces filières. Il y a aussi d'autres tentatives comme la classe prépa ZEP d'Henri IV ou le recrutement sans concours des ZEP à Sciences Po.

Mais cela reste timide. Et là encore, tout le monde n'est pas d'accord. Je me souviens des manif d'élèves à Sciences Po pour protester contre la décision de Descoings. Les "héritiers" voulaient rester entre eux...

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Moa, ne me parle pas comme si j'étais demeurée... je connais bien tout ça...

 

et c'est pourquoi je dis qu'un élève brillant, on ne le reconnait pas à ses notes

 

je ne t ai jamais prise pour une demeuree, ne pas se rendre compte du niveau dans certaines ecoles, ca ne fait pas d une personne une demeuree

ok, ca n est pas ton cas alors je ne vois pas ou tu veux en venir

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je sais. j'ai bien bossé la question, pour moi les cathos sont plus stricts niveau discipline, entrées et sorties des gosses, ils lâchent pas les jeunes dans le boulot, les poussent + etc, ils leur apprennent la rigueur.

 

chose que je n'ai évidemment pas connu dans mon collège de zep. puis dans mon lycée de zep aussi. :cool: j'avais des bonnes notes parce que j'aimais bien travailler, mais les matières qui ne m'intéressaient pas je zappais, voir au lycée je n'y allais carrément pas (genre math, sciences physiques etc...)

 

hors de question qu'il se passe ça pour mes filles.

 

:mdr: Je te comprends bien. C'est d'ailleurs pour ça que mes parents m'ont mise chez les jésuites au primaire : la discipline, le suivi, l'instruction et la culture.

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à mon époque y avait pas internet, c'était encore pire!

 

et souvent ces gens là veulent rester entre eux, ils évoluent dans un petit microcosme, entre eux, et ne veulent surtout pas en sortir ou s'ouvrir aux autres.

 

finalement je trouve que ce ne sont pas vraiment des cursus intéressant, si c'est pour se coltiner des blaireaux imbus d'eux même c'est pas la peine.

 

le supérieur classique est déjà bien je trouve: médecine, dentaire, archi ou ingé, et éventuellement commerce si on est pas assez bien pour les autres cursus précédemment évoqués.

 

bon cela dit je suis aussi persuadée du prédeterminisme social et mes filles inch'Allah feront médecine, nous les formatons dans ce sens de toute façon.

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non, mais la conservation d'une certaine éducation.......que des surdoués de banlieues torrides feraient disparaitre.......en un clin d'oeil.......

 

d une education, d un fonctionnement et meme de prejuges qui arrangent bien une certaine elite

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cela dit thouraya j'ai eu une adolescence très heureuse, je me suis vraiment bien éclatée, j'ai rencontré des gens qui venaient de partout (lycée zep de centre ville :mdr: ) des villages, des cités, des zones pavillonnaires etc, et ça ça a été une vraie ouverture.

 

je pense que dans les établissements très connotés, soit trop élitistes, soit trop popu, et bien l'entre soi est de rigueur et c'est vraiment dommage pour le coup.

 

mon lycée était le 3e meilleur de ma ville (Montpellier) le 1er c'était Joffre (public) là y avait les classes prépas, donc c'était la course pour y entrer, le 2 c'était Nevers (privé) pareil avec classe prépa, le mien était le 3e avec formation technique post bac (de type DEUST à l'époque) et le côté lycée général + lycée technique faisait qu'il y avait vraiment un grand brassage, nous étions cela dit + de 3000 élèves dans ce bahut.

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à mon époque y avait pas internet, c'était encore pire!

 

et souvent ces gens là veulent rester entre eux, ils évoluent dans un petit microcosme, entre eux, et ne veulent surtout pas en sortir ou s'ouvrir aux autres.

 

finalement je trouve que ce ne sont pas vraiment des cursus intéressant, si c'est pour se coltiner des blaireaux imbus d'eux même c'est pas la peine.

 

le supérieur classique est déjà bien je trouve: médecine, dentaire, archi ou ingé, et éventuellement commerce si on est pas assez bien pour les autres cursus précédemment évoqués.

 

bon cela dit je suis aussi persuadée du prédeterminisme social et mes filles inch'Allah feront médecine, nous les formatons dans ce sens de toute façon.

 

Je comprends ce que tu veux dire mais je t'assure que ce n'est pas toujours le cas. Il y a de tout dans les gens en prépa et en écoles. Des fils à papa dégénérés, certes, mais des gens qui n'ont rien à voir avec cela. Beaucoup d'enfants de profs, des gens qui viennent de province et qui n'ont pas cette mentalité germanopratine détestable, et je ne parle pas de ceux qui viennent du Maghreb... (surtout du Maroc, un peu de Tunisie, et presque jamais d'Algérie...)

 

Médecine/dentaire, c'est toujours une valeur sûre. Archi, c'est bouché. Pour être ingé, le mieux c'est de passer par une grande école (Polytechnique, Centrale, les Ponts, les Mines, Supelec, etc...) et pour une grande école, il faut passer par une prépa.

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d une education, d un fonctionnement et meme de prejuges qui arrangent bien une certaine elite

 

ma cousine a fait l'école d'ingé à Grenoble, elle est passée par la filière parallèle (pas de concours) et bien elle a été ostracisée pendant toutes ses études, déjà d'une part par ce biais d'entrée, et de 2 parce que pas les moyens d'aller se murger la tronche dans les soirées de l'école hebdomadaire, prenait le bus pour aller à l'école, quand les autres étaient en golf etc.....

 

c'était une bosseuse elle s'est accroché heureusement et a eu son diplôme, mais franchement elle m'a dit qu'elle a des souvenirs pourris de cette période, et elle ne garde pas de contacts avec ses camarades de l'époque (pas le même monde, ils te le font bien sentir!)

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Je comprends ce que tu veux dire mais je t'assure que ce n'est pas toujours le cas. Il y a de tout dans les gens en prépa et en écoles. Des fils à papa dégénérés, certes, mais des gens qui n'ont rien à voir avec cela. Beaucoup d'enfants de profs, des gens qui viennent de province et qui n'ont pas cette mentalité germanopratine détestable, et je ne parle pas de ceux qui viennent du Maghreb... (surtout du Maroc, un peu de Tunisie, et presque jamais d'Algérie...)

 

Médecine/dentaire, c'est toujours une valeur sûre. Archi, c'est bouché. Pour être ingé, le mieux c'est de passer par une grande école (Polytechnique, Centrale, les Ponts, les Mines, Supelec, etc...) et pour une grande école, il faut passer par une prépa.

 

même en province il y a cette mentalité, il ne faut pas croire, simplement les parigots sont tellement imbus d'eux même, que du coup les autres, ne les aiment pas.

 

ma fille sa copine, ses parents sont prof de musique, l'autre sa mère est infirmière, l'autre sa mère est ouvrière etc... je veux qu'elle garde cette mentalité de savoir que ce n'est ni tn statut social ni ton niveau scolaire qui fera ta valeur.

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cela dit thouraya j'ai eu une adolescence très heureuse, je me suis vraiment bien éclatée, j'ai rencontré des gens qui venaient de partout (lycée zep de centre ville :mdr: ) des villages, des cités, des zones pavillonnaires etc, et ça ça a été une vraie ouverture.

 

je pense que dans les établissements très connotés, soit trop élitistes, soit trop popu, et bien l'entre soi est de rigueur et c'est vraiment dommage pour le coup.

 

 

Un peu au lycée, oui, c'est vrai. Mais par contre, plus du tout en prépa. Absolument plus. Des lycées comme Louis le Grand et Henri IV prennent la moitié de leurs effectifs en province et en banlieue, du coup il y a un réel brassage qui se fait. Certes, tout le monde est excellent, scolairement parlant, mais il y a vraiment des milieux différents, des origines différentes.

 

C'est ce que j'aime dans ce système, bien qu'on le critique régulièrement pour son élitisme et le prix qu'il coute à la communauté (un élève de prépa coute 2,5 fois plus cher qu'un élève à l'université): à ce stade là, seul le mérite de l'élève compte, peu importe son origine sociale ou le compte en banque de ses parents (même si bien sûr, il est plus difficile pour un enfant d'origine modeste de pouvoir arriver à ce stade qu'un fils de profs ou de CSP+)

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ma cousine a fait l'école d'ingé à Grenoble, elle est passée par la filière parallèle (pas de concours) et bien elle a été ostracisée pendant toutes ses études, déjà d'une part par ce biais d'entrée, et de 2 parce que pas les moyens d'aller se murger la tronche dans les soirées de l'école hebdomadaire, prenait le bus pour aller à l'école, quand les autres étaient en golf etc.....

 

c'était une bosseuse elle s'est accroché heureusement et a eu son diplôme, mais franchement elle m'a dit qu'elle a des souvenirs pourris de cette période, et elle ne garde pas de contacts avec ses camarades de l'époque (pas le même monde, ils te le font bien sentir!)

 

ma petite soeur a vecu la meme chose, a HEC

ce n etait pas l ecole mais un dea ( je crois) et elle etait la 1ere a venir d un quartier defavorise

l ecole en a fait de la pub d ailleurs mais a vivre au quotidien, ca n a pas ete facile mais ca, elle ne pouvait pas vraiment le dire

le decalage etait trop grand

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Hier j'étais inondée des articles de toutes la presse sur le sujet.

 

J'ai lu 3 articles, ils expliquaient que si on s'en tenait aux résultats et pourcentage seuls, le premier lycée de France est à Paris.

Si on tenait en compte l'encouragement de l'élève dans son parcours, le meilleurlycée était dans le sud ouest.

 

Ils expliquaient qu'on ne tenait compte que des bacs généraux, donc pas de lycée technique etc.

 

J'ai la flemme de rechercher l'article :ermm:

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ma petite soeur a vecu la meme chose, a HEC

ce n etait pas l ecole mais un dea ( je crois) et elle etait la 1ere a venir d un quartier defavorise

l ecole en a fait de la pub d ailleurs mais a vivre au quotidien, ca n a pas ete facile mais ca, elle ne pouvait pas vraiment le dire

le decalage etait trop grand

 

Oui, j'imagine... A Sciences Po, il y avait certains élèves qui regardaient de travers "les ZEP" comme ils les appelaient, quand ils les croisaient dans les couloirs. Et je ne parle pas des parents du 6e, 7e...qui payaient à leurs gamins des "boites à sciences po" à 2000 euros l'année et qui ont crié au scandale en voyant que les ZEP "prenaient les places" de leurs bambins.

 

Mais n'oublions pas aussi qu'il y avait une grosse majorité d'étudiants, qui comme moi, avait soutenu ce projet et étaient très contents de les voir là.

Surtout que dès leur deuxième année, on ne pouvait plus reconnaître un "ZEP" de quelque un rentré normalement sur concours.

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Oui, j'imagine... A Sciences Po, il y avait certains élèves qui regardaient de travers "les ZEP" comme ils les appelaient, quand ils les croisaient dans les couloirs. Et je ne parle pas des parents du 6e, 7e...qui payaient à leurs gamins des "boites à sciences po" à 2000 euros l'année et qui ont crié au scandale en voyant que les ZEP "prenaient les places" de leurs bambins.

 

Mais n'oublions pas aussi qu'il y avait une grosse majorité d'étudiants, qui comme moi, avait soutenu ce projet et étaient très contents de les voir là.

Surtout que dès leur deuxième année, on ne pouvait plus reconnaître un "ZEP" de quelque un rentré normalement sur concours.

 

j ai lu ton post un peu plus haut, apres avoir ecrit le mien

L annee qu a faite ma soeur etait diplomante et un diplome d hec mais ce n etait pas l ecole avec tout son cursus

ma soeur y est entree sur concours, puisque milieu defavorise et que les frais lui etaient offerts

par contre, je ne me souviens plus d ou venaient les autres etudiants

Ils etaient tous d un milieu tres aise mais peut etre que leurs parents leur ont paye tous leurs diplomes

et dans ce cas, l integration doit etre plus difficile qu avec des etudiants qui reconnaitront dans l autre les memes capacites

 

 

je lui redemanderai

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Oui, j'imagine... A Sciences Po, il y avait certains élèves qui regardaient de travers "les ZEP" comme ils les appelaient, quand ils les croisaient dans les couloirs. Et je ne parle pas des parents du 6e, 7e...qui payaient à leurs gamins des "boites à sciences po" à 2000 euros l'année et qui ont crié au scandale en voyant que les ZEP "prenaient les places" de leurs bambins.

 

Mais n'oublions pas aussi qu'il y avait une grosse majorité d'étudiants, qui comme moi, avait soutenu ce projet et étaient très contents de les voir là.

Surtout que dès leur deuxième année, on ne pouvait plus reconnaître un "ZEP" de quelque un rentré normalement sur concours.

 

oui, voila, je me demande si dans cette formation la, il n y avait pas que ce genre d etudiants

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j ai lu ton post un peu plus haut, apres avoir ecrit le mien

L annee qu a faite ma soeur etait diplomante et un diplome d hec mais ce n etait pas l ecole avec tout son cursus

ma soeur y est entree sur concours, puisque milieu defavorise et que les frais lui etaient offerts

par contre, je ne me souviens plus d ou venaient les autres etudiants

Ils etaient tous d un milieu tres aise mais peut etre que leurs parents leur ont paye tous leurs diplomes

et dans ce cas, l integration doit etre plus difficile qu avec des etudiants qui reconnaitront dans l autre les memes capacites

 

je lui redemanderai

 

Après il faut reconnaître que les écoles de commerce, c'est quand même spécial... Il y a une certaines mentalité en prépa HEC, et ensuite dans les écoles (HEC, ESSEC et toutes celles qui suivent), qu'on retrouve moins en prépa scientifique (et ensuite en école), et encore moins en prépa littéraire (et ensuite à Normale Sup, Ecole des Chartes, Sciences Po, etc...).

 

J'imagine donc bien que l'intégration a été rude pour ta soeur à HEC, puisque même moi qui ai baigné dans ce milieu pendant toutes mes études, j'ai toujours eu peu d'affinités avec les gens d'école de commerce. Je n'ai que 4 ou 5 très bons amis qui en sont sortis, alors que j'en ai des dizaines dans les écoles d'ingé et plus encore chez les littéraires.

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Après il faut reconnaître que les écoles de commerce, c'est quand même spécial... Il y a une certaines mentalité en prépa HEC, et ensuite dans les écoles (HEC, ESSEC et toutes celles qui suivent), qu'on retrouve moins en prépa scientifique (et ensuite en école), et encore moins en prépa littéraire (et ensuite à Normale Sup, Ecole des Chartes, Sciences Po, etc...).

 

J'imagine donc bien que l'intégration a été rude pour ta soeur à HEC, puisque même moi qui ai baigné dans ce milieu pendant toutes mes études, j'ai toujours eu peu d'affinités avec les gens d'école de commerce. Je n'ai que 4 ou 5 très bons amis qui en sont sortis, alors que j'en ai des dizaines dans les écoles d'ingé et plus encore chez les littéraires.

 

et toi , tu viens de quel genre de milieu?

( simple curiosite, si tu trouves ca indiscret, je ne m en formaliserai pas)

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