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Pas de sanction pour l’apostasie... La liberté de conscience est le fondement de l’Islam


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Guest jagellon

@ Spyderr

Ce n'est pas exactement de toi qu'il s'agit. Pour etre franc, si tu es Qurani nous ne pourrons pas discuter. J'ai croisé assez de quraniyoun pour comprendre qu'il n'y a rien qui puisse etre discuté . Pour etre encore plus franc, je n'aime pas le proselytisme des quraniyoun.

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@ Spyderr

Ce n'est pas exactement de toi qu'il s'agit. Pour etre franc, si tu es Qurani nous ne pourrons pas discuter. J'ai croisé assez de quraniyoun pour comprendre qu'il n'y a rien qui puisse etre discuté . Pour etre encore plus franc, je n'aime pas le proselytisme des quraniyoun.

 

on peux discuté avec n'importe qui mon ami

et j'aimerais bien s'avoir pourquoi tu ne peux pas discuter avec des quranyine ??

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Guest Zapata
@Zapata

Il ne s'agissait meme pas de toi. Si tu as envie de le prendre pour toi tu es libre d'enmerder qui tu veux.

 

Gna gna gna t'es marrant toi, c'est moi qui lui ait rétorqué avec un verset et personne d'autre. Enfin bref.

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Le Coran fait allusion dans un certain nombre de versets à l’apostasie. Par exemple : « Et ceux parmi vous qui adjureront leur religion et mourront infidèles, vaines seront pour eux leurs actions dans la vie immédiate et la vie future. » (sourate 2 intitulée la Vache, Al-Baqarah, verset 217) ; « Ô les croyants ! Si vous obéissez à ceux qui ne croient pas, il vous feront retourner en arrière. Et vous redeviendrez perdants. » (sourate 3 intitulée la Famille d’Amram, Âl `Imrân, verset 149) ; « Ô les croyants ! Quiconque parmi vous apostasie de sa religion... Dieu fera alors venir un peuple qu’Il aime et qui L’aime. » (sourate 5 intitulée la Table servie, Al-Mâ’idah, verset 54) ; « Ceux qui sont revenus sur leurs pas après que le droit chemin leur a été clairement exposé, le Diable les a séduits et trompés. » (sourate 47 intitulée Muhammad, verset 25).

 

Il existe également d’autres versets n’ayant pas employé le verbe « apostasier » mais qui en contiennent le sens, comme par exemple : « Quiconque a renié Dieu après avoir cru... - sauf celui qui y a été contraint alors que son coeur demeure plein de la sérénité de la foi - mais ceux qui ouvrent délibérément leur coeur à la mécréance, ceux-là ont sur eux une Colère de Dieu et ils ont un châtiment terrible. » (sourate 16 intitulée les Abeilles, An-Nahl, verset 106) ; « Dieu a promis à ceux d’entre vous qui ont cru et fait les bonnes œuvres qu’Il leur donnera la succession sur terre comme Il l’a donnée à ceux qui les ont précédés. Il donnera force et suprématie à leur religion qu’Il a agréée pour eux. Il leur changera leur ancienne peur en sécurité. Ils M’adorent et ne M’associent rien et celui qui mécroit par la suite, ce sont ceux-là les pervers. » (sourate 24 intitulée la Lumière, An-Nûr, verset 55).

 

Tous ces versets font clairement allusion à l’apostasie après l’Islam. Pourtant, aucun d’entre eux ne fait la moindre allusion à un châtiment terrestre ou à une sanction pénale que devrait subir l’apostat, contrairement à la sanction du meurtrier ou du voleur. Dans le cas présent, la sanction terrible et effrayante est la Colère de Dieu.

 

Cette interprétation est celle qui correspond au mieux à l’esprit même du Coran et des nombreux autres textes fondateurs. Cet esprit fonde en effet la foi et la croyance sur la conviction de l’individu et sur sa guidance sans contrainte ni pression extérieure. Il fonde la foi et la croyance sur la liberté de choix la plus totale, exprimée par le passage coranique suivant : « Quiconque le veut, qu’il croie, et quiconque le veut qu’il mécroie. » (sourate 18 intitulée la Caverne, Al-Kahf, verset 29)

 

Une étude littérale des nombreux versets du Noble Coran montre qu’il est interdit de contraindre quelqu’un à la religion. Le Très Haut dit : « Nulle contrainte en religion ! Car le bon chemin s’est distingué de l’égarement. » (sourate 2 intitulée la Vache, Al-Baqarah, verset 256) ; « Est- ce à toi de contraindre les gens à devenir croyants ? » (sourate 10 intitulée Jonas, Yûnus, verset 99). »

 

La méthodologie du Coran dans l’abord qu’elle réserve à l’Autre

 

Le Coran a posé une méthode à suivre face aux avis divergents. Ainsi, il commence par citer les prétentions des idolâtres, aussi diffamatoires, polythéistes et insolentes que puissent être ces prétentions, puis il y répond par l’argument et la logique. On peut ainsi citer : « Et ils ont dit : ‹Dieu s’est donné un fils› ! » (sourate 2 intitulée la Vache, Al-Baqarah, verset 116) ; « ceux qui ont dit : ‹Dieu est pauvre et nous sommes riches›. » (sourate 3 intitulée la Famille d’Amram, Âl `Imrân, verset 181) ; « Ils dirent : ‹Fais-nous voir Dieu à découvert !› » (sourate 4 intitulée les Femmes, An-Nisâ’, verset 153) ; « Et les Juifs disent : ‹La main de Dieu est fermée !› » (sourate 5 intitulée la Table servie, Al-Mâ’idah, versets 64) ; « ceux qui disent : ‹En vérité, Dieu est le troisième de trois.› » (même sourate, verset 73) ; « ils disent : ‹Tu n’es qu’un menteur›. » (sourate 16 intitulée les Abeilles, An-Nahl, verset 101) ; « Et ils disent : ‹Ceci (le Coran) n’est qu’un mensonge inventé›. » (sourate 34 intitulée Saba’, verset 43) ; « Ils dirent : ‹Nous voyons en vous un mauvais présage. Si vous ne cessez pas, nous vous lapiderons›. » (sourate 36 intitulée Yâ-Sîn, verset 18) ; « Et ils disent : ‹Ce sont des contes d’anciens qu’il se fait écrire ! On les lui dicte matin et soir !› » (sourate 25 intitulée le Discernement, Al-Furqân, verset 5). De nombreux versets similaires existent encore, mais nous n’avons pas ici la place de tous les citer. Dans aucun de ces versets, le Coran n’a pourtant demandé de couper la langue, d’emprisonner, de châtier ou de sanctionner ceux qui tiennent de tels propos infâmes, contrairement à ceux qui se rendent coupables de vol, de fornication ou de calomnie, etc. Le Coran n’a pas non plus négligé ces prétentions car leur simple mention aurait pu alimenter le doute. Non, il les cite puis les détruit par l’argument, la logique et la preuve.

 

Quant aux questions soulevées au sujet du jihâd (effort de lutte) et de cette équivoque fermement ancrée dans certains esprits, selon laquelle l’Islam se serait répandu par l’épée, nous répondons que rien n’en est plus éloigné de la réalité. Si le but de l’effort de lutte armée était d’imposer l’Islam aux populations conquises, alors le prélèvement de la capitation (jizyah) n’aurait pas pu être toléré, et il aurait été considéré comme la pire forme de corruption. En outre, si cette prétention était avérée, alors les attaques les plus violentes auraient dû s’abattre en priorité sur les prédicateurs des autres religions, comme les moines et les rabbins ; les lieux de culte, les églises, les synagogues et les monastères auraient dû en outre être détruits. Or, l’effort de lutte musulman a pris une voie diamétralement opposée. Il a permis à chacun de rester dans sa religion et il a interdit toute persécution religieuse. Il a garanti sa protection aux prêtres et aux rabbins, aux synagogues et aux églises et il a formellement défendu de s’en prendre à eux.

 

Ce que certaines personnes n’ont pas compris, c’est que l’Islam, tout en étant une doctrine religieuse pure entre l’individu et son Seigneur, est également un système socio-politique fondé sur la justice, l’égalité et la liberté de pensée et de conscience. Tous les systèmes existants, à l’avènement de l’Islam, étaient noyés dans la tyrannie, enracinés dans les systèmes de castes, fondés sur l’orgueil, l’injustice et la répression. Tous ces systèmes ne pouvaient en aucun cas permettre l’apparition de l’Islam en tant que religion et croyance ni en tant qu’appel à la justice, à l’égalité et à la liberté. Il n’y avait donc aucune autre issue que d’affronter ces systèmes en leur déclarant la guerre. L’expérience de l’histoire que l’Islam avait eue jusqu’alors et la manière dont les mécréants de la tribu de Quraysh avaient accueilli la nouvelle religion - la contraignant à la clandestinité puis à l’exil - présageaient que les classes élevées et les détenteurs des rênes du pouvoir n’étaient pas prêts à abandonner volontiers leurs privilèges. L’effort de lutte musulman était donc en réalité une guerre menée au nom de la liberté de conscience, cette liberté concernant aussi bien les Musulmans que les non-Musulmans. Il était question de libérer les masses et les populations de l’esclavage, de l’ignorance, de la misère et des systèmes despotiques. L’heure était venue de remplacer la législation des aristocraties, des trônes et de la tyrannie par la législation du Livre et de la justice.

 

Si les conquêtes musulmanes n’avaient pas eu pour but de libérer les foules et d’instaurer cette justice, les Musulmans n’auraient pas combattu ainsi jusqu’au martyre. L’être humain ne sacrifie pas sa personne pour cette vie éphémère et pour des biens matériels. En outre, les conquêtes musulmanes n’auraient pas pu s’avancer avec une telle rapidité, traçant leur voie et affermissant leurs pas. Rien n’aurait été plus facile pour les populations conquises que de se soulever contre les armées islamiques, peu nombreuses, fort peu loties en matériel et en subsistance, et loin de leur quartier général. Lorsque les Musulmans pénétrèrent en Espagne, ils n’étaient qu’au nombre de quelques dizaines de milliers tout au plus. Il leur était impossible de rester pendant huit siècles si ce n’était la puissance spirituelle et l’amour de la justice qui les animaient.

 

Bien que le mot « capitation » (jizyah) possède chez certains écrivains et dans certains esprits une connotation péjorative, il demeure que ce terme est bien loin de la signification que certains veulent lui donner. Le mot jizyah dérive de la racine jazâ (rétribuer), yajzî (il rétribue), jazâ’ (rétribution), construite sur le même modèle étymologique que qadâ (juger), yaqdî (il juge), qadâ’ (jugement). Dans la Révélation, on trouve le verset suivant : « Et redoutez le jour où nulle âme ne sera rétribuée à la place d’une autre. » (sourate 2 intitulée la Vache, Al-Baqarah, verset 48). Le célèbre hadith dit : « Ton âme sera rétribuée pour toi, mais elle ne sera rétribuée pour personne d’autre que toi. » (rapporté par Al-Bukhârî). La jizyah a donc le sens de « contrepartie », et c’est d’ailleurs sa réelle signification. Elle est une contrepartie à la protection octroyée par la société islamique aux non-Musulmans. Ces derniers sont en effet exemptés de participer à la défense de l’Etat ou de servir dans l’armée. C’est pour cette raison que la capitation n’est pas prélevée sur les femmes et les enfants, ni sur les autres gens de la dhimmah incapables de subvenir à leurs propres besoins. Ces derniers sont au contraire pris en charge par le Trésor Public musulman qui leur verse des pensions et leur offre des cadeaux leur permettant de vivre dignement. Il n’y a donc rien de péjoratif dans la capitation. En outre, elle est un moyen de concilier la liberté et la justice. La capitation a d’ailleurs des équivalents dans les sociétés européenne et américaine contemporaines.

 

D’autre part, il est établi que la légitimité de la guerre en Islam a émergé en vue de défendre la liberté de conscience. L’effort de lutte se trouve dès lors dans le rang de la liberté, afin de défendre ceux qui ont été expulsés de leurs demeures, contre toute justice, simplement parce qu’ils disaient : ‹Dieu est notre Seigneur›. L’effort de lutte n’est donc pas ici l’adversaire de la liberté. Cela a été tiré au clair depuis le premier verset révélé autorisant le combat armé. Dieu dit dans ce verset : « Autorisation est donnée à ceux qui sont attaqués de se défendre, parce que vraiment ils sont lésés - et Dieu est certes Capable de les secourir -, ceux qui ont été expulsés de leurs demeures, contre toute justice, simplement parce qu’ils disaient : ‹Dieu est notre Seigneur›. Si Dieu ne repoussait pas les gens les uns par les autres, les ermitages seraient démolis, ainsi que les églises, les synagogues et les mosquées où le nom de Dieu est beaucoup invoqué. Dieu soutient, certes, ceux qui soutiennent Sa Religion. Dieu est assurément Fort et Puissant. Ceux qui, si Nous leur donnons la puissance sur terre, accomplissent la prière, s’acquittent de l’aumône purificatrice, ordonnent le convenable et interdisent le blâmable... Cependant, l’issue finale de toute chose appartient à Dieu. » (sourate 22 intitulée le Pèlerinage, Al-Hajj, versets 39 à 42).

 

Les autres versets autorisant la guerre entrent également dans ce cadre. Tous ont pour objectif de défendre la foi et de repousser la persécution. Le verset le plus dur - celui que les exégètes appellent le verset de l’épée - [6] est directement suivi d’un autre verset qui ne peut que susciter l’admiration : « Et si l’un des associateurs te demande asile, accorde-le lui, afin qu’il entende la Parole de Dieu, puis fais-le parvenir à son lieu de sécurité. Car ce sont des gens qui ne savent pas. » (sourate 9 intitulée le Repentir, At-Tawbah, verset 6). Une telle prescription ne saurait exister au milieu de versets relatifs à la guerre, sauf si cette guerre se donne pour objectif de défendre la liberté de conscience. L’épée n’est donc pas dirigée en vue de contraindre les gens à la foi. Tout comme il ne saurait exister des directives, s’adressant au Prédicateur suprême - paix et bénédiction sur lui -, aussi claires et limpides que : « Et tu n’es pas un dominateur sur eux. » (sourate 88 intitulée l’Enveloppante, Al-Ghâshiyah, verset 22) ; « Et tu n’es pas leur garant. » (sourate 6 intitulée les Bestiaux, Al-An`âm, verset 107). Le Prophète est un transmetteur du Message et un témoin. Il n’est nullement un dominateur ni même un garant.

 

c'est tout un programme............

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Guest jagellon
on peux discuté avec n'importe qui mon ami

et j'aimerais bien s'avoir pourquoi tu ne peux pas discuter avec des quranyine ??

 

Tu crois qu'on peut?

Pour le deuxième point j'ai déjà donné la réponse plus haut.

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Le Coran fait allusion dans un certain nombre de versets à l’apostasie. Par exemple : « Et ceux parmi vous qui adjureront leur religion et mourront infidèles, vaines seront pour eux leurs actions dans la vie immédiate et la vie future. » (sourate 2 intitulée la Vache, Al-Baqarah, verset 217) ; « Ô les croyants ! Si vous obéissez à ceux qui ne croient pas, il vous feront retourner en arrière. Et vous redeviendrez perdants. » (sourate 3 intitulée la Famille d’Amram, Âl `Imrân, verset 149) ; « Ô les croyants ! Quiconque parmi vous apostasie de sa religion... Dieu fera alors venir un peuple qu’Il aime et qui L’aime. » (sourate 5 intitulée la Table servie, Al-Mâ’idah, verset 54) ; « Ceux qui sont revenus sur leurs pas après que le droit chemin leur a été clairement exposé, le Diable les a séduits et trompés. » (sourate 47 intitulée Muhammad, verset 25).

 

Il existe également d’autres versets n’ayant pas employé le verbe « apostasier » mais qui en contiennent le sens, comme par exemple : « Quiconque a renié Dieu après avoir cru... - sauf celui qui y a été contraint alors que son coeur demeure plein de la sérénité de la foi - mais ceux qui ouvrent délibérément leur coeur à la mécréance, ceux-là ont sur eux une Colère de Dieu et ils ont un châtiment terrible. » (sourate 16 intitulée les Abeilles, An-Nahl, verset 106) ; « Dieu a promis à ceux d’entre vous qui ont cru et fait les bonnes œuvres qu’Il leur donnera la succession sur terre comme Il l’a donnée à ceux qui les ont précédés. Il donnera force et suprématie à leur religion qu’Il a agréée pour eux. Il leur changera leur ancienne peur en sécurité. Ils M’adorent et ne M’associent rien et celui qui mécroit par la suite, ce sont ceux-là les pervers. » (sourate 24 intitulée la Lumière, An-Nûr, verset 55).

 

Tous ces versets font clairement allusion à l’apostasie après l’Islam. Pourtant, aucun d’entre eux ne fait la moindre allusion à un châtiment terrestre ou à une sanction pénale que devrait subir l’apostat, contrairement à la sanction du meurtrier ou du voleur. Dans le cas présent, la sanction terrible et effrayante est la Colère de Dieu.

 

Cette interprétation est celle qui correspond au mieux à l’esprit même du Coran et des nombreux autres textes fondateurs. Cet esprit fonde en effet la foi et la croyance sur la conviction de l’individu et sur sa guidance sans contrainte ni pression extérieure. Il fonde la foi et la croyance sur la liberté de choix la plus totale, exprimée par le passage coranique suivant : « Quiconque le veut, qu’il croie, et quiconque le veut qu’il mécroie. » (sourate 18 intitulée la Caverne, Al-Kahf, verset 29)

 

Une étude littérale des nombreux versets du Noble Coran montre qu’il est interdit de contraindre quelqu’un à la religion. Le Très Haut dit : « Nulle contrainte en religion ! Car le bon chemin s’est distingué de l’égarement. » (sourate 2 intitulée la Vache, Al-Baqarah, verset 256) ; « Est- ce à toi de contraindre les gens à devenir croyants ? » (sourate 10 intitulée Jonas, Yûnus, verset 99). »

 

La méthodologie du Coran dans l’abord qu’elle réserve à l’Autre

 

Le Coran a posé une méthode à suivre face aux avis divergents. Ainsi, il commence par citer les prétentions des idolâtres, aussi diffamatoires, polythéistes et insolentes que puissent être ces prétentions, puis il y répond par l’argument et la logique. On peut ainsi citer : « Et ils ont dit : ‹Dieu s’est donné un fils› ! » (sourate 2 intitulée la Vache, Al-Baqarah, verset 116) ; « ceux qui ont dit : ‹Dieu est pauvre et nous sommes riches›. » (sourate 3 intitulée la Famille d’Amram, Âl `Imrân, verset 181) ; « Ils dirent : ‹Fais-nous voir Dieu à découvert !› » (sourate 4 intitulée les Femmes, An-Nisâ’, verset 153) ; « Et les Juifs disent : ‹La main de Dieu est fermée !› » (sourate 5 intitulée la Table servie, Al-Mâ’idah, versets 64) ; « ceux qui disent : ‹En vérité, Dieu est le troisième de trois.› » (même sourate, verset 73) ; « ils disent : ‹Tu n’es qu’un menteur›. » (sourate 16 intitulée les Abeilles, An-Nahl, verset 101) ; « Et ils disent : ‹Ceci (le Coran) n’est qu’un mensonge inventé›. » (sourate 34 intitulée Saba’, verset 43) ; « Ils dirent : ‹Nous voyons en vous un mauvais présage. Si vous ne cessez pas, nous vous lapiderons›. » (sourate 36 intitulée Yâ-Sîn, verset 18) ; « Et ils disent : ‹Ce sont des contes d’anciens qu’il se fait écrire ! On les lui dicte matin et soir !› » (sourate 25 intitulée le Discernement, Al-Furqân, verset 5). De nombreux versets similaires existent encore, mais nous n’avons pas ici la place de tous les citer. Dans aucun de ces versets, le Coran n’a pourtant demandé de couper la langue, d’emprisonner, de châtier ou de sanctionner ceux qui tiennent de tels propos infâmes, contrairement à ceux qui se rendent coupables de vol, de fornication ou de calomnie, etc. Le Coran n’a pas non plus négligé ces prétentions car leur simple mention aurait pu alimenter le doute. Non, il les cite puis les détruit par l’argument, la logique et la preuve.

 

Quant aux questions soulevées au sujet du jihâd (effort de lutte) et de cette équivoque fermement ancrée dans certains esprits, selon laquelle l’Islam se serait répandu par l’épée, nous répondons que rien n’en est plus éloigné de la réalité. Si le but de l’effort de lutte armée était d’imposer l’Islam aux populations conquises, alors le prélèvement de la capitation (jizyah) n’aurait pas pu être toléré, et il aurait été considéré comme la pire forme de corruption. En outre, si cette prétention était avérée, alors les attaques les plus violentes auraient dû s’abattre en priorité sur les prédicateurs des autres religions, comme les moines et les rabbins ; les lieux de culte, les églises, les synagogues et les monastères auraient dû en outre être détruits. Or, l’effort de lutte musulman a pris une voie diamétralement opposée. Il a permis à chacun de rester dans sa religion et il a interdit toute persécution religieuse. Il a garanti sa protection aux prêtres et aux rabbins, aux synagogues et aux églises et il a formellement défendu de s’en prendre à eux.

 

Ce que certaines personnes n’ont pas compris, c’est que l’Islam, tout en étant une doctrine religieuse pure entre l’individu et son Seigneur, est également un système socio-politique fondé sur la justice, l’égalité et la liberté de pensée et de conscience. Tous les systèmes existants, à l’avènement de l’Islam, étaient noyés dans la tyrannie, enracinés dans les systèmes de castes, fondés sur l’orgueil, l’injustice et la répression. Tous ces systèmes ne pouvaient en aucun cas permettre l’apparition de l’Islam en tant que religion et croyance ni en tant qu’appel à la justice, à l’égalité et à la liberté. Il n’y avait donc aucune autre issue que d’affronter ces systèmes en leur déclarant la guerre. L’expérience de l’histoire que l’Islam avait eue jusqu’alors et la manière dont les mécréants de la tribu de Quraysh avaient accueilli la nouvelle religion - la contraignant à la clandestinité puis à l’exil - présageaient que les classes élevées et les détenteurs des rênes du pouvoir n’étaient pas prêts à abandonner volontiers leurs privilèges. L’effort de lutte musulman était donc en réalité une guerre menée au nom de la liberté de conscience, cette liberté concernant aussi bien les Musulmans que les non-Musulmans. Il était question de libérer les masses et les populations de l’esclavage, de l’ignorance, de la misère et des systèmes despotiques. L’heure était venue de remplacer la législation des aristocraties, des trônes et de la tyrannie par la législation du Livre et de la justice.

 

Si les conquêtes musulmanes n’avaient pas eu pour but de libérer les foules et d’instaurer cette justice, les Musulmans n’auraient pas combattu ainsi jusqu’au martyre. L’être humain ne sacrifie pas sa personne pour cette vie éphémère et pour des biens matériels. En outre, les conquêtes musulmanes n’auraient pas pu s’avancer avec une telle rapidité, traçant leur voie et affermissant leurs pas. Rien n’aurait été plus facile pour les populations conquises que de se soulever contre les armées islamiques, peu nombreuses, fort peu loties en matériel et en subsistance, et loin de leur quartier général. Lorsque les Musulmans pénétrèrent en Espagne, ils n’étaient qu’au nombre de quelques dizaines de milliers tout au plus. Il leur était impossible de rester pendant huit siècles si ce n’était la puissance spirituelle et l’amour de la justice qui les animaient.

 

Bien que le mot « capitation » (jizyah) possède chez certains écrivains et dans certains esprits une connotation péjorative, il demeure que ce terme est bien loin de la signification que certains veulent lui donner. Le mot jizyah dérive de la racine jazâ (rétribuer), yajzî (il rétribue), jazâ’ (rétribution), construite sur le même modèle étymologique que qadâ (juger), yaqdî (il juge), qadâ’ (jugement). Dans la Révélation, on trouve le verset suivant : « Et redoutez le jour où nulle âme ne sera rétribuée à la place d’une autre. » (sourate 2 intitulée la Vache, Al-Baqarah, verset 48). Le célèbre hadith dit : « Ton âme sera rétribuée pour toi, mais elle ne sera rétribuée pour personne d’autre que toi. » (rapporté par Al-Bukhârî). La jizyah a donc le sens de « contrepartie », et c’est d’ailleurs sa réelle signification. Elle est une contrepartie à la protection octroyée par la société islamique aux non-Musulmans. Ces derniers sont en effet exemptés de participer à la défense de l’Etat ou de servir dans l’armée. C’est pour cette raison que la capitation n’est pas prélevée sur les femmes et les enfants, ni sur les autres gens de la dhimmah incapables de subvenir à leurs propres besoins. Ces derniers sont au contraire pris en charge par le Trésor Public musulman qui leur verse des pensions et leur offre des cadeaux leur permettant de vivre dignement. Il n’y a donc rien de péjoratif dans la capitation. En outre, elle est un moyen de concilier la liberté et la justice. La capitation a d’ailleurs des équivalents dans les sociétés européenne et américaine contemporaines.

 

D’autre part, il est établi que la légitimité de la guerre en Islam a émergé en vue de défendre la liberté de conscience. L’effort de lutte se trouve dès lors dans le rang de la liberté, afin de défendre ceux qui ont été expulsés de leurs demeures, contre toute justice, simplement parce qu’ils disaient : ‹Dieu est notre Seigneur›. L’effort de lutte n’est donc pas ici l’adversaire de la liberté. Cela a été tiré au clair depuis le premier verset révélé autorisant le combat armé. Dieu dit dans ce verset : « Autorisation est donnée à ceux qui sont attaqués de se défendre, parce que vraiment ils sont lésés - et Dieu est certes Capable de les secourir -, ceux qui ont été expulsés de leurs demeures, contre toute justice, simplement parce qu’ils disaient : ‹Dieu est notre Seigneur›. Si Dieu ne repoussait pas les gens les uns par les autres, les ermitages seraient démolis, ainsi que les églises, les synagogues et les mosquées où le nom de Dieu est beaucoup invoqué. Dieu soutient, certes, ceux qui soutiennent Sa Religion. Dieu est assurément Fort et Puissant. Ceux qui, si Nous leur donnons la puissance sur terre, accomplissent la prière, s’acquittent de l’aumône purificatrice, ordonnent le convenable et interdisent le blâmable... Cependant, l’issue finale de toute chose appartient à Dieu. » (sourate 22 intitulée le Pèlerinage, Al-Hajj, versets 39 à 42).

 

Les autres versets autorisant la guerre entrent également dans ce cadre. Tous ont pour objectif de défendre la foi et de repousser la persécution. Le verset le plus dur - celui que les exégètes appellent le verset de l’épée - [6] est directement suivi d’un autre verset qui ne peut que susciter l’admiration : « Et si l’un des associateurs te demande asile, accorde-le lui, afin qu’il entende la Parole de Dieu, puis fais-le parvenir à son lieu de sécurité. Car ce sont des gens qui ne savent pas. » (sourate 9 intitulée le Repentir, At-Tawbah, verset 6). Une telle prescription ne saurait exister au milieu de versets relatifs à la guerre, sauf si cette guerre se donne pour objectif de défendre la liberté de conscience. L’épée n’est donc pas dirigée en vue de contraindre les gens à la foi. Tout comme il ne saurait exister des directives, s’adressant au Prédicateur suprême - paix et bénédiction sur lui -, aussi claires et limpides que : « Et tu n’es pas un dominateur sur eux. » (sourate 88 intitulée l’Enveloppante, Al-Ghâshiyah, verset 22) ; « Et tu n’es pas leur garant. » (sourate 6 intitulée les Bestiaux, Al-An`âm, verset 107). Le Prophète est un transmetteur du Message et un témoin. Il n’est nullement un dominateur ni même un garant.

 

ok c'est res bien ça, la liberté de conscience en fait on ne devrait même pas en parler au 21 sicle tellement c'est une liberté élémentaire

 

mais dans les faits dis_moi ça donne quoi ?

 

et comment renyoyer Muslim, Boukhari et Nawawi (et ses fameux quarantes a hadiths qui se vendent comme des petits pains dans les librairies islamique) a leur études ? Tu cois vraiment qu'ils ne savaient pas lire le Coran ?

 

et puis stp ne pousse pas les choses au ridicul, ce n'est certainement pas les chrétiens et les juifs qui ont estampillé les hadith du label "SAHIH"

 

parce que tu vois la rétorique "c'est toujours la faute aux autres" on en a plein la casquette

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Ah tiens, merci Zouf de démontrer pourquoi en discuter ici serait vain.

 

Si on peut en discuter mais seulement pour dire que la liberte de conscience est une necessite parcequ'elle est une liberte elementaire qui conditionne toutes les autres. En fait les societe musulmane ne connaitron le sens, et ne vivront pleinement la liberte que quand elle inegreront pleinement la liberte de conscience.

En ce qui concerne le texte, le hadith et sans equivoque contre cette liberte de conscience, le texte coranique est ambigue sur cette question.

Donc effectivement il ne sert a rien d'utiliser les textes religieux pour essayer de traiter une carrence dont souffre les societes musulmanes

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Guest L'étrangère

Essalamu 'alaykum

 

Que disent les hadiths ? Notre religion c'est elQoraan et la sunna. On ne peut abandonner ni l'un ni l'autre pour faire plaisir à un groupe apostat ou non.

 

Que dit la sunna et quel est le degré d'authentification ?

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Guest jagellon
Si on peut en discuter mais seulement pour dire que la liberte de conscience est une necessite parcequ'elle est une liberte elementaire qui conditionne toutes les autres. En fait les societe musulmane ne connaitron le sens, et ne vivront pleinement la liberte que quand elle inegreront pleinement la liberte de conscience.

En ce qui concerne le texte, le hadith et sans equivoque contre cette liberte de conscience, le texte coranique est ambigue sur cette question.

Donc effectivement il ne sert a rien d'utiliser les textes religieux pour essayer de traiter une carrence dont souffre les societes musulmanes

 

 

C'est ce que je voulais dire, que chacun n'en dira que ce qui l'attangera. Je n'appelle pas ça discuter. Ton texte est aussi sans équivoque, tu t'appropries la définition de " liberté de conscience" et en exclue qui tu veux.

Zouf tu es aussi fondamentaliste que ceux que traites de fondamentalistes.

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ok c'est res bien ça, la liberté de conscience en fait on ne devrait même pas en parler au 21 sicle tellement c'est une liberté élémentaire

 

mais dans les faits dis_moi ça donne quoi ?

 

et comment renyoyer Muslim, Boukhari et Nawawi (et ses fameux quarantes a hadiths qui se vendent comme des petits pains dans les librairies islamique) a leur études ? Tu cois vraiment qu'ils ne savaient pas lire le Coran ?

 

et puis stp ne pousse pas les choses au ridicul, ce n'est certainement pas les chrétiens et les juifs qui ont estampillé les hadith du label "SAHIH"

 

parce que tu vois la rétorique "c'est toujours la faute aux autres" on en a plein la casquette

 

c'est vrais qu'on ne devrai même pas en parler au 21 siècles seulement voila , y'a des gens , des groupes , des pays qui s'y opposent quand ça les arrange , ou (pour les religieux fondamentalistes )quand on interprète très mal les textes ou bien on les suis aveuglement sans aucune critique

pour ce qui est des hadiths modifier ou carrément crée par ceux a qui s'a arrange (j'ai cité juifs chrétiennes , ou meme musulmans ) il faut savoir que la malhonnêteté n'a pas de religion , elle n'a pas de race , et c'est pas étonnant de trouvé dans la chaine de transmission des hadiths , des hypocrites chrétiens juifs , païens , ou même musulman malhonnête) quand je lis les hadiths sur la fin des temps et sur le retour de jésus , je ne peux que me posé des questions sur la ressemblance étrange avec le christianisme , quand je lis les hadith ou les récits sur le (soit disons) massacre de la tribut juive de Banu quraida , je reste sans voix sur des évènements avec les chambre a gaz d’Hitler !! , c'est exactement le même style (faire oublié la trahison juive du prophète -victimisation des juifs de banu quraida- déportation des juifs de quraida jusqu’à medine -camps de concentration des juifs dans le grand marché de medine -courage des juifs durant la nuit avant leurs massacre-le nombre exagérer de mort ,900 alors que d'autre récit parle de 13 jusqu'a 40 combattants juifs seulement) !!!! sans parlé du conflit politique qui a opposé muawya et aicha femme du prophète , a ali benu abi taleb , et ces répercutions sur les hadiths !! (conflit chiite sunnite )

 

jte rejoins pour chercher une solution , et faire un très grand travail sur les sahih boukhari et musulim , ça deviens une vrais nécessité dans le monde musulman de la part des intello , bien que le musulman de tout les jour , n'applique vraiment pas ce qu'il ya dedans (on vois pas tt les jours des apostats qui se font descendre , bcp de pays musulmans fixent une limite d'age au mariage , et ne vont pas tué les koufar dans les moindre coins de rue !!)

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Essalamu 'alaykum

 

Que disent les hadiths ? Notre religion c'est elQoraan et la sunna. On ne peut abandonner ni l'un ni l'autre pour faire plaisir à un groupe apostat ou non.

 

Que dit la sunna et quel est le degré d'authentification ?

 

notre religion est le coran mon ami , même le hadith qu'on nous a appris depuis notre jeune age : taraktou fikoum ma in tamasaktoum bihi la tadhallou : kitaba llah wa sounati " est un hadith faible , le hadith sahih est : taraktou fikoum ma in tamasaktoum bihi lan tadhallou , kitaba llah wa aal bayti" est le hadith sahih !!

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notre religion est le coran mon ami , même le hadith qu'on nous a appris depuis notre jeune age : taraktou fikoum ma in tamasaktoum bihi la tadhallou : kitaba llah wa sounati " est un hadith faible , le hadith sahih est : taraktou fikoum ma in tamasaktoum bihi lan tadhallou , kitaba llah wa aal bayti" est le hadith sahih !!

 

Tu est chiite spyder?

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Tu est chiite spyder?

 

- رأيت رسول الله صلى الله عليه وسلم في حجته يوم عرفة وهو على ناقته القصواء يخطب فسمعته يقول يا أيها الناس إني تركت فيكم من ما إن أخذتم به لن تضلوا كتاب الله وعترتي أهل بيتي

الراوي: جابر بن عبدالله المحدث: الألباني - المصدر: صحيح الترمذي - الصفحة أو الرقم: 3786

خلاصة الدرجة: صحيح

 

 

10 - يا أيها الناس ! إني تركت فيكم ما إن أخذتم به لن تضلوا : كتاب الله ، وعترتي ، أهل بيتي

الراوي: أبو سعيد الخدري و جابر بن عبدالله المحدث: الألباني - المصدر: صحيح الجامع - الصفحة أو الرقم: 7877

خلاصة الدرجة: صحيح

 

 

11 - رأيت رسول الله - صلى الله عليه وسلم - في حجته - يوم عرفة - وهو على ناقته القصواء يخطب ، فسمعته يقول : يا أيها الناس ! إني تركت فيكم ما إن أخذتم به لن تضلوا : كتاب الله ، وعترتي أهل بيتي .

الراوي: جابر بن عبدالله المحدث: الألباني - المصدر: مشكاة المصابيح - الصفحة أو الرقم: 6100

خلاصة الدرجة: إسناده ضعيف وله شاهد فهو به صحيح

 

si a cause de al albaite jme fait traité de chiite ,c que vous avez rien compris

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- رأيت رسول الله صلى الله عليه وسلم في حجته يوم عرفة وهو على ناقته القصواء يخطب فسمعته يقول يا أيها الناس إني تركت فيكم من ما إن أخذتم به لن تضلوا كتاب الله وعترتي أهل بيتي

الراوي: جابر بن عبدالله المحدث: الألباني - المصدر: صحيح الترمذي - الصفحة أو الرقم: 3786

خلاصة الدرجة: صحيح

 

 

10 - يا أيها الناس ! إني تركت فيكم ما إن أخذتم به لن تضلوا : كتاب الله ، وعترتي ، أهل بيتي

الراوي: أبو سعيد الخدري و جابر بن عبدالله المحدث: الألباني - المصدر: صحيح الجامع - الصفحة أو الرقم: 7877

خلاصة الدرجة: صحيح

 

 

11 - رأيت رسول الله - صلى الله عليه وسلم - في حجته - يوم عرفة - وهو على ناقته القصواء يخطب ، فسمعته يقول : يا أيها الناس ! إني تركت فيكم ما إن أخذتم به لن تضلوا : كتاب الله ، وعترتي أهل بيتي .

الراوي: جابر بن عبدالله المحدث: الألباني - المصدر: مشكاة المصابيح - الصفحة أو الرقم: 6100

خلاصة الدرجة: إسناده ضعيف وله شاهد فهو به صحيح

 

si a cause de al albaite jme fait traité de chiite ,c que vous avez rien compris

 

Ok alors je veus bien le concevoir je vous suplierais d y remedier...Tu appartient peut etre a un courant que je ne connais pas ...

Tu me cite trois hadiths qui disent que le prophete (s) a conseillé les musulmans de suivre le Coran et ses desendants....c est la doctrine chiite..

:crazy:

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Ok alors je veus bien le concevoir je vous suplierais d y remedier...Tu appartient peut etre a un courant que je ne connais pas ...

Tu me cite trois hadiths qui disent que le prophete (s) a conseillé les musulmans de suivre le Coran et ses desendants....c est la doctrine chiite..

:crazy:

 

je ne fais que montré le degrés authenticité du hadith dont tu a fait allusion "kitab allah wa sunnati" qui est un hadith faible , maintenant je vois qu'il ya un besoin de mettre une étiquette sur les gens , qurani , puis maintenant chiite ?? est ce que toi autant que sunnite tu n'aime pas ahl al bayte , ou bien tu ne les suivrai pas ?? juste pour ne pas te faire traité de chiite ??

est ce que ali , fatima hassan et hussein ne sont pas de bon exemple pour toi autant que sunnite ?!! c'est un peu du n'importe quoi

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je ne fais que montré le degrés authenticité du hadith dont tu a fait allusion "kitab allah wa sunnati" qui est un hadith faible , maintenant je vois qu'il ya un besoin de mettre une étiquette sur les gens , qurani , puis maintenant chiite ?? est ce que toi autant que sunnite tu n'aime pas ahl al bayte , ou bien tu ne les suivrai pas ?? juste pour ne pas te faire traité de chiite ??

est ce que ali , fatima hassan et hussein ne sont pas de bon exemple pour toi autant que sunnite ?!! c'est un peu du n'importe quoi

 

Oui bien sur ce sont des exemples ...et j aimerais bien les suivre ...le probleme c est qu ils sont morts depuis des centaines d années ....

J aimerais bien me conformer avec ce hadith...mais voila Il sont ou aujourd hui ces ahl albayt a suivre???

Dois je suivre Les rois du Maroc et de la Jordannie ou tous ceux qui affirmeront qu ils sont ahl albayt?

Explique moi spyder comment me conformer avec ce hadith aujourd hui?

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Oui bien sur ce sont des exemples ...et j aimerais bien les suivre ...le probleme c est qu ils sont morts depuis des centaines d années ....

J aimerais bien me conformer avec ce hadith...mais voila Il sont ou aujourd hui ces ahl albayt a suivre???

Dois je suivre Les rois du Maroc et de la Jordannie ou tous ceux qui affirmeront qu ils sont ahl albayt?

Explique moi spyder comment me conformer avec ce hadith aujourd hui?

 

Tu peut déjà commencé par lire leurs biographie :/

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il n'y aucune liberté de conscience dans l'islam...l'homme se fait égaré ou se fait guidé,ce n'est pas a lui de prendre sa décision...

 

Sourate 16 an nahle V:93

Et Nous n'avons envoyé de Messager qu'avec la langue de son peuple, afin de les éclairer. Allah égare qui Il veut et guide qui Il veut.

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il n'y aucune liberté de conscience dans l'islam...l'homme se fait égaré ou se fait guidé,ce n'est pas a lui de prendre sa décision...

 

Sourate 16 an nahle V:93

Et Nous n'avons envoyé de Messager qu'avec la langue de son peuple, afin de les éclairer. Allah égare qui Il veut et guide qui Il veut.

 

mon ami tu devrai étudier plus le coran ou bien la langue arabe, avant de débiter des conneries : le "VEUT" du verset revient a l’être humain pas a dieu , si tu le VEUX alors allah te guide , et si tu le VEUX alors allah t’égare !!

la liberté totale de conscience

 

Et dis: «La vérité émane de votre Seigneur». Quiconque le veut, qu’il croie, quiconque le veut qu’il mécroie». 18 :29

 

Faites ce que vous voulez car Il est Clairvoyant sur tout ce que vous faites; 41 :40

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Tu peut déjà commencé par lire leurs biographie :/

 

C est deja fait...

 

Ok spyder donc pour rester sur la voie droite de l islam le prophete (s) nous a recommender de suivre le coran et de lire la biographie de ses descendants et pas la tienne ..C est ça ? ou tu vas cesser la taqqiya ...?

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C est deja fait...

 

Ok spyder donc pour rester sur la voie droite de l islam le prophete (s) nous a recommender de suivre le coran et de lire la biographie de ses descendants et pas la tienne ..C est ça ? ou tu vas cesser la taqqiya ...?

 

C pas le prophète qui te le dit , c moi qui le fait , et lire leurs biographies c pour apprendre les bonnes manières , car apres tout c'est eux qui appliquaient le mieux les préceptes du coran ;mais bon , si tu veux bessif croire que je suis chiite, alors oué , pourquoi pas ,malgré que dans le chiisme , omar n'est pas une bonne personne , or que je suis un pro-omar ibn alkhattab

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