Zoubir8 174 Posted March 31, 2013 Partager Posted March 31, 2013 Proposition d'un topic sur la formation professionnelle en Algérie. Il s'agit là d'un moyen d'offrir des possibilités aux jeunes de trouver un emploi. SUGGESTIONS: - autoriser le privé à créer des centres CFPA et à recevoir des subventions, - multiplication du nombre de centres, - ouvertures de ces centres pour des stages express d'une semaine, - ouverture le soir pour des formations express, - renforcement de ces centres par des profs de facs (qlq heures par semaines), par des ingénieurs du Service national, - ouverture d'annexes de ces centres dans des sociétés nationales: des profs viendraient faire des TP sur des machines (en présence du personnel de l'usine), - ouverture aux jeunes pour des stages express par les sociétés publiques (ou ateliers des collectivités locales). Mercredi, 26 Décembre 2012 Une convention a été signée hier entre les deux secteurs. La formation professionnelle au service de l’industrie Par : Badreddine KHRIS Liberté. Des jeunes seront formés dans différentes filières afin de doter le secteur industriel de diverses spécialités et autres qualifications demandées par les PME/PMI. Dans le but de promouvoir la formation et l’enseignement professionnels dans les spécialités et métiers de l’industrie, les ministères de l’Industrie et de la Formation professionnelle ont signé, hier, une convention-cadre de partenariat. Un groupe de travail des deux départements s’est attelé depuis quelques mois à identifier les besoins du secteur industriel, notamment dans les filières de la mécanique, sidérurgie, matériaux de construction, électricité, électronique, nouvelles technologies, chimie-pharmacie… Chérif Rahmani a voulu que la première convention qu’il signera dans ses nouvelles fonctions soit dédiée aux ressources humaines. C’est chose faite. Car, a-t-il argué, la richesse de l’industrie est fondée sur ses compétences, ses experts, ses spécialistes. “L’homme demeure la source de réussite de toute industrie”, a-t-il déclaré, hier, lors de la cérémonie de signature. Pour cela, le département de Mohamed Mebarki a dégagé, dans une première étape, 31 établissements qui répondront aux besoins exprimés par les entreprises. Le début des formations est prévu pour le mois de février prochain. Le ministère de la Formation professionnelle va ainsi garantir l’“homologation des formations dispensées par les centres de formation des entreprises et la certification des qualifications professionnelles sur la base de leur expérience et de leurs acquis au sein de l’entreprise”, affirme-t-on. Le choix des filières et autres spécialités n’est pas fortuit, d’autant plus qu’il s’inscrit en droite ligne avec la politique de redressement industriel initiée par le gouvernement pour porter l’économie nationale au pinacle. Des formations résidentielles seront de ce fait assurées, a indiqué M. Rahmani, dans ces centres, d’autres au sein des usines pour un meilleur contact entre le stagiaire et l’employé en pleine activité. L’accueil des stagiaires au sein des entreprises sera à ce propos, facilité. Les opérateurs partenaires étrangers seront également sollicités, a-t-il ajouté, pour qu’ils transmettent leur savoir-faire surtout aux formateurs des établissements de la formation professionnelle. “Nous voulons, à travers ce partenariat, orienter les jeunes vers la production et la productivité et créer en lui l’amour du travail. Avec ces formations, nous allons préparer le jeune Algérien à l’entreprenariat”, a affirmé le ministre de l’Industrie. Ce qui va freiner, a-t-il précisé, progressivement les déperditions et les échecs scolaires. Pour sa part, le ministre de la Formation professionnelle a reconnu que son secteur accusait un retard en matière de formation destinée au monde industriel. Les établissements de la formation professionnelle ne satisfont plus la demande formulée par l’économie nationale. Pourtant, les PME/PMI en ont grand besoin. “Nous avons enregistré un déficit en qualification à des niveaux de techniciens, de maîtrise, d’ouvriers qualifiés…”, a remarqué M. Mebarki. Cependant, a-t-il promis, “nous allons rattraper ce retard”. Il a, en outre, annoncé que toutes les spécialités demandées par le ministère de l’Industrie seront introduites dans la nomenclature de 2012. B. K. Formation professionnelle : L’observatoire national installé avant la fin de l’année «Le projet permettra au secteur de mettre en place une politique qui lui permette d’adapter la formation qui offre aux exigences de l’économie nationale en matière de ressources humaines qualifiées.» PUBLIE LE : 02-06-2012 D.R El Moudjahid. «Le projet permettra au secteur de mettre en place une politique qui lui permette d’adapter la formation qui offre aux exigences de l’économie nationale en matière de ressources humaines qualifiées.» «L’observatoire national de la formation professionnelle sera installé avant la fin de l’année», a déclaré jeudi dernier à Alger, le ministre de la Formation et de l’Enseignement professionnels, M. El Hadi Khaldi, lors de l’ouverture des travaux de la conférence nationale des directeurs de wilaya de la formation professionnelle. M. Khaldi a précisé que «le projet permettra au secteur de mettre en place une politique qui lui permet d’adapter la formation qui offre aux exigences de l’économie nationale en matière de ressources humaines qualifiées». Le ministre a souligné que son département attendait la promulgation du nouveau code du travail afin qu’il puisse présenter les deux projets de loi sur l’apprentissage et la formation continue. Répondant à une question concernant la grève de la Fédération nationale des travailleurs de la formation et de l’enseignement professionnels (FNTFEP), M. Khaldi a indiqué que «son département a reçu un préavis et qu’il est prêt à tout dialogue afin d’écouter les doléances du partenaire social». Et d’ajouter: «On a reçu récemment des représentants de cette fédération et on a aussi mis en place une commission de dialogue et de concertation, réunissant des représentants du ministère et de la fédération pour examiner les problèmes soulevés». Le ministre a tenu à préciser que «la fédération a refusé de signer le procès-verbal pour lequel plusieurs rencontres ont été organisées par cette commission.» «Je suis étonné du fait que les membres de la fédération sont absents à cette rencontre d’aujourd’hui», a-t-il souligné. Les revendications portent notamment sur la révision des propositions du statut particulier et le règlement du dossier de la réintégration des travailleurs vacataires dans des postes permanents, a-t-il encore précisé. Il s'agit également du «refus catégorique» de la décision n° 24 du 27 mars 2012 relative aux modalités d'organisation d'un concours et à l'affectation aux postes supérieurs des directeurs des centres de formation professionnelle Pour ce qui est de l’orientation scolaire, M. Khaldi a déclaré que «plusieurs rencontres sont organisées actuellement dans le cadre d’une commission mixte entre les ministères de la Formation professionnelle et de l’Education nationale pour revoir la politique d’orientation scolaire et arrêter des mesures incitatives sur l’enseignement professionnel». Selon le ministre, ces mesures qui sont susceptibles d’inciter davantage de jeunes à opter pour l’enseignement professionnel, seront applicables à partir de juin 2013. Par ailleurs, M. Khaldi a annoncé que «le premier Salon national des diplômés de la formation professionnelle se tiendra le 17 juin à Riad El Feth (Alger). Il a expliqué que «cette première édition qui s’étalera sur trois jours, à savoir les 17, 18 et 19 juin, est un espace dédié aux diplômés de la formation professionnelle, y compris ceux qui étaient en mesure de créer leurs propres microentreprises». Il a outre indiqué que « la 5e édition des Olympiades nationa-les des professions et des métiers se tiendra le 26 juin jusqu’au 4 juillet prochain coïncidant ainsi avec le cinquantième anniversaire de l'indépendance». Le ministre avait déclaré que le nombre d’élèves inscrits dans l'enseignement professionnel pour l'année 2011 ne dépasse pas 1 100 inscrits, ceci partant du constat que le secteur compte cinq établissements d'enseignement professionnel répartis sur le territoire national avec une capacité d'accueil de 10.000 places pédagogiques. Concernant la prochaine rentrée 2012/2013, M. Khaldi a souligné que «le secteur va réceptionner plus de 45 établissements de formation professionnelle, portant le nombre total des établissements à 1.180 à l’échelle nationale. Il a ajouté que le personnel de la formation professionnelle compte 55.000 fonctionnaires dont 20.000 enseignants. Wassila Benhamed À propos du 1er Salon des diplômés de la formation professionnelle Evénement inédit et porteur de perspectives d’insertion socioprofessionnelle certaines, le 1er Salon national des diplômés de la formation devrait se dérouler à partir du 17 juin à Riad El Feth (Alger). Dans une déclaration à la presse, en marge des travaux de la conférence nationale des directeurs de wilaya de la formation professionnelle, M. Khaldi a souligné que le secteur œuvre actuellement à l'organisation de cette manifestation consacrée aux diplômés du secteur, notamment ceux qui ont réussi à créer des microentreprises par le biais des différents dispositifs de l'emploi. Aussi, ce salon constituera, selon le ministre, «un trait d'union» entre les diplômés des établissements de la formation et de l'enseignement professionnels et les nouveaux stagiaires, ainsi que les apprentis et les jeunes en général pour s'enquérir des facilités offertes par l'Etat pour permettre aux demandeurs de formation d'acquérir une expérience et partant, garantir la main-d'œuvre au marché de l'emploi. Applicables à partir de juin 2013, ces mesures sont susceptibles d'inciter davantage de jeunes à opter pour l'enseignement professionnel. Le processus qui s'inscrit dans le cadre des réformes engagées par le secteur s'étale sur deux phases de deux années chacune, la première est sanctionnée par un brevet d'enseignement professionnel de premier degré, «niveau de maîtrise», tandis que la seconde est sanctionnée par un brevet d'enseignement professionnel de deuxième degré, soit «niveau de technicien». W. B. Citer Link to post Share on other sites
sonia85 10 Posted September 4, 2015 Partager Posted September 4, 2015 conseil bonjour, j'ai 30 et j'ai une licence en sciences économiques et j'ai l'intention de suivre une formation à l’institut supérieure de gestion et de planification a bordj el kiffan mais je suis un peu perdu on m'a proposé deux formations 1re (ÉVALUATION ET SUIVI DES GRANDS PROJETS PUBLICS) et l'autre (MANAGEMENT DES RESSOURCES HUMAINES) perso je suis plutôt intéressée par la 1re formation pas chère aussi à 80.000.00 Da et comme diplôme de fin études certificats de maîtrise ma question est à ce que ce genre de formation peu me facilite l’accès à des postes tels que chef de projet etc , trouver un job facilement et a ce que j'ai raison de suivre cette formation maintenant merci de m’éclaire un peut plus merci d'avance Citer Link to post Share on other sites
peggy 236 Posted September 5, 2015 Partager Posted September 5, 2015 Grands projets "publics ", ça signifie travailler dans l'étatique non ?! Citer Link to post Share on other sites
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