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Union de la Méditerrannée Israel


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L'union pour la méditerannée est une trouvaille sioniste qui devait permettre a l'entité sioniste de percevoir des fonds européens pour assurer sa survie économique, en periode de grave crise économique, des fonds pour faire la transition avec les fonds US, qui se réduisent d'année en année avec la dévaluation du dollars US. En refusant cette union et en considerant que la France-Israel considere Boutef comme un allié des Chinois, Russes et anti-américains, vous avez le puzzle completé, lisez l'article pleins de nuances...

Les autrichiens savent finalement que ce sont bien les services de Paris qui controlent le GSPC/AQMI, et que la prise d'otage n'est qu'une maniere de pervetir les pantins d'Alger pour les faire adhérer au projet sioniste de Sarkosy, tous comme les espagnols ont compris que Barcelone etait la cible des israeliens l'hiver dernier quand deux policiers espagnols ont été abattus par la DST au pays basque...

Comme quoi la roue tourne, car de nouvelles enquetes, de nouvelles plaintes arrivent dans les ministeres en France alors que la France d'en bas n'a rien demandée et n'y est pour rien... Je me demande a quoi cela servirait de mentir sur ce blog, Sarkosy tu es une brele qui se croit pour ce qu'il ne sera jamais, tu cherches les ennuis, qui seme la haine récolte la tempete...

 

Avec des Bush ou des Sarkosy, Blair, Olmert et consorts, l'esperance de vie d'yisrael touche a sa fin !

Louanges sont a ALLAH awj, le Maitre, le Seul, l'Unique digne d'adoration, nous vivons les derniers mois d'yisrael...

wa kheer da'wana ana al hamdulillahi Rab al 'Alamin,

 

Après le dernier «assaut» de Bruxelles

 

La Méditerranée de Sarkozy en difficulté

 

par L'un De Nos Correspondants A Paris: S. Raouf, Le Quotidien d'Oran, 24 mai 2008

 

Avec son goût prononcé pour la mise en scène médiatique, Nicolas Sarkozy rêve d'un quinquennat jalonné d'images fortes. Dont une -à laquelle il tient tant- aux allures de triomphe diplomatique.

 

Datée du 13 juillet 2008 à Paris, elle immortalise, pour la postérité de la Méditerranée, un moment lourd de sens et de message: une famille méditerranéenne recomposée et réconciliée. A la manière d'une promotion universitaire fraîchement auréolée, une trentaine de souverains, chefs d'Etat et de gouvernement, des deux rives s'alignent, souriants, sur le perron de l'Elysée. Et sacrifient au rituel de la «photo de famille», peu de temps après avoir paraphé, au Salon des ambassadeurs, l'acte constitutif de l'UPM.

 

Préparé avec soin par le protocole et les communicants de l'Elysée, cet exercice pourrait ne pas avoir la solennité souhaitée. Si la «photo de famille» n'est pas du tout compromise, l'acte fondateur de l'UPM risque, lui, de perdre de sa superbe et de se réduire à un document au rabais. Son concepteur, le candidat Sarkozy, devenu 6e Président de la Ve République, a, d'abord, rêvé d'une Union méditerranéenne (UM). Un cadre ouvert aux seuls riverains de la Méditerranée. Sous la pression de l'Allemagne et de certains pays de l'Europe du Nord, il s'est résigné à une première concession: l'appellation UM s'efface devant celle d'UPM (Union pour la Méditerranée).

 

Plus qu'une simple nuance sémantique, cet intitulé est loin d'être de pure forme. Il signifie que la famille méditerranéenne ne peut se limiter à la taille souhaitée par Sarkozy. Tous les membres de l'UE ont vocation à en faire partie, a insisté la chancelière allemande Angela Merkel, soutenue par nombre de ses pairs européens. Depuis, la Commission européenne, cette citadelle de Bruxelles tant redoutée par l'équipe «méditerranéenne» de Sarkozy, s'est mise de la partie. Plutôt que de parler d'UM ou d'UPM, l'instance exécutive européenne préfère l'usage d'une autre appellation: «le processus de Barcelone: Union pour la Méditerranée». Autant dire une sortie qui sonne le glas du projet cher au chef de l'Etat français ou du moins sa dimension la plus originale: la mise en place d'un cadre méditerranéen, en dehors de Barcelone. Restée en retrait jusque-là, la Commission européenne a donné de la voix, tout au long de la semaine. La commissaire aux Relations extérieures, l'Autrichienne Benitta Ferrero-Waldner, et un des porte-parole de la Commission sont montés au créneau, chargés de véhiculer un message: le chantier méditerranéen ne peut se faire sans Bruxelles. Chargée par le Conseil européen des 13 et 14 mars derniers de soumettre des propositions sur l'UPM, l'instance ne s'est pas fait prier pour recadrer le processus. Dans un rapport de quatorze pages, la Commission présidée par le Portugais José Manuel Barroso s'est livrée à une multitude d'assauts contre le projet de Sarkozy. Au point de le dépouiller de l'essentiel de son esprit initial.

 

 

Comme le suggère, sans ambages, la nouvelle proposition d'appellation, Bruxelles remet le chantier de l'UPM dans le sillage du processus de Barcelone. Sous la pression de Berlin, le dernier Conseil européen avait souligné la nécessité d'inscrire l'initiative française dans le cadre du partenariat Euromed. La Commission est allée bien au-delà, en se gardant de toute précaution diplomatique.

 

 

Dans le registre des relations Euromed, rien ne peut se faire en dehors de Barcelone, tranche-t-elle. «La Déclaration de Barcelone, ses objectifs et les domaines de coopération qu'elle prévoit restent d'actualité (...) le défi que suppose une nouvelle initiative consiste à consolider les relations multilatérales, à accroître le partage des responsabilités dans le processus (ndlr, de Barcelone)».

Nicolas Sarkozy a bâti son projet sur le constat -irréfutable- que l'ambition méditerranéenne est réduite à sa plus simple expression dans la politique étrangère de l'UE. Prenant prétexte de la panne manifeste du processus de Barcelone, le président français propose de passer à une logique institutionnelle différente. A défaut de le dire lui-même, il a confié à son conseiller spécial, Henri Guaino, le soin de lancer des messages. Au rang desquels celui-ci: seule une entité composée des seuls pays riverains est à même de susciter des dynamiques multiformes à la Méditerranée.

 

 

Allemagne en tête, des partenaires européens de Paris ont soupçonné le successeur de Jacques Chirac de faire cavalier seul et de les évincer de la «Mare nostrum» (la Méditerranée du temps des Grecs). Mandatée par les chefs d'Etat et de gouvernement de l'UE d'émettre des propositions, la Commission a donné sa réponse. Inutile de passer à autre chose, clament les rédacteurs du rapport commandé par le Conseil. «Le moment est venu d'insuffler un nouvel élan au processus de Barcelone». Dans ce qui pourrait être le coup de grâce, la Commission de Bruxelles remet en cause le schéma de la coprésidence de l'UPM voulu par la France.

Au plus fort de la querelle franco-allemande sur la configuration du projet français, Français et Allemands s'étaient livrés à une joute de procédures. Sarkozy et ses conseillers ont cédé sur l'élargissement du projet à l'ensemble de l'UE et son cheminement avec Barcelone. En revanche, ils ont obtenu du Conseil européen que la coprésidence de l'entité sera dévolue aux seuls pays riverains de la Méditerranée. La Commission ne semble pas l'entendre de cette oreille. Bruxelles a, s'agissant des mécanismes institutionnels de l'Union pour la Méditerranée, un point de vue aux antipodes de l'Elysée. «La création d'une coprésidence doit, en ce qui concerne l'UE, être compatible avec les dispositions régissant la représentation extérieure de l'Union européenne», telles que précisées par le traité de l'UE et le traité instituant la Communauté européenne. Concrètement, dès l'entrée en vigueur du traité de Lisbonne, le 1er janvier 2009, la présidence de l'UE sera exercée par trois têtes: le président du Conseil européen (président ou chef du gouvernement du pays assurant la présidence semestrielle), le président de la Commission et par le haut représentant de l'UE pour les Affaires étrangères. En vertu de ce format -et au risque d'irriter l'Elysée-, la Commission de Bruxelles concède à Nicolas Sarkozy une coprésidence de courte durée de l'Union pour la Méditerranée. Concepteur de l'idée, le chef de l'Elysée n'en coprésidera les destinées que du 13 juillet -date de sa naissance- au 31 décembre. Le 1er janvier au matin, ça sera -côté Europe- au tour d'un triumvirat (Présidence tchèque, Barroso et Javier Solana).

 

 

La procédure de désignation du coprésident (rive sud) de l'UPM est loin d'être formalisée ou codifiée. Du moins aux yeux de la Commission européenne. «Compte tenu de la complexité de l'environnement régional» -allusion aux pesanteurs du conflit proche-oriental-, «la sélection du coprésident se fera par consensus». Le souverain, chef d'Etat ou de gouvernement chargé de représenter la rive sud -Israël compris- y siégera pour un mandat de deux ans. Visiblement prise de court par la sortie de la Commission de Bruxelles, la France s'est gardée de réagir avec vigueur. Premier à intervenir à chaud, le secrétaire d'Etat aux Affaires européennes, Jean-Pierre Jouyet, s'est montré irrité. «Les 27 sont convenus que cette présidence doit revenir à un pays de l'Union, riverain de la Méditerranée. Je ne peux pas imaginer que la Commission n'a pas pris en compte cette demande».

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L'union pour la méditerannée est une trouvaille sioniste qui devait permettre a l'entité sioniste de percevoir des fonds européens pour assurer sa survie économique, en periode de grave crise économique, des fonds pour faire la transition avec les fonds US, qui se réduisent d'année en année avec la dévaluation du dollars US. En refusant cette union et en considerant que la France-Israel considere Boutef comme un allié des Chinois, Russes et anti-américains, vous avez le puzzle completé, lisez l'article pleins de nuances...

Les autrichiens savent finalement que ce sont bien les services de Paris qui controlent le GSPC/AQMI, et que la prise d'otage n'est qu'une maniere de pervetir les pantins d'Alger pour les faire adhérer au projet sioniste de Sarkosy, tous comme les espagnols ont compris que Barcelone etait la cible des israeliens l'hiver dernier quand deux policiers espagnols ont été abattus par la DST au pays basque...

Comme quoi la roue tourne, car de nouvelles enquetes, de nouvelles plaintes arrivent dans les ministeres en France alors que la France d'en bas n'a rien demandée et n'y est pour rien... Je me demande a quoi cela servirait de mentir sur ce blog, Sarkosy tu es une brele qui se croit pour ce qu'il ne sera jamais, tu cherches les ennuis, qui seme la haine récolte la tempete...

 

Avec des Bush ou des Sarkosy, Blair, Olmert et consorts, l'esperance de vie d'yisrael touche a sa fin !

Louanges sont a ALLAH awj, le Maitre, le Seul, l'Unique digne d'adoration, nous vivons les derniers mois d'yisrael...

wa kheer da'wana ana al hamdulillahi Rab al 'Alamin,

 

Après le dernier «assaut» de Bruxelles

 

La Méditerranée de Sarkozy en difficulté

 

par L'un De Nos Correspondants A Paris: S. Raouf, Le Quotidien d'Oran, 24 mai 2008

 

Avec son goût prononcé pour la mise en scène médiatique, Nicolas Sarkozy rêve d'un quinquennat jalonné d'images fortes. Dont une -à laquelle il tient tant- aux allures de triomphe diplomatique.

 

Datée du 13 juillet 2008 à Paris, elle immortalise, pour la postérité de la Méditerranée, un moment lourd de sens et de message: une famille méditerranéenne recomposée et réconciliée. A la manière d'une promotion universitaire fraîchement auréolée, une trentaine de souverains, chefs d'Etat et de gouvernement, des deux rives s'alignent, souriants, sur le perron de l'Elysée. Et sacrifient au rituel de la «photo de famille», peu de temps après avoir paraphé, au Salon des ambassadeurs, l'acte constitutif de l'UPM.

 

Préparé avec soin par le protocole et les communicants de l'Elysée, cet exercice pourrait ne pas avoir la solennité souhaitée. Si la «photo de famille» n'est pas du tout compromise, l'acte fondateur de l'UPM risque, lui, de perdre de sa superbe et de se réduire à un document au rabais. Son concepteur, le candidat Sarkozy, devenu 6e Président de la Ve République, a, d'abord, rêvé d'une Union méditerranéenne (UM). Un cadre ouvert aux seuls riverains de la Méditerranée. Sous la pression de l'Allemagne et de certains pays de l'Europe du Nord, il s'est résigné à une première concession: l'appellation UM s'efface devant celle d'UPM (Union pour la Méditerranée).

 

Plus qu'une simple nuance sémantique, cet intitulé est loin d'être de pure forme. Il signifie que la famille méditerranéenne ne peut se limiter à la taille souhaitée par Sarkozy. Tous les membres de l'UE ont vocation à en faire partie, a insisté la chancelière allemande Angela Merkel, soutenue par nombre de ses pairs européens. Depuis, la Commission européenne, cette citadelle de Bruxelles tant redoutée par l'équipe «méditerranéenne» de Sarkozy, s'est mise de la partie. Plutôt que de parler d'UM ou d'UPM, l'instance exécutive européenne préfère l'usage d'une autre appellation: «le processus de Barcelone: Union pour la Méditerranée». Autant dire une sortie qui sonne le glas du projet cher au chef de l'Etat français ou du moins sa dimension la plus originale: la mise en place d'un cadre méditerranéen, en dehors de Barcelone. Restée en retrait jusque-là, la Commission européenne a donné de la voix, tout au long de la semaine. La commissaire aux Relations extérieures, l'Autrichienne Benitta Ferrero-Waldner, et un des porte-parole de la Commission sont montés au créneau, chargés de véhiculer un message: le chantier méditerranéen ne peut se faire sans Bruxelles. Chargée par le Conseil européen des 13 et 14 mars derniers de soumettre des propositions sur l'UPM, l'instance ne s'est pas fait prier pour recadrer le processus. Dans un rapport de quatorze pages, la Commission présidée par le Portugais José Manuel Barroso s'est livrée à une multitude d'assauts contre le projet de Sarkozy. Au point de le dépouiller de l'essentiel de son esprit initial.

 

 

Comme le suggère, sans ambages, la nouvelle proposition d'appellation, Bruxelles remet le chantier de l'UPM dans le sillage du processus de Barcelone. Sous la pression de Berlin, le dernier Conseil européen avait souligné la nécessité d'inscrire l'initiative française dans le cadre du partenariat Euromed. La Commission est allée bien au-delà, en se gardant de toute précaution diplomatique.

 

 

Dans le registre des relations Euromed, rien ne peut se faire en dehors de Barcelone, tranche-t-elle. «La Déclaration de Barcelone, ses objectifs et les domaines de coopération qu'elle prévoit restent d'actualité (...) le défi que suppose une nouvelle initiative consiste à consolider les relations multilatérales, à accroître le partage des responsabilités dans le processus (ndlr, de Barcelone)».

Nicolas Sarkozy a bâti son projet sur le constat -irréfutable- que l'ambition méditerranéenne est réduite à sa plus simple expression dans la politique étrangère de l'UE. Prenant prétexte de la panne manifeste du processus de Barcelone, le président français propose de passer à une logique institutionnelle différente. A défaut de le dire lui-même, il a confié à son conseiller spécial, Henri Guaino, le soin de lancer des messages. Au rang desquels celui-ci: seule une entité composée des seuls pays riverains est à même de susciter des dynamiques multiformes à la Méditerranée.

 

 

Allemagne en tête, des partenaires européens de Paris ont soupçonné le successeur de Jacques Chirac de faire cavalier seul et de les évincer de la «Mare nostrum» (la Méditerranée du temps des Grecs). Mandatée par les chefs d'Etat et de gouvernement de l'UE d'émettre des propositions, la Commission a donné sa réponse. Inutile de passer à autre chose, clament les rédacteurs du rapport commandé par le Conseil. «Le moment est venu d'insuffler un nouvel élan au processus de Barcelone». Dans ce qui pourrait être le coup de grâce, la Commission de Bruxelles remet en cause le schéma de la coprésidence de l'UPM voulu par la France.

Au plus fort de la querelle franco-allemande sur la configuration du projet français, Français et Allemands s'étaient livrés à une joute de procédures. Sarkozy et ses conseillers ont cédé sur l'élargissement du projet à l'ensemble de l'UE et son cheminement avec Barcelone. En revanche, ils ont obtenu du Conseil européen que la coprésidence de l'entité sera dévolue aux seuls pays riverains de la Méditerranée. La Commission ne semble pas l'entendre de cette oreille. Bruxelles a, s'agissant des mécanismes institutionnels de l'Union pour la Méditerranée, un point de vue aux antipodes de l'Elysée. «La création d'une coprésidence doit, en ce qui concerne l'UE, être compatible avec les dispositions régissant la représentation extérieure de l'Union européenne», telles que précisées par le traité de l'UE et le traité instituant la Communauté européenne. Concrètement, dès l'entrée en vigueur du traité de Lisbonne, le 1er janvier 2009, la présidence de l'UE sera exercée par trois têtes: le président du Conseil européen (président ou chef du gouvernement du pays assurant la présidence semestrielle), le président de la Commission et par le haut représentant de l'UE pour les Affaires étrangères. En vertu de ce format -et au risque d'irriter l'Elysée-, la Commission de Bruxelles concède à Nicolas Sarkozy une coprésidence de courte durée de l'Union pour la Méditerranée. Concepteur de l'idée, le chef de l'Elysée n'en coprésidera les destinées que du 13 juillet -date de sa naissance- au 31 décembre. Le 1er janvier au matin, ça sera -côté Europe- au tour d'un triumvirat (Présidence tchèque, Barroso et Javier Solana).

 

 

La procédure de désignation du coprésident (rive sud) de l'UPM est loin d'être formalisée ou codifiée. Du moins aux yeux de la Commission européenne. «Compte tenu de la complexité de l'environnement régional» -allusion aux pesanteurs du conflit proche-oriental-, «la sélection du coprésident se fera par consensus». Le souverain, chef d'Etat ou de gouvernement chargé de représenter la rive sud -Israël compris- y siégera pour un mandat de deux ans. Visiblement prise de court par la sortie de la Commission de Bruxelles, la France s'est gardée de réagir avec vigueur. Premier à intervenir à chaud, le secrétaire d'Etat aux Affaires européennes, Jean-Pierre Jouyet, s'est montré irrité. «Les 27 sont convenus que cette présidence doit revenir à un pays de l'Union, riverain de la Méditerranée. Je ne peux pas imaginer que la Commission n'a pas pris en compte cette demande».

 

Avec moon, c'est lui qui dit Bouuuuu:mdr:

Non sérieux arrête la déconne là ça devient ridicule mon Ami.

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Moon a parfaitement raison de suspecter certains pays d'etre derriere des campagnes anti-algeriennes.

 

Y a pas de deconne qui tienne,tout est possible dans la vie,

 

je vais meme plus loin,pour dire que cette histoire de femme convertie au christianisme est peut-etre une affaire montee par les service secret francais

 

Dans le but justement pour faire pression sur l'Algerie par rapport aux divers refus de l'Algerie de participer aux :

 

-Conferences de l'UPM,

 

-De la francophonie,

 

-Du gel de l'UMA.

 

-Du refus de l'Algerie de recevoir Enrico Macias.

 

 

Donc,rien n'est impossible avec ces gens la !!

 

-----------------------------------------------

Avec moon, c'est lui qui dit Bouuuuu:mdr:

Non sérieux arrête la déconne là ça devient ridicule mon Ami.

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Moon a parfaitement raison de suspecter certains pays d'etre derriere des campagnes anti-algeriennes.

 

Y a pas de deconne qui tienne,tout est possible dans la vie,

 

je vais meme plus loin,pour dire que cette histoire de femme convertie au christianisme est peut-etre une affaire montee par les service secret francais

 

Dans le but justement pour faire pression sur l'Algerie par rapport aux divers refus de l'Algerie de participer aux :

 

-Conferences de l'UPM,

 

-De la francophonie,

 

-Du gel de l'UMA.

 

-Du refus de l'Algerie de recevoir Enrico Macias.

 

 

Donc,rien n'est impossible avec ces gens la !!

 

peut-être que les terroristes qui sont réfugiés dans les montagnes et qui perpétuent des assassinats sont aussi dirigés par des français. Les moines qui ont été assassinés sauvagement sont peut-être l'oeuvre des français aussi ! Matoub aussi a été assassiné par les services secrets français, ...........

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Moon a parfaitement raison de suspecter certains pays d'etre derriere des campagnes anti-algeriennes.

 

Y a pas de deconne qui tienne,tout est possible dans la vie,

 

je vais meme plus loin,pour dire que cette histoire de femme convertie au christianisme est peut-etre une affaire montee par les service secret francais

 

Dans le but justement pour faire pression sur l'Algerie par rapport aux divers refus de l'Algerie de participer aux :

 

-Conferences de l'UPM,

 

-De la francophonie,

 

-Du gel de l'UMA.

 

-Du refus de l'Algerie de recevoir Enrico Macias.

 

 

Donc,rien n'est impossible avec ces gens la !!

 

peut-être que les terroristes qui sont réfugiés dans les montagnes et qui perpétuent des assassinats sont aussi dirigés par des français. Les moines qui ont été assassinés sauvagement sont peut-être l'oeuvre des français aussi ! Matoub aussi a été assassiné par les services secrets français, ...........

 

Peut être même que les français nous ont donné notre indépendance en 62 juste pour déconner et qu'ils cachent en fait un plan encore plus foireux.

Peut être qu'on vit aussi dans une matrice manipulée par les sionisto-américano-franco-chrétiens,

:mdr::mdr:

Non mais ça déconne grave

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Peut être même que les français nous ont donné notre indépendance en 62 juste pour déconner et qu'ils cachent en fait un plan encore plus foireux.

Peut être qu'on vit aussi dans une matrice manipulée par les sionisto-américano-franco-chrétiens,

:mdr::mdr:

Non mais ça déconne grave

 

L'éternel complot et l'inusable "main de l'étranger" ! C'est plus de la déconne , c'est le délire les yeux ouverts ! :04:

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L'éternel complot et l'inusable "main de l'étranger" ! C'est plus de la déconne , c'est le délire les yeux ouverts ! :04:

 

Faut pas se cacher

... derriere son doigt

... et les gens du pouvoir

... et leurs sympathisants

... devraient oublier cette legende

... "main de l'etranger"

... mais il faut savoir aussi

... que tout est possible

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Faut pas se cacher

... derriere son doigt

... et les gens du pouvoir

... et leurs sympathisants

... devraient oublier cette legende

... "main de l'etranger"

... mais il faut savoir aussi

... que tout est possible

 

 

Il y a des gens qui sont payés pour s'occuper de ce "tout est possible" , et même tres bien payés ! ;)

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Il y a des gens qui sont payés pour s'occuper de ce "tout est possible" , et même tres bien payés ! ;)

 

Ce n'est pas ca

... qui va faire que tout devienne impossible

... apres tout on a bien vu Bitat finir

... la guerre dans un chateau et Ben Mhidi

... se faire tuer

... Yacef Saadi echapper a la guillotine

... et boumediene devenir president a vie

... alors ne me dis pas que tout ca

... ne corrobore pas mon "tout est possible"

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Ce n'est pas ca

... qui va faire que tout devienne impossible

... apres tout on a bien vu Bitat finir

... la guerre dans un chateau et Ben Mhidi

... se faire tuer

... Yacef Saadi echapper a la guillotine

... et boumediene devenir president a vie

... alors ne me dis pas que tout ca

... ne corrobore pas mon "tout est possible"

 

Tu pourras rajouter , la démission de Chadli , l'assassinat de Boudiaf ..... de ce coté nous sommes d'accord et le pire est à venir .

 

Il faut juste bien identifier notre merde et éviter de l'attribuer à d'autres .

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Main etrangere,Alqaida ,,etc etc,,j'ai l'impression que tout ces titres deviennent un bouche trou standard qui legitime tout et n'importe quoi,,(ignorance,,guerre,,lacheté,,etc)

 

S'en est trop

 

Bah si ça marche pourquoi les politiques changeraient de fusil d'épaule??

Le peuple gobe tout ce qu'on lui dit, pourvu que Israël, France, USA et Maroc soient impliqués.

Quand ce peuple aura atteint un niveau supérieur de clairvoyance de lucidité et de conscience alors le discours changera.;)

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EXTE D'APPEL

>

> Pour une Union méditerranéenne des luttes pour la paix, les libertés et la

> justice sociale !

>

> Loin d'être novatrice, l'Union pour la Méditerranée se place en réalité

> dans la droite ligne du processus de Barcelone lancé en novembre 1995 par

> l'UE, et est présentée par Bernard Kouchner, ministre français des

> Affaires étrangères, comme « un'coup de jeune' du Processus de Barcelone

> ». Tous les pays de l'UE y sont invités ainsi que 12 Etats du Sud et de

> l'Est de la Méditerranée (Maroc, Algérie, Tunisie, Egypte, Israël,

> Autorité palestinienne, Jordanie, Liban, Syrie et Turquie, l'Albanie et

> Mauritanie).

> Inquiétant lorsque l'on connaît le contenu de ce processus et ses

> conséquences. Car si la « coopération » euro méditerranéenne a bien des

> finalités, elles sont d'une banalité peu surprenante.

> Economiques tout d'abord, avec la construction d'un espace de

> libre-échange et de libéralisation du marché d'ici 2010. Celle-ci se

> concrétise par des privatisations et dans la suite logique par la prise en

> main des entreprises par des groupes capitalistes du Nord . Une politique

> qui a bien entendu des conséquences sociales dramatiques : licenciements,

> augmentations des inégalités avec le développement de bourgeoisies locales

> quand les peuples restent dans la misère, difficultés d'accès aux soins,

> hausse des prix, etc. Le ministère Français des affaires étrangères le dit

> très clairement sur son site Internet, au sujet des relations entre la

> France et le Maghreb : « Les pays du Maghreb (Libye, Tunisie, Algérie,

> Maroc, Mauritanie) [constituent] un marché et un partenaire économique :

> nous sommes le premier fournisseur de la Tunisie, de l'Algérie et du

> Maroc. L'ensemble du Maghreb ouvre de bonnes perspectives d'avenir :

> réformes, privatisations, grands chantiers et nouveaux marchés lié à la

> modernisation ».

> Les enjeux sont aussi « sécuritaires », à travers notamment les prétendues

> luttes contre le terrorisme et la corruption. Inefficiente pour la seconde

> car trop d'intérêts sont en jeux, et utilisés comme argument pour jeter

> des militants, notamment de jeunes, en prison. En effet, les atteintes aux

> droits humains, la torture, la répression des opposants, le musellement

> des libertés d'associations et de presse, la mise en place de législations

> liberticides d'exception sont le lot quotidien des populations du sud de

> la Méditerranée. Et bien sûr, derrière le mot sécuritaire se profile le

> sujet de l'immigration. Parce que cet espace méditerranéen est aussi celui

> d'une maîtrise accrue, violente et meurtrière des migrations : moyens de

> contrôle et répression (notamment maritimes) renforcés, sous-traitance de

> la gestion des flux migratoires aux pays de premières frontières

> extérieures (Maroc, Algérie, Libye et Mauritanie notamment) pour empêcher

> l'arrivée sur le territoire européen des populations africaines. La libre

> circulation, c'est bon pour les capitaux et les patrons, pas pour les

> êtres humains, notamment les plus pauvres. Citons encore une fois le

> ministère français des Affaires étrangères : « Nous partageons avec ces

> pays une proximité culturelle et des enjeux communs : liens avec la France

> et avec l'UE, défi de la mondialisation, pression islamiste, pression

> migratoire (comme pays d'émigration et, de plus en plus, comme pays de

> transit), terrorisme (notamment comme cibles). »

> Et toutes ses formes de répression sont également utilisées contre les

> mouvements sociaux : droit syndical bafoué, licenciement et même

> arrestation des militants (détenus du 1er Mai au Maroc, par exemple), bien

> loin du prétendu respect et renforcement des droits de l'homme que

> l'espace euro méditerranéen est censé développer et que le processus de

> Barcelone estime mettre en avant.

> Enfin, cette nouvelle Union serait censée développer la paix. Mais sur

> quels fondements ? Sur celui du statu quo, comme cela semble être le cas

> jusqu'à présent, ou sur celui de la fin des colonialismes et des

> dominations de type impérialiste du Nord sur le Sud, d'Israël sur la

> Palestine, la Syrie et le Liban ; mais aussi entre pays du Sud, bref sur

> le respect des droits des peuples à disposer d'eux-mêmes ?

> Parce que cette « nouvelle union » est un outil au service des puissants

> et de leurs intérêts nous appelons à la construction d'une union

> méditerranéenne des peuples et des luttes pour :

> - le respect des droits humains et le développement des libertés

> fondamentales, notamment en terme de droit syndical et de libertés de

> presse, d'expression et d'organisation ;

> - la libération de tous les détenus d'opinion, l'arrêt de la torture la

> fin des régimes d'exception et de terreur et le droit de tout un chacun de

> pouvoir se défendre juridiquement ;

> - l'arrêt des politiques économiques de privatisation des services publics

> et d'attaque des droits sociaux des travailleurs ;

> - la libre circulation des personnes, la fermeture des lieux d'enfermement

> et l'annulation de tous les accords de lutte contre les migrations ;

> - la décolonisation effective, politique, sociale, culturelle et

> économique, du Nord envers le Sud mais également au sein du Sud lui-même ;

> - le respect de toutes les cultures.

>

Pour l'instant, sont engagées dans le 'collectif unitaire pour une autre

méditerranée' (nom provisoire) :

- ATMF : Association des Travailleurs Maghrébins de France

- CNT : Confédération nationale du travail

- FTCR : Fédération des Tunisiens pour une Citoyenneté des deux Rive

- CRLDHT : Comité pour le Respect des Libertés et des Droits de l' Homme

en Tunisie

- CCIPPP : Campagne Civile Internationale pour la Protection du Peuple

Palestinien

- Voix démocratique France

- Génération Palestine (sous réserve de confirmation)

- Association des Palestiniens de France (sous réservede confirmation)

- Gisti (sous réserve de confirmation ?)

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