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J'ai tant de choses à vous dire

Mais le désespoir sèche mon stylo

Le silence voile mes dires

Et le mal avale mes mots

 

La nuit se rebelle

Son noir absorbe mon esprit

Le jour n'est pas moins cruel

De moi même, il me vole aussi

 

Ils disent que j'ai trop de rêves insensés

Trop d'espérances ânesses

Trop de larmes versées

là où nul n'en verse

 

Ils se mettent alors sur mon chemin

puis devant mes échecs ils rient

Un de leurs rires inhumains

comme pour crier fort leur mépris

 

Ou pour me décourager

De peur que je ne réalise mes vœux

Ceux dont ils rêvent en secret

Loin des yeux loin des cieux

 

Leur lâcheté les aveugle

les malmène d'ailleurs souvent

Au fond, leurs envies beuglent

Ils n'osent pas le dire non

 

Solide, insensible

Un cœur qu'ils appellent l’éveille

Froid, inaccessible

Où tout est calculé

 

C'était le remède

Qu'ils m'avaient préparé

L'outil à l'aide

De quoi ils allaient me tuer

 

Subtil et courageuse

A la fois j'ai été

A l'intrigue dangereuse

J'ai pu échappé

 

Fière de moi je suis

Malgré mes déceptions je ne cède pas

Hier comme aujourd'hui

Je reste fidèle à mon moi

 

En triste chute libre

Comme dans une joie infinie

En déséquilibre

Comme en parfaite harmonie

 

Jamais je ne changerai

Je serai la même

Demain , présente je serai

A la récolte de ce que je sème ..

 

Loin de vous, je danse

Toute la nuit

sur les pas de ma souffrance

Sur un rythme que je fuis

 

Sur les maux de la vie

Sous un temps pluvieux

Sous une froide pluie

Face à un destin périlleux

 

Mais devant votre image

Celle que je me dessine

Dans chaque nuage

Dans chaque beauté divine

 

Celle qui se trace

Chaque fois que vous me soutenez

Aussi qui s'efface

Un peu plus chaque fois que vous me lâchez

 

Je ne peux qu'être forte et combative

Face au mal qu'on me fait

Face à des douleurs répétitives

Et des peurs qui ne me quittent jamais

 

Sous mes yeux, je vois le même rêve passer

Scène après scène, il passe

Quand ma main vous tenez

Même éveillée je rêvasse

 

Mais dès que vous êtes parti

J'entends leurs rires venus de nulle part

Du coup je me dis

Qu'ils avaient raison quelque part ..

 

Puisque vous me lâchez ici

de moi même j'ai pitié

Vous aurais-je mal choisi

Aurais-je mal rêvé

 

Mes lettres me font aussi un gros bide

Mes mots s'en vont sans rien dire

Mes pages sont si vides

Pourtant je ne fais qu'écrire

 

Ma plume est complice on dirait

De la pointe jusqu'à la mèche

Elle préfère rester

Silencieuse et drôlement sèche

 

Cet instant magique qui me portait

Cette belle magie instantanée

Aujourd'hui je ne l'ai pas croisée

Je ne l'ai pas vue ni touchée

 

Tout le monde m'en veut qu'ai je fait

Ils reviendront j'ose espérer

Seule, je ne saurai résister

J'attends alors leur retour, leur arrivée

 

Voilà donc deux jours passés

Un an, deux ans, siècle, éternité

Seule dans mon coin je suis restée

ciel, combien de temps encore je survivrai

 

Quand vous n'êtes pas là

Quand vous partez loin

Tout le monde est contre moi

Même mon cœur ne dit plus rien

 

Ou ce serait moi qui désespère

Pour un rien

pour une folie passagère

Pour une petite fin

 

Tant pis je périrai moi aussi

Que vaut ce monde sans vous

Sans père, sans vie

sans joies ni rêves fous ..

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J'ai tant de choses à vous dire

Mais le désespoir sèche mon stylo

Le silence voile mes dires

Et le mal avale mes mots

 

La nuit se rebelle

Son noir absorbe mon esprit

Le jour n'est pas moins cruel

De moi même, il me vole aussi

 

Ils disent que j'ai trop de rêves insensés

Trop d'espérances ânesses

Trop de larmes versées

là où nul n'en verse

 

Ils se mettent alors sur mon chemin

puis devant mes échecs ils rient

Un de leurs rires inhumains

comme pour crier fort leur mépris

 

Ou pour me décourager

De peur que je ne réalise mes vœux

Ceux dont ils rêvent en secret

Loin des yeux loin des cieux

 

Leur lâcheté les aveugle

les malmène d'ailleurs souvent

Au fond, leurs envies beuglent

Ils n'osent pas le dire non

 

Solide, insensible

Un cœur qu'ils appellent l’éveille

Froid, inaccessible

Où tout est calculé

 

C'était le remède

Qu'ils m'avaient préparé

L'outil à l'aide

De quoi ils allaient me tuer

 

Subtil et courageuse

A la fois j'ai été

A l'intrigue dangereuse

J'ai pu échappé

 

Fière de moi je suis

Malgré mes déceptions je ne cède pas

Hier comme aujourd'hui

Je reste fidèle à mon moi

 

En triste chute libre

Comme dans une joie infinie

En déséquilibre

Comme en parfaite harmonie

 

Jamais je ne changerai

Je serai la même

Demain , présente je serai

A la récolte de ce que je sème ..

 

Loin de vous, je danse

Toute la nuit

sur les pas de ma souffrance

Sur un rythme que je fuis

 

Sur les maux de la vie

Sous un temps pluvieux

Sous une froide pluie

Face à un destin périlleux

 

Mais devant votre image

Celle que je me dessine

Dans chaque nuage

Dans chaque beauté divine

 

Celle qui se trace

Chaque fois que vous me soutenez

Aussi qui s'efface

Un peu plus chaque fois que vous me lâchez

 

Je ne peux qu'être forte et combative

Face au mal qu'on me fait

Face à des douleurs répétitives

Et des peurs qui ne me quittent jamais

 

Sous mes yeux, je vois le même rêve passer

Scène après scène, il passe

Quand ma main vous tenez

Même éveillée je rêvasse

 

Mais dès que vous êtes parti

J'entends leurs rires venus de nulle part

Du coup je me dis

Qu'ils avaient raison quelque part ..

 

Puisque vous me lâchez ici

de moi même j'ai pitié

Vous aurais-je mal choisi

Aurais-je mal rêvé

 

Mes lettres me font aussi un gros bide

Mes mots s'en vont sans rien dire

Mes pages sont si vides

Pourtant je ne fais qu'écrire

 

Ma plume est complice on dirait

De la pointe jusqu'à la mèche

Elle préfère rester

Silencieuse et drôlement sèche

 

Cet instant magique qui me portait

Cette belle magie instantanée

Aujourd'hui je ne l'ai pas croisée

Je ne l'ai pas vue ni touchée

 

Tout le monde m'en veut qu'ai je fait

Ils reviendront j'ose espérer

Seule, je ne saurai résister

J'attends alors leur retour, leur arrivée

 

Voilà donc deux jours passés

Un an, deux ans, siècle, éternité

Seule dans mon coin je suis restée

ciel, combien de temps encore je survivrai

 

Quand vous n'êtes pas là

Quand vous partez loin

Tout le monde est contre moi

Même mon cœur ne dit plus rien

 

Ou ce serait moi qui désespère

Pour un rien

pour une folie passagère

Pour une petite fin

 

Tant pis je périrai moi aussi

Que vaut ce monde sans vous

Sans père, sans vie

sans joies ni rêves fous ..

à cœur jeune, muse vaine :mad:

non je plaisante :D....quoi que ...................non non je plaisante :D

le potentiel est là mais demeure incertain

la longueur du texte exclut la proposition poétique, tu contes plus que tu ne poétise.

:confused:

les images sont projetées mais sans LA nuance...

:confused:

 

 

ps : cela n'engage que le néophyte que je suis :(

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à cœur jeune, muse vaine :mad:

non je plaisante :D....quoi que ...................non non je plaisante :D

le potentiel est là mais demeure incertain

la longueur du texte exclut la proposition poétique, tu comtes plus que tu ne poétise.

:confused:

les images sont projetées mais sans LA nuance...

:confused:

 

 

ps : cela n'engage que le néophyte que je suis :(

 

Silbi n'est pas aussi néophyte qu'il veut bien nous le faire croire.

Sa fibre poétique nous livre le vrai.

Je le rejoins sur un fait qui semble être coutumier chez toi Chaza: le péché de verbiage !

Encore une fois c'est trop long et manque singulièrement de ponctuation: interjections, virgules, point d'interrogations et tout simplement le point de fin de phrase.

Toutes ponctuations présentes dans ton phrasé!

Relis ton texte à haute voix et tu constateras ces manques de ponctuations dans l'écrit.

Sur le fond, je pourrais te répondre Chaza en reprenant ton texte ou du moins certaines parties si toutefois tu le permets.

Je suis loin d'être un expert de l'art poétique ! Simple "meddah" et troubadour qui vit la poésie de l'intérieur.

Et j'aimerais bien voir d'autres avis sur "Les Rêves Fous".

Justement : Sont ce vraiment des rêves ?

Ne seraient ils qu'un horrible cauchemar ?

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Silbi n'est pas aussi néophyte qu'il veut bien nous le faire croire.

Sa fibre poétique nous livre le vrai.

Je le rejoins sur un fait qui semble être coutumier chez toi Chaza: le péché de verbiage !

Encore une fois c'est trop long et manque singulièrement de ponctuation: interjections, virgules, point d'interrogations et tout simplement le point de fin de phrase.

Toutes ponctuations présentes dans ton phrasé!

Relis ton texte à haute voix et tu constateras ces manques de ponctuations dans l'écrit.

Sur le fond, je pourrais te répondre Chaza en reprenant ton texte ou du moins certaines parties si toutefois tu le permets.

Je suis loin d'être un expert de l'art poétique ! Simple "meddah" et troubadour qui vit la poésie de l'intérieur.

Et j'aimerais bien voir d'autres avis sur "Les Rêves Fous".

Justement : Sont ce vraiment des rêves ?

Ne seraient ils qu'un horrible cauchemar ?

 

 

Merciiiii Héraclès, je suis très contente je le jure !! :04:

 

Cela me bien utile , je vous REMERCIE de tout cœur !!

 

:D:D:D:D:D:D:D:D

 

Et bien pour les rêves , ce sont des rêves oui , pas de cauchemars soyez tranquille lol

 

En fait, ils sont tellement fous que je n'ose en parler presque à personne ..

Le peu de gens à qui je me suis confiée me prennent pour une folle .. Je leur ai consacré un bon coin dans mon texte en tout cas :cool:

Vous ferez de même une fois au courant de ce qui me tient le plus à coeur dans cette vie ..

 

Bref , merci ! ^^

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Silbi n'est pas aussi néophyte qu'il veut bien nous le faire croire.

Sa fibre poétique nous livre le vrai.

Je le rejoins sur un fait qui semble être coutumier chez toi Chaza: le péché de verbiage !

Encore une fois c'est trop long et manque singulièrement de ponctuation: interjections, virgules, point d'interrogations et tout simplement le point de fin de phrase.

Toutes ponctuations présentes dans ton phrasé!

Relis ton texte à haute voix et tu constateras ces manques de ponctuations dans l'écrit.

Sur le fond, je pourrais te répondre Chaza en reprenant ton texte ou du moins certaines parties si toutefois tu le permets.

Je suis loin d'être un expert de l'art poétique ! Simple "meddah" et troubadour qui vit la poésie de l'intérieur.

Et j'aimerais bien voir d'autres avis sur "Les Rêves Fous".

Justement : Sont ce vraiment des rêves ?

Ne seraient ils qu'un horrible cauchemar ?

 

 

Et en fait, Héraclès et Silbi, pour ce qui est longueur du texte, ceci n'est pas un poème en fait, loin de là .. C'est un texte de Slam ..

C'est des paroles qui contiennent une rime je dirai , qui servent à se libérer de son énergie négative .. Je ne sais comment vous l'expliquer, mais un poème aurait son coté ''philosophique'' mon texte est juste expressif .. ou peut être narratif parfois .. rêveur en tout cas et sincère surtout ..

 

Voilà, sinon, j’essaierai de résumer mes vers :D

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chaga.

l'éclat de ton innocence est en soi une poésie................

je laisse le soin à Héraclès d’enchaîner avec sa finesse.

 

Je n'ai besoin de finesse Silbi, je cherche les lourdes remarques constructives :D

:p:p

Silbi==>:wub: :04:

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Et en fait, Héraclès et Silbi, pour ce qui est longueur du texte, ceci n'est pas un poème en fait, loin de là .. C'est un texte de Slam ..

C'est des paroles qui contiennent une rime je dirai , qui servent à se libérer de son énergie négative .. Je ne sais comment vous l'expliquer, mais un poème aurait son coté ''philosophique'' mon texte est juste expressif .. ou peut être narratif parfois .. rêveur en tout cas et sincère surtout ..

 

Voilà, sinon, j’essaierai de résumer mes vers :D

 

Je ne doute pas de la sincérité de tes sentiments.

On ne te demande pas de résumer" surtout pas mais simplement d'être un peu moins prolixe.

Écoute un peu Boileau (XVII ième Siècle) dans son Art Poétique :

"Ce que l'on conçoit bien,s’énonce clairement

Et mots pour le dire arrivent aisément."

 

Donc, de la concision en évitant de "taper et retaper du marteau sur un clou déjà amplement enfoncé au risque de briser la planche".

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