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Si je pouvais tout simplement

Ouvrir ma porte à tous les vents

Qu’ils soient pluvieux ou souriants

Les maux s’en iraient certainement.

 

Si je pouvais offrir de bon cœur

À toutes âmes n’ayant plus de valeur

Un zeste, une pointe de bonheur

Les maux s’en iraient pour ailleurs

 

Si je pouvais tendre les bras

Et les serrer tous contre moi

Pour qu’aucun ne prenne froid

Les maux s’en iraient, je le crois

 

Si je pouvais enfin crier

Contre les violences infligées

Pour que tous les êtres soient aimés

Les maux s’en iraient désarmés

 

Si je pouvais chanter l’amour

Je le ferais jusqu’au lever du jour

Ainsi chacun le vivrait à son tour

Et les maux s’en iraient pour toujours

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lhero1962,j'ai aimé

merci du partage

 

tu sais;

ton poème je l'ai trouvé plus beau que celui d' Eluar que tu as poster.

 

vas savoir pourquoi,non;

c'est que le tiens,déborde de sincérité dans ta manière d'aimer

voila

 

 

merci, encore une fois

bizou

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  • 3 weeks later...

L'amour réunit ceux qui s'aiment

 

Allongée là,dans ta souffrance et ta chair,

je te regarde, je te contemple, et te guide,

 

Sans un mot, sans un geste, je prie, je m'approche au plus près, au plus près de ton âme, de ton être, la nuit venu en accord avec la lune,

 

Je supplie à genou dans le jardin de mon père aux odeurs d'amertume, aux gouts amer des agrumes,

 

Je pleure de douleur et de peur,

Je pleure en silence au creux de ton coeur,

 

ta peur, tes yeux remplis de larmes me font voir ta douleur, ta peine et ton chagrin

 

Je parle à ton âme, j'ai peur mais je me laisse guider, entourée de tous les anges juste pour t'aider dans ce départ d'un nouveau jour,

 

Tu n'arrives à lâcher ce qui te tiens prisonnière de ta chair, ce corps sans vie qui te torture sous tes couvertures, ton coeur, qui te parle de toi tu ne l'entends pas, tu ne le vois pas ou plus

 

Tanr de peine m'envahie, j'ai mal dans ma chair,

J essaye par mon regard de te dire mon immense amour

 

Nos âmes en communion, je laisse faire la nature qui me guide et me dit,

toutes les énergies d'amour viennent et vont au delà du temps ,

CIrculent aux quatres vents comme une valse à trois temps,

je prends ta main dans la mienne,

tu es lovée au creux de me bras

Tendrement je t entoure de tout mon amour

 

Mes yeux ne font que te regarder dans la lueur de ton coeur,

Je veux te dire que c'est beau,

N aie pas peur,

Tour ira bien

 

Ma gorge est trop serré pour te dire, je n'insiste pas ,

PLus besoin de mots

Etre en harmonie avec l'âme et les anges,

 

Cancer qui serre cette être de chair ne t'embêtera plus, il reste inerte dans ce corps sans vie,

 

Mes larmes ne peuvent te sauver, maismon âme t'aide à t'éléver au plus haut,

 

Fini le combat tu peux baisser les bras, tu peuxenfin te reposer, dans un bain d'amour entourée des plus beaux anges,

 

Le voyage à été périlleux mais combien bénéfique, pour toi qui m'a tant donné,

 

je t'aime...

 

Enfin tu es libre, vole vole, nous savons que l'amour se retrouve toujours aux quatres coins de l'univers.

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Guest D. ESSERHANE
Les feuilles mortes

 

texte de Prévert

chanté par Yves Montand

 

merci de me le rappeler

 

jolie poème de Jacques Prevert

 

 

Oh, je voudrais tant que tu te souviennes,

Des jours heureux quand nous étions amis,

Dans ce temps là, la vie était plus belle,

Et le soleil plus brûlant qu'aujourd'hui.

Les feuilles mortes se ramassent à la pelle,

Tu vois je n'ai pas oublié.

 

Les feuilles mortes se ramassent à la pelle,

Les souvenirs et les regrets aussi,

Et le vent du nord les emporte,

Dans la nuit froide de l'oubli.

 

Tu vois, je n'ai pas oublié,

La chanson que tu me chantais...

C'est une chanson, qui nous ressemble,

Toi qui m'aimais, moi qui t'aimais.

Nous vivions, tous les deux ensemble,

Toi qui m'aimais, moi qui t'aimais.

 

Et la vie sépare ceux qui s'aiment,

Tout doucement, sans faire de bruit.

Et la mer efface sur le sable,

Les pas des amants désunis.

Nous vivions, tous les deux ensemble,

Toi qui m'aimais, moi qui t'aimais.

 

Et la vie sépare ceux qui s'aiment,

Tout doucement, sans faire de bruit.

Et la mer efface sur le sable

Les pas des amants désunis...

 

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Si je pouvais tout simplement

Ouvrir ma porte à tous les vents

Qu’ils soient pluvieux ou souriants

Les maux s’en iraient certainement.

 

Si je pouvais offrir de bon cœur

À toutes âmes n’ayant plus de valeur

Un zeste, une pointe de bonheur

Les maux s’en iraient pour ailleurs

 

Si je pouvais tendre les bras

Et les serrer tous contre moi

Pour qu’aucun ne prenne froid

Les maux s’en iraient, je le crois

 

Si je pouvais enfin crier

Contre les violences infligées

Pour que tous les êtres soient aimés

Les maux s’en iraient désarmés

 

Si je pouvais chanter l’amour

Je le ferais jusqu’au lever du jour

Ainsi chacun le vivrait à son tour

Et les maux s’en iraient pour toujours

 

Poeme Si je pouvais...

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