Jump to content

Les officier supérieurs DRS: déclaration de patrimoine.


Recommended Posts

Bonne nouvelle. Il nous faut renforcer l'Etat de droit et construie des institutions au service du mouwateen Algérie.

 

Les officiers supérieurs du DRS appelés à faire leur déclaration de patrimoine

Article | 14. avril 2013 Algérie-Patriotique.

 

Cette décision touche même les généraux et généraux-majors. New Press

 

 

Les militaires relevant du Département du renseignement et de la sécurité (DRS) sont appelés à faire, dans les plus brefs délais, leur déclaration de patrimoine, a-t-on appris d’une source sécuritaire sûre. Sont concernés par cette décision prise il y a quelques jours par le premier responsable de cette sensible institution militaire, tous les sous-officiers, officiers et officiers supérieurs. Notre source assure que des convocations ont bel et bien été adressées à tout le monde, y compris aux généraux et généraux-majors. Cette mesure intervient dans un contexte marqué par une série de scandales de corruption liés aux marchés publics et à la Sonatrach. Des enquêtes ont été ouvertes par la justice. Le DRS, qui en a les moyens, se trouve parmi les institutions désignées pour mener certaines enquêtes difficiles et sensibles. Ce département constitue ainsi le noyau dur, à côté de la justice, dans la lutte contre la corruption, en ce sens qu’il est chargé d’enquêter et de traquer les corrupteurs et corrompus à tous les niveaux, même au plus haut sommet du pouvoir. Selon notre source, il y a toute une direction qui travaille sur les dossiers de la grande corruption. Et les enquêteurs ont carte blanche pour mener à bien leur travail. Les responsables de cette institution semblent vouloir ainsi s’assurer, dans ce sillage, que ceux qui travaillent sous leur coupe ne sont pas mêlés à des affaires douteuses. Autrement dit, avant de se lancer dans de grandes enquêtes sur la corruption, le DRS veut ainsi donner un coup de balai devant sa porte.

Sonia Baker

 

Bachir Tartag, le général du DRS aux commandes de l’opérration : MAINS PROPRES

 

Après le combat contre le terrorisme, dans les années 1990, place à la lutte contre la corruption qui gangrène le pays. Depuis quelques semaines, les enquêtes sur la corruption dans les grandes entreprises publiques et les institutions de l’Etat se multiplient et s’accélèrent. Aux commandes : le général-major Bachir Tartag, responsable de la

 

Direction de la sécurité intérieure (DSI) au sein du DRS. C’est sous son autorité que le service de police judiciaire du DRS, chargé des enquêtes sur la corruption, est placé.

 

Le général Tartag a de l’expérience dans la conduite des opérations à haut risque. Il fait partie des artisans de la victoire de l’armée sur les groupes islamistes armés durant les années 1990. Il s’est forgé une réputation de dur lorsqu’il était patron du CTRI à Ben Aknoun (Alger). Hostile à la négociation avec les terroristes, il avait mené la lutte antiterroriste d’une main de fer. En 2004, avec le recul du terrorisme et la dissolution du CTRI, Tartag s’est éclipsé. Il revient fin 2011 et prend la tête de la DSI.

 

En quelques mois, il a réussi à marquer d’importants points à Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), notamment en Kabylie, l’un des fiefs de l’organisation terroriste. Ses équipes ont porté des coups durs à Aqmi : de nombreux chefs terroristes ont été tués et d’autres capturés, comme le porte-parole d’Aqmi, Salah Gasmi dit Mohamed Abou Salah, arrêté fin 2012 dans un restaurant à Bouira.

 

L’activité terroriste dans le triangle de la mort, composé de Tizi Ouzou, Boumerdès et Bouira, a nettement baissé. Seule ombre au tableau : l’attaque terroriste contre le site gazier de Tiguentourine, en janvier dernier. Les terroristes ont réussi à traverser la frontière libyenne et à pénétrer dans un site stratégique pour commettre l’une des plus spectaculaires et sanglantes prise d’otages de l’histoire.

 

Des enquêtes sensibles sur la corruption

Fort de ces succès, l’homme de confiance du général Toufik se voit confier la lutte contre la corruption. Depuis le début de l’année, il dirige une vaste et complexe enquête anticorruption, déclenchée suite au rebondissement à l’étranger – en Italie et au Canada – du scandale de pots-de-vin qui éclabousse Sonatrach et le ministère de l’Energie. Malgré sa réputation de dur parmi les durs du DRS, le général Tartag impose un code de conduite. Aux enquêteurs qui travaillent sous ses ordres, il a interdit les procédés extra-légaux : pas de perquisition nocturne ni de convocation de suspects sans preuves suffisantes. C’est en partie ce qui explique le faible nombre de suspects placés en garde à vue dans ces affaires.

 

A travers le général Tartag, c’est, en effet, tout le DRS qui joue sa crédibilité dans ces enquêtes sur la corruption, qui ne font pas l’unanimité aussi bien au sommet du pouvoir que parmi la population. Malgré le soutien de son chef, la mission du « bombardier », comme on le surnomme, n’est pas facile, dans un contexte politique trouble et dans un pays gangréné par la corruption. Des responsables militaires et politiques, dans toutes les institutions, y compris le DRS, sont impliqués dans les scandales de corruption. D’autres, qui ont des intérêts économiques, via leurs enfants et leurs proches, font de la résistance et tentent de bloquer les enquêtes. Les pressions sont fortes. Du côté de l’opinion publique, on suit avec méfiance le déroulement des investigations. En attendant des résultats tangibles, comme l’inculpation de hauts responsables, les Algériens vont douter des objectifs réels de cette opération « mains propres ».

 

Parallèlement aux enquêtes, le général Tartag veut réorganiser le travail des services secrets pour mieux lutter contre la corruption. La présence de colonels du DRS dans les ministères et autres organismes publics s’est avérée peu efficace. Tout le monde les connaît et, souvent, ils font l’objet de convoitises ou de pression. A leur place, des agents secrets plus discrets et mieux intégrés dans les institutions seraient recrutés.

 

 

R H /JEUDI AVRIL 2013

Link to post
Share on other sites

je te l'ai deja dit Zoubir tu est un grand naif :crazy:

si les generaux s'accordent a faire officiellement leur declaration de patrimoine, tu saura vite que ce pays est divisé aux nombre de nos grands generaux, et si cette declaration devient officielle, la prochaine fois pour rentrer au pays il te faudra faire officiellement une demande de visa au general qui possede la region ou tu voudra t'y rendre :( fais attention a force de vouloir jouer avec le feu tu risque d'y laisser des plumes:mdr:;)

Link to post
Share on other sites
Bonne nouvelle. Il nous faut renforcer l'Etat de droit et construie des institutions au service du mouwateen Algérie.

 

Les officiers supérieurs du DRS appelés à faire leur déclaration de patrimoine

Article | 14. avril 2013 Algérie-Patriotique.

 

Cette décision touche même les généraux et généraux-majors. New Press

 

 

Les militaires relevant du Département du renseignement et de la sécurité (DRS) sont appelés à faire, dans les plus brefs délais, leur déclaration de patrimoine, a-t-on appris d’une source sécuritaire sûre. Sont concernés par cette décision prise il y a quelques jours par le premier responsable de cette sensible institution militaire, tous les sous-officiers, officiers et officiers supérieurs. Notre source assure que des convocations ont bel et bien été adressées à tout le monde, y compris aux généraux et généraux-majors. Cette mesure intervient dans un contexte marqué par une série de scandales de corruption liés aux marchés publics et à la Sonatrach. Des enquêtes ont été ouvertes par la justice. Le DRS, qui en a les moyens, se trouve parmi les institutions désignées pour mener certaines enquêtes difficiles et sensibles. Ce département constitue ainsi le noyau dur, à côté de la justice, dans la lutte contre la corruption, en ce sens qu’il est chargé d’enquêter et de traquer les corrupteurs et corrompus à tous les niveaux, même au plus haut sommet du pouvoir. Selon notre source, il y a toute une direction qui travaille sur les dossiers de la grande corruption. Et les enquêteurs ont carte blanche pour mener à bien leur travail. Les responsables de cette institution semblent vouloir ainsi s’assurer, dans ce sillage, que ceux qui travaillent sous leur coupe ne sont pas mêlés à des affaires douteuses. Autrement dit, avant de se lancer dans de grandes enquêtes sur la corruption, le DRS veut ainsi donner un coup de balai devant sa porte.

Sonia Baker

 

c'est du pipeau, du bla bla, :mdr::mdr:les loups vont commencer à dévoiler la somme du butin qu'ils ont engranger depuis l'indépendance, faut vraiment être naïf pour avaler cette couleuvre.

aucun poste à responsabilité, quelque soit le domaine n'est attribué à qui que ce soit sans que cette personne n'ait donné des gages de sa loyauté futur. la corruption commence dès que l'on dit oui, quelques soit sa place sur l’échelle, il n'y a que la somme qui diffère.:chut:

Link to post
Share on other sites
c'est du pipeau, du bla bla, :mdr::mdr:les loups vont commencer à dévoiler la somme du butin qu'ils ont engranger depuis l'indépendance, faut vraiment être naïf pour avaler cette couleuvre.

aucun poste à responsabilité, quelque soit le domaine n'est attribué à qui que ce soit sans que cette personne n'ait donné des gages de sa loyauté futur. la corruption commence dès que l'on dit oui, quelques soit sa place sur l’échelle, il n'y a que la somme qui diffère.:chut:

 

ils nous prennent pour des moutons.

Link to post
Share on other sites
je te l'ai deja dit Zoubir tu est un grand naif :crazy:

si les generaux s'accordent a faire officiellement leur declaration de patrimoine, tu saura vite que ce pays est divisé aux nombre de nos grands generaux, et si cette declaration devient officielle, la prochaine fois pour rentrer au pays il te faudra faire officiellement une demande de visa au general qui possede la region ou tu voudra t'y rendre :( fais attention a force de vouloir jouer avec le feu tu risque d'y laisser des plumes:mdr:;)

 

Nos institutions commencent un nettoyage.

 

C'est vous qui êtes naïf et ne sentez pas la pression exercée par la rue algérienne et le choc de l'affaire sonatrach-Eni.

Link to post
Share on other sites

HALF EL YAMINE n'a pas suffit ! basta avec vos déclarations de patrimoines alors que leurs fortunes se trouvent à l'étranger sous l'oeil et la barbe de ces commis de l'ETAT . Du reste la corruption date depuis les années 70 et cela n'a jamais été une préoccupation .

Link to post
Share on other sites

Ca me fait penser au patrimoine déclaré de Poutine :):):):)

 

A l'évidence, le patrimoine du "leader national" est le tabou des tabous. Officiellement, Vladimir Poutine, qui brigue un troisième mandat présidentiel ce 4 mars, n'est pas millionnaire. D'après ses déclarations publiques, ses avoirs sont modestes. En décembre, devant la commission électorale, il a déclaré posséder 179.612 dollars (135.000 euros environ), un appartement de 75 mètres carrés à Saint-Pétersbourg, un autre, plus petit, à Moscou, et deux voitures Volga de collection qu'il a héritées de son père. En douze ans de pouvoir, il ne se serait donc pas enrichi.

 

RUSSIE. La fortune cachée de Poutine - Le Nouvel Observateur

Link to post
Share on other sites
Envoyé par Zoubir

Nos institutions commencent un nettoyage.

je suis ravi de l'apprendre c'est vrai cela m'enchante, mais est-ce une realité ?ou un mirage ? peux-tu m'en dire un peu plus si tu a des informations je ne demande qu'a te croire que peux-tu me dire de "Nos" institutions personnellement je ne savais meme pas qu'on avait des institutions, et que peux-tu me dire sur ce nettoyage de 2013 ?

 

C'est vous qui êtes naïf et ne sentez pas la pression exercée par la rue algérienne et le choc de l'affaire sonatrach-Eni.

 

peut-etre suis-je naîf ,car si je le suis , je ne pourrai m'en rendre compte, lorsqu'on prend conscience de soi , souvent on devient etranger à soi , les grecs nous enseignaient qu'il fallait se connaitre soi meme afin de pouvoir pretendre connaitre les autres, mais moi quand je rencontre une personne aussi instruite et ouverte d'esprit que toi j'essai au moins de marcher dans son sillage afin d'apprendre d'elle, tu ne veux meme pas m'accorder ce privilege de m'honnorer des connaissances que tu semble detenir, quand tu me rappel ma naiveté de ne pas sentir la pression exercée par la rue , tu veux dire renifler , humer ? là en l'oncurrence je voudrais sincerement que tu m'explique comment tu sent, tu renifle ou tu sniff la pression de la rue ? je n'ai malheureusement pas tes competences ni ton savoir faire mon ami, moi je suis peut-etre naif mais je ne ressent aucune pression de la rue algérienne

 

le choc de l'affaire sonatrach-Eni.

par ailleurs dans le choix de la terminlogie des mots , la magouille dans les affaires ne me choque pas, j'en prend act pour y remedier, par contre l'assassinat de grands hommes comme Boudiaf, la trahison et la délation de grands revolutionnaires comme larbi benm'hidi, aban ramdane par des soi disant compatriotes est une situation qui me choque m'emeut et me bouleverse

 

tu continue a essayer de leur trouver des circonstances atténuantes, je te l'ai deja dit Zoubir que vivent des zoubirs en Algérie pour que l'empire de nos (empereurs) généraux soit prospere et viable

Link to post
Share on other sites
ou tu es naif,ou tu travailles pour eux, je ne vois pas d autres explications.

 

Vous semblez oubliez la pression de la rue. Lors de la dernière marche à Ouargla, les jeunes chômeurs ont dénoncé le scandale SH-ENI. Je crois que la peur de perdre el Koursi rend certains dirigeants plus sensibles à la lutte contre la corruption.

 

C'est une analyse que je fais. Hadha makane.

 

Moi je crois en la pression populaire.

 

Si la rue bouge, ça bouge au sommet.

 

Cheikh Marx et Lénine parlaient de dialectique...

 

Il faut un peu lire khouya...:mdr:

Link to post
Share on other sites
Vous semblez oubliez la pression de la rue. Lors de la dernière marche à Ouargla, les jeunes chômeurs ont dénoncé le scandale SH-ENI. Je crois que la peur de perdre el Koursi rend certains dirigeants plus sensibles à la lutte contre la corruption.

 

C'est une analyse que je fais. Hadha makane.

 

Moi je crois en la pression populaire.

 

Si la rue bouge, ça bouge au sommet.

 

Cheikh Marx et Lénine parlaient de dialectique...

 

Il faut un peu lire khouya...:mdr:

 

je constate que tu persistes,je finirais par croire que tu as des oeilleres.je ne crois point,pour ma part, a tes dires.

Link to post
Share on other sites
Vous semblez oubliez la pression de la rue. Lors de la dernière marche à Ouargla, les jeunes chômeurs ont dénoncé le scandale SH-ENI. Je crois que la peur de perdre el Koursi rend certains dirigeants plus sensibles à la lutte contre la corruption.

:

 

Mais Zoubir, et vraiment je te pose la question le plus sérieusement du monde, tu crois vraiment ce que tu dis? Que ça soit là ou dans tous tes posts à la gloire du pouvoir, de Bouteflika, du FLN, du système d'éducation algérien, etc... Est ce que tu as déjà été en Algérie (je t'ai lu parler des Allées à Batna donc j'imagine que tu dois quand même y aller de temps en temps mais en lisant tes post, ça me semble difficilement possible)?

Link to post
Share on other sites
Nos institutions commencent un nettoyage.

 

C'est vous qui êtes naïf et ne sentez pas la pression exercée par la rue algérienne et le choc de l'affaire sonatrach-Eni.

 

S'ils pouvaient déjà nettoyer les déchets dans la rue ca serait déjà trop bien!

Link to post
Share on other sites
  • 2 weeks later...

Bachir Tartag, le général du DRS aux commandes de l’opérration : MAINS PROPRES

 

Après le combat contre le terrorisme, dans les années 1990, place à la lutte contre la corruption qui gangrène le pays. Depuis quelques semaines, les enquêtes sur la corruption dans les grandes entreprises publiques et les institutions de l’Etat se multiplient et s’accélèrent. Aux commandes : le général-major Bachir Tartag, responsable de la

 

Direction de la sécurité intérieure (DSI) au sein du DRS. C’est sous son autorité que le service de police judiciaire du DRS, chargé des enquêtes sur la corruption, est placé.

 

Le général Tartag a de l’expérience dans la conduite des opérations à haut risque. Il fait partie des artisans de la victoire de l’armée sur les groupes islamistes armés durant les années 1990. Il s’est forgé une réputation de dur lorsqu’il était patron du CTRI à Ben Aknoun (Alger). Hostile à la négociation avec les terroristes, il avait mené la lutte antiterroriste d’une main de fer. En 2004, avec le recul du terrorisme et la dissolution du CTRI, Tartag s’est éclipsé. Il revient fin 2011 et prend la tête de la DSI.

 

En quelques mois, il a réussi à marquer d’importants points à Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), notamment en Kabylie, l’un des fiefs de l’organisation terroriste. Ses équipes ont porté des coups durs à Aqmi : de nombreux chefs terroristes ont été tués et d’autres capturés, comme le porte-parole d’Aqmi, Salah Gasmi dit Mohamed Abou Salah, arrêté fin 2012 dans un restaurant à Bouira.

 

L’activité terroriste dans le triangle de la mort, composé de Tizi Ouzou, Boumerdès et Bouira, a nettement baissé. Seule ombre au tableau : l’attaque terroriste contre le site gazier de Tiguentourine, en janvier dernier. Les terroristes ont réussi à traverser la frontière libyenne et à pénétrer dans un site stratégique pour commettre l’une des plus spectaculaires et sanglantes prise d’otages de l’histoire.

 

Des enquêtes sensibles sur la corruption

 

Fort de ces succès, l’homme de confiance du général Toufik se voit confier la lutte contre la corruption. Depuis le début de l’année, il dirige une vaste et complexe enquête anticorruption, déclenchée suite au rebondissement à l’étranger – en Italie et au Canada – du scandale de pots-de-vin qui éclabousse Sonatrach et le ministère de l’Energie. Malgré sa réputation de dur parmi les durs du DRS, le général Tartag impose un code de conduite. Aux enquêteurs qui travaillent sous ses ordres, il a interdit les procédés extra-légaux : pas de perquisition nocturne ni de convocation de suspects sans preuves suffisantes. C’est en partie ce qui explique le faible nombre de suspects placés en garde à vue dans ces affaires.

 

A travers le général Tartag, c’est, en effet, tout le DRS qui joue sa crédibilité dans ces enquêtes sur la corruption, qui ne font pas l’unanimité aussi bien au sommet du pouvoir que parmi la population. Malgré le soutien de son chef, la mission du « bombardier », comme on le surnomme, n’est pas facile, dans un contexte politique trouble et dans un pays gangréné par la corruption. Des responsables militaires et politiques, dans toutes les institutions, y compris le DRS, sont impliqués dans les scandales de corruption. D’autres, qui ont des intérêts économiques, via leurs enfants et leurs proches, font de la résistance et tentent de bloquer les enquêtes. Les pressions sont fortes. Du côté de l’opinion publique, on suit avec méfiance le déroulement des investigations. En attendant des résultats tangibles, comme l’inculpation de hauts responsables, les Algériens vont douter des objectifs réels de cette opération « mains propres ».

 

Parallèlement aux enquêtes, le général Tartag veut réorganiser le travail des services secrets pour mieux lutter contre la corruption. La présence de colonels du DRS dans les ministères et autres organismes publics s’est avérée peu efficace. Tout le monde les connaît et, souvent, ils font l’objet de convoitises ou de pression. A leur place, des agents secrets plus discrets et mieux intégrés dans les institutions seraient recrutés.

 

 

R H /JEUDI AVRIL 2013

Link to post
Share on other sites
Les militaires relevant du Département du renseignement et de la sécurité (DRS) sont appelés à faire, dans les plus brefs délais, leur déclaration de patrimoine, a-t-on appris d’une source sécuritaire sûre. Sont concernés par cette décision prise il y a quelques jours par le premier responsable de cette sensible institution militaire, tous les sous-officiers, officiers et officiers supérieurs.

Le chef du DRS est un général qui commande le DRS et il n'a aucune autorité sur les autres forces militaires.

Link to post
Share on other sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Guest
Répondre

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.

×
×
  • Create New...