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De Dihya la "Kahina" à Mahjouba la soumise écrasée


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de la figure mythique de la Kahina , du courage patriotique de Lalla Fathma N’Soumer, de la participation féminine à la guerre de libération, de l’indéfectible militantisme féminin et de la résistance à une décennie tragique et un islamisme inhibant… La question de la femme a été au cœur des enjeux politiques de ce pays depuis l’indépendance et a constitué un objet pour de très nombreuses études académiques.

 

L’identité proposée à la femme par le système patriarcal de domination de l’homme est un système destructeur et pervers. La femme est soumise dès l’enfance à un travail de persuasion qui tend à la diminuer, à la nier en tant qu’individu, à la persuader de son infériorité et finalement à la convaincre d’accepter son sort avec résignation, voire à le revendiquer. Elle est considérée comme un être inférieur et faible, dès sa naissance elle est accueillie sans joie. Et quand la naissance des filles se répète dans une même famille, elle devient une malédiction. Jusqu’au mariage, c’est une «bombe à retardement» qui met en danger l’honneur patriarcal. La société étouffe ses aspirations et la décourage. Elle est assujettie, trompée, chosifiée ; elle est loin d’être l’égale de l’homme. Ce dernier l’assujettit par le mariage et surtout par la maternité.

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Guest anais25
de la figure mythique de la Kahina , du courage patriotique de Lalla Fathma N’Soumer, de la participation féminine à la guerre de libération, de l’indéfectible militantisme féminin et de la résistance à une décennie tragique et un islamisme inhibant… La question de la femme a été au cœur des enjeux politiques de ce pays depuis l’indépendance et a constitué un objet pour de très nombreuses études académiques.

 

L’identité proposée à la femme par le système patriarcal de domination de l’homme est un système destructeur et pervers. La femme est soumise dès l’enfance à un travail de persuasion qui tend à la diminuer, à la nier en tant qu’individu, à la persuader de son infériorité et finalement à la convaincre d’accepter son sort avec résignation, voire à le revendiquer. Elle est considérée comme un être inférieur et faible, dès sa naissance elle est accueillie sans joie. Et quand la naissance des filles se répète dans une même famille, elle devient une malédiction. Jusqu’au mariage, c’est une «bombe à retardement» qui met en danger l’honneur patriarcal. La société étouffe ses aspirations et la décourage. Elle est assujettie, trompée, chosifiée ; elle est loin d’être l’égale de l’homme. Ce dernier l’assujettit par le mariage et surtout par la maternité.

 

 

 

Bonjour Sinistri,

 

oui, c est triste. Et actuellement c est le modèle féminin de l islam de l arabie - yahoudi et de ses pétrodollars qui gagne un terrain énorme chez nous en Algérie et un peu partout dans le monde musulman.

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de la figure mythique de la Kahina , du courage patriotique de Lalla Fathma N’Soumer, de la participation féminine à la guerre de libération, de l’indéfectible militantisme féminin et de la résistance à une décennie tragique et un islamisme inhibant… La question de la femme a été au cœur des enjeux politiques de ce pays depuis l’indépendance et a constitué un objet pour de très nombreuses études académiques.

 

L’identité proposée à la femme par le système patriarcal de domination de l’homme est un système destructeur et pervers. La femme est soumise dès l’enfance à un travail de persuasion qui tend à la diminuer, à la nier en tant qu’individu, à la persuader de son infériorité et finalement à la convaincre d’accepter son sort avec résignation, voire à le revendiquer. Elle est considérée comme un être inférieur et faible, dès sa naissance elle est accueillie sans joie. Et quand la naissance des filles se répète dans une même famille, elle devient une malédiction. Jusqu’au mariage, c’est une «bombe à retardement» qui met en danger l’honneur patriarcal. La société étouffe ses aspirations et la décourage. Elle est assujettie, trompée, chosifiée ; elle est loin d’être l’égale de l’homme. Ce dernier l’assujettit par le mariage et surtout par la maternité.

 

Et quand vous avez une femme comme Khalida Toumi, qui a fait des études, est émancipée, est parfaitement francophone, s'habille à l'occidentale, fume (et boit selon certains), qui est foncièrement laïque, lit beaucoup, fréquente les milieux intellectuels, a des amis occidentaux, milite pour la femme, etc. Bref elle est tout le contraire de l’algérienne voilée caricaturée par Dilem et est le type même de la femme "libre" et "libérée"...vous l'attaquez et lui réservez les pires des sobriquets et insultes car elle a... choisi ceci plutôt que cela...en toute liberté (liberté dont vous êtes les premiers à vous en gargariser)!

 

Bref la femme est vraiment devenue un objet utilisé à des fins idéologiques, et par ceux-la même qui prétendent la défendre.

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Et quand vous avez une femme comme Khalida Toumi, qui a fait des études, est émancipée, est parfaitement francophone, s'habille à l'occidentale, fume (et boit selon certains), qui est foncièrement laïque, lit beaucoup, fréquente les milieux intellectuels, a des amis occidentaux, milite pour la femme, etc. Bref elle est tout le contraire de l’algérienne voilée caricaturée par Dilem et est le type même de la femme "libre" et "libérée"...vous l'attaquez et lui réservez les pires des sobriquets et insultes car elle a... choisi ceci plutôt que cela.

 

Bref la femme est vraiment devenue un objet utilisé à des fins idéologiques, et par cela qui prétendent la défendre.

 

Un peuple digne de ce nom éxige de ses responsables la transparence et la compétence dans les tâches qui leurs sont confiées. Le Ghachi (Ladoze a parfois raison d'abuser de ce terme) se préocupe beaucoup plus du style vestimentaire, des rite et des covictions personnelles de ses gouvernants.

 

Cette femme mérite d'être jugée, non pas pour ces rumeurs colportées ça et là, mais pour avoir bradé des milliards et milliards puisés du contribuable dans des festivals panarabes et panislamiques où seuls les artistes applaudisseurs et aplaventristes sont conviés.

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Guest L'étrangère

Salem

 

Quant aux limites que nous a fixé Allah Taala, personne n'a son nez à y mettre. Oui "bnat el familia" sont une très bonne chose. Nous sommes musulmans depuis des siècles et les moeurs occidentales comme fumer, boire, mal s'habiller, ..., ne sont pas des nôtres.

 

L'occident n'est pas notre Dieu mais il est formé par de faible créature comme nous, nous avons notre religion et nos cultures et voilà pourquoi nous sommes différents :

 

47_11.png

 

 

 

Il faut être clair dans la vie, la double culture n'existe pas.

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