sekini 10 Posted May 4, 2013 Partager Posted May 4, 2013 En Afrique noire ,rien ne se jette.Tout est utile, même ces pneus de motos usagés ,serviront à fabriquer de solides ,et belles sandales en caoutchouc.Qu'en dites vous!!!!! Citer Link to post Share on other sites
tewfikhouari 10 Posted May 4, 2013 Partager Posted May 4, 2013 En Afrique noire ,rien ne se jette.Tout est utile, même ces pneus de motos usagés ,serviront à fabriquer de solides ,et belles sandales en caoutchouc.Qu'en dites vous!!!!! Chikh! vous me faites rappeler la chaussure des pauvres "toile de bache et semelle de pneu" Citer Link to post Share on other sites
thatsme 10 Posted May 5, 2013 Partager Posted May 5, 2013 C est très interessant comme processus de recyclage mais il faut un minimum de vigilance quand même, si on se base sur la photo, on vois que la personne utilise des morceaux de pneus usagés directement pour fabriquer sa sandale; le his dans l histoire c est que le pneu usagé est réputé être une source de bactéries sans égale, le pneu passe dans son utilisation quotidienne sur de la chaussée en contacte avec ( graisses, carburants, poussière, eau, restes d animaux écrasés sur les voies, sang ...) vous imaginez mettant votre pieds dans cette matière non désinfectée....très dangereux pour la peau... dailleurs un petit conseil, sur la route en chageant un pneu dégonflé , ou en fesant controler la pression de vos pneus, TOUJOURS mettre des gants ou se laver très bien les mains après... Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted May 5, 2013 Partager Posted May 5, 2013 Si Sekini, merci d'aborder cette question si cruciale (car le pétrole ne durera pas). Chez nous Teleghma a l'air d'être la capitale du recyclage. MILA, Récupération de métaux et plastique à téléghma Activité de plus en plus prisée 29 Septembre 2011 A Teleghma, ville située au sud du chef-lieu de wilaya de Mila, l’industrie de la récupération et du recyclage des métaux ferreux et non ferreux, à laquelle s’ajoute celle du verre et du plastique, est une activité qui occupe une proportion importante de la population de la ville. D’un bout à l’autre de la ville, le visiteur de cet important centre urbain des plaines de l’ouest du Constantinois, remarque entassés à l’air libre, des dizaines de dépôts et de centres de collecte des déchets ferreux et non ferreux, plastique et bouteilles en verre, destinés à l’industrie du recyclage. Selon l’APS, dans certaines cités de la périphérie de Teleghma, ce sont presque toutes les familles qui s’adonnent à cette activité qui offre une multitude d’emplois, dans la ville même et au-delà, au vu de la multitude de transporteurs qui sillonnent la plupart des régions du pays, employant dans nombre de localités des jeunes récupérateurs qui activent dans les décharges publiques. On compte environ 120 grands dépôts à Teleghma dont les gérants sont inscrits le plus régulièrement du monde, au registre du commerce. Depuis l’âge de 13 ans, le jeune Hamza travaille dans la récupération, soit depuis plus de 7 ans. Il explique à l’APS que ce métier a "eu ses heures de prospérité" et qu’actuellement, "la profession traverse une période de dépression" qu’il espère "passagère bien qu’elle s’installe dans la durée et décourage des milliers de travailleurs qui songent, aujourd’hui, à trouver une autre activité". Salaheddine Berrahal est déjà propriétaire, à l’entrée sud de Teleghma du dépôt, après 12 années d’activité. Il emploie trois aides qui touchent plus du SMIG et souligne que lorsque la profession était plus dynamique, le travail se faisait par équipes. Agé de 37 ans, saisonnier depuis six ans, Salim affirme qu’"il est dommage que le marché de la récupération soit en veilleuse, car c’est l’activité industrielle principale dans la ville de Teleghma". Il dit avoir longtemps espéré voir installées, ici, de petites unités de transformation à partir des ateliers qui existent déjà pour "préparer la matière première à l’aide de broyeurs pour les granulés de plastiques et des brûleurs pour façonner les lingots d’aluminium", indique l’APS. Le même artisan indique que l’on achète actuellement le kg de plastique à 35 dinars, tandis que le quintal de métal est écoulé à 1.900 dinars dans des unités sidérurgiques ou des fonderies comme celle d’El Eulma. Selon lui, cette profession avait besoin d’être "organisée" pour combattre de façon radicale les bandes organisées qui s’en prennent aux infrastructures publiques, aux clôtures métalliques et aux bouches d’égouts pour récupérer la matière. Interrogés par l’APS, les artisans estiment à 800 le nombre de "petits professionnels" qui transforment les déchets de la récupération, à Teleghma, et à pas moins de 500 les camions qui sillonnent les villes à travers l’Est du pays et même plus loin encore. A Teleghma, on soutient, selon l’APS, que cette activité dans cette région remonte à la Seconde Guerre mondiale, lors du débarquement des Anglo-Américains qui ont déversé un volume considérable de matériels que des chômeurs exploitaient alors et récupéraient pour le compte des fonderies. La "vocation" de cette ville était ainsi née. Citer Link to post Share on other sites
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