sekini 10 Posted May 6, 2013 Partager Posted May 6, 2013 [b] Le tribunal criminel d’Alger a condamné à la peine capitale deux terroristes algériens, reconnus coupables de nombreux crimes durant les années 90, dont ces centaines de meurtres et une série de viols. Le procès qui s’est ouvert ce matin pour juger deux figures du terrorisme durant la décennie noire s’est achevé avec une condamnation à la peine capitale. Djilali Kouri et Antar Ali, dont le procès avait été reporté à quatre reprises, ont finalement été reconnus coupables d’avoir notamment participé à l’assassinat 500 personnes et au viol de plus de 60 femmes dans les régions de Boumerdes, Médéa, Khemis, Tiaret, Chlef, Relizane et Blida. Les deux terroristes avaient avoué durant l’instruction, qu’en 1997, ils avaient rejoint un groupe d’islamistes basé à Chlef, à quelque 200 km à l’ouest d’Alger, qui avait opéré dans plusieurs régions du pays. Et durant le procès ils ont expliqué avoir en effet participé à des crimes durant cette période sombre, mais n’ont pas reconnu tous les chefs d’accusation. « Je reconnais avoir participé à l’assassinat de cinq militaires et de cinq gardes communaux mais je n’ai pas commis des massacres contre des civils ou violé des femmes », a affirmé Djiali Kouri dimanche devant le tribunal. « J’ai participé à des embuscades contre des militaires. Je n’ai pas commis de massacres, je combattais le pouvoir. Je ne suis pas un terroriste, je suis moi-même une victime », a expliqué, de son côté, Antar Ali, alors que ce dernier, avait reconnu durant l’instruction, sa participation à plusieurs massacres : 19 personnes à Chlef en 1998, 20 personnes à Larbaâ (Blida) en 2003, 20 membres d’une même famille, l’enlèvement, le viol et l’assassinat de plusieurs femmes de Tissemsilt en 2001. Citer Link to post Share on other sites
Guest Osiria Posted May 6, 2013 Partager Posted May 6, 2013 Il y a répétition sur le topic. Citer Link to post Share on other sites
Smiley 15 Posted May 6, 2013 Partager Posted May 6, 2013 Il y a répétition sur le topic. :roflmao: Sacrée Osiria. Citer Link to post Share on other sites
Smiley 15 Posted May 6, 2013 Partager Posted May 6, 2013 National geography rate ! Violer plusieurs filles ppuis les égorger, je n'arrive pas à croire ce qu'ils ont fait, wech âandhoum fi plasset qloubhom? Et pourquoi ont-ils fait tout ça? la peine de mort est prononcée, mais n’est plus appliquée, injustice Citer Link to post Share on other sites
Guest Osiria Posted May 6, 2013 Partager Posted May 6, 2013 :roflmao: Sacrée Osiria. Bonjour Smi, Pourquoi tu ris est ce que je me trompe ? Citer Link to post Share on other sites
Smiley 15 Posted May 6, 2013 Partager Posted May 6, 2013 Bonjour Smi, Pourquoi tu ris est ce que je me trompe ? Tu as dis vrai, mais après avoir lu le topic j'étais froissé. Puis il y a ta remarque mais aucun commentaire concernant le sujet. Citer Link to post Share on other sites
sekini 10 Posted May 6, 2013 Author Partager Posted May 6, 2013 Il y a répétition sur le topic. Merci pour la remarque. Citer Link to post Share on other sites
AMAR001 10 Posted May 6, 2013 Partager Posted May 6, 2013 IL Y A AUSSI la SM qui a fait des massacres en les imputant au islamistes pour mieux les salir. Les GIA ont beaucoup été infiltrés par des agent du DRS, qui n ont pas hésitaient a égorgés et eventré des femmes enceinte sous l emprise de drogue comme 'madame courage' l'hartane l’ex-sous-lieutenant des forces spéciales avait raconté comment ses collègues militaires, dans les années 1990, recouraient habituellement à la consommation de « Madame Courage » pour perpétrer les pires crimes contre les populations civiles : « La drogue la plus demandée par les soldats était surnommée par eux “Madame courage”. Au sein des forces spéciales, ce produit a presque la même valeur que la Kalachnikov. Comme son nom l’indique, il donne du courage aux soldats quand ils doivent affronter la mort. Et ils en prennent aussi quand c’est eux qui doivent la donner… De nombreuses fois, j’ai vu des sous-officiers de mon régiment sous l’emprise de cette “Mère courage” : leurs yeux étaient brillants et injectés de sang, ils parlaient plus lentement que d’habitude et ils avaient l’air d’être “ailleurs”. Et le lendemain, souvent, ils ne se souvenaient de rien de ce qu’ils avaient dit ou fait : quand ils étaient dans cet état, ils pouvaient tuer n’importe qui sans même se rendre compte de ce qu’ils faisaient. Le nom de cette drogue était l’Artane. » Plusieurs indices semblent aussi attester que les membres des groupes armés se réclamant de l’islam (les GIA), alors largement contrôlés par les services secrets de l’armée (DRS), étaient sous l’emprise d’une drogue de ce genre quand ils ont perpétrés les pires massacres des années 1996-1998. Nesroulah Yous, l’un des rescapés du massacre de Bentalha, près d’Alger, qui fit plus de quatre cents morts dans la nuit du 23 septembre 1997, rapportait par exemple dans son livre Qui a tué à Bentalha ? (La Découverte, 2000) : « Nous avons trouvé des seringues et des sachets avec de la poudre blanche. […] Un des assaillants tués, un géant, portait une ceinture avec des seringues et de la drogue. » L’enquête sur ce point, particulièrement difficile à mener, reste à faire. Mais il me semble hautement probable que l’usage de la drogue a joué un rôle majeur dans la sauvagerie dont ont fait preuve les auteurs des grands massacres de la fin des années 1990 en Algérie. il avait d’ailleurs appris que l’Artane, médicament produit par les laboratoires suisses Sandoz, était commandé en grandes quantités par le ministère de la Défense algérienne pendant les pires années de la « sale guerre ». Et depuis, on a su que cette drogue, dont l’usage régulier à haute dose finit par provoquer une accoutumance presque toujours mortelle, était toujours consommée par d’anciens membres des forces de sécurité algériennes devenus SDF à Paris, comme l’a révélé en 2005 un article assez terrifiant de la journaliste Linda Bendali : « À peine arrivé à la caserne, en 1997, le jeune Walid, vingt-et-un ans, est embarqué pour une opération commando. Les heures passent à travers le Djebel. Le jeune appelé ignore sa destination. Des sous-officiers font circuler une gourde et des comprimés. Chacun se sert et passe au voisin. Walid fait comme tout le monde et découvre l’ivresse de celle que les soldats surnomment “Madame Courage”. Walid n’apprendra que plus tard le véritable nom de cette pilule-miracle : l’Artane, un psychotrope destiné à soigner la maladie de Parkinson. Ainsi drogués, les soldats se sentent invulnérables, surpuissants. Pris d’hallucinations, ils débarquent euphoriques dans les villages où les cris des victimes des massacres résonnent encore. Le lendemain, ils ne gardent aucun souvenir, aucune image des atrocités qu’ils ont vécues, aucun flash des barbaries qu’ils ont commises. Cette douce inconscience a un prix : une forte dépendance. Très vite, comme nombre de ses compagnons. Walid avale de l’Artane tous les jours. Jusqu’à ne plus pouvoir s’en passer. Arrivé en France il y a quatre ans, aujourd’hui SDF, il n’a pas réussi à échapper à ses démons, ni à son enfer médicamenteux. » À Alger, des rumeurs invérifiables affirment depuis des années que certains cercles du pouvoir encouragent toujours, voire promeuvent, l’importation de cette drogue de mort qui, avec bien d’autres, gangrène la jeunesse perdue des quartiers populaires. Outre le profit qu’ils y trouveraient, ils y verraient désormais un moyen efficace pour détourner la colère majuscule de cette jeunesse. Au lieu de se tourner contre eux en se joignant aux autres secteurs de la société qui tentent d’organiser la révolte sociale, comme les syndicats autonomes – que nous sommes quelques-uns en France à soutenir, au sein du Comité international de soutien au syndicalisme autonome algérien (CISA) –, ces jeunes se perdent ainsi dans les stériles violences que décrit l’article d’El Watan. Cette réalité est certainement l’un des facteurs qui expliquent que la révolte sociale, dont les manifestations – émeutes urbaines et grèves à répétition – sont pourtant de longue date quotidiennes, ne débouche toujours pas en Algérie sur des mobilisations de plus grande ampleur, à l’image de celles d’autres pays du monde arabe, de la Tunisie à la Syrie. Jusqu’à quand ? La drogue est sans conteste, au sens strict, un atroce et efficace « opium du peuple ». Mais en Algérie, l’extrême fragilité d’un système à bout de souffle pourrait bien être lourde de surprises… Citer Link to post Share on other sites
souad27 10 Posted May 8, 2013 Partager Posted May 8, 2013 J'ai cru que tu parlais de terreau pour plante :mdr: algérien. Citer Link to post Share on other sites
LostSoul 10 Posted May 8, 2013 Partager Posted May 8, 2013 Si j etais juge..je les tuerais pas...je les torturerais jusqu a ce qu eux mm demanderaient la mort...et je continuerais quand mm a les torturer!! (bon...je salirais pas mes douces mains c est sur...je chargerais des sadiques :04: ) Citer Link to post Share on other sites
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