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Chantages sexuels à la « Dépêche de Kabylie »


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Chantages sexuels pour les recrutements à la « Dépêche de Kabylie »

 

Radia M. pour Tamurt.info

 

Elles ont souvent fini par fuir ce journal sans toutefois avoir eu malheureusement le courage de porter l’affaire devant la justice par peur de représailles et de la réaction de leurs parents. Elles ont décidé tout de même de saisir les organisations nationales et internationales, de défense des droits de la femme pour que ce genre de comportements ne se répète plus dans le recrutement de la gente féminine.

 

« La Dépêche de Kabylie » est devenu hélas un support de propagande locale mais également un lieu hideux pour ce que subissent des jeunes filles à la recherche d’un emploi.

Des témoignages accablent avec une grande fermeté le chef de bureau de ce quotidien à Tizi-Wezzu, Djaffar Chilab, qui use de son pouvoir de petit responsable afin de pratiquer des chantages sexuels sur de malheureuses jeunes filles venues pour être engagées comme pigistes. Une d’entre elles, qui a préféré témoigner sous le couvert de l’anonymat, ne cache pas sa désolation après avoir été victime d’un chantage orchestré par le chef de bureau. « Cet homme est dangereux », nous-a-t-elle révélé, toute déterminée à aller jusqu’au bout pour incriminer ce responsable journaliste indigne. D’après les dires d’autres filles qui ont contacté notre rédaction, le responsable mis en cause convoite des étudiantes de l’université de Tizi Wezzu qu’il retient jusqu’à des heures tardives à la rédaction sous prétexte qu’elles sont obligées d’assister au bouclage, mais l’objectif de cet énergumène n’est pas lié à un impératif professionnel, mais plutôt à une mauvaise intention afin d’abuser de la naïveté de ces jeunes filles. Elles ont souvent fini par fuir ce journal sans toutefois avoir eu malheureusement le courage de porter l’affaire devant la justice par peur de représailles et de la réaction de leurs parents. Elles ont décidé tout de même de saisir les organisations nationales et internationales de défense des droits de la femme pour que ce genre de comportements ne se répète plus dans le recrutement de la gente féminine. « Il m’appelle souvent la nuit en usant d’un langage vulgaire comme un animal, ce responsable est un diable. Il est capable du pire et agit sans aucune honte ni scrupule et il va le payer tôt au tard », dénonce-t-elle tout en nous faisant écouter un enregistrement sur son téléphone portable.

 

Cette histoire est semblable à celle qui a éclaboussé la télévision amazighe, chaîne 4, suite à la condamnation de son ex-directeur, Saïd Lamrani qui a été dénoncé en plein procès par ses nombreuses victimes.

Cet énergumène est un ami intime d’Amara Benyounès, propriétaire du journal, chargés ensemble avec leurs acolytes de salir l’honneur de la Kabylie.

 

Radia.M

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LE HARCELLEMENTSEXUEL EST DANS TOUTE L ALGERIE UN PHENOMENE VIEUX COMME LE MONDE MA PROPRE TANTE EN A FAIT LES FRAIS ON QUITTANT DEFINITIVEMENT SON TRAVAIL CAR SON EMPLOYEUR LA HARCELER ON LUI INVOQUANT QUE SI ELLE NE SE PLIER PAS A SES PERVERSITES IL LA DENONCERA A SON MARI LA PAUVRE ELLE VENAIT JUSTE DE MARIER CE SAPOPART EST TOUJOURS EN EXERCICES DES ANNEES PLUS TARDS DES CENTAINES DE VICTIME NOSE PAS PORTER PLAINTE

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Chantages sexuels pour les recrutements à la « Dépêche de Kabylie »

 

Radia M. pour Tamurt.info

 

Elles ont souvent fini par fuir ce journal sans toutefois avoir eu malheureusement le courage de porter l’affaire devant la justice par peur de représailles et de la réaction de leurs parents. Elles ont décidé tout de même de saisir les organisations nationales et internationales, de défense des droits de la femme pour que ce genre de comportements ne se répète plus dans le recrutement de la gente féminine.

 

« La Dépêche de Kabylie » est devenu hélas un support de propagande locale mais également un lieu hideux pour ce que subissent des jeunes filles à la recherche d’un emploi.

Des témoignages accablent avec une grande fermeté le chef de bureau de ce quotidien à Tizi-Wezzu, Djaffar Chilab, qui use de son pouvoir de petit responsable afin de pratiquer des chantages sexuels sur de malheureuses jeunes filles venues pour être engagées comme pigistes. Une d’entre elles, qui a préféré témoigner sous le couvert de l’anonymat, ne cache pas sa désolation après avoir été victime d’un chantage orchestré par le chef de bureau. « Cet homme est dangereux », nous-a-t-elle révélé, toute déterminée à aller jusqu’au bout pour incriminer ce responsable journaliste indigne. D’après les dires d’autres filles qui ont contacté notre rédaction, le responsable mis en cause convoite des étudiantes de l’université de Tizi Wezzu qu’il retient jusqu’à des heures tardives à la rédaction sous prétexte qu’elles sont obligées d’assister au bouclage, mais l’objectif de cet énergumène n’est pas lié à un impératif professionnel, mais plutôt à une mauvaise intention afin d’abuser de la naïveté de ces jeunes filles. Elles ont souvent fini par fuir ce journal sans toutefois avoir eu malheureusement le courage de porter l’affaire devant la justice par peur de représailles et de la réaction de leurs parents. Elles ont décidé tout de même de saisir les organisations nationales et internationales de défense des droits de la femme pour que ce genre de comportements ne se répète plus dans le recrutement de la gente féminine. « Il m’appelle souvent la nuit en usant d’un langage vulgaire comme un animal, ce responsable est un diable. Il est capable du pire et agit sans aucune honte ni scrupule et il va le payer tôt au tard », dénonce-t-elle tout en nous faisant écouter un enregistrement sur son téléphone portable.

 

Cette histoire est semblable à celle qui a éclaboussé la télévision amazighe, chaîne 4, suite à la condamnation de son ex-directeur, Saïd Lamrani qui a été dénoncé en plein procès par ses nombreuses victimes.

Cet énergumène est un ami intime d’Amara Benyounès, propriétaire du journal, chargés ensemble avec leurs acolytes de salir l’honneur de la Kabylie.

 

Radia.M

quel rapport avec l'honneur de la Kabylie?cette histoire aurait pu se passer dans n'importe quelle région d'Algerie ou même du monde.

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suggestion: diffusez cette info au maximum sur les réseaux sociaux. Il faut que ce mec perde son job et aille en prison. Cela calmera les ardeurs des autres.

C'est une question de salubrité publique.

Si vous ne le faites pas, ça ajoute de l'eau au moulins des djihadistes qui veulent voiler même les petites filles en Algérie.

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suggestion: diffusez cette info au maximum sur les réseaux sociaux. Il faut que ce mec perde son job et aille en prison. Cela calmera les ardeurs des autres.

C'est une question de salubrité publique.

Si vous ne le faites pas, ça ajoute de l'eau au moulins des djihadistes qui veulent voiler même les petites filles en Algérie.

 

il faut penser à construire des milliers d'autres prisons dans ce cas, car comme beaucoup de sujets tabous chez nous,cette question touche l'ensemble des sociétés Algériennes....malheureusement.

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Guest D. ESSERHANE
ALLEZ NE VOUS BATTEZ PAS CELA PEUT ARRIVER N IMPORTE OU N IMPORTE COMMENT SURTOUT EN FRANCE COUPONS LEUR LEUR ZIZI TOUT SIMPLEMENT

 

wach raki tgouli ya mra?

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Guest samirovsky

C'est une guéguerre entre anciens collègues RCDistes. Entre Amara Benyounès, Ex RCD, le propriétaire du journal la Débauche de la Kabylie et les autres.

Mais ça ne m'étonnerait pas que Amara ait fait ça, du harcèlement, il est capable du pire.

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IL N Y A PAS DE DEBAUCHE EN ALGERIE EN KABILIE OU AILLEURS CE SONT DES HOMMES MALADE PSYCHOLOGIQUEMENT CE SONT DES PERVERS SEXUELS COMME L ES DSK ET BIEN D AUTRE ILS SONT BOULIMIQUE D ACTE SEXUEL ET DE PLUS ILS N AIMENT PAS LES FEMMES ILS LES DETESTENT PUISQUE CE SONT DE SIMPLE OBJET SEXUEL JETABLE A LEUR BON GRES IL FAUT QUI SE FASSENT SOIGNER TOUT SIMPLEMENT CAR DANS LEUR TETE TOUT SE MELANGE DESIR SEXUALITE RELATION HUMAINE ECT

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quel rapport avec l'honneur de la Kabylie?cette histoire aurait pu se passer dans n'importe quelle région d'Algerie ou même du monde.

 

le droit de cuissage est révolu.......tout du moins en kabylie.

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