Jump to content

Casablanca est devenue la deuxième place financière en Afrique


Recommended Posts

Casablanca est devenue la deuxième place financière en Afrique

 

L'hebdomadaire français +Le Point+ souligne, dans sa dernière livraison, que la ville de Casablanca est devenue la deuxième place financière du continent africain et qu'elle draine, à elle seule, 48 pc des investissements et assure 60 pc du PNB du Maroc.

 

Européens et Américains se sont installés dans la banlieue de la ville de Casablanca pour créer Casa Aeorocity, relève le magazine dans un spécial consacré au Royaume, intitulé "la ruée vers le Maroc", précisant, qu'en 2008, les seules réparations de moteurs d'avions vont engendrer une activité de 100 millions de dollars.

 

"C'est à Casablanca que les investissements étrangers sont les plus visibles", note le magazine, citant la rédactrice en chef et éditorialiste de l'+Economiste+, Nadia Salah pour qui "à moins de deux milliards de dirhams, on n'annonce plus les projets à la une".

 

Faisant état des efforts entrepris par le Maroc en matière de formation des ressources humaines, la publication indique que le pays qui a formé 5.000 ingénieurs en 2006, espère en former le double en 2010.

 

"Ce sera le plus difficile, car il faut beaucoup de temps pour former les hommes que pour attirer l'investissement à grands renforts d'incitations fiscales et de faibles coûts de main d'oeuvre", souligne l'hebdomadaire, ajoutant que le Maroc n'a pas dit son dernier mot à ce sujet, puisqu'il dispose d'une réserve de matière grise à l'étranger et espère la faire rentrer au pays.

 

Il fait remarquer que plusieurs jeunes, qui ont fait leurs études à Paris, Montréal, New York ou Londres, préfèrent rentrer au Maroc après une expérience acquise à l'étranger, afin de contribuer au développement économique et social de leur pays d'origine.

 

Evoquant l'engouement des étrangers pour le Royaume et le boom du secteur de l'immobilier, l'hebdomadaire relève, qu'en 2008, 35.000 français résident officiellement au Maroc et se sont fait immatriculer au consulat de France. "Il y a ceux, retraités ou non, qui achètent des appartements et des riads dans les médinas de Fès, de Rabat ou de Tanger, pour la beauté des lieux, le plaisir du dépaysement ou avec l'envie d'ouvrir des maisons d'hôtes", relève la publication, signalant que les Français sont suivis des Anglais, qui achètent des propriétés à Fès, et des Espagnols, qui investissent dans l'immobilier à Tanger et ses environs.

 

Pour la publication, les sociétés européennes et américaines se pressent pour investir au Maroc, aux côtés d'entreprises qui déversent des centaines de millions de dollars dans l'immobilier à Tanger ou à Rabat.

 

Faisant état par ailleurs des projets structurants réalisés au Maroc, l'hebdomadaire cite entre autres le port Tanger Med , dont la construction avait été décidée en 2002 par SM le Roi Mohammed VI "désireux d'assurer le développement du nord du Royaume". "La réussite de Tanger Med 1 est spectaculaire. A tel point que, à quelques centaines de mètres du premier port et de ses 90 hectares de terres pleins, des dizaines de gros camions, dans une chaîne incessante, apportent déjà la terre et les roches nécessaires à la construction de Tanger Med 2", note la publication.

 

Et de souligner que la zone franche liée à Tanger Med est un des éléments clés du dispositif permettant au Maroc d'envisager d'atteindre son objectif de 150.00 emplois nouveaux dans la région de Tanger.

 

Casablanca est devenue la deuxième place financière en Afrique

Link to post
Share on other sites
Casablanca est devenue la deuxième place financière en Afrique

 

L'hebdomadaire français +Le Point+ souligne, dans sa dernière livraison, que la ville de Casablanca est devenue la deuxième place financière du continent africain et qu'elle draine, à elle seule, 48 pc des investissements et assure 60 pc du PNB du Maroc.

 

Européens et Américains se sont installés dans la banlieue de la ville de Casablanca pour créer Casa Aeorocity, relève le magazine dans un spécial consacré au Royaume, intitulé "la ruée vers le Maroc", précisant, qu'en 2008, les seules réparations de moteurs d'avions vont engendrer une activité de 100 millions de dollars.

 

"C'est à Casablanca que les investissements étrangers sont les plus visibles", note le magazine, citant la rédactrice en chef et éditorialiste de l'+Economiste+, Nadia Salah pour qui "à moins de deux milliards de dirhams, on n'annonce plus les projets à la une".

 

Faisant état des efforts entrepris par le Maroc en matière de formation des ressources humaines, la publication indique que le pays qui a formé 5.000 ingénieurs en 2006, espère en former le double en 2010.

 

"Ce sera le plus difficile, car il faut beaucoup de temps pour former les hommes que pour attirer l'investissement à grands renforts d'incitations fiscales et de faibles coûts de main d'oeuvre", souligne l'hebdomadaire, ajoutant que le Maroc n'a pas dit son dernier mot à ce sujet, puisqu'il dispose d'une réserve de matière grise à l'étranger et espère la faire rentrer au pays.

 

Il fait remarquer que plusieurs jeunes, qui ont fait leurs études à Paris, Montréal, New York ou Londres, préfèrent rentrer au Maroc après une expérience acquise à l'étranger, afin de contribuer au développement économique et social de leur pays d'origine.

 

Evoquant l'engouement des étrangers pour le Royaume et le boom du secteur de l'immobilier, l'hebdomadaire relève, qu'en 2008, 35.000 français résident officiellement au Maroc et se sont fait immatriculer au consulat de France. "Il y a ceux, retraités ou non, qui achètent des appartements et des riads dans les médinas de Fès, de Rabat ou de Tanger, pour la beauté des lieux, le plaisir du dépaysement ou avec l'envie d'ouvrir des maisons d'hôtes", relève la publication, signalant que les Français sont suivis des Anglais, qui achètent des propriétés à Fès, et des Espagnols, qui investissent dans l'immobilier à Tanger et ses environs.

 

Pour la publication, les sociétés européennes et américaines se pressent pour investir au Maroc, aux côtés d'entreprises qui déversent des centaines de millions de dollars dans l'immobilier à Tanger ou à Rabat.

 

Faisant état par ailleurs des projets structurants réalisés au Maroc, l'hebdomadaire cite entre autres le port Tanger Med , dont la construction avait été décidée en 2002 par SM le Roi Mohammed VI "désireux d'assurer le développement du nord du Royaume". "La réussite de Tanger Med 1 est spectaculaire. A tel point que, à quelques centaines de mètres du premier port et de ses 90 hectares de terres pleins, des dizaines de gros camions, dans une chaîne incessante, apportent déjà la terre et les roches nécessaires à la construction de Tanger Med 2", note la publication.

 

Et de souligner que la zone franche liée à Tanger Med est un des éléments clés du dispositif permettant au Maroc d'envisager d'atteindre son objectif de 150.00 emplois nouveaux dans la région de Tanger.

 

Casablanca est devenue la deuxième place financière en Afrique

 

 

Re - Mabrouk ! :)

Link to post
Share on other sites
Casablanca est devenue la deuxième place financière en Afrique

 

L'hebdomadaire français +Le Point+ souligne, dans sa dernière livraison, que la ville de Casablanca est devenue la deuxième place financière du continent africain et qu'elle draine, à elle seule, 48 pc des investissements et assure 60 pc du PNB du Maroc.

 

Européens et Américains se sont installés dans la banlieue de la ville de Casablanca pour créer Casa Aeorocity, relève le magazine dans un spécial consacré au Royaume, intitulé "la ruée vers le Maroc", précisant, qu'en 2008, les seules réparations de moteurs d'avions vont engendrer une activité de 100 millions de dollars.

 

"C'est à Casablanca que les investissements étrangers sont les plus visibles", note le magazine, citant la rédactrice en chef et éditorialiste de l'+Economiste+, Nadia Salah pour qui "à moins de deux milliards de dirhams, on n'annonce plus les projets à la une".

 

Faisant état des efforts entrepris par le Maroc en matière de formation des ressources humaines, la publication indique que le pays qui a formé 5.000 ingénieurs en 2006, espère en former le double en 2010.

 

"Ce sera le plus difficile, car il faut beaucoup de temps pour former les hommes que pour attirer l'investissement à grands renforts d'incitations fiscales et de faibles coûts de main d'oeuvre", souligne l'hebdomadaire, ajoutant que le Maroc n'a pas dit son dernier mot à ce sujet, puisqu'il dispose d'une réserve de matière grise à l'étranger et espère la faire rentrer au pays.

 

Il fait remarquer que plusieurs jeunes, qui ont fait leurs études à Paris, Montréal, New York ou Londres, préfèrent rentrer au Maroc après une expérience acquise à l'étranger, afin de contribuer au développement économique et social de leur pays d'origine.

 

Evoquant l'engouement des étrangers pour le Royaume et le boom du secteur de l'immobilier, l'hebdomadaire relève, qu'en 2008, 35.000 français résident officiellement au Maroc et se sont fait immatriculer au consulat de France. "Il y a ceux, retraités ou non, qui achètent des appartements et des riads dans les médinas de Fès, de Rabat ou de Tanger, pour la beauté des lieux, le plaisir du dépaysement ou avec l'envie d'ouvrir des maisons d'hôtes", relève la publication, signalant que les Français sont suivis des Anglais, qui achètent des propriétés à Fès, et des Espagnols, qui investissent dans l'immobilier à Tanger et ses environs.

 

Pour la publication, les sociétés européennes et américaines se pressent pour investir au Maroc, aux côtés d'entreprises qui déversent des centaines de millions de dollars dans l'immobilier à Tanger ou à Rabat.

 

Faisant état par ailleurs des projets structurants réalisés au Maroc, l'hebdomadaire cite entre autres le port Tanger Med , dont la construction avait été décidée en 2002 par SM le Roi Mohammed VI "désireux d'assurer le développement du nord du Royaume". "La réussite de Tanger Med 1 est spectaculaire. A tel point que, à quelques centaines de mètres du premier port et de ses 90 hectares de terres pleins, des dizaines de gros camions, dans une chaîne incessante, apportent déjà la terre et les roches nécessaires à la construction de Tanger Med 2", note la publication.

 

Et de souligner que la zone franche liée à Tanger Med est un des éléments clés du dispositif permettant au Maroc d'envisager d'atteindre son objectif de 150.00 emplois nouveaux dans la région de Tanger.

 

Casablanca est devenue la deuxième place financière en Afrique

 

L'Algérie devrait prendre comme exemple le Maroc et la Tunisie, pays qui progressent dans tous les secteurs d'activités.

Link to post
Share on other sites
L'Algérie devrait prendre comme exemple le Maroc et la Tunisie, pays qui progressent dans tous les secteurs d'activités.

 

 

..... Il y a certains acquis sociaux en Algérie qui devraient profiter aussi aux frêres marocains et tunisiens ! ;)

Link to post
Share on other sites
Quels acquis ? Celui d'être enprisonné parceque chrétien ???

 

:mdr:

 

Medecine gratuite , centres de soins de proximité , soutien des prix des produits de base , une sécurité sociale plus efficiente ...... :rolleyes:

Link to post
Share on other sites
Medecine gratuite , centres de soins de proximité , soutien des prix des produits de base , une sécurité sociale plus efficiente ...... :rolleyes:

 

Oui c'est ça :mdr: :mdr:

 

C'est pour ça que les algériens se révoltent tous les jours :mdr::mdr:

 

Que des gens louent leur enfants, crèvent de fain, sont persécuttés etc.... :crazy: :mdr:

Link to post
Share on other sites
Et ouvrir ses frontières Ouest;)

 

La sécurité est la chose la plus importante, l'Algérie est plongé dans son térrorisme, ouvrir les frontières serait du suicide pour le Maroc, pays qui mise sur le tourisme.

Link to post
Share on other sites
Tunisie: un mort et des blessés dans des affrontements à Redeyef

Un manifestant a été tué par balle et d'autres ont été blessés au cours d'affrontements avec la police à Redeyef, dans la région de Gafsa (sud-ouest de la Tunisie), en proie à l'agitation due au chômage et à la cherté de la vie, a-t-on appris de source syndicale et gouvernementale.

Vendredi 6 juin 2008 18:03

 

Des manifestations sans heurts c'est rare trés rare, et puis les tunisiens manifestent pour leur quotidien, pas comme certains algériens qui s'entretuent pas parcequ'ils sont miséreux et qu'ils vivent sous dictature, mais parceque leur club est déscendu en d2 :mdr:

 

Les tunisiens sont bien plus conscient que les algériens :)

Link to post
Share on other sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Guest
Répondre

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.

×
×
  • Create New...