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L’ALGÉRIE INDÉPENDANTE OBTENU PAR LA GUERRE


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Salut Mr Pmat,

Ici, c'est la chaleur, presque la baignade, demain 28 degrés...dommage de la pluie, pas de jambes à zyeuter comme dirait Zoubir!

 

Bonjour mackiavelik

ce matin derniere goute mais hier dans l'apres midi vers 15, 16h

ce fut comme des sceaux d'eau

et ce sans arret

est ce que les nappe d'eau se remplissent

c'est pas sur

 

une ters bonne journée a toi

et envoi nous un peu de ton soleil

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VOICI COMMENT EST CHANTE LA GUERRE

PAR JEAN FERRAT QUI EST JUIF

 

OUI QUAND ON SE REND COMPTE QUE D'APRES TOUT CE QU'ON A VU ET EUT

CE QU'ON A RECHAPPER

ET ON EST ENCORE VIVANT

OUI C'EST MOI LA QUI PARLE FINALEMENT

j'aurais put écrire ce texte

OUI OUF!!

 

OU COMME LA MALADIE

 

MERCI MON DIEU

 

Nuit et brouillard

 

Jean Ferrat

 

 

Ils étaient vingt et cent, ils étaient des milliers

Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombés

Qui déchiraient la nuit de leurs ongles battants

Ils étaient des milliers, ils étaient vingt et cent

 

Ils se croyaient des hommes, n´étaient plus que des nombres

Depuis longtemps leurs dés avaient été jetés

Dès que la main retombe il ne reste qu´une ombre

Ils ne devaient jamais plus revoir un été

 

La fuite monotone et sans hâte du temps

Survivre encore un jour, une heure, obstinément

Combien de tours de roues, d´arrêts et de départs

Qui n´en finissent pas de distiller l´espoir

 

Ils s´appelaient Jean-Pierre, Natacha ou Samuel

Certains priaient Jésus, Jéhovah ou Vichnou

D´autres ne priaient pas, mais qu´importe le ciel

Ils voulaient simplement ne plus vivre à genoux

 

Ils n´arrivaient pas tous à la fin du voyage

Ceux qui sont revenus peuvent-ils être heureux

Ils essaient d´oublier, étonnés qu´à leur âge

Les veines de leurs bras soient devenues si bleues

 

Les Allemands guettaient du haut des miradors

La lune se taisait comme vous vous taisiez

En regardant au loin, en regardant dehors

Votre chair était tendre à leurs chiens policiers

 

On me dit à présent que ces mots n´ont plus cours

Qu´il vaut mieux ne chanter que des chansons d´amour

Que le sang sèche vite en entrant dans l´histoire

Et qu´il ne sert à rien de prendre une guitare

 

Mais qui donc est de taille à pouvoir m´arrêter?

L´ombre s´est faite humaine, aujourd´hui c´est l´été

Je twisterais les mots s´il fallait les twister

Pour qu´un jour les enfants sachent qui vous étiez

 

Vous étiez vingt et cent, vous étiez des milliers

Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombés

Qui déchiriez la nuit de vos ongles battants

Vous étiez des milliers, vous étiez vingt et cent

 

 

PUIS CELLE LA QUI ME TOUCHE

Jean Ferrat

C'est beau la vie

 

Le vent dans tes cheveux blonds

Le soleil à l´horizon

Quelques mots d´une chanson

Que c´est beau, c´est beau la vie

 

Un oiseau qui fait la roue

Sur un arbre déjà roux

Et son cri par dessus tout

Que c´est beau, c´est beau la vie.

 

Tout ce qui tremble et palpite

Tout ce qui lutte et se bat

Tout ce que j´ai cru trop vite

A jamais perdu pour moi

 

Pouvoir encore regarder

Pouvoir encore écouter

Et surtout pouvoir chanter

Que c´est beau, c´est beau la vie.

 

Le jazz ouvert dans la nuit

Sa trompette qui nous suit

Dans une rue de Paris

Que c´est beau, c´est beau la vie.

 

La rouge fleur éclatée

D´un néon qui fait trembler

Nos deux ombres étonnées

Que c´est beau, c´est beau la vie.

 

Tout ce que j´ai failli perdre

Tout ce qui m´est redonné

Aujourd´hui me monte aux lèvres

En cette fin de journée

 

Pouvoir encore partager

Ma jeunesse, mes idées

Avec l´amour retrouvé

Que c´est beau, c´est beau la vie.

 

Pouvoir encore te parler

Pouvoir encore t´embrasser

Te le dire et le chanter

Oui c´est beau, c´est beau la vie.

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OUI VOUS MES AMIS (IES)

J'AI SOUVENT DECLARER ,QU'EN VENANT EN FRANCE J'AI DECOUVERT UNE AUTRE FRANCE PUIS BEAUCOUP DE FRANCE

 

ET MA FRANCE A MOI

EST COMME CELLE JEAN FERRAT

 

JE DIS A MES ACCUSATEURS QUI ME REPROCHE DE NE PAS AIMER LA FRANCE

 

Ma France

- Jean Ferrat

 

De plaines en forêts de vallons en collines

Du printemps qui va naître à tes mortes saisons

De ce que j'ai vécu à ce que j'imagine

Je n'en finirai pas d'écrire ta chanson

Ma France

 

Au grand soleil d'été qui courbe la Provence

Des genêts de Bretagne aux bruyères d'Ardèche

Quelque chose dans l'air a cette transparence

Et ce goût du bonheur qui rend ma lèvre sèche

Ma France

 

Cet air de liberté au-delà des frontières

Aux peuples étrangers qui donnait le vertige

Et dont vous usurpez aujourd'hui le prestige

Elle répond toujours du nom de Robespierre

Ma France

 

Celle du vieil Hugo tonnant de son exil

Des enfants de cinq ans travaillant dans les mines

Celle qui construisit de ses mains vos usines

Celle dont monsieur Thiers a dit qu'on la fusille

Ma France

 

Picasso tient le monde au bout de sa palette

Des lèvres d'Éluard s'envolent des colombes

Ils n'en finissent pas tes artistes prophètes

De dire qu'il est temps que le malheur succombe

Ma France

 

Leurs voix se multiplient à n'en plus faire qu'une

Celle qui paie toujours vos crimes vos erreurs

En remplissant l'histoire et ses fosses communes

Que je chante à jamais celle des travailleurs

Ma France

 

Celle qui ne possède en or que ses nuits blanches

Pour la lutte obstiné de ce temps quotidien

Du journal que l'on vend le matin d'un dimanche

A l'affiche qu'on colle au mur du lendemain

Ma France

 

Qu'elle monte des mines descende des collines

Celle qui chante en moi la belle la rebelle

Elle tient l'avenir, serré dans ses mains fines

Celle de trente-six à soixante-huit chandelles

Ma France

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OUI IL Y AVAIT LE COMBAT EN FRANCE

ET NOUS VOULION PAS RABAISSER NOS ECHINES

TOUJOUR TETE HAUTE LE PEUPLE ALGERIEN

TIEN TETE

 

Massacre du 17 octobre 1961

 

. (Questions courantes)

 

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Les événements généralement qualifiés de massacre du 17 octobre 1961 sont le fait de la répression meurtrière, par la police française, d'une manifestation d'Algériens organisée à Paris par la Fédération de France du FLN.

Préparée en secret, la manifestation est un boycott du couvre-feu nouvellement appliqué aux seuls Nord-Africains. Alors que les attentats du Front de libération nationale (FLN) frappent les forces de l'ordre depuis plusieurs mois, l'initiative, non déclarée aux autorités, se veut cependant pacifique. Le FLN, qui y voit un moyen d'affirmer sa représentativité, y appelle tous les Algériens, hommes, femmes et enfants, et leur interdit le port d'armes. Les défilés nocturnes sur les grandes artères de la capitale donnent lieu à différents affrontements, au cours desquels des policiers font feu. La brutalité de la répression, qui se poursuit au-delà de la nuit du 17 dans l'enceinte des centres d'internement, fait plusieurs centaines de blessés et un nombre de morts qui reste indéterminé, de plusieurs dizaines selon les estimations les moins élevées.

Le 17 octobre 1961 et ses suites ne sont longtemps perçus que comme l'un des nombreux épisodes liés à la guerre d'Algérie. À partir des années 1990, ils font l'objet d'un traitement médiatique, puis politique plus important à la suite de la publication d'études historiques, de romans, d'un recueil photographique et surtout du retentissant procès de Maurice Papon, préfet de police de Paris au moment des faits, pour ses actes sous l'occupation allemande. En 2012, à l'occasion du 51e anniversaire de la manifestation, le président français François Hollande « reconnaît avec lucidité », au nom de la République, la « sanglante répression » au cours de laquelle ont été tués « des Algériens qui manifestaient pour le droit à l'indépendance ».

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Le massacre du 17 octobre 1961 à Paris : « ici on noie les Algériens ...

 

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rebellyon.info › Mémoire‎

17 oct. 2012 – Ce jour-là, des dizaines d'Algériens ont été noyés dans la Seine ou massacrés par la police française à Paris. C'est un devoir de justice de ne ...

Collectif « 17 Octobre 61 »

 

17octobre61ManifPacifiq-ce7a7.jpg

Début de la manifestation pacifique le 17 octobre 1961 à Paris

Le préfet de police de Paris, Maurice Papon, qui a reçu carte blanche des plus hautes autorités, dont de Gaulle, lance, avec 7.000 policiers, une répression sanglante. Il y aura 11.730 arrestations, et peut-être beaucoup plus de 200 morts, noyés ou exécutés, parmi les Algériens.

Ce crime au coeur de l’État français n’a toujours pas été reconnu officiellement alors même que les partisans de la Nostalgérie prônent la promotion de l’oeuvre positive française durant la colonisation dans les programmes scolaires !!!

 

17octobre61pontBanderole-c8800.jpg

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Le 27 octo*bre 1961, Claude Bourdet, alors conseiller muni*ci*pal de Paris et aussi jour*na*liste à « France-Observateur », avait inter*pellé le préfet de police, Maurice Papon, en plein conseil muni*ci*pal de Paris sur l’exac*ti*tude des faits qui se lisaient dans la presse pari*sienne, à savoir le repê*chage dans la Seine de 150 cada*vres d’Algériens depuis le 17 octo*bre 1961 entre Paris et Rouen.

 

« Monsieur le Préfet de Police »

Intervention de Claude Bourdet au Conseil muni*ci*pal de Paris, le 27 octo*bre 1961

 

Les silen*ces de Monsieur Maurice Papon

 

 

Claude Bourdet

« J’en viens d’abord aux faits. Il n’est guère besoin de s’étendre. Parlerai-je de ces Algériens cou*chés sur le trot*toir, bai*gnant dans le sang, morts ou mou*rants, aux*quels la Police inter*di*sait qu’on porte secours ? Parlerai-je de cette femme enceinte, près de la place de la République, qu’un poli*cier frap*pait sur le ventre ? Parlerai-je de ces cars que l’on vidait devant un com*mis*sa*riat du quar*tier Latin, en for*çant les Algériens qui en sor*taient à défi*ler sous une véri*ta*ble haie d’hon*neur, sous des matra*ques qui s’abat*taient sur eux à mesure qu’ils sor*taient ? J’ai des témoi*gna*ges de Français et des témoi*gna*ges de jour*na*lis*tes étrangers. Parlerai-je de cet Algérien inter*pellé dans le métro et qui por*tait un enfant dans ses bras ? Comme il ne levait pas les bras assez vite, on l’a pres*que jeté à terre d’une paire de gifles. Ce n’est pas très grave, c’est sim*ple*ment un enfant qui est marqué à vie !

 

Je veux seu*le*ment men*tion*ner les faits les plus graves et poser des ques*tions. Il s’agit de faits qui, s’ils sont véri*fiés, ne peu*vent pas s’expli*quer par une réac*tion de vio*lence dans le feu de l’action. Ce sont des faits qui méri*tent une inves*ti*ga*tion sérieuse, détaillée, impar*tiale, contra*dic*toire.

ClaudeBourdet-65682.jpg

 

D’abord, est-il vrai qu’au cours de cette jour*née, il n’y ait pas eu de bles*sés par balle au sein de la Police ? Est-il vrai que les cars radio de la Police aient annoncé au début de la mani*fes*ta*tion dix morts parmi les forces de l’ordre, mes*sage néces*sai*re*ment capté par l’ensem*ble des bri*ga*des... et qui devait donc exci*ter au plus haut point l’ensem*ble des poli*ciers ? C’était peut-être une erreur, c’était peut-être un sabo*tage, il fau*drait le savoir ; et peut-être, d’autre part, n’était-ce pas vrai. C’est pour cela que je veux une enquête.

 

VOICI CE QU'ON SUBIT POUR TOI OH ALGERIE TES FILS

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Photo d’Elie Kagan prise le 17 octobre 1961

De même, est-il vrai qu’un grand nombre des bles*sés ou des morts ont été atteints par des balles du même cali*bre que celui d’une grande manu*fac*ture qui four*nit l’arme*ment de la Police ? Qu’une grande partie de ces balles ont été tirées à bout por*tant ? Une enquête dans les hôpi*taux peut donner ces ren*sei*gne*ments. Il est clair que ce n’est pas n’importe quelle enquête et que ceux qui la feraient devraient être cou*verts par son carac*tère offi*ciel et savoir qu’ils ne ris*que*raient rien en disant la vérité.

 

Et voici le plus grave : est-il vrai que dans la « cour d’iso*le*ment » de la Cité, une cin*quan*taine de mani*fes*tants, arrê*tés appa*rem*ment dans les alen*tours du bou*le*vard Saint-Michel, sont morts ? Et que sont deve*nus leurs corps ? Est-il vrai qu’il y a eu de nom*breux corps reti*rés de la Seine ? Dans les milieux de presse, et pas seu*le*ment dans les milieux de la presse de gauche, dans les rédac*tions de la presse d’infor*ma*tion, on parle de 150 corps reti*rés de la Seine entre Paris et Rouen. C’est vrai ou ce n’est pas vrai ? Cela doit pou*voir se savoir. Une enquête auprès des ser*vi*ces com*pé*tents doit per*met*tre de le véri*fier. Cela impli*que, ai-je dit, non pas une enquête poli*cière ou admi*nis*tra*tive, c’est-à-dire une enquête de la Police sur elle-même, mais une enquête très large, avec la par*ti*ci*pa*tion d’élus.

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17octobre61rafle-7314c.jpg

 

L’essen*tiel

 

J’en viens main*te*nant au propos qui est pour moi l’essen*tiel : celui qui vous concerne direc*te*ment, Monsieur le Préfet de Police. Mon projet n’est pas de clouer au pilori la Police pari*sienne, de pré*ten*dre qu’elle est com*po*sée de sau*va*ges, encore qu’il y ait eu bon nombre d’actes de sau*va*ge*rie. Mon projet est d’expli*quer pour*quoi tant d’hommes, qui ne sont pro*ba*ble*ment ni meilleurs, ni pires qu’aucun de nous, ont agi comme ils l’ont fait. Ici je pense que, dans la mesure où vous admet*trez par*tiel*le*ment ces faits, vous avez une expli*ca*tion. Elle a d’ailleurs été donnée tout à l’heure : elle réside dans les atten*tats algé*riens, dans les pertes que la Police a subies.

 

Il s’agit seu*le*ment d’expli*quer, sur le plan sub*jec*tif, l’atti*tude de la Police, cette expli*ca*tion est, en partie, suf*fi*sante. Nous nous sommes incli*nés assez sou*vent ici sur la mémoire des poli*ciers tués en ser*vice com*mandé pour le savoir, mais cela n’expli*que pas tout. Et sur*tout, ces expli*ca*tions sub*jec*ti*ves ne suf*fi*sent pas. Le poli*cier indi*vi*duel riposte lorsqu’il est atta*qué, mais il faut voir les choses de plus loin. Ce qui se passe vient d’une cer*taine concep*tion de la guerre à outrance menée contre le natio*na*lisme algé*rien. Ici on peut me répon*dre : « Auriez-vous voulu que nous lais*sions l’ennemi agir libre*ment chez nous ? Et même com*met*tre des crimes impu*né*ment ? » Sur ce plan, la logi*que est iné*vi*ta*ble : l’ennemi est l’ennemi ; il s’agit de le briser par tous les moyens, ou pres*que. Mais l’ennemi répond alors de la même façon, et on arrive là où nous sommes aujourd’hui. Il était impos*si*ble qu’il y ait une guerre à outrance en Algérie et qu’il ne se passe rien en France. Mais ce que je dis - et cela me semble véri*fié pour tout ce qu’on a dit ici, à droite, sur la puis*sance du FLN en France, et sur la menace qu’il repré*sente -, c’est qu’il aurait pu rendre la situa*tion infi*ni*ment plus grave qu’il ne l’a rendue.

 

La guerre à outrance

 

Les diri*geants algé*riens ont agi non pas en vertu de sen*ti*ments d’huma*nité mais dans leur propre inté*rêt, parce qu’ils vou*laient pou*voir orga*ni*ser les Algériens en France, parce qu’ils vou*laient « col*lec*ter » comme on l’a dit et cela, vous le savez bien, en géné*ral beau*coup plus par le consen*te*ment que par la ter*reur. Il y avait là aussi, pro*ba*ble*ment, l’influence d’un cer*tain nombre de cadres algé*riens, en par*ti*cu*lier de ces cadres syn*di*caux de l’UGTA, très enra*ci*nés dans le mou*ve*ment syn*di*cal fran*çais, très pro*ches de la popu*la*tion métro*po*li*taine, hos*ti*les au ter*ro*risme. Ce sont mal*heu*reu*se*ment eux, jus*te*ment, parce qu’ils étaient connus, repé*rés, voyants, qui ont été les pre*miers arrê*tés, sou*vent dépor*tés en Algérie, et on ne sait pas mal*heu*reu*se*ment, vous le savez, ce que ceux-là sont deve*nus.

 

Vous répli*que*rez qu’il y a eu, dès le début de la guerre, des règle*ments de compte entre Algériens, des liqui*da*tions de dénon*cia*teurs, etc., c’est-à-dire des crimes que la Police ne pou*vait pas tolé*rer, quelle que fût sa poli*ti*que. Oui, mais il y a, pour la Police, bien des façons d’agir et dans les pre*miers temps, on n’a pas vu se pro*duire, du côté poli*cier, les vio*len*ces extrê*mes qui sont venues ulté*rieu*re*ment. Ce que je dis, c’est qu’à un cer*tain moment, on a estimé que cette action de la Police ne suf*fi*sait pas.

 

On a estimé qu’il fal*lait qu’à la guerre à outrance menée contre le FLN en Algérie cor*res*ponde la guerre à outrance menée contre le FLN en France. Le résul*tat a été une ter*ri*ble aggra*va*tion de la répres*sion, la recher*che par tous les moyens du « ren*sei*gne*ment », la ter*reur orga*ni*sée contre tous les sus*pects, les camps de concen*tra*tion, les sévi*ces les plus ini*ma*gi*na*bles et la « chasse aux ratons ».

 

Je dis, Monsieur le Préfet de Police, que vous-même avez par*ti*cu*liè*re*ment contri*bué à créer ainsi, au sein d’une popu*la*tion misé*ra*ble, épouvantée, une situa*tion où le réflexe de sécu*rité ne joue plus. Je dis que les consi*gnes d’atten*tats contre la Police étaient bien plus faci*les à donner dans un climat pareil de déses*poir. Je dis que même si de telles consi*gnes n’exis*taient pas, le déses*poir et l’indi*gna*tion suf*fi*saient sou*vent à causer des atten*tats spon*ta*nés, en même temps qu’à encou*ra*ger ceux qui, au sein du FLN, vou*laient en orga*ni*ser. Je dis qu’on a ali*menté ainsi un enchaî*ne*ment auquel on n’est pas capa*ble de mettre fin.

 

Est-il vrai ?

 

Je pense, Monsieur le Préfet de Police, que vous avez agi dans toute cette affaire exac*te*ment comme ces chefs mili*tai*res qui consi*dè*rent que leur propre succès et leur propre mérite se mesu*rent à la vio*lence des com*bats, à leur carac*tère meur*trier, à la dureté de la guerre. C’était la concep*tion du géné*ral Nivelle au cours de l’offen*sive du Chemin des Dames, et vous savez que l’Histoire ne lui a pas été favo*ra*ble. C’est cette concep*tion qui a été la vôtre à Constantine et celle que vous avez voulu impor*ter dans la région pari*sienne, avec les résul*tats que l’on sait. Maintenant, vous êtes pris à votre propre jeu et vous ne pouvez pas vous arrê*ter, même en ce moment, à une époque où la paix paraît pos*si*ble. La ter*reur à laquelle la popu*la*tion algé*rienne est sou*mise n’a pas brisé la menace contre vos pro*pres poli*ciers, bien au contraire. J’espère me trom*per, j’espère que vous n’aurez pas relancé, d’une manière encore pire, l’enchaî*ne*ment du ter*ro*risme et de la répres*sion.

 

Car, enfin, il n’était pas condam*na*ble, il était excel*lent que le FLN cher*che, lui, à sortir de cet engre*nage par des mani*fes*ta*tions de rue, des mani*fes*ta*tions dont un grand nombre de gens ont dit qu’elles étaient, à l’ori*gine, paci*fi*ques. Nous aurions dû com*pren*dre, vous auriez dû com*pren*dre, que c’était là l’exu*toire qui per*met*trait au déses*poir de ne pas se trans*for*mer en ter*ro*risme. Au lieu de cela, vous avez contri*bué à créer une situa*tion pire. Vous avez réussi, et peut-être cer*tains s’en féli*ci*tent-ils, à dres*ser contre les Algériens, il faut le dire, une partie impor*tante de la popu*la*tion pari*sienne qui ne com*prend pas évidemment pour*quoi ces Algériens mani*fes*tent. Elle n’est pas algé*rienne, cette popu*la*tion, elle ne vit pas dans les bidon*vil*les, sa sécu*rité de tous les ins*tants n’est pas mena*cée par les harkis, etc. Alors, évidemment, « que vien*nent faire dans les rues ces Algériens ? Leur atti*tude est incom*pré*hen*si*ble ! »

 

Je dis, Messieurs les Préfets, mes chers col*lè*gues, que loin de cher*cher à répri*mer l’agi*ta*tion poli*ti*que des Algériens, nous devons dans cette pers*pec*tive de négo*cia*tion, de paix, qui s’ouvre enfin, même si c’est trop tard - nous devons cher*cher à léga*li*ser l’acti*vité poli*ti*que des Algériens en France. Il faut que leur action poli*ti*que s’effec*tue au grand jour, avec des orga*ni*sa*tions léga*les, donc contrô*la*bles, avec des jour*naux que l’on puisse lire. Nous devons leur lais*ser d’autres moyens que ceux du déses*poir.

 

Monsieur le Préfet de Police, cela sup*pose que vous, vous chan*giez d’atti*tude. Ici je suis obligé de vous poser une ques*tion très grave. Je vous prie, non pas de m’en excu*ser, car vous ne m’en excu*se*rez pas, mais de com*pren*dre qu’il est dif*fi*cile, pour un jour*na*liste qui sait que son jour*nal sera saisi, si quoi que ce soit déplaît un peu trop à la Police ou au gou*ver*ne*ment, d’écrire un arti*cle sur ce sujet. Mais quand ce jour*na*liste est conseiller muni*ci*pal, il a la pos*si*bi*lité de venir dire ces choses à la tri*bune et de les dire sans amba*ges.

 

Voici ma ques*tion : est-il vrai qu’au mois de sep*tem*bre et d’octo*bre, par*lant à des mem*bres de la Police pari*sienne, vous ayez affirmé à plu*sieurs repri*ses que le minis*tre de la Justice avait été changé, que la Police était main*te*nant cou*verte, et que vous aviez l’appui du gou*ver*ne*ment ? Si c’était vrai, cela expli*que*rait, en grande partie, l’atti*tude de la Police au cours de ces der*niers jours. Si ce n’est pas vrai, tant mieux. De toute façon, d’ici quel*ques années, d’ici quel*ques mois, quel*ques semai*nes peut-être, tout se saura, et on verra qui avait raison. Et si j’avais eu tort aujourd’hui, je serais le pre*mier à m’en féli*ci*ter. »

 

- Extrait du livre “Mes batailles” de Claude Bourdet (Ed. In Fine, 1993) pages 161/167 et aussi paru dans la revue France-Observateur du 2 novem*bre 1961 -

 

Même si Papon a été débouté de la plainte dépo*sée contre lui, tous ces faits, tout ces mas*sa*cres ont été com*plè*te*ment avérés au cours du procès, cepen*dant aujourd’hui le gou*ver*ne*ment fran*çais ne les a tou*jours pas offi*ciel*le*ment reconnus.

 

P.-S.

Voir cet article du popouri sur le 17 octobre 1961

Site du 17 octobre 1961 contre l’oubli

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mon grand pere est harki et on vous emmerde , j'ai une maison en algerie et j'y vais souvent

 

a mon avis

tu ne te respecte pas toi meme

 

soit l'aoubli soit avoir du respect pour ceux qui ont liberer ce pays

 

et toi on sera qui tu es

quand on aura les harchives donc tu ne perd rien pour attendre

 

mais au moin un peu de respect

 

va avec ceux que ton grand pere a choisi

 

a mon avis tu sera mieux

 

que fais tu avec les algeriens si c'est pour leur lancer ca

 

 

Nous avons tous et toutes une connaissance Harkis

mais nous n'en parlons pas

chacun sur ces gardes

est c'est pas une vie

 

on a pas le droir d'en parler ? du harkis en parlant des evenement en algerie?

 

comme etre fiere de nos Moudjahiddine?

comme automatiquement on ira sur les pieds noires et les harkis

ON A UNE HITOIRE CHER AMI

ET FINALEMENT DES VALEURS

ET toi et els ties vous coupez l'herbe sous les pieds

tu n'a pas honte?

 

le sujet le veux

 

pas moi ni toi

 

IL SUFFIT PAS DE DIRE

MOI LES MOUDJAHIDDINE ON TUER MON PERE

 

C'EST POURQUOI JE ME SUIS ENGAGER AVEC LA FRANCDE

 

LA QUESTION

C'EST POURQUOI CES MOUDJAHIDDINE NE SE SONT PAS PRI A d'AUTRE MEMBRE DE LA FAMILLE

 

ce sujet pris et contourner pour etre ca

 

c'est vouloir noyer le poisson

mais ici

ce n'est que l'historique

 

sache que la bas chez nous

la miser et al dificulté

ils ont oublier

 

seul toi qui a quelques chose a te reprochher tu te sent concerné

 

et justement tu interpelles

par ta phrase tu met en garde

et les algeriens vont devenir plus severe

et en cherchant on va se rendre compte

 

qu'on devrait etre plus severe avec la veniu des harkis

 

car ils sont arogant et insultant

 

 

CAR AVOIR

LE GRAND PERE

LE FILS

ET LE PETIT FILS

 

QUI DISENT AUX ALGERIENS JE VOUS EMMERDRE

 

COMMENT LE POURAIS TU SI

 

ON AVAIT PAS ETE LAISSE ALLER

 

ET HUMAIN

 

MAIS CE QUE TOI TU NOUS NOUS FAIS ENTENDRE

 

C'EST CE QUI SE PASSE LA BAS

 

VOUS ETES PARTOUT

 

PAR CONTRE

parmis vous les harkis

 

Il y a des gens qui savent se tenir

il ne s'affichent pas comme toi

 

AVEC HAINE ET COLERE

 

CONTRE CEUX QUI LUI ONT OUVERT LA PORTE

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a mon avis

tu ne te respecte pas toi meme

 

soit l'aoubli soit avoir du respect pour ceux qui ont liberer ce pays

 

et toi on sera qui tu es

quand on aura les harchives donc tu ne perd rien pour attendre

 

mais au moin un peu de respect

 

va avec ceux que ton grand pere a choisi

 

a mon avis tu sera mieux

 

que fais tu avec les algeriens si c'est pour leur lancer ca

 

 

Nous avons tous et toutes une connaissance Harkis

mais nous n'en parlons pas

chacun sur ces gardes

est c'est pas une vie

 

on a pas le droir d'en parler ? du harkis en parlant des evenement en algerie?

 

comme etre fiere de nos Moudjahiddine?

comme automatiquement on ira sur les pieds noires et les harkis

ON A UNE HITOIRE CHER AMI

ET FINALEMENT DES VALEURS

ET toi et els ties vous coupez l'herbe sous les pieds

tu n'a pas honte?

 

le sujet le veux

 

pas moi ni toi

 

IL SUFFIT PAS DE DIRE

MOI LES MOUDJAHIDDINE ON TUER MON PERE

 

C'EST POURQUOI JE ME SUIS ENGAGER AVEC LA FRANCDE

 

LA QUESTION

C'EST POURQUOI CES MOUDJAHIDDINE NE SE SONT PAS PRI A d'AUTRE MEMBRE DE LA FAMILLE

 

ce sujet pris et contourner pour etre ca

 

c'est vouloir noyer le poisson

mais ici

ce n'est que l'historique

 

sache que la bas chez nous

la miser et al dificulté

ils ont oublier

 

seul toi qui a quelques chose a te reprochher tu te sent concerné

 

et justement tu interpelles

par ta phrase tu met en garde

et les algeriens vont devenir plus severe

et en cherchant on va se rendre compte

 

qu'on devrait etre plus severe avec la veniu des harkis

 

car ils sont arogant et insultant

 

 

CAR AVOIR

LE GRAND PERE

LE FILS

ET LE PETIT FILS

 

QUI DISENT AUX ALGERIENS JE VOUS EMMERDRE

 

COMMENT LE POURAIS TU SI

 

ON AVAIT PAS ETE LAISSE ALLER

 

ET HUMAIN

 

MAIS CE QUE TOI TU NOUS NOUS FAIS ENTENDRE

 

C'EST CE QUI SE PASSE LA BAS

 

VOUS ETES PARTOUT

 

PAR CONTRE

parmis vous les harkis

 

Il y a des gens qui savent se tenir

il ne s'affichent pas comme toi

 

AVEC HAINE ET COLERE

 

CONTRE CEUX QUI LUI ONT OUVERT LA PORTE

 

 

Mon grand pere maternelle etait du FLN par contre et je peux te dire que les deux s'entendent très bien :Hug:

la guerre est finis t'es resté dans le passé

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Mon grand pere maternelle etait du FLN par contre et je peux te dire que les deux s'entendent très bien :Hug:

la guerre est finis t'es resté dans le passé

 

tuas oublier d'etre corecte

l'algerie devant l'empressement des question

 

elle a declarre

l'entre en algerie de qui que ec soit est libre

 

sauf que si un des harkis est agressé

l'algerie n'est pqs responsable

 

et devant la coruption ou tout est falsifier

on a detecter depusi la France que meme des juifs ont eut des papier Algeriens pour s'etre introduit en algerie

 

on va dire

 

contente toi d'etre heureux

et en reveille pas

l'esprit qui pourait aller y voir

 

 

SACHE QUE TOUTE L'ALGERIE A CONSTAT FAIT

 

ET CA SE DIT DE BOUCHE A OREILLE

 

MAIS ON ATTEND LES HARCHIVES

Donc refelchit

 

 

nous les algeriens on pas le temps des regles

 

au bout de X temps tout sera oublier

 

ca ne l'oubli pas

 

comme je t'empeche de dormir ce soir

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l'algerie

 

un jour sera algerienne

aujourd'hui .

on ne sai qui est qui

trop de paternite

meme ceux qui ont ete militaire raconte leur algerie

 

on a les pieds noire

on a les harkis

mais un jour une clarte se fera

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l'algerie

 

un jour sera algerienne

aujourd'hui .

on ne sai qui est qui

trop de paternite

meme ceux qui ont ete militaire raconte leur algerie

 

on a les pieds noire

on a les harkis

mais un jour une clarte se fera

 

:mdr: 60 ans d'indépendance

 

 

tu arrive pas a la cheville d'un Harki lui c'est battu pour des conviction

toi tu vie en France alors que les tiens ce sont battu pour leurs liberté

bande de sangsue a vivre en France (aucune dignité) on retourne chez l'occupent :mdr::mdr:

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:mdr: 60 ans d'indépendance

 

 

tu arrive pas a la cheville d'un Harki lui c'est battu pour des conviction

toi tu vie en France alors que les tiens ce sont battu pour leurs liberté

bande de sangsue a vivre en France (aucune dignité) on retourne chez l'occupent :mdr::mdr:

 

et toi que fais tu de mieux la?

 

tu crois avoir fais quelques chose

 

tu apporte que la poisse et les problemes

 

donc regarde toi et ecoute toi

avant de parler des autres

moi j'ai recu les obus et vue les avions et les balles sifler

j'ai vue des attaques comme je te lis la

et pas a la tele

 

j'ai vu mourir autour de moi

pauvre de toi

tu n'a que faire de ta vie tu vien ici et sans connaitre las gens tu baves sur eux

comme bien d'autres

 

tu vois moi je te reproche riene alors que tu en a pas

 

car te reprocher quelques chose c'est te donner de l'importance

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MOI j'ai aps honte de parler de mon pays

rien ame reprocher

 

NI CIOLABO

NI CORUPTEUR

NI AVOIR LAISSER FAIRE

 

Mais je constate

et c'est a moi de.................................

 

Qu'on vienne pas m'interdire quoi que ce soit

Car il faut en avoir du droitr pour le faire

Et ceux qui le font ici

N'on pas les moyens

 

IL SUFFIT PAS DE SOUFFRIR DANS UN PAYS POUR SE SENTIR PLUS NOBLE

 

CA ON A DEJA DONNER

 

UN PEU D'HUMIITE CORRIGERA CHACUN DE NOUS

ET DE RESPECT QUAND ON PARLE DE LA NOBLE ALGERIE

 

TOI OU MOI ON COMPTE PEU

 

MAIS VOUS ETES BEAUCOUP A AVOIR L'INSULTE FACILE

Et donc bonjour l'unité et le nationnalisme

Et ca devrait commencer ICI

 

Et c'est pas le cas

 

Donc bonjour le mecontentement deguisé

 

Car toi aussi tyu veut la place

 

Tu vois moi je te l'est laisser la place

Elle est a toi

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et toi que fais tu de mieux la?

 

tu crois avoir fais quelques chose

 

tu apporte que la poisse et les problemes

 

donc regarde toi et ecoute toi

avant de parler des autres

moi j'ai recu les obus et vue les avions et les balles sifler

j'ai vue des attaques comme je te lis la

et pas a la tele

 

j'ai vu mourir autour de moi

pauvre de toi

tu n'a que faire de ta vie tu vien ici et sans connaitre las gens tu baves sur eux

comme bien d'autres

 

tu vois moi je te reproche riene alors que tu en a pas

 

car te reprocher quelques chose c'est te donner de l'importance

 

que du blabla

 

L'algerie est indépendante et toi tu vie en France

 

 

les Harkis eux savent pourquoi ils sont en France

 

toi !!!!! aucune dignité , t'ai a vomir

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que du blabla

 

L'algerie est indépendante et toi tu vie en France

 

 

les Harkis eux savent pourquoi ils sont en France

 

toi !!!!! aucune dignité , t'ai a vomir

mais toi tu l'est deja vomi

 

car venir ici en france quemander aupres des siens

donne et je te rend

imagine si on etaient pas la nous l'imigration

comment seriez vous venu en france

 

 

et quand on dit non il y en aplus de plus on nous les a tous pris

puis on nous renis

 

et toi tu en faus partie

 

et cele qui aura dit sur CHAINE trois en directe parce sa famille en lui pas donner ce quele a demander

 

eh bien les imigrés meme un enfant je le mttrais dans un four pour le cuire

 

et vous etes des nerveux tous autant que vous etes

vos problemee ce n'est aps nous c'est vous meme

 

et la bas entre vous la famile deja

que ce passe t il?

 

pas un qui parle a l'autre

vous ete entrain de vous faire des proces donc moi et vos insultes c'est du petits lait

 

OCCUPEZ VOUS DE VOUS MEME

 

ON A PAS FRAPPER A VOS PORTES NI A VOS FENETRES

 

MAIS CA VIENDRA

 

ECOUTE JE RISQUE D4ETRE MECHANT

 

J'eviterais cela en te repondan plus

car tu es jeunes et sans cervelle ni respect

 

mais mon algerie toi tu ne poura pas me l'enlever ni personne d'autre

un tu n'a amem pas les moyens et tu n'imagine pas les moyens que moi j'ai d'etre algerien

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mais toi tu l'est deja vomi

 

car venir ici en france quemqnder aupres des siens

donne et je te rend

 

et quand on dit non il y en aplus de plus on nous les a tous pris

puis on nous renis

 

et toi tu en faus partie

 

et cele qui aura dit sur CHAINE trois en directe parce sa famille en lui pas donner ce quele a demander

 

eh bien les imigrés meme un enfant je le mttrais dans un four pour le cuire

 

et vous etes des nerveux tous autant que vous etes

vos problemee ce n'est aps nous c'est vous meme

 

et la bas entre vous la famile deja

que ce passe t il?

 

pas un qui parle a l'autre

vous ete entrain de vous faire des proces donc moi et vos insultes c'est du petits lait

 

OCCUPEZ VOUS DE VOUS MEME

 

ON A PAS FRAPPER A VOS PORTES NI A VOS FENETRES

 

MAIS CA VIENDRA

 

TU FUME QUOI ?

 

C'EST FORT :mdr:

 

CASSE TOI DE FRANCE SANGSUE DE TRAITE? HARKIS APRÈS L’INDÉPENDANCE

 

:)

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TU FUME QUOI ?

 

C'EST FORT :mdr:

 

CASSE TOI DE FRANCE SANGSUE DE TRAITE? HARKIS APRÈS L’INDÉPENDANCE

 

:)

 

je te retourne

au fait tu chiques quoi ?

ta declaration et ton compliment

 

Et j'ai rien a te prouver

On est sur l'artificiele

Tu n'est pas plus blanc que qui que ce soit

Et harkis que toi meme

 

Celui qui l'est qui le dit sans connaitre

un vrais algerie est eduquer et il est respectueux

ce qui n'est pas ton cas

 

UN HARKIS NE PARLE PAS DE L'ALGERIE

 

MAIS VIEN JETER UN COUP D'OEIL SUR CE QUI SE DIT

 

Et c'est ton cas

 

ET IL VIENT POUR METTRE DES BATONS DANS LES ROUES DU SUJET

 

EH OUI CA FAIT MAL

LA FIETE ALGERIENNE

 

PAS VOUS

VOUS CA VOUS BRULE

ET BIEN BRULER

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