Baba Merzoug 10 Posted May 28, 2013 Partager Posted May 28, 2013 [YOUTUBE]/HvfrxtTEJ7Y[/YOUTUBE] Citer Link to post Share on other sites
fatan 10 Posted June 4, 2013 Partager Posted June 4, 2013 jolie coin Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted June 4, 2013 Partager Posted June 4, 2013 [YOUTUBE]/HvfrxtTEJ7Y[/YOUTUBE] Quelques remarques constructives: Un bravo à ces investisseurs: Pour avoir plus de lait, il s'agit d'aller vers: - la production de fourrages verts à proximité de l'étable. Il ne faut pas rigoler. Ces Vaches laitières VL étrangères sont de véritables Formule 1. Là, elles sont menées de la façon d'un troupeau de chèvres. Les VL broutent les arbustes ligneux à la faible valeur nutritive alors qu'elles devraient avoir à disposition un gras pâturage. Non Mme la journaliste, ces VL n'ont pas "la mine réjouissante" dont vous parlez. Elles font de la peine. VL en Normandie. - amener l'eau à l'étable. Le lait est constitué de 80% d'eau. Les VL doivent avoir de l'eau à disposition dans l'étable. http://www.galeoph.com/images/Vache-brune-1-abreuvoir.JPG - les VL sont sales. Regardez leurs membres arrières (risques de contamination du lait). Cause: absence de paille pour constituer une litières. Elles sont couchées à même leurs excréments. CONSEILS: - cultiver à proximité des parcelles de fourrages irrigués (sorgho, luzerne, ...), http://africamix.blog.lemonde.fr/files/2009/01/sorgho.1233336566.jpg - installer un groupe électrogène pour la traite par pot trayeur, - amener une eau propre à l'intérieur même de l'étable. Les VL doivent avoir de l'eau à volonté, de même que des pierres à lécher. http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/0/0e/Leitevaca.JPG/250px-Leitevaca.JPG Citer Link to post Share on other sites
segalas 10 Posted June 4, 2013 Partager Posted June 4, 2013 ce type de vaches n'aiment pas notre pays ! je connais plusieurs cas de morts inexpliquées-peut etre des suicides!...on a juste importer ça pour servir les fellahs de l'ansej et empocher le pognon-apres l'agriculteur compte les enterrements . Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted June 4, 2013 Partager Posted June 4, 2013 Le président du CIL a propos de la production du lait « Il faut améliorer l’alimentation des vaches laitières » Abonnez-vous au flux RSS des articles 24 avr 2013 l'Econews 0 commentaire Encourager la culture fourragère Imprimer l'article Laisser un commentaire Envoyer l'article à un ami Intervenant lors de la conférence débat organisé ce matin à Constantine par la Fondation FILAHA-INNOVE et EXPOVET avec les professionnels de l’agriculture et de l’agro-industrie dans le cadre de la valorisation des produits algériens dans le secteur agricole avec la synergie de l’industrie agroalimentaire, M.Benchekor, président du Comité interprofessionnel de la filière lait a soutenu que « produire du lait à hauteur de la demande du marché nécessite des moyens financiers car les autres ressources existent ». L’Algérie compte actuellement un cheptel d’environ un million de bovins laitiers modernes lesquels bien nourris et bien logés pourraient facilement produire 4500 litres au lieu de 3500litres actuels par an et par individu. Le président du Cil a rappelé les besoins nationaux en matière de lait s’élève à 3,5 milliards de litres par an alors que la production actuelle ne dépasse pas les 800 millions de litres par an. Selon lui « Il faudra développer et produire suffisamment de fourrage pour permettre aux cheptels d’être rentables et produire la même quantité que dans son pays d’origine ». Améliorer l’alimentation des vaches laitières serait le seul moyen d’accroitre leur rendement. « Si la filière lait est actuellement en situation de redressement, il n’en demeure pas moins qu’il reste beaucoup à faire pour améliorer la production » selon toujours M. Benchekor qui insistera sur la mobilisation des capacités hydriques en vue d’arriver à irriguer entre 150 000 et 250 000 hectares. L’option des eaux souterraines qui se trouvent au sud a été développée avec la demande formulée de subventionner le transport notamment pour tous les produits de grandes nécessités. M. Benchekor a encore ajouté que «L’Algérie a besoin d’une superficie agricole fourragère de 200.000 hectares et quelque 600.000 vaches laitières pour parvenir à réduire la facture d’importation du lait en poudre». Le coût à l'hectare irrigué au goutte-à-goutte est estimé à 60.000 DA, ce qui grèverait le coût à la production du kilogramme d'ensilage, alors que l'Etat donne 6.000 DA/ha de soutien aux cultures fourragères « ce qui n'est pas suffisant » a-t-il soutenu. M.E.H Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted June 4, 2013 Partager Posted June 4, 2013 El MOUDJAHID.COM : Quotidien national d'information Mise à jour mardi 04 juin 2013 4 juin 2013 17:39:52 Filière lait : Dynamiser la production fourragère La production laitière nationale ne pourra pas se développer sans l'augmentation de la production fourragère, un élément clé pour atteindre l'autosuffisance en lait et sur lequel l'Etat devrait mettre le paquet et trouver des mécanismes d'aides aux agriculteurs, estiment dimanche à Alger des spécialistes de cette filière. PUBLIE LE : 22-05-2012 | 0:00 D.R La production laitière nationale ne pourra pas se développer sans l'augmentation de la production fourragère, un élément clé pour atteindre l'autosuffisance en lait et sur lequel l'Etat devrait mettre le paquet et trouver des mécanismes d'aides aux agriculteurs, estiment dimanche à Alger des spécialistes de cette filière. "Pour produire du lait, il faut d'abord produire des fourrages. Si l’on n'assure pas une bonne alimentation, saine et équilibrée au bétail, nous ne pourrons pas maîtriser les autres facteurs de production, tels que la santé animale", a indiqué le président du Conseil interprofessionnel du lait (CIL), M. Mahmoud Benchekor. Ce responsable s'exprimait en marge d'un symposium international sur la filière lait et process organisé en marge du 12e Salon international de l'élevage et de l'agroalimentaire (SIPSA-agrofood). Or, en Algérie, "nous avons un grand déficit en fourrages pour l'alimentation du cheptel, tout types confondus". Après avoir redynamisé la filière et créé une dynamique au sein des acteurs, l'interprofession engage désormais une réflexion sur l'identification des moyens et des techniques pouvant améliorer la production laitière, c'est "comment se rapprocher des besoins de la consommation nationale et atteindre, à terme, l'autosuffisance en lait", s'interroge M. Benchekor. "Le moment est venu de parler de rendement et de productivité", a-t-il ajouté. Pendant plus de 30 ans, l'Algérie importait des vaches laitières à haut potentiel génétique, qui produisent dans leurs pays plus de 6.000 litres de lait par lactation, alors que la moyenne nationale n'a jamais dépassé les 3.500 litres par lactation. "Si nous arrivons à régler ce problème (l'alimentation ndlr), tous les autres facteurs limitant pourraient être levés", note cet éleveur de la wilaya d'Oran. Pour lever cette contrainte, les pouvoirs publics devraient mettre à la disposition des agriculteurs des ressources hydriques nécessaires en mobilisant l'eau des barrages et celle issue du recyclage dont l'Algérie ambitionne de récupérer plus de 600 millions de m3 à l'horizon 2014. Le système de goutte-à-goutte est fortement recommandé pour économiser l'eau. Pour ce faire, l'Etat devrait accorder des aides "attractives" s'étalant sur une longue durée en vue de permettre l'ancrage des éleveurs professionnels et leur stabilisation dans la filière, recommande M. Benchekor. Le coût à l'hectare irrigué au goutte-à-goutte est estimé à 60.000 DA, ce qui grèverait le coût à la production du kilogramme d'ensilage, alors que l'Etat donne 6.000 DA/ha de soutien aux cultures fourragères, "ce qui n'est pas suffisant", selon cet éleveur. Pour lui, 250.000 à 300.000 ha irrigués pourront produire suffisamment de fourrages pour nourrir 1,5 million de vaches laitières, ce qui donnera l'équivalent de 7 milliards de litres à raison de 6.000 litres par lactation par an. Les besoins de l'Algérie en produits laitiers sont évalués à 5 milliards de litres équivalent en lait par an, dont 1,6 milliard de litres de lait en liquide, produits actuellement à base de lait cru et de la poudre. L'intervention des pouvoirs publics pour soutenir la production fourragère "s'avère aujourd'hui nécessaire vu l'intérêt exprimé par quelques opérateurs sur le terrain", estime M. Benchekor. "Le maïs fourrager et la luzerne sont les deux cultures clés qu'il faut développer et accompagner en Algérie", estime pour sa part M. Soukhal, expert et membre de la Fondation ''Filaha innov''. "Nous devons mettre le paquet sur ces cultures et trouver des mécanismes d'aide de l'Etat qui permettent de créer un système économique de production et de conservation des fourrages", a-t-il recommandé. Les experts intervenant lors de ce symposium ont beaucoup insisté sur l'alimentation, l'hygiène de l'élevage et la conduite du troupeau. Mais, "s'il ne fallait retenir de ces trois éléments qu'une seule chose, l'alimentation", a indiqué le directeur général de Bretagne International, Marc Gillaux. Enfin, selon ces experts, l'état actuel des étables en Algérie "est loin de réunir les conditions pour des rendements dignes d'exploitations compétitives". Les professionnels recommandent à cet effet de revoir les mécanismes prévus par le dispositif d'aides à la réhabilitation et à la modernisation des étables. Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted June 4, 2013 Partager Posted June 4, 2013 Pour améliorer la production laitière Les spécialistes recommandent l’intensification des cultures fourragères 20-05-2012 La Tribune image Photo : S. Zoheir Par Ziad Abdelhadi L’augmentation de la production de lait et la révision à la baisse de son coût de revient au litre restent grandement tributaires de la disponibilité de l’alimentation en vert du cheptel laitier pendant toute l’année. C’est ce que confirment les professionnels dans le domaine. Ils sont unanimes à dire que le facteur qui freine directement la croissance des élevages de bovins laitiers est l’insuffisance de la sole irriguée. En effet celle-ci (la sole irriguée) est généralement destinée à la production de produits maraîchers souvent non stratégiques et dégageant une forte plus value à leur exploitant par rapport au fourrage limitant ainsi la disponibilité du vert et autres fourrages. Selon le président du Comité interprofessionnel du lait (CIL), Mahmoud Benchekor, lui-même grand éleveur de bovin laitier, que nous avons rencontré lors de l’ouverture du Salon Sipsa-Agro-Food, samedi dernier, au Palais des expositions : 1- «Le cheptel laitier n’est pas placé dans des conditions optimales de production tant sur le plan de l’alimentation que celui de l’habitat et de l’hygiène». 2- Cela est d’autant plus vrai quand des vaches à haut potentiel génétique qui produisent chez eux près de 40 litres de lait par jour mais où ce chiffre tombe chez nous à pas plus de 25 litres dans le meilleur des cas. 3- «Si l’on veut changer la donne, il faudra pertinemment chercher de nouvelles solutions. La plus évidentes réside dans l’investissement au profit des cultures fourragères à haut rendement tels que le maïs et la luzerne», nous a indiqué notre interlocuteur. 4-Toujours dans ce même ordre d’idées, on apprendra du président du CIL que les éleveurs à défaut de trouver sur place ou proche de la localité de leur activité l’alimentation pour bétail, font beaucoup d’effort pour pouvoir alimenter leur cheptel laitier. «Souvent, ils ont recours aux concentrés ce qui augmente la quantité de concentrés dans les rations. Ce qui a pour conséquence direct de faible rendement chez les vaches laitières importées et un coût de revient au litre produit appelé à la hausse.» 5- La faible rentabilité pour cause de sous-alimentation est présente dans la quasi-majorité des étables du pays ce qui souvent pousse les investisseurs dans le créneau d’abandonné leur activité avec comme corollaire l’incontournable décision de mener leurs vaches à l’abattoir. 6- Il s’agit, aujourd’hui, selon Benchekor de savoir comment changer la donne ou en d’autres termes «diminuer les astreintes d’élevage et la quantité de concentré dans les rations». Cela demande, d’après les professionnels, une intensification des cultures fourragères. 7- Une option rendue possible à la condition que l’Etat intervienne en accordant des aides conséquentes aux investisseurs pour l’acquisition de semences fourragères et d’équipements, notamment les ensileuses ou au moins accompagner les investisseurs par des crédits bonifiés comme les pouvoirs publics l’on fait et continuent de le faire plus en aval dans la filière et n’ont pas négligé l’intensification de la production laitière en amont. 8- En matière de production fourragère, il est utile de rappeler que des expériences on été tentées à Ain Guessam (sud de la wilaya de Ghardaïa) où les rendements à l’hectare de maïs en grain et fourrager sont encourageant pour le développement de ce type de culture. 9- Concernant l’habitat et l’hygiène, là aussi des efforts de modernisation et de mécanisation des étables s’imposent. Un volet pris en charge par le programme Alban issu de la coopération entre l’Institut technique des élevages (ITELV) et l’association Bretagne International. 10- Reste enfin à savoir si nos ressources hydriques sont en mesure de répondre aux besoins de dédoubler la surface irriguée. Nous le serons dans un proche avenir c’est-à-dire quand tous les projets de réalisation de retenues et d’unités de dessalement d’eau de mer seront achevés. Ce qui va permettre de réserver des quantités importantes aux besoins de l’irrigation. Citer Link to post Share on other sites
PAX 10 Posted June 4, 2013 Partager Posted June 4, 2013 Hey Zoubir...il s'agit d'une ferme écologique...pour justement éviter toutes les erreurs que tu préconises... Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted June 4, 2013 Partager Posted June 4, 2013 Produire du lait, c'est produire avant tout de l'aliment pour les vaches, c'est à dire des fourrages. Citer Link to post Share on other sites
PAX 10 Posted June 4, 2013 Partager Posted June 4, 2013 Mais vouloir faire de ces vaches des formules 1 et pousser le rendement au max...grace aux méthodes de l'industrie agro alimentaire ...c'est exactement le contraire du projet de la ferme ecolo...et ils ont bien raison... Tu lis au moins les liens que tu postes? "Intervenant lors de la conférence débat organisé ce matin à Constantine par la Fondation FILAHA-INNOVE et EXPOVET avec les professionnels de l’agriculture et de l’agro-industrie..." Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted June 4, 2013 Partager Posted June 4, 2013 Petite étable à Izarazene gde kabylie - là aussi, on se demande ce que mange les animaux, - il s'agit d'un élevage hors-sol, - remarquez le pot trayeur pour la traite. Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted June 4, 2013 Partager Posted June 4, 2013 Algerie : l'éleveur de Kabylie Un jeune dynamique. Une belle étable. - il parle du problème du coût de l'aliment, - des frais vétérinaires trop élevés. Remarquez: - le pot trayeur, - l'eau courante dans l'étable, - mais l'absence d'abreuvoirs individuels dans les mangeoires. Purée! Je suis en train de visionner la vidéo et d'apporter les commentaires au fur et à mesure. - à 4 minutes, regardez la parcelle de maïs et le système d'arrosage. Wallah, celui-là c'est un bon éleveur, - à 4 35 regardez le tank pour réfrigérer le lait. Cela signifie qu'il a de l'électricité. Juste avant, il dit que les frais vétérinaires et que le maquignon empochent tous les bénéfices, idem avec le collecteur de lait. - à 9 34, il parle du fourrage vert. Ce n'est pas du maïs mais du sorgho. Je ne comprends pas tout qui peut m'aider à traduire. Il a l'air de dire que c'est la première fois qu'il en fait et que c'est pas mal. Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted June 4, 2013 Partager Posted June 4, 2013 La Tomme Noire de Kabylie Mrkabylski Mrkabylski·48 vidéos COMMENTAIRES DE LA VIDEO - Une solution afin de rentabiliser l'élevage: produire du fromage. - remarquez l'atelier (on parle de laboratoire): la table n'est pas en carrelage, mais en inox (norme européenne). C'est là un signe de professionnalisme. 19/03/2012 Reportage vidéo : la Tomme noire de Kabylie capture d'écran.JPGLa tomme noire de Kabylie est née à Beni-Yenni il y a un an, avec "Pastoral", sorte de petit camembert de 120 grammes, lui aussi fromage bio fabriqué au lait de vache cru. Pourquoi "la tomme" ? De "toma", qui veut dire : fromage fabriqué en alpages, en patois savoyard, simplement parce que, on ne connaît pas de nom en Kabyle, qui désigne le fromage, nos ancêtres n’en fabriquaient probablement pas, hormis "Aghoughlou" et "Ighounane". Ne nous connaissons pas de traditions fromagères à Ath Yenni, nous assistons peut être à la naissance de produits de terroir, qui deviendra aussi renommé, que ses célèbres bijoux d’argent. Cette fabrique artisanale de la famille Ladaouri, est dirigée par Ramdane, il nous parle de : bactéries, pâte fleurie, lait cru, affinage, et d’autres termes techniques, comme à l’université, car il est biologiste de formation, et connais donc bien son affaire. Avec sa petite équipe, Ramdane veille aux respects des normes strictes de production, et au cahier des charges arrêtés par ses pairs. Ils ne cessent d’améliorer les connaissances acquises durant les stages de formations en France, par le biais d’associations. Le lait imprégné des parfums des herbes du Djurdjura, dont se nourrissent les vaches, donne un fromage aux saveurs spécifiques, relevés et ajustés, par des touches personnelles liées au savoir-faire déjà remarquable. La dégustation de la "Tomme noire de Kabylie" et de "Pastoral" nous a fait remarquer une spécificité régionale dans la saveur et le goût, si on se réfère à la fidélité de nos souvenirs gustatifs des différentes variétés de fromages grignotés ça et là outre mer. "Aghoughlou" : est une espèce de fromage obtenue avec du lait frais de vache ou chèvre avec une pressurisation végétale, généralement la sève du figuier. "Ighounane" : une autre variété de fromage occasionnel, à la mise bas de la vache ou de la chèvre on prélève un peu du premier lait (colostrum) qu’on cuit avec des œufs. Tabèche Mohamed Avril 2009 Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted June 4, 2013 Partager Posted June 4, 2013 Elevage bovin au Maroc entre coût et rentabilité EchoEcoTV EchoEcoTV·18 vidéos Les éleveurs se plaignent aussi de la difficulté du coût de l'aliment. Elevage moderne de vaches laitières au Maroc. http://youtu.be/01vK38zXQds Commentaires: - remarquez que les animaux peuvent aller sur un pâturage vert (zone irriguée et à bonne pluviomètrie), - remarquez qu'à l'étable les vaches reçoivent un fourrage vert et non pas de la paille comme ration (la paille, c'est peu riche), - la personne parlait d'un fourrage: le Bersim. LE BERSIM: http://www.agrimaroc.net/elevage/aliment/bersm.htm Le bersim est une plante annuelle à production hivernale de taille moyenne allant de 40 à 80 cm. Son système racinaire peut atteindre 1 m de profondeur. Fiche technique du bersim http://www.agrimaroc.net/elevage/aliment/fich_bers.htm Fiche technique du bersim. Le bersim possède deux caractéristiques qui en font un bon précédent cultural. Grâce à sa végétation luxuriante et en raison des ... Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted June 4, 2013 Partager Posted June 4, 2013 Techniques de production de fourrages au Maroc. Voilà ce qu'il faudrait pour l'éleveur de la ferme de Béjaïa. * * * Regardez la technique. Technique de l'ensilage. Le fourrage broyé est compacté dans des silos béton par un tracteur (aux pneus propres et sans trace de terre). Une fois une bache sur le fourrage, la conservation peut durer plusieurs mois. Récolte et transport du fourrage broyé. Le plus souvent du maïs fourrager. A ne pas confondre avec le maïs grain. Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted June 4, 2013 Partager Posted June 4, 2013 Conseils lutte contre la piroplasmose transmise par les tiques. (el grad). Exemple en Tunisie. Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted June 4, 2013 Partager Posted June 4, 2013 Etable en kabylie Commentaires: - petite étable, - les animaux sont sur un pâturage pauvre, absence de cultures fourragères intensives, - les animaux n'ont pas d'eau à disposition dans l'étable, - l'éleveur met le fumier en tas sur la parcelle prêt à être épandu. Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted June 5, 2013 Partager Posted June 5, 2013 Prévention contre les Mammites Des Vaches En Tunisie http://agrimaroc.net/elevage/imagebov/mammite2.gif Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted June 5, 2013 Partager Posted June 5, 2013 Identification des bovins en Tunisie. Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted June 5, 2013 Partager Posted June 5, 2013 Soins vétérinaires à une vache. Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted June 5, 2013 Partager Posted June 5, 2013 Casablanca : La filière viande rouge Marocagriculture Marocagriculture·95 vidéos Casablanca : La filière viande rouge - YouTube Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted June 9, 2013 Partager Posted June 9, 2013 Pierres de sels pour animaux. Regardez bien cette vidéo. A un moment le commentaire dit que les pierres de sel extraites de la mine sont bonnes à mettre à disposition des animaux d'élevages. Citer Link to post Share on other sites
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