Guest Osiria Posted June 26, 2013 Partager Posted June 26, 2013 Bon c'est bon on peut rouvrir les frontières avec la Tunisie :confused: Tu veux dire avec la France ? Citer Link to post Share on other sites
Ladoz 11 Posted June 27, 2013 Partager Posted June 27, 2013 Le régime islamo-maçonnique de Ghanouchi vient de libérer ces FEMEN ???? ???? ?? ???? ???????? ?????? ????? ????? Citer Link to post Share on other sites
Terbhou 10 Posted June 27, 2013 Partager Posted June 27, 2013 Femen françaises "Etre une prisonnière en Tunisie" Les Femen françaises et allemande rentrées ce jeudi en France ont raconté leur calvaire, afin de témoigner des conditions de détention vécues par des milliers de femmes en Tunisie. Elles ont également tenu à préciser qu’elles avaient formulé des regrets au tribunal tunisien uniquement pour être libérées et continuer le combat, mais «Femen ne regrette jamais», ont-elle martelé. Elles sont de retour en France, elles sont saines et sauves, mais à jamais marquées par ce qu’elles viennent de vivre. Les deux Femen françaises Pauline Hillier et Marguerite Stern, et l'Allemande Josephine Markmann, arrivées en fin de matinée à Paris, ont eu le courage d’y tenir une conférence de presse ce jeudi après-midi, en présence d’Inna Shevchenko, la cofondatrice et porte-parole du mouvement féministe venu d’Ukraine, de la journaliste Caroline Fourest et de la cinéaste tunisienne Nadia El Fani, qui soutiennent leur cause depuis le début et ont co-réalisé le documentaire «Nos seins, nos armes». Avant tout, Joséphine, qui s’exprimait en anglais, a tenu à remettre les pendules à l’heure: si elles ont exprimé des regrets pendant l’audience de mercredi, c’est parce que l’ambassade de France en Tunisie –seul contact qu’elles ont eu durant toute leur détention- le leur a clairement conseillé pour sortir de prison. «Il faut savoir que nous avons subi des pressions psychologiques et physiques tous les jours plus intenses», a souligné l’Allemande, «que nous avons été condamnées en première instance à quatre mois de prison ferme, et que nous étions totalement coupées de l’extérieur». «Nous avions peur de rester écrouées, a-t-elle poursuivi, et de ne plus pouvoir agir au nom de Femen. (…) Mais Femen ne regrette jamais!», a lancé la jolie rousse dans un sourire. Joséphine a soufflé ses 20 bougies dans les geôles tunisiennes. Des humiliations quotidiennes Pauline a ensuite pris la parole, pour décrire leurs conditions de détention épouvantables. Après leur arrestation le 29 mai pour avoir manifesté seins nus en soutien à Amina Sbouï (qui se faisait appeler Amina Tyler), la «première Femen tunisienne», elles ont été «frappées par la police et insultées», puis «enfermées dans une pièce sombre», avant d’être «traînées à toute vitesse dans le Palais de justice», une scène «surréaliste» au cours de laquelle elles se faisaient insulter et recevaient des «coups de pieds», probablement d’islamistes en colère. Elles ont ensuite été transportées dans un camion, menottées, dans une prison mixte où elles ne sont «heureusement» restées qu’un jour, avec du «sang au sol» et sur les couvertures, par ailleurs couvertes d’«urine». «On nous a prévenu que l’on risquait d’être tapées et violées», poursuit la Française de 26 ans. Elles l’ont échappé belle. Suite à cela, elles ont été transférées à la prison de Manouba, près de Tunis. «On s’attendait à des conditions plus décentes», relate-t-elle encore. «Certes, elles l’étaient en théorie, mais loin de respecter les droits de l’Homme les plus élémentaires.» La brune aux cheveux longs précise ainsi avoir subi des «humiliations quotidiennes», allant des «fouilles au corps» dans des conditions «pas du tout intimes», à la nourriture «jetée dans des seaux», en passant par l’humiliation ultime de devoir jeter sa serviette hygiénique au sol, et en public. «C’est difficile à dire, j’en ai honte, mais c’est ce qu’on a vécu, c’est ce que les femmes prisonnières en Tunisie subissent tous les jours et il faut que cela se sache», souligne-t-elle, déterminée. Elle témoigne encore n’avoir pu prendre une douche qu’une fois en un mois. «Pendant cette douche, on nous a dit de remettre notre culotte parce que notre sexe était honteux», détaille la jeune femme. «Pendant cette douche, une gardienne est venue nous frotter elle-même avec ses mains. (…) Le reste du temps, on a dû se laver dans un trou qui nous servait de toilettes, sans évacuation des eaux, avec des cafards, des souris et j’en passe. C’est apparemment le lot de toutes les prisons mais aucun prisonnier ne pourra s’habituer», poursuit-elle très vite, tant les souvenirs ont l’air de fuser dans sa tête, alors qu’elle souhaite n’en oublier aucun. Des conditions sanitaires qui provoquent bien sûr des problèmes de santé –anémies, infections et autres vomissements. «Des femmes font des malaises tous les jours.» Pauline affirme par ailleurs que la tyrannie religieuse est très présente. «Le seul livre autorisé est le Coran. La seule activité autorisée aux prisonnières est l’éducation religieuse», tandis que la télé diffuse en boucle des prières… «Si vous êtes née femme, c’est pas de chance» Marguerite, 22 ans, prend à son tour la parole. Au cours de leur détention, elles ont rencontré une trentaine de femmes, qui leur ont raconté pourquoi elles étaient ici. Elles ont ainsi découvert qu’«en Tunisie, on emprisonne les femmes parce qu’elles ont osé embrasser un autre homme» que leur mari, ou parce qu’elles sont «habillées tel que je suis habillée aujourd’hui par exemple» -elle est en short et T-shirt. «On a côtoyé des adolescentes qui ont été emprisonnées parce qu’elles ont subi des viols, poursuit-elle. On a retrouvé des traces de sperme dans leur vagin, on en a déduit qu’elles n’étaient plus vierges ce qui est considéré comme un crime.» Elle en déduit: «Si vous êtes née femme en Tunisie, c’est pas de chance.» La brune aux cheveux courts semble plus éprouvée que ses consœurs. Elle prend sur elle pour témoigner de ce qu’elle a vécu et il lui arrive de s’arrêter pour reprendre son souffle –«je n’y arrive pas», lâche-t-elle à un moment à Pauline, qui prend le relais. Mais Marguerite se reprend rapidement. «On a rencontré plein d’Amina», écrouées pour avoir osé protester, ce que dénonce Femen haut et fort. «C’est un combat qu’on ne lâchera pas. On ne lâchera pas Amina», promet-elle. Malgré cette expérience traumatisante, les jeunes femmes répètent rien ne regretter. «Et si c’était à refaire [elles] le referai[ent]», concluent-elles en chœur. Paris Match Citer Link to post Share on other sites
mackiavelik 230 Posted June 28, 2013 Partager Posted June 28, 2013 On est supposés prendre cash la parole de 3 nudistes qui ont menti pour entrer en Tunisie? Citer Link to post Share on other sites
Terbhou 10 Posted June 28, 2013 Partager Posted June 28, 2013 On est supposés prendre cash la parole de 3 nudistes qui ont menti pour entrer en Tunisie? Elles sont marrantes, elle s'attendaient à quoi? c'est pas le club med non plus :mdr: Les prisons dans les pays sous-dev sont toutes loin d'être des lieux de détente et de loisirs Citer Link to post Share on other sites
mackiavelik 230 Posted June 28, 2013 Partager Posted June 28, 2013 Elles sont marrantes, elle s'attendaient à quoi? c'est pas le club med non plus :mdr: Les prisons dans les pays sous-dev sont toutes loin d'être des lieux de détente et de loisirs Elles sont plus que marrantes. «Pendant cette douche, une gardienne est venue nous frotter elle-même avec ses mains. " Elles feraient tout pour revenir dans cette prison.:eat: Citer Link to post Share on other sites
Terbhou 10 Posted June 28, 2013 Partager Posted June 28, 2013 Elles sont plus que marrantes. Elles feraient tout pour revenir dans cette prison.:eat: :mdr: awah ma chekitch, cheb3ou tmermid w khlaye3, elles sont pas prêtes de se redonner en spectacle dans un pays musulman à mon avis :D Citer Link to post Share on other sites
mackiavelik 230 Posted June 28, 2013 Partager Posted June 28, 2013 :mdr: awah ma chekitch, cheb3ou tmermid w khlaye3, elles sont pas prêtes de se redonner en spectacle dans un pays musulman à mon avis :D J'aimerais bien qu'elles le fassent au Maroc par exemple...en soutien aux filles de -18 ans utilisées comme objets sexuels par les touristes francais. Elles n'iraient jamais dans ce pays par exemple...parce que tout ca est politique et ca a rapport avec la tombée de Ben Ali et la position francaise et occidentale. Citer Link to post Share on other sites
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