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Bonjour

Certain en vivent

Ils l'enseignent

Et ils la font connaitre

Montrant de leur doigt de qui on doit avoir peur

 

Il parle depuis leurs fenêtre

En oubliant leur propre Erreurs

 

Je disais dimanche dans une manifestation politique dans ma region

 

je vien d'un pays ou les algeriens etaient au bout du fusils de la france qui etait la bas

 

Venant ici en france j'ai decouver une autre france

Solidaire et plus fraternelle

 

Oui en France il y a d'autres France

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CERTAIN EN SONT LES ACTIONNAIRES

 

ET LES ACTEURS ET ARTISANT

 

De ces choses

La police est la premiere a s'outiller

De ces Inocents qui jouent un jeux dont il ne connaissent ni son air

ni ou il va

Mais se rendront compte que ec sont eux les premiers perdants

 

Trop tard comme un fumeur ils sont dans le besoin les delinquents aussi

ALORS ILS DEVIENNENT LEUR AGENTS

 

EN d'autres temps on les a appeller des indics

 

finalement on les appelle des delinquents

 

 

ils sont au service de la police qui les manipule

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LA PEURE ELLE EST FDANS BOUCHE DE L'ORREUR

ELLE DANS LA BOUCHE DU FN

 

ELLE EST DANS LA BOUCHE DE CEUX Q'UI EXCLUS

ELLE EST DANS LA BOUCHE DES RACISTES

ELLE EST ENFANT DANS LA BOUCHE DE CEUX QUI ONT PEURE

ELLE DANS LES MAUVAISES PLITIQUE

ELLES LA OU ON A RIEN A DIRE

 

 

Johnny Hallyday

- La peur

 

Elle a ses lettres de noblesse

Hiroshima et Buchenwald

Elle est la tronçonneuse qui laisse

Le baiser rouge du métal

 

Elle est le cancer, la chaux vive

Elle blanchit cheveux et squelettes

Elle se fout bien qu'on l'exorcise

Elle vomit en tournant la tête

 

La peur

Elle viendra un jour pour te bloquer le coeur

La peur

Elle fait l'amour avec l'horreur

 

Elle a eu ses moments de gloire

Dans la tranchée des baïonnettes

Ou sur le fil du rasoir

Elle en a fait tomber des têtes

 

Elle est le serpent, le napalm

Elle brûle les âmes et les coeurs

De la souffrance elle a la palme

Elle a déculotté l'honneur

 

La peur

Elle viendra un jour pour te bloquer le coeur

La peur

Elle fait l'amour avec l'horreur

 

Elle est l'artère qui se bouche

Elle est minuit dans un château

Elle a plein de sang dans la bouche

Elle a les reflets d'un couteau

 

Elle est le rat qui grimpe au mur

Elle est l'alcool, elle est la fièvre

Le roue qui éclate en voiture

Le cauchemar qui balaie le rêve

 

La peur

Elle viendra un jour pour te bloquer le coeur

La peur

Elle fait l'amour avec l'horreur

 

La peur

Elle viendra un jour pour te bloquer le coeur

La peur

Elle fait l'amour avec l'horreur

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Il a connu le napalm Hiroshima et Buchenwald celui la ?? il a juste peur des inspecteurs du fisc

 

 

D'abord bonjour PAX

 

explique

 

c'est du voyage que tu parle comme ceux qui quittent le bateau qu'on va dire

 

comme eclui qui quitta la france

pour aller en RUSSIE

 

la bas c'est TCHERNOBYLE

eh oui que tu a raison

 

Pas mal

y a de l'esprit

ce qui n'est pas rien

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Bonjour PMAT

 

Non je parle de Johnny. ;)

 

Tchernobyl c'est en Russie?

 

Ah oui l'interprete de la peure

oui il est soit en suisse soit en belgique

son oncle LEE est en belgique

 

pour ses impôts il la joue ici et la et surement meme en amerique

 

 

quand a Tchernobyle oui c'est en Russie

et je me rappelle de la date ou ca a eclater

 

c'est en 1986

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Tu as a moitié raison PMAT donc tort ;)

 

C'est en Ukraine...ex URSS il est vrai

 

ah la vache

 

pointilleux avec ca

 

moi et la geo

de plus pour moi tout le monde parle de russie

 

le reste n'est pas important

 

mais en parlant de russie

je suis dans le vrais on doit se comprendre a plus de 90%

Quand on parle de tchernobyle

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ALLONS VOIR ICI ET LA SUR CE QUE DISENT D'AUTRE PAR EXEMPLE DE MAUPASSANT

QUE J4AI LU QUELQUES PHRASES ICI ET LA DEPUIS LE TEMPS

SUR LA PEURE

 

MAUPASSANT, Guy de : La peur (ce conte parut le 23 octobre 1882 dans le journal Le Gaulois)

SAISIE DU TEXTE : Sylvie Pestel pour la collection électronique de la Bibliothèque municipale de Lisieux (17.05.1995). ADRESSE : Bibliothèque municipale - B.P. 216 - F 14107 Lisieux cedex.- TEL. : 31.48.66.50.- MINITEL : 31.48.66.55.-E-MAIL : 100346.471@compuserve.com

Diffusion libre et gratuite (freeware)

La peur par Guy de MAUPASSANT

 

à J.-K. Huysmans

 

On remonta sur le pont après dîner. Devant nous, la Méditerranée n'avait pas un frisson sur toute sa surface qu'une grande lune calme moirait. Le vaste bateau glissait, jetant sur le ciel, qui semblait ensemencé d'étoiles, un gros serpent de fumée noire ; et, derrière nous, l'eau toute blanche, agitée par le passage rapide du lourd bâtiment, battue par l'hélice, moussait, semblait se tordre, remuait tant de clartés qu'on eût dit de la lumière de lune bouillonnant.

 

Nous étions là, six ou huit, silencieux, admirant, l'oeil tourné vers l'Afrique lointaine où nous allions. Le commandant, qui fumait un cigare au milieu de nous, reprit soudain la conversation du dîner.

 

- Oui, j'ai eu peur ce jour-là. Mon navire est resté six heures avec ce rocher dans le ventre, battu par la mer. Heureusement que nous avons été recueillis, vers le soir, par un charbonnier anglais qui nous aperçut.

 

Alors un grand homme à figure brûlée, à l'aspect grave, un de ces hommes qu'on sent avoir traversé de longs pays inconnus, au milieu de dangers incessants, et dont l'oeil tranquille semble garder, dans sa profondeur, quelque chose des paysages étranges qu'il a vus ; un de ces hommes qu'on devine trempés dans le courage, parla pour la première fois :

 

- Vous dites, commandant, que vous avez eu peur ; je n'en crois rien. Vous vous trompez sur le mot et sur la sensation que vous avez éprouvée. Un homme énergique n'a jamais peur en face du danger pressant. Il est ému, agité, anxieux ; mais la peur, c'est autre chose. Le commandant reprit en riant :

 

- Fichtre ! je vous réponds bien que j'ai eu peur, moi.

 

Alors l'homme au teint bronzé prononça d'une voix lente :

 

- Permettez-moi de m'expliquer ! La peur (et les hommes les plus hardis peuvent avoir peur), c'est quelque chose d'effroyable, une sensation atroce, comme une décomposition de l'âme, un spasme affreux de la pensée et du coeur, dont le souvenir seul donne des frissons d'angoisse. Mais cela n'a lieu, quand on est brave, ni devant une attaque, ni devant la mort inévitable, ni devant toutes les formes connues du péril : cela a lieu dans certaines circonstances anormales, sous certaines influences mystérieuses en face de risques vagues. La vraie peur, c'est quelque chose comme une réminiscence des terreurs fantastiques d'autrefois. Un homme qui croit aux revenants, et qui s'imagine apercevoir un spectre dans la nuit, doit éprouver la peur en toute son épouvantable horreur.

 

Moi, j'ai deviné la peur en plein jour, il y a dix ans environ. Je l'ai ressentie, l'hiver dernier, par une nuit de décembre.

 

Et, pourtant, j'ai traversé bien des hasards, bien des aventures qui semblaient mortelles. Je me suis battu souvent. J'ai été laissé pour mort par des voleurs. J'ai été condamné, comme insurgé, à être pendu, en Amérique, et jeté à la mer du pont d'un bâtiment sur les côtes de Chine. Chaque fois je me suis cru perdu, j'en ai pris immédiatement mon parti, sans attendrissement et même sans regrets.

 

Mais la peur, ce n'est pas cela.

 

Je l'ai pressentie en Afrique. Et pourtant elle est fille du Nord ; le soleil la dissipe comme un brouillard. Remarquez bien ceci, Messieurs. Chez les Orientaux, la vie ne compte pour rien ; on est résigné tout de suite ; les nuits sont claires et vides des inquiétudes sombres qui hantent les cerveaux dans les pays froids. En Orient, on peut connaître la panique, on ignore la peur.

 

Eh bien ! voici ce qui m'est arrivé sur cette terre d'Afrique :

 

Je traversais les grandes dunes au sud de Ouargla. C'est là un des plus étranges pays du monde. Vous connaissez le sable uni, le sable droit des interminables plages de l'Océan. Eh bien ! figurez-vous l'Océan lui-même devenu sable au milieu d'un ouragan ; imaginez une tempête silencieuse de vagues immobiles en poussière jaune. Elles sont hautes comme des montagnes, ces vagues inégales, différentes, soulevées tout à fait comme des flots déchaînés, mais plus grandes encore, et striées comme de la moire. Sur cette mer furieuse, muette et sans mouvement, le dévorant soleil du sud verse sa flamme implacable et directe. Il faut gravir ces lames de cendre d'or, redescendre, gravir encore, gravir sans cesse, sans repos et sans ombre. Les chevaux râlent, enfoncent jusqu'aux genoux, et glissent en dévalant l'autre versant des surprenantes collines.

 

Nous étions deux amis suivis de huit spahis et de quatre chameaux avec leurs chameliers. Nous ne parlions plus, accablés de chaleur, de fatigue, et désséchés de soif comme ce désert ardent. Soudain un de nos hommes poussa une sorte de cri ; tous s'arrêtèrent ; et nous demeurâmes immobiles, surpris par un inexplicable phénomène, connu des voyageurs en ces contrées perdues.

 

Quelque part, près de nous, dans une direction indéterminée, un tambour battait, le mystérieux tambour des dunes ; il battait distinctement, tantôt plus vibrant, tantôt affaibli, arrêtant, puis reprenant son roulement fantastique.

 

Les Arabes, épouvantés, se regardaient ; et l'un dit, en sa langue : "La mort est sur nous". Et voilà que tout à coup mon compagnon, mon ami, presque mon frère, tomba de cheval, la tête en avant, foudroyé par une insolation.

 

Et pendant deux heures, pendant que j'essayais en vain de la sauver, toujours ce tambour insaisissable m'emplissait l'oreille de son bruit monotone, intermittent et incompréhensible ; et je sentais glisser dans mes os la peur, la vraie peur, la hideuse peur, en face de ce cadavre aimé, dans ce trou incendié par le soleil entre quatre monts de sable, tandis que l'écho inconnu nous jetait, à deux cents lieues de tout village français, le battement rapide du tambour.

 

Ce jour-là, je compris ce que c'était que d'avoir peur ; je l'ai su mieux encore une autre fois...

 

Le commandant interrompit le conteur :

 

- Pardon, Monsieur, mais ce tambour ? Qu'était-ce ?

 

Le voyageur répondit :

 

- Je n'en sais rien. Personne ne sait. Les officiers, surpris souvent par ce bruit singulier, l'attribuent généralement à l'écho grossi, multiplié, démesurément enflé par les vallonnements des dunes, d'une grêle de grains de sable emportés dans le vent et heurtant une touffe d'herbes sèches ; car on a toujours remarqué que le phénomène se produit dans le voisinage de petites plantes brûlées par le soleil, et dures comme du parchemin.

 

Ce tambour ne serait donc qu'une sorte de mirage du son. Voilà tout. Mais je n'appris cela que plus tard.

 

J'arrive à ma seconde émotion.

 

C'était l'hiver dernier, dans une forêt du nord-est de la France. La nuit vint deux heures plus tôt, tant le ciel était sombre. J'avais pour guide un paysan qui marchait à mon côté, par un tout petit chemin, sous une voûte de sapins dont le vent déchaîné tirait des hurlements. Entre les cimes, je voyais courir des nuages en déroute, des nuages éperdus qui semblaient fuir devant une épouvante. Parfois, sous une immense rafale, toute la forêt s'inclinait dans le même sens avec un gémissement de souffrance ; et le froid m'envahissait, malgré mon pas rapide et mon lourd vêtement.

 

Nous devions souper et coucher chez un garde forestier dont la maison n'était plus éloignée de nous. J'allais là pour chasser.

 

Mon guide, parfois, levait les yeux et murmurait : "Triste temps !". Puis il me parla des gens chez qui nous arrivions. Le père avait tué un braconnier deux ans auparavant, et, depuis ce temps, il semblait sombre, comme hanté d'un souvenir. Ses deux fils, mariés, vivaient avec lui.

 

Les ténèbres étaient profondes. Je ne voyais rien devant moi, ni autour de moi, et toute la branchure des arbres entre-choqués emplissait la nuit d'une rumeur incessante. Enfin, j'aperçus une lumière, et bientôt mon compagnon heurtait une porte. Des cris aigus de femmes nous répondirent. Puis, une voix d'homme, une voix étranglée, demanda : "Qui va là ?". Mon guide se nomma. Nous entrâmes. Ce fut un inoubliable tableau.

 

Un vieil homme à cheveux blancs, à l'oeil fou, le fusil chargé dans la main, nous attendait debout au milieu de la cuisine, tandis que deux grands gaillards, armés de haches, gardaient la porte. Je distinguai dans les coins sombres deux femmes à genoux, le visage caché contre le mur.

 

On s'expliqua. Le vieux remit son arme contre le mur et ordonna de préparer ma chambre ; puis, comme les femmes ne bougeaient point, il me dit brusquement :

 

- Voyez-vous, Monsieur, j'ai tué un homme, voilà deux ans, cette nuit. L'autre année, il est revenu m'appeler. Je l'attends encore ce soir.

 

Puis il ajouta d'un ton qui me fit sourire :

 

- Aussi, nous ne sommes pas tranquilles.

 

Je le rassurai comme je pus, heureux d'être venu justement ce soir-là, et d'assister au spectacle de cette terreur superstitieuse.

 

Je racontai des histoires, et je parvins à calmer à peu près tout le monde.

 

Près du foyer, un vieux chien, presque aveugle et moustachu, un de ces chiens qui ressemblent à des gens qu'on connaît, dormait le nez dans ses pattes.

 

Au-dehors, la tempête acharnée battait la petite maison, et, par un étroit carreau, une sorte de judas placé près de la porte, je voyais soudain tout un fouillis d'arbres bousculés par le vent à la lueur de grands éclairs.

 

Malgré mes efforts, je sentais bien qu'une terreur profonde tenait ces gens, et chaque fois que je cessais de parler, toutes les oreilles écoutaient au loin. Las d'assister à ces craintes imbéciles, j'allais demander à me coucher, quand le vieux garde tout à coup fit un bond de sa chaise, saisit de nouveau son fusil, en bégayant d'une voix égarée : "Le voilà ! le voilà ! Je l'entends !". Les deux femmes retombèrent à genoux dans leurs coins en se cachant le visage ; et les fils reprirent leurs haches. J'allais tenter encore de les apaiser, quand le chien endormi s'éveilla brusquement et, levant sa tête, tendant le cou, regardant vers le feu de son oeil presque éteint, il poussa un de ces lugubres hurlements qui font tressaillir les voyageurs, le soir, dans la campagne. Tous les yeux se portèrent sur lui, il restait maintenant immobile, dressé sur ses pattes comme hanté d'une vision, et il se remit à hurler vers quelque chose d'invisible, d'inconnu, d'affreux sans doute, car tout son poil se hérissait. Le garde, livide cria : "Il le sent ! il le sent ! il était là quand je l'ai tué". Et les deux femmes égarées se mirent, toutes les deux, à hurler avec le chien.

 

Malgré moi, un grand frisson me courut entre les épaules. Cette vision de l'animal dans ce lieu, à cette heure, au milieu de ces gens éperdus, était effrayant à voir.

 

Alors, pendant une heure, le chien hurla sans bouger ; il hurla comme dans l'angoisse d'un rêve ; et la peur, l'épouvantable peur entrait en moi ; la peur de quoi ? Le sais-je ? C'était la peur, voilà tout.

 

Nous restions immobiles, livides, dans l'attente d'un événement affreux, l'oreille tendue, le coeur battant, bouleversés au moindre bruit. Et le chien se mit à tourner autour de la pièce, en sentant les murs et gémissant toujours. Cette bête nous rendait fous ! Alors, le paysan qui m'avait amené, se jeta sur elle, dans une sorte de paroxysme de terreur furieuse, et, ouvrant une porte donnant sur une petite cour jeta l'animal dehors.

 

Il se tut aussitôt ; et nous restâmes plongés dans un silence plus terrifiant encore. Et soudain tous ensemble, nous eûmes une sorte de sursaut : un être glissait contre le mur du dehors vers la forêt ; puis il passa contre la porte, qu'il sembla tâter, d'une main hésitante ; puis on n'entendit plus rien pendant deux minutes qui firent de nous des insensés ; puis il revint, frôlant toujours la muraille ; et il gratta légèrement, comme ferait un enfant avec son ongle ; puis soudain une tête apparut contre la vitre du judas, une tête blanche avec des yeux lumineux comme ceux des fauves. Et un son sortit de sa bouche, un son indistinct, un murmure plaintif.

 

Alors un bruit formidable éclata dans la cuisine. Le vieux garde avait tiré. Et aussitôt les fils se précipitèrent, bouchèrent le judas en dressant la grande table qu'ils assujettirent avec le buffet.

 

Et je vous jure qu'au fracas du coup de fusil que je n'attendais point, j'eus une telle angoisse du coeur, de l'âme et du corps, que je me sentis défaillir, prêt à mourir de peur.

 

Nous restâmes là jusqu'à l'aurore, incapables de bouger, de dire un mot, crispés dans un affolement indicible.

 

On n'osa débarricader la sortie qu'en apercevant, par la fente d'un auvent, un mince rayon de jour.

 

Au pied du mur, contre la porte, le vieux chien gisait, la gueule brisée d'une balle.

 

Il était sorti de la cour en creusant un trou sous une palissade.

 

L'homme au visage brun se tut ; puis il ajouta :

 

- Cette nuit-là pourtant, je ne courus aucun danger ; mais j'aimerais mieux recommencer toutes les heures où j'ai affronté les plus terribles périls, que la seule minute du coup de fusil sur la tête barbue du judas.

 

retour

table des auteurs et des anonymes

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Peur ou comment s'en sortir ?

 

 

Pour vous aider à vaincre la peur et l'angoisse, peur.org vous propose de les expliquer avec l'aide d'un psychothérapeute.

 

 

PEUR

 

n. f. Crainte, frayeur, émotion pénible produite par l'idée ou la vue d'un danger. Avoir peur. Il eut grand-peur. Il eut une belle peur. Faire peur à quelqu'un. Je lui en ai fait la peur. Il lui fit peur des suites qu'aurait son action. Il n'en a eu que la peur. Quitte pour la peur. Il a eu plus de peur que de mal. La peur de la mort. Il a peur de tout. Il n'a peur de rien. C'est un homme qui ne connaît pas la peur. Les anciens avaient élevé des autels à la Peur.

Source: Dictionnaire de l'Académie française, 8e édition

SUITE

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La meilleure attitude: la fuite

 

"Quand il ne peut plus lutter contre le vent et la mer pour poursuivre sa route, il y a deux allures que peut encore prendre un voilier : la cape (le foc bordé à contre et la barre dessous) le soumet à la dérive du vent et de la mer, et la fuite devant la tempête en épaulant la lame sur l’arrière avec un minimum de toile. La fuite reste souvent, loin des côtes, la seule façon de sauver le bateau et son équipage. Elle permet aussi de découvrir des rivages inconnus qui surgiront à l’horizon des calmes retrouvés. Rivages inconnus qu’ignoreront toujours ceux qui ont la chance apparente de pouvoir suivre la route des cargos et des tankers, la route sans imprévu imposée par les compagnies de transport maritime."

 

Henri Laborit

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CERTAIN SON DOCTEUR POUR REPARER LA PEURE

 

Comment s'en sortir ?

 

 

Pour vous aider à vaincre la peur et l'angoisse, peur.org vous propose de les expliquer avec l'aide d'un psychothérapeute.

 

 

PEUR

 

n. f. Crainte, frayeur, émotion pénible produite par l'idée ou la vue d'un danger. Avoir peur. Il eut grand-peur. Il eut une belle peur. Faire peur à quelqu'un. Je lui en ai fait la peur. Il lui fit peur des suites qu'aurait son action. Il n'en a eu que la peur. Quitte pour la peur. Il a eu plus de peur que de mal. La peur de la mort. Il a peur de tout. Il n'a peur de rien. C'est un homme qui ne connaît pas la peur. Les anciens avaient élevé des autels à la Peur.

Source: Dictionnaire de l'Académie française, 8e édition

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V ous vous sentez piégé(e) - enfermé(e) dans une situation sans issue ? Vous avez peur, vous êtes angoissé(e) ? Ne désespérez pas, Françoise Coeurderoy, psychothérapeute, est là pour vous apporter une bouffée d'oxygène.

 

U ne méthode différente des méthodes classiques.

 

C e qui importe, c'est d'aboutir dans un délai le plus court possible à un changement. Stopper l'angoisse est l'objectif prioritaire. Pour vivre, évoluer, se développer, il est impossible de le faire dans l'anxiétété . Quand un organisme peine, lutte et se défend, la psychothérapie brève est une approche prioritaire.

 

L 'origine de cette méthode.

 

En Californie, un groupe de chercheurs et de praticiens venus de différentes disciplines, l'Ecole de Palo Alto, se sont regroupés autour de Grégory Bateson et aussi autour d'un thérapeute hors du commun, Milton Erickson. Ils ont étudié comment les problèmes se perpétuent, et la manière dont s'opèrent les changements.

 

Vaincre l'angoisse et vivre.

 

Le psychothérapeute, dans une grande qualité d'écoute, " se branche " sur le sujet : "il est primordial de bien savoir écouter les différents niveaux de ce qui est formulé et aussi de savoir observer."

 

Le but est d'amener la personne qui est prisonnière de la peur et l'angoisse dans lequels elle s'enlise, à envisager le problème sous des angles nouveaux, afin qu'elle se crée de nouvelles possibilités.

 

Il est important de déterminer, de négocier un objectif précis à atteindre, puis avec souplesse de chercher toutes les ressources que la personne nous livre. Directif sur l'objectif et souple sur les moyens à mettre en œuvre pour atteindre le but, le thérapeute guide son patient en étant guidé par lui.

 

Le psychothérapeute intervient avec la chaleur et respect de la personne, utilisant la métaphore, l'humour, le paradoxe qui sont très thérapeutiques.

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La meilleure attitude: la fuite

 

"Quand il ne peut plus lutter contre le vent et la mer pour poursuivre sa route, il y a deux allures que peut encore prendre un voilier : la cape (le foc bordé à contre et la barre dessous) le soumet à la dérive du vent et de la mer, et la fuite devant la tempête en épaulant la lame sur l’arrière avec un minimum de toile. La fuite reste souvent, loin des côtes, la seule façon de sauver le bateau et son équipage. Elle permet aussi de découvrir des rivages inconnus qui surgiront à l’horizon des calmes retrouvés. Rivages inconnus qu’ignoreront toujours ceux qui ont la chance apparente de pouvoir suivre la route des cargos et des tankers, la route sans imprévu imposée par les compagnies de transport maritime."

 

Henri Laborit

 

CA SE DIT

 

mais combien de mexicains

etaient devenue des esclaves de leur peure et de leur ESCLAVAGISTES

 

 

il a fallut ZAVATA

 

et la il leur a doner du courage e t les a rendu homme de combat et de résistance et de reactions

pour se liberer da la main criminelle

et enfin etre libre et ne plus se lamentre

mais D'autre esclavagistes viendront prendre la palce

 

IL viendront PORTANT LES NOM REVOLUTIONNAIRE

 

SOUS ET DE TOUT NOM

DU DROIT

 

MEME SOUS 1789

ET LA DEMOCRATIE

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Bonjour. Pourquoi il écrit La peur " minuit dans un chateau?" A ct'heure là ils ont fait la fête!

 

Bonjour carobicure

tu aura oublier le temps en ce temps la

 

on avait pas la lumiere electrique

et pour ce fait il en falait des bougies et des lampes a huile ou a petrole

donc la fete oui mais il faut faire attention a la marche

 

la peure est une amie qui vous protege

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Allez tien ca doit avoir sa place ICI

 

Société

Fumeurs : les salariés de la peur

04/06/2013 | Hugo Lemonier

 

970319-1148146.jpg?v=1370357347

Un fumeur coûterait près de 4600 euros de plus par an à son employeur : un argument de poids à l’heure où l’optimisation des coûts fait loi. A quand une radio des poumons à joindre à votre lettre de motivation ?

 

Lire la suite

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Si ca pouvait etre vrais

ouf une peure en moins

UN SUJET POUR LEQUELLE J'AVAIS BATAILLER POUR DIRE QUE LE CV EST L'EXCLUSION

ET IL EST RACISTE

 

Et une chance pour tous

 

Société

Faut-il oser le CV original ?

03/06/2013 | Élodie Emery

Fini le curriculum vitae sur une feuille A4, accompagné d'une banale lettre de motivation. Pour se démarquer parmi 5 millions de chômeurs, certains sont prêts à toutes les excentricités.

 

970053-1147769.jpg?v=1370235868

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