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Temps d'attente et soudain,

Sa venue nous projette d'un instant vers demain.

Il n'est que petitesse, nos yeux émerveillés,

Devant tant de faiblesse, l'encercle de baisers.

 

Puis commence la ronde des joies et des chagrins,

Ou le centre du monde résume entre ses mains.

Pour lui on voudrait « tout »

Gardant pour nous « le rien ».

On demande au soleil, d'inonder ses matins.

 

Entre larmes et sourires,

Bien qu'encore si petit,

Il lâche notre main,

Et s'enfuit incertain,

Pour apprendre à écrire,

Sur le chemin déni,

Les lettres de l'oubli.

 

Il a grandi encore, il s'isole souvent,

D'autres sont ses idoles, vous devenez gênants.

 

Il tourne enfin le dos,

A tout apprentissage,

Faisant fi du fardeau,

Déjà le voilà sage !

 

Possédant le savoir,

Il prend son territoire,

Imbu de son pouvoir,

Il veut être et avoir.

 

De rencontres en plaisirs,

Il s'empare d'une main,

Objet de ses désirs,

Présent de son destin,

Et puis dans ses pensées,

Vous relègue au loin.

 

Vous avez tant de peine,

Vous vous sentez trahis,

Vous êtes seul sur scène,

Inutile et petit.

 

Puis un jour à son tour,

Il deviendra parent,

Mesurera l'amour donné au fil des ans,

Alors que vos cheveux se vêtiront de blanc,

Vous deviendrez fragile et serez son enfant.

 

Il aura soudain peur de voir finir vos jours,

Sans avoir trouver l'heure d'un MERCI pour toujours.

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Temps d'attente et soudain,

Sa venue nous projette d'un instant vers demain.

Il n'est que petitesse, nos yeux émerveillés,

Devant tant de faiblesse, l'encercle de baisers.

 

Puis commence la ronde des joies et des chagrins,

Ou le centre du monde résume entre ses mains.

Pour lui on voudrait « tout »

Gardant pour nous « le rien ».

On demande au soleil, d'inonder ses matins.

 

Entre larmes et sourires,

Bien qu'encore si petit,

Il lâche notre main,

Et s'enfuit incertain,

Pour apprendre à écrire,

Sur le chemin déni,

Les lettres de l'oubli.

 

Il a grandi encore, il s'isole souvent,

D'autres sont ses idoles, vous devenez gênants.

 

Il tourne enfin le dos,

A tout apprentissage,

Faisant fi du fardeau,

Déjà le voilà sage !

 

Possédant le savoir,

Il prend son territoire,

Imbu de son pouvoir,

Il veut être et avoir.

 

De rencontres en plaisirs,

Il s'empare d'une main,

Objet de ses désirs,

Présent de son destin,

Et puis dans ses pensées,

Vous relègue au loin.

 

Vous avez tant de peine,

Vous vous sentez trahis,

Vous êtes seul sur scène,

Inutile et petit.

 

Puis un jour à son tour,

Il deviendra parent,

Mesurera l'amour donné au fil des ans,

Alors que vos cheveux se vêtiront de blanc,

Vous deviendrez fragile et serez son enfant.

 

Il aura soudain peur de voir finir vos jours,

Sans avoir trouver l'heure d'un MERCI pour toujours.

 

c'est un très joli poème Ihero , merci...:)

 

( c'est une obligation de citer l'auteur du poème , en l'occurence il s'agit de MARTINE qui l'a publié sur le site " Je Poeme "...)

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Temps d'attente et soudain,

Sa venue nous projette d'un instant vers demain.

Il n'est que petitesse, nos yeux émerveillés,

Devant tant de faiblesse, l'encercle de baisers.

 

Puis commence la ronde des joies et des chagrins,

Ou le centre du monde résume entre ses mains.

Pour lui on voudrait « tout »

Gardant pour nous « le rien ».

On demande au soleil, d'inonder ses matins.

 

Entre larmes et sourires,

Bien qu'encore si petit,

Il lâche notre main,

Et s'enfuit incertain,

Pour apprendre à écrire,

Sur le chemin déni,

Les lettres de l'oubli.

 

Il a grandi encore, il s'isole souvent,

D'autres sont ses idoles, vous devenez gênants.

 

Il tourne enfin le dos,

A tout apprentissage,

Faisant fi du fardeau,

Déjà le voilà sage !

 

Possédant le savoir,

Il prend son territoire,

Imbu de son pouvoir,

Il veut être et avoir.

 

De rencontres en plaisirs,

Il s'empare d'une main,

Objet de ses désirs,

Présent de son destin,

Et puis dans ses pensées,

Vous relègue au loin.

 

Vous avez tant de peine,

Vous vous sentez trahis,

Vous êtes seul sur scène,

Inutile et petit.

 

Puis un jour à son tour,

Il deviendra parent,

Mesurera l'amour donné au fil des ans,

Alors que vos cheveux se vêtiront de blanc,

Vous deviendrez fragile et serez son enfant.

 

Il aura soudain peur de voir finir vos jours,

Sans avoir trouver l'heure d'un MERCI pour toujours.

 

Mon enfant, je l'aimais déjà avant de l'avoir

Le jour où on nous a coupés le lien, je savais déja qu'il devra compter sur moi mais pas avec moi!

Ton enfant ne t'appartiendra pas !

Je n'ai pas besoin de reconnaissance car cela me gênerait énormément

Mon plus grand bonheur c'est de le voir heureux c'est le plus grand des remerciements!

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Mon enfant, je l'aimais déjà avant de l'avoir

Le jour où on nous a coupés le lien, je savais déja qu'il devra compter sur moi mais pas avec moi!

Ton enfant ne t'appartiendra pas !

Je n'ai pas besoin de reconnaissance car cela me gênerait énormément

Mon plus grand bonheur c'est de le voir heureux c'est le plus grand des remerciements!

voila une fibre maternelle bellement parlante.

sagesse et tendresse s'y dégage.

merci a toi .

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en effet y a pas plus vrai et vivant qu'un lien maman-enfant

c'est la Vie

je t'envoi un baisé sur le front

 

bonne soirée.

Oh merci mon très cher enfant!

 

Pourquoi je te dis merci à la vie car elle trouve toujours le moyen pour nous faire encaisser les choses !

On se dit qu'on se remettra jamais de la perte d'un parent, d'un enfant, d'un amour mais voila, le moment arrivé, on se rend compte que malgré le mal, on vit et pire ,on leur survit et ce ne sera que quelques temps et les choses reprennent leur cours...Facile pour la vie...

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Oh merci mon très cher enfant!

 

Pourquoi je te dis merci à la vie car elle trouve toujours le moyen pour nous faire encaisser les choses !

On se dit qu'on se remettra jamais de la perte d'un parent, d'un enfant, d'un amour mais voila, le moment arrivé, on se rend compte que malgré le mal, on vit et pire ,on leur survit et ce ne sera que quelques temps et les choses reprennent leur cours...Facile pour la vie...

 

la vie se charge de placer sur votre chemin , peu importe où, des personnes, qui sans le savoir, seulement par leur commentaire, vous enlève une épingle de la pelote que vous avez dans le coeur ...:)

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Oh merci mon très cher enfant!

 

Pourquoi je te dis merci à la vie car elle trouve toujours le moyen pour nous faire encaisser les choses !

On se dit qu'on se remettra jamais de la perte d'un parent, d'un enfant, d'un amour mais voila, le moment arrivé, on se rend compte que malgré le mal, on vit et pire ,on leur survit et ce ne sera que quelques temps et les choses reprennent leur cours...Facile pour la vie...

j’espère que le baisé sur le front ne fut pas un affront quelque part !

pour le reste, et bien que la vie vie suive son cours, l'important c'est de rester fidèle a son cœur pour le meilleure et pour le pire si puis-je dire.

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Mon enfant, je l'aimais déjà avant de l'avoir

Le jour où on nous a coupés le lien, je savais déja qu'il devra compter sur moi mais pas avec moi!

Ton enfant ne t'appartiendra pas !

Je n'ai pas besoin de reconnaissance car cela me gênerait énormément

Mon plus grand bonheur c'est de le voir heureux c'est le plus grand des remerciements!

 

merci rihame,tes mots m'ont vraiment emu

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