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et pourtant ce vieux ne ressemble pas à une femme

 

 

mille et une excuse mon pote :o:o à vrai dire j'ai pas pu quitter des yeux le buste de panonique :o:o:o:o ( quelque part je sens que me comprends XD)

 

 

ps:11 minutes est une histoire vraie et c pas sa faute si l'hsitoire vraie est comme ça !

 

même si c'était vrai mon pote, il faut mettre un peu du sien décrire une scène ou deux ou trois...au lieu d 'ajouter ce que Platon pense et ce que marquis de Sade pense aussi (enfin ceci st mon avis )

 

 

 

 

 

o_O Victime, vous avez tout dévoilé surtout le dernier détail à propos du trésor <= Là vraiment il fallait rien dire sinon moi aussi j'en fus renversée xD.

__________________

 

 

Entre nous il ne trouvera rien que dalle le vieux roi s'est moqué de lui XD, il aurait du rester tranquille avec sa copine du désert lol

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  • 2 weeks later...
Samarcande de Amin Maalouf

 

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alors celui là merite vraiment un commentaire :

 

En voici bien une des plumes orientale qui __ par sa noblesse__ a su s’imposer, et manier la langue d autre a sa guise, amine Maalouf ce conteur-né dont les œuvres figurent aujourd’hui parmi les classique mondiaux a laissé son impact dans le monde de la littérature arabe, mondial, et surtout française en transportant ses lecteurs en plein milieu de ses contes, les mêlant aux aventures et aux mésaventures de ses héros. Devant une collection a la fois riche en histoire et passionnante à lire mon choix va vers Samarkande grâce aux quel ce descendant de Shahrazade met en valeur et en évidence et nous narre histoire l un des protagonistes de la science de la poésie mondiale et orientale le Léonard Da Vinci oriental, OMMAR KHAYAM Le poète, le mathématicien, le philosophe, l astronome qui a tant donné a l humanité que celle-ci lui a offert, un flambeau d’une pléiade sans égale. Une étoile dansante dans les cieux des siècles longtemps terni par les lourdes calomnies des fanatiques. L auteur nous plonge dans une ère ou Samarkande, un havre de paix, une fleur qui s épanouit dans un enfer attisé par Renaud de Châtillon et ses semblables, a une l’époque ou le monde arabo-musulman soumit et surtout assiégé par les ambitions et la barbarie des croisées, un choc de culture et de culte qui marqua l’orient comme l’occident par ses empreintes. On voyage dans la peau de Khayyâm on partage ces « vers de vins » son apogée et son déclin. Ses amours et leurs chagrins, on se retrouve aussi à la croisée des chemins entre pionniers à sa hauteur comme Hassan Sabah qui a laissé__ grâce à son génie__ sa marque d assassin dans l’histoire créateur d’une secte qui se voulait créatrice de base « assassiyines » dont on a forgé même le mot assassins. Ces deux érudit dont les convictions sont antonymes semble partage une forme d’amitié muette et une admiration secrète entre eux

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Pétrole : une guerre d'un siècle

 

Pétrole : une guerre d'un siècle de William Engdahl

 

Ce livre explique d'une manière très documentée la guerre que se livre les puissances occidentales pour s'accaparer les champs pétroliers et gasiers de par le Monde. M. ENGDAHL nous donne dans son ouvrage une rétrospective historique da la concurrence acharnée entre justement la puissance déclinante de l'époque du début de l'ère de pétrole, l'empire Britannique, et la puissance émergeante, les Etats Unis d'Amérique, tout en mettant en avant le rôle absolument essentiel joué par les intérêts financiers de la City au temps de la puissance Britannique et de New York aujourd'hui, époque du grand gendarme du monde. L'auteur explique aussi comment ces deux grandes puissances Anglo-saxones par l'entremise de leurs services secrets respectifs et de leurs diplomaties secrètes sont à l'origine des grands conflits mondiaux. Il montre d'une manière très claire que ce qu'on appelle la première crise de pétrole de 1973 était au fait une simple manipulation "cynique" conçue par Kissinger pour transférer vers les banques de Londres et de New York les capitaux internationaux au détriment bien sûr des pauvres pays du Tiers-monde, comment ces pays en faillite étaient obligés de s'endetter au auprès du FMI. On comprendra aussi à travers ce livre comment la géopolitique du pétrole était à l'origine de l'effondrement de l'Union Soviétique, de l'éclatement de la Yougoslavie et bien sûr des guerres de l'Afghanistan et de l'Irak. Même si Engdahl n'explique pas pourquoi l'Iran cherche vaille que vaille à avoir l'arme nucléaire, pourquoi ces grandes puissances sont mise aujourd'hui en difficulté par l'expansion Chinoise, etc. Son livre reste une référence pour comprendre la politique internationale et ses enjeux d'hier et d'aujourd'hui.

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alors celui là merite vraiment un commentaire :

 

En voici bien une des plumes orientale qui __ par sa noblesse__ a su s’imposer, et manier la langue d autre a sa guise, amine Maalouf ce conteur-né dont les œuvres figurent aujourd’hui parmi les classique mondiaux a laissé son impact dans le monde de la littérature arabe, mondial, et surtout française en transportant ses lecteurs en plein milieu de ses contes, les mêlant aux aventures et aux mésaventures de ses héros. Devant une collection a la fois riche en histoire et passionnante à lire mon choix va vers Samarkande grâce aux quel ce descendant de Shahrazade met en valeur et en évidence et nous narre histoire l un des protagonistes de la science de la poésie mondiale et orientale le Léonard Da Vinci oriental, OMMAR KHAYAM Le poète, le mathématicien, le philosophe, l astronome qui a tant donné a l humanité que celle-ci lui a offert, un flambeau d’une pléiade sans égale. Une étoile dansante dans les cieux des siècles longtemps terni par les lourdes calomnies des fanatiques. L auteur nous plonge dans une ère ou Samarkande, un havre de paix, une fleur qui s épanouit dans un enfer attisé par Renaud de Châtillon et ses semblables, a une l’époque ou le monde arabo-musulman soumit et surtout assiégé par les ambitions et la barbarie des croisées, un choc de culture et de culte qui marqua l’orient comme l’occident par ses empreintes. On voyage dans la peau de Khayyâm on partage ces « vers de vins » son apogée et son déclin. Ses amours et leurs chagrins, on se retrouve aussi à la croisée des chemins entre pionniers à sa hauteur comme Hassan Sabah qui a laissé__ grâce à son génie__ sa marque d assassin dans l’histoire créateur d’une secte qui se voulait créatrice de base « assassiyines » dont on a forgé même le mot assassins. Ces deux érudit dont les convictions sont antonymes semble partage une forme d’amitié muette et une admiration secrète entre eux

 

…et une admiration secrète entre eux, depuis la première rencontre ; mais il y avait aussi un troisième, Nizam El Molk, un homme de puissance, d’intelligence, de pouvoir surtout, un maitre, …

La légende parle de trois grands hommes qui se croisent quelques part dans l’empire de Perse, je sais, je vais immédiatement changer ce terme, ce n’est pas quelque part c’est plutôt à Ispahan, trois hommes ou plus précisément trois amis, amitié ! ? Pourtant ça na pas l’aire, quelque chose nous dit que c’est un affrontement qui aura lieu, après une rivalité, une pure obsession du pouvoir, je dois excepter Omar Khayyam, poète du vin , le savant , l’astronome, le génie , un libre adorateur de la vis et du plaisir, c’est lui qui a écrit << Si tu ne sais pas aimer, à quoi te sert-il que le soleil se lève et se couche >>,

Son ami devient après, terriblement le vengeur, Hassan Sabbah un maitre fondateur du terrible ordre des assassins, qu’il l’exige à ces hommes, pas tuer mais exécuter courageusement en public pour terroriser et surtout convertir…c’est lui qui a dit à ces hommes << vous n’êtes pas faits pour ce monde, mais pour l’autre. Un poisson aurait-il peur si on menaçait de le jeter à la mer >> ?

Qu’y a-t-il de commun entre ces trois hommes ? Cette question je pense, qu’elle n’était pas poser par le destin, malgré la différence il les a mis ensemble… mais ce livre SAMARCANDE, parle aussi d’une formidable aventure d’un manuscrit, le manuscrit de Khayyam, qui a incroyablement continué à exister pendant des siècles, mais c’est vrai, irréel mais réel, c’est tout simplement légendaire.

 

:) salem Victime, je te salue et je te remercie pour ton commentaire, je n’ai que te dire que chaque soir je plonge dans deux extrémités, entre le XIe siècle et le début du XXe, aussi plus profondément que les profondeurs des océans, mais malheureusement pour moi, je commence déjà à remonter sur la surface, il me reste juste 80 précieuses pages.

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bonjour kakashi sensei:D

 

ah oui nizan el moulk son surnom le decrit

 

- les oeuvres de maalouf sont à lire je te conseille aussi le Léon africain c 'est pas mal aussi

 

bonsoir cher Victime , visiblement tu me connais bien , eh bien c un honneur pour moi merci :),

 

 

- oui pour amine maalouf, j'avais l'intention de voir ces œuvres,

incha'Allah je vé suivre ton conseil pour le Léon africain et j'espère qu'il sera aussi a la hauteur que samarcand , merci Victime.

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bonsoir cher Victime , visiblement tu me connais bien , eh bien c un honneur pour moi merci :),

 

 

- oui pour amine maalouf, j'avais l'intention de voir ces œuvres,

incha'Allah je vé suivre ton conseil pour le Léon africain et j'espère qu'il sera aussi a la hauteur que samarcand , merci Victime.

 

 

Oui mais personne a vu ton visage :D

 

Cela dit je t'avoue que Samarkande est mon préféré mais Léon africain vient en deuxième position, après j'ai bien aimé aussi le jardin de lumière, puis rocher de tanios puis le périple de Balthazar.

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Je suis encore Maalouf dans sa quête de ses origines. Il m'emmène à l'Ile de la liberté pour découvrir au milieu du livre

les traces d'un oncle qui a fait fortune à la Havane.

Quels secrets me cachent les 230 pages qui restent ?

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J'ai entamé il y a une quinzaine de jours (ce qui est catastrophique) le roman de Paolo Coelho sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré Et franchement c'est un supplice, Je voulais le finir parce que j'aime pas laissé un livre sans connaitre la fin, Mais là j'en pouvais plus je le trouve trop mièvre à mon gout... Donc j'ai laissé tomber pour lire Le démon et mademoiselle Prym du même auteur et aussi Tendance "pot de colle" de Tyne Oc'onnell.

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