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Missoum Sbih, ambassadeur D ALGERIE A PARIS LIMOGE


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encore une crapule

 

Merci pour cette bonne nouvelle. Et bravo aux jeunes cadres du Ministère des A.E qui avaient fait des grèves pour le respect des promotions diplomatiques.

 

L’ambassadeur d’Algérie à Paris relevé de ses fonctions

Article | 18. juin 2013 - Algérie Patriotique.

Missoum Sbih. Un proche de Bouteflika saute. D. R.

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L’ambassadeur d’Algérie à Paris a été officiellement démis de ses fonctions, après huit ans d’exercice, a-t-on appris de source sûre. Ayant échappé au dernier remaniement, Missoum Sbih, 78 ans, qui occupe le poste depuis 2005, a été remplacé par Amar Bendjemaâ, qui était à Bruxelles depuis 2009. Né au Maroc en 1936, Missoum Sbih fait partie des hommes les plus proches du président Bouteflika. Malgré son âge et son état de santé en constante dégradation, il est maintenu en poste à Paris. Mieux encore, après avoir remis ses lettres de créance le 7 novembre 2005, il cumule ensuite les fonctions, devenant, la même année, ambassadeur auprès de l’Unesco et, une année plus tard, en 2006, ambassadeur auprès de la Principauté d’Andorre, et l’année qui suit auprès de la Principauté de Monaco. Dès l’arrivée de Bouteflika au pouvoir, Missoum Sbih s’est vu attribuer des missions sensibles. Nommé en 2000 conseiller juridique du Président, il était chargé de très sensible dossier de la réforme de l’Etat qui n’a d’ailleurs abouti à rien. Beaucoup voyaient sa nomination au poste d’ambassadeur à Paris en 2005 comme une sorte de récompense pour être toujours resté fidèle à Bouteflika, même pendant sa traversée du désert. A la santé fragile, Missoum Sbih n’a d’ailleurs pu tenir aussi longtemps à ce poste que grâce à la volonté du Président. Pour les observateurs avisés, il s’agit là de l’un des soutiens indéfectibles de bouteflika qui «tombe» à Paris au moment même où le chef de l’Etat poursuit sa convalescence dans la capitale française. En tout état de cause, son départ correspond au vœu émis par de nombreux jeunes cadres du ministère des Affaires étrangères qui aspirent à la promotion.

Sonia B.

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ils ne font pas confiance aux jeunes, cette bande de voleurs

 

1- Généraliser est excessif.

 

2- C'est un combat politique. Il faut pousser pour qu'on ait des institutions d'Etat démocratiques au service du mouwateen.

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il n'y a pas de maison de retraite en algerie ! que voulez vous qu'ils fassent - il n'y a pas d'excursion , pas de jardin publique de qualité , il n'y a pas grand chose a faire quand on est retraité alors ils preferent continuer a travailler -en tous cas ils font semblant .

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il n'y a pas de maison de retraite en algerie ! que voulez vous qu'ils fassent - il n'y a pas d'excursion , pas de jardin publique de qualité , il n'y a pas grand chose a faire quand on est retraité alors ils preferent continuer a travailler -en tous cas ils font semblant .

 

Il nous faut des institutions étatiques exemplaires. Quand, c'est l'heure de la retraite, il faut que les plus âgés partent.

 

Les manifestations et grèves du personnel du MAE n'est pas étranger à ce remplacement.:showoff:

 

Voilà la voie: réclamer un Etat de droit.

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Missoum Sbih est un haut fonctionnaire d'origine marocaine faisant parti du clan d'Oujda, né le 4 mars 1936 au Maroc.

 

plus régionaliste que BOUTEF, tu meurs ils sont tous marocain!!!!!!

 

 

 

On a plus rien à vous envoyer,le dernier était Boudiaf allah yra7mou,vous l'avez transformer en gruyère.Et ses enfants ne veulent plus retourner en Algérie.Donc la dynastie marocaine est terminée.

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A VOUS LIRE .... !!!

 

1) A vous lire, on serait tenté de croire que vous diner tous les jours avec les décideurs de l'Algérie, président de la république y compris.

Mais l'histoire a toujours révélé que ceux qui savent ne parlent pas, ils se taisent. C'est leur silence qui parle pour eux.

 

2) est ce un crime pour un Algérien d’être né à l'étranger ?

Je vous pose cette question parce que vous insistez sur le lieu de naissance de monsieur Sbih pour justifier ses rapports avec le président de la république.

Sachez que le président de la république et monsieur Sbih sont des algériens authentiques, plus algériens que ceux qui pour des buts inavoués veulent les marocaniser à tout prix. Durant la guerre de libération, n'a t-on pas vu des milliers de personnes nées en Algérie devenir harkis ?

 

3) Pour votre information, c'est à dix sept (17) ans que l'Algérien Bouteflika, vivant à Oujda, avait décidé d’interrompre ses études pour rejoindre l'Armée de Libération Nationale. Pourtant, il pouvait à l'instar d'autres Algériens continuer ses études et attendre le moment fatidique pour embrasser la carrière de son choix dans l'Algérie indépendante. Non, sa fibre patriotique lui a dicté de rejoindre le combat aux cotés de ses frères.

 

4) Je vous conseille, pour plus d'information, sur l'amour que porte monsieur Abdelaziz Bouteflika à son pays, Algérie, d'examiner le contenu des accords qu'il a conclu en tant que ministre des affaires étrangères de la République Algérienne Démocratique et Populaire avec son homologue du Royaume du Maroc sur la limitation de la frontière. Mais Sachez lire entre les lignes pour déceler son intelligence aiguë et son Amour pour sa Patrie qu'est l'Algérie.

 

 

 

Merci pour cette bonne nouvelle. Et bravo aux jeunes cadres du Ministère des A.E qui avaient fait des grèves pour le respect des promotions diplomatiques.

 

L’ambassadeur d’Algérie à Paris relevé de ses fonctions

Article | 18. juin 2013 - Algérie Patriotique.

Missoum Sbih. Un proche de Bouteflika saute. D. R.

sbih%20bon.jpg

L’ambassadeur d’Algérie à Paris a été officiellement démis de ses fonctions, après huit ans d’exercice, a-t-on appris de source sûre. Ayant échappé au dernier remaniement, Missoum Sbih, 78 ans, qui occupe le poste depuis 2005, a été remplacé par Amar Bendjemaâ, qui était à Bruxelles depuis 2009. Né au Maroc en 1936, Missoum Sbih fait partie des hommes les plus proches du président Bouteflika. Malgré son âge et son état de santé en constante dégradation, il est maintenu en poste à Paris. Mieux encore, après avoir remis ses lettres de créance le 7 novembre 2005, il cumule ensuite les fonctions, devenant, la même année, ambassadeur auprès de l’Unesco et, une année plus tard, en 2006, ambassadeur auprès de la Principauté d’Andorre, et l’année qui suit auprès de la Principauté de Monaco. Dès l’arrivée de Bouteflika au pouvoir, Missoum Sbih s’est vu attribuer des missions sensibles. Nommé en 2000 conseiller juridique du Président, il était chargé de très sensible dossier de la réforme de l’Etat qui n’a d’ailleurs abouti à rien. Beaucoup voyaient sa nomination au poste d’ambassadeur à Paris en 2005 comme une sorte de récompense pour être toujours resté fidèle à Bouteflika, même pendant sa traversée du désert. A la santé fragile, Missoum Sbih n’a d’ailleurs pu tenir aussi longtemps à ce poste que grâce à la volonté du Président. Pour les observateurs avisés, il s’agit là de l’un des soutiens indéfectibles de bouteflika qui «tombe» à Paris au moment même où le chef de l’Etat poursuit sa convalescence dans la capitale française. En tout état de cause, son départ correspond au vœu émis par de nombreux jeunes cadres du ministère des Affaires étrangères qui aspirent à la promotion.

Sonia B.

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