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J'ai la phobie des djinn et des anges est ce normal ?


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Guest Banacek
Abdelbasset abdelsamad est le meilleur recitateur de Coran.

 

Belle video.

 

Pour la creature Allah a3lam.

 

Cette vidéo est Fake !

 

Allah dit qu'on peut pas voire les anges ! Si vous croyé a cette vidéo vous contredisé ce que dit Allah !

 

En plus c'est une juste un reflet le truc.

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Guest jagellon
- Meskine allah yerhmah. Mais il devait être heureux, enfin j'espère :rolleyes:. Wak les personnes ainsi sont heureuses :D

 

je dirais tranquilles, hanyin. Ma yachrou chamia, ma yd'rou l'kola 3and kraouti pour acheter une tarte b'deusonmil.

Ah tiens , Youcef Kraouti était aussi un habitué de la plage en question :D

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Guest jagellon
- Rah Kayen patiss'ri fi ramedan? chamiya kharjet men nif, même celle de la duchesse n'y peut plus rien contre mon envie de :puke3: à chaque fois que je vois une préparation plein de miel et de n'7al (abeilles), khasseni pain-choco ana. C'est bon kraht! :mad:

 

 

Je ne te promet rien mais dans le temps il y'avait une petite patisserie qui vendait des croisson et des sochons fi Ramdhane. La bastille en haut coté gauche en descendant, juste avant le passage. C'était un tout petit local. Sinon tu as la pâtisserie du Royal. C'est pas trop cher, moins cher que la Duchesse. Il doit y en avoir d'autres.

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J'ai une phobie de ses créature , si j'en rencontre 1 mon cœur lâchera .

 

Est ce que c'est normal d'avoir peur de ses créature ?

 

oui cette crainte est normal car on n est des humains et tout ce qui est en dehors de l humain nous fais peur c est l inconnu de ces creatures et de leurs reactions qui nous les fais craindre

 

on les imagine plus fort que nous plus puissant que nous ils ont une puissance que nous humain nous n avons pas et surtout leur reaction car on se demande s ils sont mechants ou gentils

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Guest Banacek
oui cette crainte est normal car on n est des humains et tout ce qui est en dehors de l humain nous fais peur c est l inconnu de ces creatures et de leurs reactions qui nous les fais craindre

 

on les imagine plus fort que nous plus puissant que nous ils ont une puissance que nous humain nous n avons pas et surtout leur reaction car on se demande s ils sont mechants ou gentils

 

Enfin quelqu'un qui me comprend.

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:mad: :mad: :mad:

 

Attend je te raconte celle là. C'est à propos du Yeti, de Big Foot etc...

 

Quand nous étions ados nous avions l'habitude d'aller camper sur une plage déserte nommée El Ouardania ( ou plage du chien) pas loin de Honaine. Le coin était complètement désert dans le temps. Maintenant il y'a une route, c'est foutu :(.

Lors de l'un de ces séjours nous étions en train de siroter un thé nocturne en écoutant le nocturne de Georges Lang sur RTL. Un type genre Yeti a surgi juste en face. Je te dis pas la panique (:D).

Le lendemain nous sommes allés poser des question au proprio d'une ferme sise un peu plus haut. C'était tout simplement un m'darwach qui vivait seul dans les collines depuis belle lurette, un ami d'enfance au fermier qui allait régulièrement le voir dans la grotte ou il créchait pour lui donner de quoi manger, du khobz yabess ,c'était son menu exclusif. Quelques jours après il nous as emmenés avec lui. Je te promet que le gars faisait peur même de jour. Un grand malabar vêtu de peaux de moutons avec des pieds et des mains complétement difformes et un visage hirsute. Il s'appelait Sghir de son vrai prénom. Quand quelqu'un faisait mine de s'approcher de son antre il se mettait dans tous es états et disait " ma yabghouch" :D

 

Il est décédé vers le début des années 90, certains disent qu'il a été tué par des terros qui ne manquaient pas dans le coin.

 

son histoire est connue ...il parait qu'a 17 ans ..il fut surpis par son pere en train de lorgner sa belle belle qui prenait un bain ....il a fuit le domicile pour ne plus y remettre les pieds !

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Guest angry angel

ana j'ai peur des serpents je préfere croiser un lion plutot qu'un serpent

2 phobie de requin :o

et la plus importante c'est celle de massih el dajal l'antichrist :(:(

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Guest Banacek
ana j'ai peur des serpents je préfere croiser un lion plutot qu'un serpent

2 phobie de requin :o

et la plus importante c'est celle de massih el dajal l'antichrist :(:(

 

Je comprend ta phobie sur al dajjal :

 

Car nous 2 on a peur de se faire trompé par lui.

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Guest jagellon
son histoire est connue ...il parait qu'a 17 ans ..il fut surpis par son pere en train de lorgner sa belle belle qui prenait un bain ....il a fuit le domicile pour ne plus y remettre les pieds !

 

L'histoire de l'homme sauvage de oued el ouardani s'est ébruitée après que les familles d'enseignants aient commencé à camper à El Ouardania. Là ça se passait avant le camp, avant même qu'il n'y ait de piste à partir de Hdahda. Il fallait descendre par l'oued en arrivant d'El Qabbar. Il y'avait très peu de monde qui y allait. Des espagnols qui venaient tous les ans camper au niveau de la plage dite espagnole et quelques mordus. Les espagnols étaient au courant de son existence, ils lui mettaient du pain rassis de coté. Nous l'avons appris plus tard.

Pour le pourquoi et le comment de son histoire c'est ce qui était homologué dans son village natal, El Qabbar. D'après Boucif, le fermier, c'est tout autre chose qui s'est passé. Le pauvre bougre est mort, Allah yerrahmou. Je n'ai rien à dire de ce coté.

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existe t'il une explication scientifique sur la peur qui nous habite, je parle de la peur non justifiée par exemple devant un film d'horreur on est conscient qu'il n y a aucun danger, on est entouré par des gens, bien installé, il y a la lumière etc.. alors pourquoi on a peur?

 

est-ce dans nos gênes? vienne t'elle de nos ancêtres?

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Guest Banacek
existe t'il une explication scientifique sur la peur qui nous habite, je parle de la peur non justifiée par exemple devant un film d'horreur on est conscient qu'il n y a aucun danger, on est entouré par des gens, bien installé, il y a la lumière etc.. alors pourquoi on a peur?

 

est-ce dans nos gênes? vienne t'elle de nos ancêtres?

 

I don't know my brother.

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J'ai une aventure sur ce sujet, 2 pour cent verité-98 pour cent affabulation:

La longue nuit de BOULILA.

Cette histoire est inclassable. D’un coté j’ai été le témoin d’une partie et ouïe dire l’autre partie : deux parties qui se rejoignent dans le conte ou le mythe.

Dans les années cinquante alors que j’étais jeune garçon, on habitait au quartier de Bab-Ali et à quelques centaine de mètres de chez nous résidait une personnalité religieuse et charismatique. Cette personne décédée tout juste avant l’indépendance (1960) repose actuellement au mausolée de Sidi Daho que les Mascareens connaissent très bien, fréquentait assidument notre demeure. Je me le rappelle très bien de ce personnage imposant de carrure et d’esprit, avec sa figure large et rougeaude et sa barbe blanche et bien fournie. Quand il venait chez nous je m’asseyais toujours à ses cotés et plus tard ayant grandi quelque peu je le raccompagnais chez lui aussi souvent qu’il me le demandait.

Or, je me rappelle d’un souvenir qui se rattacha par la suite à une histoire fantastique que j’aimais entendre de ma mère ou de ma belle sœur. Ce souvenir je le revois dans une sorte de brume ou je ne sais comment le définir la situation, étant très jeune quand je l’ai vécu et qui consiste en une scène qui resta imprimée dans ma mémoire;

Ce jour là, Ce personnage que je ne nommerais pas et qui portait aussi un surnom bizarre de BOULILA –Homme de la nuit-(détail important pour l’histoire qui va suivre), avait montré à l’assistance familiale le mollet d’une de ses jambes, qui portait des cicatrices ; petits traits réguliers et placés cote a cotre, comme des griffures. C’est ce détail qui m’avait marqué et une histoire s’y était greffée par la suite qui est la suivante et qui je vous le rappelle m’a été transmises par ma mère, ou ma belle sœur ou toutes les deux. Il faut dire que ces deux femmes étaient superstitieuses comme presque la quasi-totalité de la société algérienne de condition modeste au temps de l’occupation coloniale.

BOULILA qui était comme je le disais plus haut, une personnalité religieuse, comme il se doit, connaissait tout le Coran par cœur. Il le récitait en tout temps et en tout lieu, chez lui ou en marchant, le jour ou la nuit. Une de ses habitudes consistait en ce qu’il faisait le parcours de sa résidence de Bab-Ali, Rue Ain sultan, jusqu’au mausolée de Sidi Daho qui se trouve à quelques kilomètres de Mascara et il le faisait souvent de nuit.

Un jour, ou plutôt un soir, alors qu’il était chez lui, à une heure très avancée, il entendit des coups répétés sur la porte de sa chambre et une voix bizarrement inquiétante lancer cette sentence ;

-Longue sera ta nuit, oh ! BOULILA, longue sera ta nuit.

Il faut signaler que ce surnom de Boulila ne fut collé à notre personnage qu’après son aventure qui commença justement cette nuit là.

Cette phrase là, lui fut répétée très souvent pendant longtemps et toujours tard dans la nuit, qu’il ventait, qu’il pleuvait ou qu’il faisait beau.

Or par une nuit d’été et ayant pris la décision de se rendre au mausolée de Sidi Daho, comme à son habitude, à pied, Il fit ses ablutions se prépara et sortit de chez lui tout en commençant à réciter le Coran.

Sorti des environs de Mascara et dépassant le bourg de St-André, appelé aujourd’hui « Toudmam », il marchait en pleine campagne quand il entendit derrière lui un bruit de sabots et le hennissement d’une bête qui venait droit sur lui. Il eut tout juste le reflexe de l’éviter. C’était un cheval noir, sans selle, crinière au vent, avec de la bave qui sortait de sa bouche et de ses narines dilatées sortait un souffle rauque. Ses yeux étaient anormalement lumineux comme deux braises. Le cheval le dépassa. Quelque mètres plus loin, il se retourna et revint à la charge vers lui et devant les yeux médusés de notre cheikh, tout en se transformant en sanglier. BOULILA l’évita encore une fois. L’animal le dépassa encore et tournait autour de lui, toujours en se transformant en d’autres bêtes ; tantôt en chien enragé, tantôt en loup, tantôt en hyène, en chacal …

Quand BOULILA fuyait, cette chose le poursuivait et quand il s’arrêtait elle tournait autour de lui se transformant toujours en quelque bête féroce.

Et BOULILA ne cessait d’entendre cette voix sépulcrale qui lui lançait :

-Longue sera ta nuit, oh ! BOULILA, longue sera ta nuit.

Il est à remarquer que BOULILA ayant gardé un certain sang froid ne cessait de psalmodier le Coran, seule arme en sa possession tentant de se protéger de cette chose ou esprit maléfique.

Cette poursuite amena notre cheikh jusqu’à un cagibi ou était entreposés des outils de travaux agraires ; des houes, des râteaux, des pelles... Il y entra avec peine tant le lieu était exigu. Il s’y casa comme il pouvait, mais ses pieds restaient presque en dehors de ce refuge de fortune. Et la chose, toujours en se transformant, qui tournait autour du lieu ou il s’était niché, tentait à maintes de le saisir par les pieds et lui griffait de temps en temps un de ses mollet qui dépassait l’entrée du cagibi. Et la voix répétait toujours ;

-Longue sera ta nuit, oh ! BOULILA, longue sera ta nuit.

Et le cheikh toujours ne cessant de réciter le Coran.

Ce carrousel infernal dura jusqu'à l’apparition des premières lueurs de l’aube et la venue d’un groupe d’ouvriers agricoles qui venaient récupérer leurs outils de travail pour aller œuvrer dans les champs du colon de la région.

BOULILA fut secouru par ces braves gens qui le trouvèrent dans un état terrible de fatigue et de terreur. Ils l’accompagnèrent jusqu’au mausolée de Sidi Daho qui n’était pas très loin de l’endroit ou il était et lui donnèrent quelques soins hâtifs. Il y passa les premières heures de la matinée à récupérer ses forces.

Telle est l’histoire des traces de griffures que je me rappelle d’avoir vu sur la jambe de BOULILA dans mes souvenirs et l’histoire qui m’a été transmises par deux femmes superstitieuses qui avaient juré de leur bonne foi quand elles me l’avaient racontée.

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La longue nuit de Boulila

 

La longue nuit de BOULILA.

Cette histoire est inclassable. D’un coté j’ai été le témoin d’une partie et ouïe dire l’autre partie : deux parties qui se rejoignent dans le conte ou le mythe.

Dans les années cinquante alors que j’étais jeune garçon, on habitait au quartier de Bab-Ali et à quelques centaine de mètres de chez nous résidait une personnalité religieuse et charismatique. Cette personne décédée tout juste avant l’indépendance (1960) repose actuellement au mausolée de Sidi Daho que les Mascareens connaissent très bien, fréquentait assidument notre demeure. Je me le rappelle très bien de ce personnage imposant de carrure et d’esprit, avec sa figure large et rougeaude et sa barbe blanche et bien fournie. Quand il venait chez nous je m’asseyais toujours à ses cotés et plus tard ayant grandi quelque peu je le raccompagnais chez lui aussi souvent qu’il me le demandait.

Or, je me rappelle d’un souvenir qui se rattacha par la suite à une histoire fantastique que j’aimais entendre de ma mère ou de ma belle sœur. Ce souvenir je le revois dans une sorte de brume ou je ne sais comment le définir la situation, étant très jeune quand je l’ai vécu et qui consiste en une scène qui resta imprimée dans ma mémoire;

Ce jour là, Ce personnage que je ne nommerais pas et qui portait aussi un surnom bizarre de BOULILA –Homme de la nuit-(détail important pour l’histoire qui va suivre), avait montré à l’assistance familiale le mollet d’une de ses jambes, qui portait des cicatrices ; petits traits réguliers et placés cote a cotre, comme des griffures. C’est ce détail qui m’avait marqué et une histoire s’y était greffée par la suite qui est la suivante et qui je vous le rappelle m’a été transmises par ma mère, ou ma belle sœur ou toutes les deux. Il faut dire que ces deux femmes étaient superstitieuses comme presque la quasi-totalité de la société algérienne de condition modeste au temps de l’occupation coloniale.

BOULILA qui était comme je le disais plus haut, une personnalité religieuse, comme il se doit, connaissait tout le Coran par cœur. Il le récitait en tout temps et en tout lieu, chez lui ou en marchant, le jour ou la nuit. Une de ses habitudes consistait en ce qu’il faisait le parcours de sa résidence de Bab-Ali, Rue Ain sultan, jusqu’au mausolée de Sidi Daho qui se trouve à quelques kilomètres de Mascara et il le faisait souvent de nuit.

Un jour, ou plutôt un soir, alors qu’il était chez lui, à une heure très avancée, il entendit des coups répétés sur la porte de sa chambre et une voix bizarrement inquiétante lancer cette sentence ;

-Longue sera ta nuit, oh ! BOULILA, longue sera ta nuit.

Il faut signaler que ce surnom de Boulila ne fut collé à notre personnage qu’après son aventure qui commença justement cette nuit là.

Cette phrase là, lui fut répétée très souvent pendant longtemps et toujours tard dans la nuit, qu’il ventait, qu’il pleuvait ou qu’il faisait beau.

Or par une nuit d’été et ayant pris la décision de se rendre au mausolée de Sidi Daho, comme à son habitude, à pied, Il fit ses ablutions se prépara et sortit de chez lui tout en commençant à réciter le Coran.

Sorti des environs de Mascara et dépassant le bourg de St-André, appelé aujourd’hui « Toudmam », il marchait en pleine campagne quand il entendit derrière lui un bruit de sabots et le hennissement d’une bête qui venait droit sur lui. Il eut tout juste le reflexe de l’éviter. C’était un cheval noir, sans selle, crinière au vent, avec de la bave qui sortait de sa bouche et de ses narines dilatées sortait un souffle rauque. Ses yeux étaient anormalement lumineux comme deux braises. Le cheval le dépassa. Quelque mètres plus loin, il se retourna et revint à la charge vers lui et devant les yeux médusés de notre cheikh, tout en se transformant en sanglier. BOULILA l’évita encore une fois. L’animal le dépassa encore et tournait autour de lui, toujours en se transformant en d’autres bêtes ; tantôt en chien enragé, tantôt en loup, tantôt en hyène, en chacal …

Quand BOULILA fuyait, cette chose le poursuivait et quand il s’arrêtait elle tournait autour de lui se transformant toujours en quelque bête féroce.

Et BOULILA ne cessait d’entendre cette voix sépulcrale qui lui lançait :

-Longue sera ta nuit, oh ! BOULILA, longue sera ta nuit.

Il est à remarquer que BOULILA ayant gardé un certain sang froid ne cessait de psalmodier le Coran, seule arme en sa possession tentant de se protéger de cette chose ou esprit maléfique.

Cette poursuite amena notre cheikh jusqu’à un cagibi ou était entreposés des outils de travaux agraires ; des houes, des râteaux, des pelles... Il y entra avec peine tant le lieu était exigu. Il s’y casa comme il pouvait, mais ses pieds restaient presque en dehors de ce refuge de fortune. Et la chose, toujours en se transformant, qui tournait autour du lieu ou il s’était niché, tentait à maintes de le saisir par les pieds et lui griffait de temps en temps un de ses mollet qui dépassait l’entrée du cagibi. Et la voix répétait toujours ;

-Longue sera ta nuit, oh ! BOULILA, longue sera ta nuit.

Et le cheikh toujours ne cessant de réciter le Coran.

Ce carrousel infernal dura jusqu'à l’apparition des premières lueurs de l’aube et la venue d’un groupe d’ouvriers agricoles qui venaient récupérer leurs outils de travail pour aller œuvrer dans les champs du colon de la région.

BOULILA fut secouru par ces braves gens qui le trouvèrent dans un état terrible de fatigue et de terreur. Ils l’accompagnèrent jusqu’au mausolée de Sidi Daho qui n’était pas très loin de l’endroit ou il était et lui donnèrent quelques soins hâtifs. Il y passa les premières heures de la matinée à récupérer ses forces.

Telle est l’histoire des traces de griffures que je me rappelle d’avoir vu sur la jambe de BOULILA dans mes souvenirs et l’histoire qui m’a été transmises par deux femmes superstitieuses qui avaient juré de leur bonne foi quand elles me l’avaient racontée.

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Est ce que de nos jours on peut voir des miracles...Pour le vrai musulman, son miracle c'est sa religion. Quand je dis religion, je ne parle pas des dépassements et des manipulations qui ont fortement pervertis le pratique celle ci .

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