harmonie 10 Posted June 14, 2008 Partager Posted June 14, 2008 Suite aux récentes révélations de l’Égyptien Mohamed Haykal Hassanine, quant au rôle joué par Hassan II dans l’affaire du détournement de l’avion des cinq historiques du FLN par l’aviation française, et au démenti apporté à ce sujet par un des concernés de l’opération, Hocine Aït Ahmed, voilà un ancien responsable du Malg qui apporte son grain de sel au sujet de la nature de l’aide fournie par l’Égypte, le Maroc et la Tunisie à la Révolution algérienne. N’y allant guère avec le dos de la cuillère, Daho Ould Kablia a quasiment réduit à néant le soutien apporté par ces trois pays, tout en ajoutant qu’il était accompagné à chaque fois de conditions. Dans une conférence donnée jeudi à Alger, dont les détails ont été rapportés par le quotidien londonien Al Quds, sur l’histoire de la Révolution algérienne, le ministre délégué chargé des Collectivités locales, qui intervenait en sa qualité de responsable de l’Association des anciens du ministère de l’Armement et des Liaisons générales (Malg), affirmera qu’à l’exception de la Libye, sous l’ère du roi Idriss Senouci, le Maroc, la Tunisie et l’Égypte n’ont pas apporté l’aide espérée par l’Algérie. Citant des exemples, il révélera que le roi Mohammed VI avait donné son accord pour que soit remise gracieusement à la Révolution algérienne 5 000 pièces d’armements, mais son fils et prince héritier, Hassan II, avait exigé que lui soit payé en échange de la livraison une somme d’argent pour chaque pièce. Concernant toujours le Maroc, Daho Ould Kablia ajoutera que le même Hassan II avait posé comme condition le partage avec l’armée marocaine du contenu d’une embarcation remplie d’armes en provenance d’Allemagne, en contrepartie de son accord pour la laisser accoster dans la base navale de la marine royale marocaine et de permettre l’acheminement des armes jusqu’au commandement général ouest de l’Armée de libération nationale (ALN) à Oujda. Quant à l’apport de la Tunisie, le responsable algérien révélera qu’elle a pris beaucoup plus qu’elle n’a donné à l’Algérie. Il dira que le président tunisien, Habib Bourguiba, exerçait toutes sortes de pressions sur le commandement de la Révolution algérienne à Ghardimaou, à la frontière commune entre les deux pays, ce qui a eu pour effet, selon l’orateur, d’empêcher le projet de création d’un centre d’entraînement des agents du renseignement sur le sol tunisien. Versant dans le détail, Ould Kablia indiquera que Bourguiba s’immisçait même dans le choix de la langue d’un discours avant sa diffusion par la radio Saout al-Arab. Abordant les relations de la Révolution algérienne avec l’Égypte, le responsable du Malg déclarera que toutes les aides qu’apportaient les Égyptiens étaient accompagnées de chantage sur de nombreuses questions. “Je conserve des documents personnels d’Ahmed Francis, le représentant du gouvernement provisoire de la République algérienne au Caire, en 1958, confirmant le refus des autorités égyptiennes de nous remettre des aides financières adoptées par la Ligue arabe pour soutenir les efforts de la Révolution algérienne. L’Égypte a procédé au remplacement de l’argent par des quantités de pommes de terre et de pois chiches”, a affirmé le ministre algérien. Dans le même ordre d’idées, il ajoutera que le président Gamal Abdel Nasser “a tenté d’imposer des ministres dans le gouvernement provisoire de la République algérienne, et notamment de mettre à sa tête Ahmed Ben Bella, qui se trouvait à cette période en détention”, en France, suite au détournement de l’avion transportant les cinq historiques du FLN en octobre 1956, alors qu’ils se rendaient du Maroc vers la Tunisie pour participer à une réunion des leaders des pays du Maghreb qui venaient d’accéder à l’indépendance au cours de la même année. Ould Kablia précisera que la direction de la Révolution algérienne avait refusé la politique du fait accompli que voulait imposer le raïs égyptien, d’où le transfert du siège du GPRA du Caire à Tunis. Il dévoilera que Fethi Dib, directeur du service du renseignement égyptien à cette époque, servait de courroie de transmission entre Nasser et les responsables algériens. Le président de l’Association des anciens du Malg, qui a rendu hommage à la Libye et à l’Irak, a insisté sur le fait que la Chine “était le premier pays à approvisionner l’Algérie en armements et en denrées alimentaires gratuitement, quant aux autres pays, dont la Yougoslavie de Tito et l’ex-URSS, nos relations étaient purement commerciales”. Par ailleurs, Dahou Ould Kablia dira que Abdelhafidh Boussouf était le fondateur de la première cellule du renseignement algérien, qui avait pour nom ministère de l’Armement et des Liaisons générales. Il indiquera que la majorité des personnalités, qui étaient à la tête du Malg, qui a formé 900 agents du renseignement spécialisés à travers 13 promotions, ont occupé après l’indépendance de l’Algérie des fonctions stratégiques au sein de l’État algérien. Voilà des vérités, certes amères, mais qui ne laissent plus de place aux assertions sans fondements des uns et des autres, qui ne cessaient de clamer qu’ils avaient aidé la Révolution, alors que la réalité est tout autre. Citer Link to post Share on other sites
MedVal 10 Posted June 14, 2008 Partager Posted June 14, 2008 On les enttendant parler on dirai qu'ils etaient meme presents au maquis ...:crazy: Citer Link to post Share on other sites
dz 10 Posted June 14, 2008 Partager Posted June 14, 2008 Mr Ayoub ,Mr Chicha Voila une vérité révélée pas par n'importe qui .Il faisait partie du MALG .Il n'y a que les anciens du MALG qui ne peuvent apporter la vérité sur la trahison de hassan 2 concernant le détournement de l'avion. Quant à vos 'territoires' ,je vous le répéte : vos services secrets espionnaient le FLN pour que le maroc s'accapare du 1/3 de l'algérie. Nos services secrets s'étaient rendus compte que vos intentions étaient de mauvaise foi. Citer Link to post Share on other sites
djamal 2008 10 Posted June 14, 2008 Partager Posted June 14, 2008 Suite aux récentes révélations de l’Égyptien Mohamed Haykal Hassanine, quant au rôle joué par Hassan II dans l’affaire du détournement de l’avion des cinq historiques du FLN par l’aviation française, et au démenti apporté à ce sujet par un des concernés de l’opération, Hocine Aït Ahmed, voilà un ancien responsable du Malg qui apporte son grain de sel au sujet de la nature de l’aide fournie par l’Égypte, le Maroc et la Tunisie à la Révolution algérienne. N’y allant guère avec le dos de la cuillère, Daho Ould Kablia a quasiment réduit à néant le soutien apporté par ces trois pays, tout en ajoutant qu’il était accompagné à chaque fois de conditions. Dans une conférence donnée jeudi à Alger, dont les détails ont été rapportés par le quotidien londonien Al Quds, sur l’histoire de la Révolution algérienne, le ministre délégué chargé des Collectivités locales, qui intervenait en sa qualité de responsable de l’Association des anciens du ministère de l’Armement et des Liaisons générales (Malg), affirmera qu’à l’exception de la Libye, sous l’ère du roi Idriss Senouci, le Maroc, la Tunisie et l’Égypte n’ont pas apporté l’aide espérée par l’Algérie. Citant des exemples, il révélera que le roi Mohammed VI avait donné son accord pour que soit remise gracieusement à la Révolution algérienne 5 000 pièces d’armements, mais son fils et prince héritier, Hassan II, avait exigé que lui soit payé en échange de la livraison une somme d’argent pour chaque pièce. Concernant toujours le Maroc, Daho Ould Kablia ajoutera que le même Hassan II avait posé comme condition le partage avec l’armée marocaine du contenu d’une embarcation remplie d’armes en provenance d’Allemagne, en contrepartie de son accord pour la laisser accoster dans la base navale de la marine royale marocaine et de permettre l’acheminement des armes jusqu’au commandement général ouest de l’Armée de libération nationale (ALN) à Oujda. Quant à l’apport de la Tunisie, le responsable algérien révélera qu’elle a pris beaucoup plus qu’elle n’a donné à l’Algérie. Il dira que le président tunisien, Habib Bourguiba, exerçait toutes sortes de pressions sur le commandement de la Révolution algérienne à Ghardimaou, à la frontière commune entre les deux pays, ce qui a eu pour effet, selon l’orateur, d’empêcher le projet de création d’un centre d’entraînement des agents du renseignement sur le sol tunisien. Versant dans le détail, Ould Kablia indiquera que Bourguiba s’immisçait même dans le choix de la langue d’un discours avant sa diffusion par la radio Saout al-Arab. Abordant les relations de la Révolution algérienne avec l’Égypte, le responsable du Malg déclarera que toutes les aides qu’apportaient les Égyptiens étaient accompagnées de chantage sur de nombreuses questions. “Je conserve des documents personnels d’Ahmed Francis, le représentant du gouvernement provisoire de la République algérienne au Caire, en 1958, confirmant le refus des autorités égyptiennes de nous remettre des aides financières adoptées par la Ligue arabe pour soutenir les efforts de la Révolution algérienne. L’Égypte a procédé au remplacement de l’argent par des quantités de pommes de terre et de pois chiches”, a affirmé le ministre algérien. Dans le même ordre d’idées, il ajoutera que le président Gamal Abdel Nasser “a tenté d’imposer des ministres dans le gouvernement provisoire de la République algérienne, et notamment de mettre à sa tête Ahmed Ben Bella, qui se trouvait à cette période en détention”, en France, suite au détournement de l’avion transportant les cinq historiques du FLN en octobre 1956, alors qu’ils se rendaient du Maroc vers la Tunisie pour participer à une réunion des leaders des pays du Maghreb qui venaient d’accéder à l’indépendance au cours de la même année. Ould Kablia précisera que la direction de la Révolution algérienne avait refusé la politique du fait accompli que voulait imposer le raïs égyptien, d’où le transfert du siège du GPRA du Caire à Tunis. Il dévoilera que Fethi Dib, directeur du service du renseignement égyptien à cette époque, servait de courroie de transmission entre Nasser et les responsables algériens. Le président de l’Association des anciens du Malg, qui a rendu hommage à la Libye et à l’Irak, a insisté sur le fait que la Chine “était le premier pays à approvisionner l’Algérie en armements et en denrées alimentaires gratuitement, quant aux autres pays, dont la Yougoslavie de Tito et l’ex-URSS, nos relations étaient purement commerciales”. Par ailleurs, Dahou Ould Kablia dira que Abdelhafidh Boussouf était le fondateur de la première cellule du renseignement algérien, qui avait pour nom ministère de l’Armement et des Liaisons générales. Il indiquera que la majorité des personnalités, qui étaient à la tête du Malg, qui a formé 900 agents du renseignement spécialisés à travers 13 promotions, ont occupé après l’indépendance de l’Algérie des fonctions stratégiques au sein de l’État algérien. Voilà des vérités, certes amères, mais qui ne laissent plus de place aux assertions sans fondements des uns et des autres, qui ne cessaient de clamer qu’ils avaient aidé la Révolution, alors que la réalité est tout autre. il y a dans cet article des contradictions flagrantes qui méritent d'être soulignées et se sont les suivants : premièrement en ce qui concerne la Tunisie, le fait d'abriter la chaîne de radio sawt el arab fut d'un support digne et effectif. Les autorités françaises interdisaient la réunion d'algériens autour d'un poste radio. Le dirigeant égyptien prononçait des discours régulièrement. L'article mentionne le support de l'Union Arabe et que l'Égypte n'avait pas appliquer à la lettre les recommandations ce qui est en contradiction avec le titre du journal ainsi que le fait d'abriter le siège du gouvernement provisoire est en lui-même un support. IL y avait un budget spécial dévoué à la cause algérienne et ce n'était pas un secret pour tous. Enfin, Mr ould Kablia a reconnu l'aide du souverain libyen, qui est originaire de la région de Mostaghnem, un fait qui ne reflète le titre de l'article du journal : le soutien arabe s'écroule. Quant au support de la Yougaslavie, fut-il basé sur des interêts commerciales ou non, reste quand même un support car les alliés à la France refuseraient même de vendre des armes à destination des rebelles algériens. Il faut mentionner que la France avait coupé ses relations diplomatiques avec cette nation. La personnalité la plus atteinte, par cet article et cette intervention du responsable algérien, est bien celle du souverain Mohammed V qui s'est vu contraint à l'exil durant le conflit. Le journal, cette fois met sa confiance totale en un responsable du gouvernement algérien ce qui est rare et hypocrite de sa part. Mais pour critiquer les arabes en général il n'y a pas meilleur de journal. Citer Link to post Share on other sites
Wahrani 1 465 Posted June 14, 2008 Partager Posted June 14, 2008 Mr Dahou Ould El Kablia a aussi été wali d'Oran et mon père m'a raconté des vertes et des pas mures à son sujet ! En tant que ministre délégué aux collectivités locales , donc un haut responsable en poste il aurait du se la fermer et filer le tuyau à quelqu'un d'autre , puisque lui même est loin d'être propre ! Et on comprend mieux maintenant le malheur des peuples algérien et marocain qui sont dirigés par les même magouilleurs qu'il y a quarante ans ! :ranting2:murFrape Citer Link to post Share on other sites
Zombretto 1 127 Posted June 14, 2008 Partager Posted June 14, 2008 Mr Dahou Ould El Kablia a aussi été wali d'Oran et mon père m'a raconté des vertes et des pas mures à son sujet ! En tant que ministre délégué aux collectivités locales , donc un haut responsable en poste il aurait du se la fermer et filer le tuyau à quelqu'un d'autre , puisque lui même est loin d'être propre ! Et on comprend mieux maintenant le malheur des peuples algérien et marocain qui sont dirigés par les même magouilleurs qu'il y a quarante ans ! :ranting2:murFrape Si ton pere ... a dans les soixante ans ... et s'il a vecu vers Bel Air ... et s'il etait beau mec dans ... les annees soixante ... il a du se faire la femme de ce mec Citer Link to post Share on other sites
HB 10 Posted June 14, 2008 Partager Posted June 14, 2008 Mr Dahou Ould El Kablia a aussi été wali d'Oran et mon père m'a raconté des vertes et des pas mures à son sujet ! En tant que ministre délégué aux collectivités locales , donc un haut responsable en poste il aurait du se la fermer et filer le tuyau à quelqu'un d'autre , puisque lui même est loin d'être propre ! Et on comprend mieux maintenant le malheur des peuples algérien et marocain qui sont dirigés par les même magouilleurs qu'il y a quarante ans ! :ranting2:murFrape Tu ne serais pas Marroco- Algérien par hasard? Et leur ex premier ministre Filali qui a écrit un livre en traitant de tous les noms les algeriens, ca ne t'as pas interpellé. Si ce n'était pas des vérités, il n'oserait pas les dire á un journaliste qui les publieraient et s'il n'avait pas l'accord de l'armée et de boutef, il n'aurait pas dit tout ca. Ca fait maintenant 46 ans que nous sommes indépendant, il est temps pour les algeriens de connaitre les verités sur leur passé, il est temps d'écrire la vraie histoire de notre pays. La prétendue fraternité maghrébine n'éxiste pas et ce ne sont pas les bons sentiments de certais naifs qui prétendront le contraire. Ce n'est que le bout qui cache l'iceberg, lorsque toute la vérité sera connu, plein de mythes vont se casser la gueule. Citer Link to post Share on other sites
Zombretto 1 127 Posted June 14, 2008 Partager Posted June 14, 2008 Tu ne serais pas Marroco- Algérien par hasard? Et leur ex premier ministre Filali qui a écrit un livre en traitant de tous les noms les algeriens, ca ne t'as pas interpellé. Si ce n'était pas des vérités, il n'oserait pas les dire á un journaliste qui les publieraient et s'il n'avait pas l'accord de l'armée et de boutef, il n'aurait pas dit tout ca. Ca fait maintenant 46 ans que nous sommes indépendant, il est temps pour les algeriens de connaitre les verités sur leur passé, il est temps d'écrire la vraie histoire de notre pays. La prétendue fraternité maghrébine n'éxiste pas et ce ne sont pas les bons sentiments de certais naifs qui prétendront le contraire. Ce n'est que le bout qui cache l'iceberg, lorsque toute la vérité sera connu, plein de mythes vont se casser la gueule. Tu sais ... d'ou est natif ... Daho Ould Kablia ? Citer Link to post Share on other sites
Wahrani 1 465 Posted June 14, 2008 Partager Posted June 14, 2008 Si ton pere ... a dans les soixante ans ... et s'il a vecu vers Bel Air ... et s'il etait beau mec dans ... les annees soixante ... il a du se faire la femme de ce mec ....Je ne savais pas que tu connaissais mon paternel à ce point ! :D C'est vrai que el hadj etait un zahouani dans sa jeunesse , et son différent avec Ould El Kablia remonte au temsp ou il etait à la tête de l'OPGI d'Oran et que ce sinistre personnage alors en charge de la wilaya , avait voulu s'accaparer avec une bande de ses amis de rien d'autre que la résidence "Le Panoramic" au front de mer , qui dépendait des biens vacants gérés par l'organisme de mon père ! Citer Link to post Share on other sites
HB 10 Posted June 14, 2008 Partager Posted June 14, 2008 Tu sais ... d'ou est natif ... Daho Ould Kablia ? Je soupconne qu'il soit de tlemcen Citer Link to post Share on other sites
Zombretto 1 127 Posted June 14, 2008 Partager Posted June 14, 2008 ....Je ne savais pas que tu connaissais mon paternel à ce point ! :D C'est vrai que el hadj etait un zahouani dans sa jeunesse , et son différent avec Ould El Kablia remonte au temsp ou il etait à la tête de l'OPGI d'Oran et que ce sinistre personnage alors en charge de la wilaya , avait voulu s'accaparer avec une bande de ses amis de rien d'autre que la résidence "Le Panoramic" au front de mer , qui dépendait des biens vacants gérés par l'organisme de mon père ! Nos vieux se ressemblent ... sans doute ... le mien avait une piaule ... dans le Panoramic et lui ... ne m'a jamais dit ouvertement ... qu'il s'etait fait la prefete ... mais certains de ses amis ... l'ont sous-entendu devant moi Citer Link to post Share on other sites
Zombretto 1 127 Posted June 14, 2008 Partager Posted June 14, 2008 Je soupconne qu'il soit de tlemcen Non ... il est a Tanger ... sa famille est originaire de Mascara Citer Link to post Share on other sites
Wahrani 1 465 Posted June 14, 2008 Partager Posted June 14, 2008 Tu ne serais pas Marroco- Algérien par hasard? Et leur ex premier ministre Filali qui a écrit un livre en traitant de tous les noms les algeriens, ca ne t'as pas interpellé. Si ce n'était pas des vérités, il n'oserait pas les dire á un journaliste qui les publieraient et s'il n'avait pas l'accord de l'armée et de boutef, il n'aurait pas dit tout ca. Ca fait maintenant 46 ans que nous sommes indépendant, il est temps pour les algeriens de connaitre les verités sur leur passé, il est temps d'écrire la vraie histoire de notre pays. La prétendue fraternité maghrébine n'éxiste pas et ce ne sont pas les bons sentiments de certais naifs qui prétendront le contraire. Ce n'est que le bout qui cache l'iceberg, lorsque toute la vérité sera connu, plein de mythes vont se casser la gueule. Yaou goulna chaoui ya dine errabbb ! :mad: On veut tous connaitre les vérites de nos deux pays respectifs , mais de sources désinteréssées , indépendantes et surtout honnêtes . El Filali et Ould El Kablia font partie des gens qui livrent plus d'omissions que d'informations , car sont tous les deux des racailles hors normes , trainant deriière eux des milliers de malheureux et des centaines de cadavres . Citer Link to post Share on other sites
Zombretto 1 127 Posted June 14, 2008 Partager Posted June 14, 2008 Tu ne serais pas Marroco- Algérien par hasard? Et leur ex premier ministre Filali qui a écrit un livre en traitant de tous les noms les algeriens, ca ne t'as pas interpellé. Si ce n'était pas des vérités, il n'oserait pas les dire á un journaliste qui les publieraient et s'il n'avait pas l'accord de l'armée et de boutef, il n'aurait pas dit tout ca. Ca fait maintenant 46 ans que nous sommes indépendant, il est temps pour les algeriens de connaitre les verités sur leur passé, il est temps d'écrire la vraie histoire de notre pays. La prétendue fraternité maghrébine n'éxiste pas et ce ne sont pas les bons sentiments de certais naifs qui prétendront le contraire. Ce n'est que le bout qui cache l'iceberg, lorsque toute la vérité sera connu, plein de mythes vont se casser la gueule. Je suis ... de nationalite ... Franco-Algero-Israelo-Americain ... et j'ai passe mon enfance au Maroc ... et pour moi un c o n est un c o n ... que ce soit un Ould Kablia, un Filali, un Sarko, un Bush ou un OLmert Citer Link to post Share on other sites
HB 10 Posted June 14, 2008 Partager Posted June 14, 2008 Historique des relations algero-marocaine depuis 1962 Yaou goulna chaoui ya dine errabbb ! :mad: On veut tous connaitre les vérites de nos deux pays respectifs , mais de sources désinteréssées , indépendantes et surtout honnêtes . El Filali et Ould El Kablia font partie des gens qui livrent plus d'omissions que d'informations , car sont tous les deux des racailles hors normes , trainant deriière eux des milliers de malheureux et des centaines de cadavres . La guerre des sables est l'appellation donnée au conflit engageant l'Algérie et le Maroc à l'indépendance de l'Algérie en octobre 1963. Des incidents de frontière répétés, déclenchent le conflit. L'Algérie sortant de 7 années et demi de guerre, se fournit en armement auprès de Cuba (qui envoya un bataillon de T-55 avec plusieurs centaines de militaires), de l'Égypte et de l'URSS pendant que le Maroc reçoit l’appui discret, mais présent, des États-Unis et de la France. Les principaux combats ont eu lieu dans les oasis de la frontière, en particulier près des villes de Figuig et M Hamid. L'Organisation de l'unité africaine négocia un cessez-le-feu formel et aprés une médiation de la Ligue Arabe les hostilités ont cessé. Au lendemain de l’indépendance de l’Algérie, les Marocains ont faussé la donne en tentant d’occuper une partie du territoire algérien, dans ce que l’histoire a retenu comme “la guerre des sables”. Taisant sa prétendue revendication territoriale durant la colonisation française, Rabat a tenté de prendre par la force ce qui, légalement, revenait à l’Algérie conformément aux traçages des frontières par la puissance occupante. La politique expansionniste du royaume alaouite faisait alors ses premiers pas. Expansionnisme Dans l’esprit de feu Hassan II, le “Grand Maroc”, qui englobe une bonne partie de l’ouest et du sud-ouest algérien et s’étend vers le Sud jusqu’à pratiquement le fleuve Sénégal, devait voir le jour. Affaiblie par sept ans et demi de guerre contre l’occupation coloniale, l’Algérie présentait une proie facile pour le souverain chérifienne qui pensait saisir l’occasion pour lancer son projet expansionniste. Mal lui en pris, car les Algériens, plus solidaires que jamais, repoussèrent l’offensive de l’armée régulière marocaine. Devant la pression internationale et la résistance des Algériens sur le champ de bataille, Hassan II renonce à son expédition expansionniste et retire ses soldats. C’était là le mauvais départ dans les relations algéro-marocaines. La confiance n’était plus de mise entre les deux parties. Depuis, les choses semblaient rentrer dans l’ordre. Aucun différend notable n’a été enregistré entre Alger et Rabat, dont les rapports étaient des plus corrects. Il a fallu que le général Franco d’Espagne décide de mettre fin à la colonisation du Sahara occidental pour que les vieux démons royaux refassent surface. Hassan II revendique alors ce territoire. Mais avant que les soldats ibériques ne quittent ce pays, ses habitants créent le Front Polisario en 1973 et optent pour l’indépendance. La rupture totale Après le départ des Espagnols en 1975, le roi du Maroc occupe, dans un premier temps, le nord du Sahara occidental après sa “marche verte” et cède la partie sud à la Mauritanie de Mokhtar Ould Dadah. Quatre années plus tard, il fait main basse sur tout le territoire, à la suite du retrait des Mauritaniens. Ces dernier, en butte à de sérieux problèmes internes, s’étaient ravisés car n’ayant pas les moyens d’assurer leur présence dans ce territoire. Dans toutes ces péripéties, l’Algérie soutient le droit à l’autodétermination du peuple sahraoui, pour avoir connu les affres de la colonisation et bataillé dur pour arracher ce droit à la communauté internationale. Prenant la position algérienne pour une attaque contre le Maroc, Hassan II rompt les relations diplomatiques avec Alger le 7 mars 1976. Pourtant, quelques mois auparavant, la Cour internationale de justice de La Haye reconnaissait le droit à l’autodétermination de la population de ce territoire. C’est un véritable climat de tension qui s’est instauré alors entre les deux capitales. C’est la rupture totale. Pendant sept ans, les dirigeants des deux pays n’ont cessé de s’accuser de tous les maux. Il y eut même des accrochages militaires entre les deux armées, dont les plus célèbres furent Amgalla I et Amgalla II. Chadli-Hassan II, le tête-à-tête historique Devant les liens linguistiques, religieux, géographiques et historiques entre les deux peuples, la rupture ne pouvait durer éternellement. Des petits pas de part et d’autre ont permis d’aboutir à la rencontre du 26 février 1983 entre le président Chadli Bendjedid et le roi Hassan II. Face au refus de l’un et de l’autre d’aller chez le voisin, les deux hommes tinrent leur sommet à la frontière des deux pays. Six semaines plus tard, soit le 7 avril, la libre circulation est rétablie pour les résidents des deux pays. Le 28 mai 1983, un accord sur la libre circulation progressive des personnes et des biens et l’ouverture des lignes aériennes et ferroviaires est signé. Alors que l’on pensait que la hache de guerre allait être enterrée définitivement, surgit alors le traité d’union maroco-libyen le 13 août 1984 qui jette à nouveau le froid entre les deux capitales. Il a fallu une médiation saoudienne, menée par le roi Fahd, pour que les relations se normalisent graduellement. Pour rappel, un sommet tripartite avait réuni, encore une fois à la frontière algéro-marocaine, le 4 mai 1987, Hassan II, le président Chadli et le roi Fahd. S’ensuit alors toute une série de rencontres entre officiels des deux pays. Le 16 mai 1988, c’est la reprise des relations diplomatiques, qui est suivie le 5 juin de la même année par la réouverture des frontières. Quarante-huit heures plus tard, le souverain alaouite effectue sa première visite officielle en Algérie. Il participe à l’occasion au sommet de la Ligue arabe du 7 juin 1988. La réconciliation est scellée à l’occasion de la visite officielle de Chadli Bendjedid à Ifrane du 6 au 8 février 1989. Les deux chefs d’État signent un accord sur un projet d’un gazoduc devant relier l’Algérie à l’Europe, à travers le Maroc. Les autres rencontres à haut niveau qui suivirent, notamment celle de Tunis, à l’occasion d’un sommet de l’UMA en 1990, et la visite de Hassan II à Oran du 27 au 29 mai 1991, et la promulgation par Rabat de la convention du 15 juin 1972 ayant mis fin aux problèmes frontaliers maroco-algériens qui avaient été à l’origine d’un conflit armé entre les deux pays, connu sous le nom de “guerre des sables”, en octobre 1963, ont fait croire à une véritable normalisation. 1994, le clash ! Le 16 août 1994, les déclarations du président du Haut Conseil d’État algérien, Liamine Zeroual, dans lesquelles il affirmait qu’il ne restait en Afrique qu’un “pays illégalement occupé”, dans une allusion au Sahara occidental, sont très mal perçues à Rabat. Quelques jours plus tard, soit le 26 août 1994, une attaque terroriste meurtrière menée par des Franco-Maghrébins contre un hôtel de la ville marocaine de Marrakech fait deux morts et plusieurs blessés parmi les touristes espagnols. Sans attendre les conclusions d’une enquête sérieuse, les autorités marocaines désignent les services de sécurité de l’Algérie du doigt et décident d’instaurer le visa pour les ressortissants algériens désireux de se rendre au Maroc. Ne se limitant pas à appliquer la réciprocité dans ce genre de situation, Alger décide de fermer la frontière terrestre entre les deux pays, qui facilite l’infiltration des armes et des terroristes vers l’Algérie. Ce fut alors la coupure totale. Rabat demandera officiellement le gel de toutes les institutions de l’Union du Maghreb arabe. Depuis, les frontières sont toujours fermées, malgré de nombreuses éclaircies dans les relations bilatérales, marquées particulièrement par la décision marocaine de supprimer le visa pour les ressortissants algériens, et la mesure réciproque de l’Algérie cette année. Une victime : l’UMA Passage obligé pour le développement de la région dans ce monde des grands ensembles, l’Union du Maghreb arabe n’existe que sur papier. À chaque fois que l’on amorce une tentative de relance de cette institution, un différend algéro-marocain surgit et annihile les efforts des uns et des autres. Rabat exerce son chantage sans relâche. En effet, dès qu’il est question de tenir un sommet de l’UMA, les Marocains font pression. Ils exigent le silence de l’Algérie dans la question du Sahara occidental en échange de leur présence à ces rendez-vous. Ce qui s’est passé récemment à Tripoli est l’exemple type des pratiques marocaines. Il a suffi que Abdelaziz Bouteflika réaffirme le soutien de l’Algérie au peuple sahraoui dans sa lutte pour arracher le droit à l’autodétermination pour que Mohamed VI annule sa participation à ce rendez-vous. Les concessions algériennes visant à tenir ce sommet sans traiter du dossier sahraoui, comme cela avait été convenu auparavant, ont été catégoriquement rejetées par les représentants de Mohamed VI. C’est dire la mauvaise foi des diplomates marocains, qui exécutaient les instructions venant directement du palais royal. Ce qui s’est passé dans la capitale libyenne n’est qu’un remake de ce qu’ont réservé les Marocains aux précédentes tentatives d’organiser un sommet de l’Union du Maghreb arabe depuis onze années maintenant. K. ABDELKAMEL Citer Link to post Share on other sites
djamal 2008 10 Posted June 15, 2008 Partager Posted June 15, 2008 Il faut lire la reponse de Mr Ould Kablia paru aujourd'hui sur le même journal ( Liberté) qui apporte quelques rectifications afin de terminer avec l'inexactitude du titre du journal. Il fait état d'un envoi d'armes en provenance d'Alexandrie en mars 1955 et se contradit en disant que l'Egypte n'avait pas supporté aux rebelles algériens. Ce fut à la suite d'une conférence adressée a des chercheurs et historiens et je me demande quelles sont les qualités intellectuelles que possèdent ce ministre delégué et que nos chercheurs bénéficient de son intellect. Je doute qu'il possède un doctorat quelconque en n'importe quel sujet. Et de dire qu'il est en possession une copie quelconque affirmant ces propos et être prêt a la rendre publique, le cas échéant, je dirais qu'il la détienne en tant que qui? A-t-il droit à la possession de tel document qui devrait appartenir aux Archives à moins que ce bureau la rendre accessible au public et non lui. Qu'est ce qu'il lui permet de décider à rendre public ou de garder à lui-même. et qu'est qui lui permet d'écrire l'histoire de l'Algérie, il n'est ni historien ni chercheur mais un simple témoin et un politicien d'un état corrompu je dirais. Incapable d'aborder et de confronter les problèmes de l'actualité il essaie de régler les différences qu'a vécu l'histoire de notre pays qui s'est terminé finalement par un succès. c-a-d, l'indépendance. Essayer de pisser sur un violon afin de jouer de la musique. Citer Link to post Share on other sites
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