Guest fialyne Posted August 4, 2013 Partager Posted August 4, 2013 Je me souviens de cette nuit où les yeux parcourant le ciel, Je comptais les étoiles, Une nuit où, ô combien sage, je me promenais sur les nuages ! Il faisait plus beau que sur les plages, je me dorais sous la lune, A la clarté flamboyante d'une lumière jaillissant de mes yeux. Il faisait « plus-bon » que dans n'importe quelle forêt riche de feuillage, Vibrant au souffle tendre des brises câlines, des brises tendres. Je me couvrais de douceur des voiles blancs et des ombres. C'était encore plus magique que sur l'île féerique, le frisson me caressait le dos Il me frôlait passant des doigts furtifs à travers ma chevelure rebelle Il faisait si" bon", si "bien", cette nuit là ! des ondes chantaient Berçant l’immensité ; jusqu’en mon silence muet d’où s'esquivèrent les mots, Dieu est grand " Allah akbar" Fialyne Olivès Citer Link to post Share on other sites
Guest D. ESSERHANE Posted August 4, 2013 Partager Posted August 4, 2013 Merci, Fialyne Qui ne se souvient pas de ces belles nuits des temps bénis, de ces mille étoiles scintillantes qui brillent, là haut dans le noir au lointain firmament. Qui ne ne souvient pas de ce regard moqueur de la pleine lune, moins avare, qui illumine et qui viole les secrets des pénombres. Et qui ne se souvient pas des caresses de ce doux vent de l'été, de ses timides chuchotements et de ses petits murmures On ne saurait jamais décrire ce silence singulier d'où naissait par magie, ces inspirations spontanées qui ont bercés tant de rêves les plus fous. Ces nuit-là ne charrient, ni vagues de fraicheur, ni d'inspirations ou de parfums Citer Link to post Share on other sites
Guest fialyne Posted August 4, 2013 Partager Posted August 4, 2013 Merci, Fialyne Qui ne se souvient pas de ces belles nuits des temps bénis, de ces mille étoiles scintillantes qui brillent, là haut dans le noir au lointain firmament. Qui ne ne souvient pas de ce regard moqueur de la pleine lune, moins avare, qui illumine et qui viole les secrets des pénombres. Et qui ne se souvient pas des caresses de ce doux vent de l'été, de ses timides chuchotements et de ses petits murmures On ne saurait jamais décrire ce silence singulier d'où naissait par magie, ces inspirations spontanées qui ont bercés tant de rêves les plus fous. Ces nuit-là ne charrient, ni vagues de fraicheur, ni d'inspirations ou de parfums Il faut ce silence pour aller vers soi et vers Dieu. Merci à toi D. Serhanne. Citer Link to post Share on other sites
Séphia 896 Posted August 4, 2013 Partager Posted August 4, 2013 Pourquoi ne peut-on "retenir" à jamais de pareilles nuits ? Merci Fialyne pour ce pur moment de plaisir :flowers: Citer Link to post Share on other sites
Guest D. ESSERHANE Posted August 4, 2013 Partager Posted August 4, 2013 Il faut ce silence pour aller vers soi et vers Dieu. Merci à toi D. Serhanne. Pas de quoi, madame Sans le silence, il n'y a point de méditation, ni de prière - Encore moins d'inspiration - Pourquoi ne peut-on "retenir" à jamais de pareilles nuits ? tu veux dire quoi par retenir? Citer Link to post Share on other sites
Guest fialyne Posted August 4, 2013 Partager Posted August 4, 2013 Pourquoi ne peut-on "retenir" à jamais de pareilles nuits ? Merci Fialyne pour ce pur moment de plaisir :flowers: Merci à vous Séphia. Je crois qu'il nous faut ces instants furtifs pour être en accord avec soi, pour plus de méditation, pour arriver au point où plus rien ne compte et que en même temps, chaque chose revêt son importance. Merci encore. Citer Link to post Share on other sites
Séphia 896 Posted August 4, 2013 Partager Posted August 4, 2013 tu veux dire quoi par retenir? la réponse est dans la suite = A jamais, pour toujours ; que cette nuit sublime de quelques heures dure toute une éternité... Citer Link to post Share on other sites
Guest D. ESSERHANE Posted August 5, 2013 Partager Posted August 5, 2013 la réponse est dans la suite = A jamais, pour toujours ; que cette nuit sublime de quelques heures dure toute une éternité... Les circonstances étant ce qu'elles sont avec leurs temps fugitifs - Non seulement, le temps nous échappe, mais, il nous estampillent, tous que nous sommes d'une manière telle que l'on ne peut facilement oublier Citer Link to post Share on other sites
Sissa 10 Posted August 9, 2013 Partager Posted August 9, 2013 Je me souviens de l'Aïd de mon enfance Je l'attendais avec impatience Pour mettre ma robe rouge et mes chaussures vernies Mon collier de perles noires et mon serre-tête fleuri C'était une autre ambiance... Saha Aïdek, Fialyne Citer Link to post Share on other sites
Guest fialyne Posted August 9, 2013 Partager Posted August 9, 2013 Je me souviens de l'Aïd de mon enfance Je l'attendais avec impatience Pour mettre ma robe rouge et mes chaussures vernis Mon collier de perles noires et mon serre-tête fleuri C'était une autre ambiance... Saha Aïdek, Fialyne C'est magnifique, Sissa, j'aime beaucoup. Je me souviens des efforts de ma mère A confectionner ma robe avec art Brodant de bonne foi, veillant bien tard, Effaçant l'image de vivre ce jour de l'Aid Dans la tristesse de ne plus avoir de père. Merci Sissa. Bonne fête à vous aussi. Citer Link to post Share on other sites
Séphia 896 Posted August 9, 2013 Partager Posted August 9, 2013 Magnifiques souvenirs à garder précieusement...Sissa, Fialyne.:40::40: Merci de les partager avec nous... Et moi, je me souviens des dimanches où maman entourait d'un beau tablier ses hanches, Elle déployait pour nous ses talents de cuisinière En chantant à tue -tête des refrains de naguère... Citer Link to post Share on other sites
Guest fialyne Posted August 9, 2013 Partager Posted August 9, 2013 Magnifiques souvenirs à garder précieusement...Sissa, Fialyne.:40::40: Merci de les partager avec nous... Et moi, je me souviens des dimanches où maman entourait d'un beau tablier ses hanches, Elle déployait pour nous ses talents de cuisinière En chantant à tue -tête des refrains de naguère... Très beau Séphia, merci Et ma mère comme sa voisine, joyeuse De ses mains habiles, pétrissait heureuse Ce bon pain maison, qu'elle aimait partager Avec ceux qui l'entouraient dans le quartier. Ah, qu'il avait bon goût ce temps de naguère ! Citer Link to post Share on other sites
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