Jump to content

Je me souviens


Recommended Posts

Guest fialyne

Je me souviens de cette nuit où les yeux parcourant le ciel,

 

Je comptais les étoiles,

 

Une nuit où, ô combien sage, je me promenais sur les nuages !

 

Il faisait plus beau que sur les plages, je me dorais sous la lune,

 

A la clarté flamboyante d'une lumière jaillissant de mes yeux.

 

Il faisait « plus-bon » que dans n'importe quelle forêt riche de feuillage,

 

Vibrant au souffle tendre des brises câlines, des brises tendres.

 

Je me couvrais de douceur des voiles blancs et des ombres.

 

C'était encore plus magique que sur l'île féerique, le frisson me caressait le dos

 

Il me frôlait passant des doigts furtifs à travers ma chevelure rebelle

 

Il faisait si" bon", si "bien", cette nuit là ! des ondes chantaient

 

Berçant l’immensité ; jusqu’en mon silence muet d’où s'esquivèrent les mots, Dieu est grand " Allah akbar"

 

Fialyne Olivès

Link to post
Share on other sites
Guest D. ESSERHANE

Merci, Fialyne

 

Qui ne se souvient pas de ces belles nuits des temps bénis, de ces mille étoiles scintillantes qui brillent, là haut dans le noir au lointain firmament. Qui ne ne souvient pas de ce regard moqueur de la pleine lune, moins avare, qui illumine et qui viole les secrets des pénombres. Et qui ne se souvient pas des caresses de ce doux vent de l'été, de ses timides chuchotements et de ses petits murmures

 

On ne saurait jamais décrire ce silence singulier d'où naissait par magie, ces inspirations spontanées qui ont bercés tant de rêves les plus fous.

 

Ces nuit-là ne charrient, ni vagues de fraicheur, ni d'inspirations ou de parfums

Link to post
Share on other sites
Guest fialyne
Merci, Fialyne

 

Qui ne se souvient pas de ces belles nuits des temps bénis, de ces mille étoiles scintillantes qui brillent, là haut dans le noir au lointain firmament. Qui ne ne souvient pas de ce regard moqueur de la pleine lune, moins avare, qui illumine et qui viole les secrets des pénombres. Et qui ne se souvient pas des caresses de ce doux vent de l'été, de ses timides chuchotements et de ses petits murmures

 

On ne saurait jamais décrire ce silence singulier d'où naissait par magie, ces inspirations spontanées qui ont bercés tant de rêves les plus fous.

 

Ces nuit-là ne charrient, ni vagues de fraicheur, ni d'inspirations ou de parfums

Il faut ce silence pour aller vers soi et vers Dieu. Merci à toi D. Serhanne.

Link to post
Share on other sites
Guest D. ESSERHANE
Il faut ce silence pour aller vers soi et vers Dieu. Merci à toi D. Serhanne.

 

Pas de quoi, madame

Sans le silence, il n'y a point de méditation, ni de prière - Encore moins d'inspiration -

 

Pourquoi ne peut-on "retenir" à jamais de pareilles nuits ?

 

tu veux dire quoi par retenir?

Link to post
Share on other sites
Guest fialyne
Pourquoi ne peut-on "retenir" à jamais de pareilles nuits ?

Merci Fialyne pour ce pur moment de plaisir :flowers:

 

Merci à vous Séphia. Je crois qu'il nous faut ces instants furtifs pour être en accord avec soi, pour plus de méditation, pour arriver au point où plus rien ne compte et que en même temps, chaque chose revêt son importance. Merci encore.

Link to post
Share on other sites
Guest D. ESSERHANE
la réponse est dans la suite = A jamais, pour toujours ; que cette nuit sublime de quelques heures dure toute une éternité...

 

Les circonstances étant ce qu'elles sont avec leurs temps fugitifs - Non seulement, le temps nous échappe, mais, il nous estampillent, tous que nous sommes d'une manière telle que l'on ne peut facilement oublier

Link to post
Share on other sites

Je me souviens de l'Aïd de mon enfance

Je l'attendais avec impatience

Pour mettre ma robe rouge et mes chaussures vernies

Mon collier de perles noires et mon serre-tête fleuri

 

C'était une autre ambiance...

 

 

Saha Aïdek, Fialyne :)

Link to post
Share on other sites
Guest fialyne
Je me souviens de l'Aïd de mon enfance

Je l'attendais avec impatience

Pour mettre ma robe rouge et mes chaussures vernis

Mon collier de perles noires et mon serre-tête fleuri

 

C'était une autre ambiance...

 

 

Saha Aïdek, Fialyne :)

 

C'est magnifique, Sissa, j'aime beaucoup.

 

Je me souviens des efforts de ma mère

A confectionner ma robe avec art

Brodant de bonne foi, veillant bien tard,

Effaçant l'image de vivre ce jour de l'Aid

Dans la tristesse de ne plus avoir de père.

 

Merci Sissa. Bonne fête à vous aussi.

Link to post
Share on other sites

Magnifiques souvenirs à garder précieusement...Sissa, Fialyne.:40::40:

Merci de les partager avec nous...

 

Et moi, je me souviens des dimanches

où maman entourait d'un beau tablier ses hanches,

Elle déployait pour nous ses talents de cuisinière

En chantant à tue -tête des refrains de naguère...

Link to post
Share on other sites
Guest fialyne
Magnifiques souvenirs à garder précieusement...Sissa, Fialyne.:40::40:

Merci de les partager avec nous...

 

Et moi, je me souviens des dimanches

où maman entourait d'un beau tablier ses hanches,

Elle déployait pour nous ses talents de cuisinière

En chantant à tue -tête des refrains de naguère...

 

 

 

Très beau Séphia, merci

 

Et ma mère comme sa voisine, joyeuse

De ses mains habiles, pétrissait heureuse

Ce bon pain maison, qu'elle aimait partager

Avec ceux qui l'entouraient dans le quartier.

Ah, qu'il avait bon goût ce temps de naguère !

Link to post
Share on other sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.
Note: Your post will require moderator approval before it will be visible.

Guest
Répondre

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.

×
×
  • Create New...