austere 10 Posted August 25, 2013 Partager Posted August 25, 2013 Ta réaction est motivé par de la jalousie ... Tu es comme tes frères, ils envient cet héritage que nos ancêtres nous ont laissés !Oui. oui, votre civilization est la meilleure, la plus belle, la plus merveilleuse, je suis tellement jaloux que je remercie dieu de ne pas faire part de la civilisation de la kheima et des maisons en toub.Merci Allah de m'avoir cree amazigh:D:D Citer Link to post Share on other sites
austere 10 Posted August 25, 2013 Partager Posted August 25, 2013 C'est la preuve d'un profond malaise et d'une crise identitaire d'un troisième " B'ghal " champion de la courbette ...l a baghla fait partie de ta civilization don't je suis vert d'envie d'imiter.plutot c'est la chamelle et les rzzias, avoue que tu es nostalgique, ca te manqué,hein?? Citer Link to post Share on other sites
Guest fellay Posted August 25, 2013 Partager Posted August 25, 2013 C'est la preuve d'un profond malaise et d'une crise identitaire d'un troisième " B'ghal " champion de la courbette ... Ibn khaldoun decrit les gens auquel tu t'affilies comme des hordes de sauvages et tout ce que tu trouves a dire c'est transposer ta crise identitaire sur les autres? Pourquoi un des plus grands historiens de l'humanité n'a t il rien trouvé d'heroique a raconter sur les hilaliens. Peut etre qu'ils lui ont caché leur fameuse geste taghriba? Citer Link to post Share on other sites
chougui 10 Posted August 25, 2013 Partager Posted August 25, 2013 C'est la preuve d'un profond malaise et d'une crise identitaire d'un troisième " B'ghal " champion de la courbette ... Bonjour ma sœur, merci, moi aussi je me fais toujours un plaisir de lire tes pertinentes contributions et tes cinglantes répliques à ces haineux, racistes enragés, jaloux et frustrés que j'appellent les casaniers de l'Histoire, qui ont interprété (en fait ils ont repris des occidentaux bêtement comme des perroquets, ont-ils interprété ou accompli une oeuvre par eux mêmes?) et détourné à leur convenance l'oeuvre grandiose d'ibn khaldoun qui dans son explication ne parlait pas des ARABES (dont il fait partie) en tant que peuple de la péninsule qui porte leur nom mais des A3RAB, اعراب çàd les nomades, les bédouins, par opposition aux 7adhr, citadins (7adhara :civilisation) pour expliquer la dynamique de développement des civilisations, de la vie des sociétés humaines. les occidentaux auraient parlé de civilisation (7adhara) et de barbarie. Mais ces haineux dans leur quête désespérée de revanche sur les arabes (qui pourtant les ont sorti de leur semi-primitivité), s'adonnent à leur hobby favori, la diffamation et l'insulte. Citer Link to post Share on other sites
Guest fellay Posted August 25, 2013 Partager Posted August 25, 2013 Ta réaction est motivé par de la jalousie ... Tu es comme tes frères, ils envient cet héritage que nos ancêtres nous ont laissés ! Le fameux héritage que les ancêtres de Bara nous ont laissé et que les maghrebins envient parce qu'ils sont jaloux, le voilà décrit par ibn khaldoun: "Que leurs yeux tombent sur n'importe quel bien, mobilier ou ustensile, et ils s'en emparent. S'ils arrivent à la domination et au pouvoir royal, ils pillent tout à leur aise. Il n'y a plus rien pour protéger la propriété et la civilisation est détruite. D'autre part, étant donné qu'ils font travailler de force les artisans et les ouvriers, le travail leur parait sans valeur et ils refusent de le payer. Or, comme on le verra plus loin, le travail est le fondement du profit (al- a'mâl, aslu I-makâsib). Si le travail n'est pas apprécié, s'il est fait pour rien, l'espoir de profit disparaît, et le travail n'est pas productif. Les sédentaires se dispersent et la civilisation décline. Autre chose encore : les Arabes ne portent aucun intérêt ('inâya) aux lois (ahkâm). Ils ne cherchent pas à dissuader les malfaiteurs ou à assurer l'ordre public. Ils ne s'intéressent (hammu-hum) qu'à ce qu'ils peuvent soustraire aux autres, sous forme de butin ou d'impôt. Quand ils ont obtenu cela, ils ne s'occupent ni de prendre soin des gens, ni de suivre leurs intérêts, ni de les forcer à se bien conduire. Ils lèvent des amendes sur les propriétés, pour en tirer quelque avantage, quelque taxe, quelque profit. Telle est leur habitude. Mais elle n'aide pas à prévenir les méfaits ou à dissuader les malfaiteurs. Au contraire, le nombre en augmente: comparée au bénéfice du crime, la perte représentée par l'amende est insignifiante. En régime arabe, les sujets vivent sans lois, dans l'anarchie (fawda). L'anarchie détruit l'humanité et ruine la civilisation. En effet, le pouvoir royal tient à une qualité naturelle de l'homme. C'est lui qui garantit l'existence des hommes et leur vie sociale (ijtimâ'). On a déjà vu cela au début du chapitre." Citer Link to post Share on other sites
ADHAR 110 Posted August 25, 2013 Partager Posted August 25, 2013 Ta réaction est motivé par de la jalousie ... Tu es comme tes frères, ils envient cet héritage que nos ancêtres nous ont laissés ! Bonjour, Puis je avoir une idée et des exemples de cet héritage dont , en tant que non arabe, je serais jalou ? Citer Link to post Share on other sites
ADHAR 110 Posted August 25, 2013 Partager Posted August 25, 2013 Le fameux héritage que les ancêtres de Bara nous ont laissé et que les maghrebins envient parce qu'ils sont jaloux, le voilà décrit par ibn khaldoun: "Que leurs yeux tombent sur n'importe quel bien, mobilier ou ustensile, et ils s'en emparent. S'ils arrivent à la domination et au pouvoir royal, ils pillent tout à leur aise. Il n'y a plus rien pour protéger la propriété et la civilisation est détruite. D'autre part, étant donné qu'ils font travailler de force les artisans et les ouvriers, le travail leur parait sans valeur et ils refusent de le payer. Or, comme on le verra plus loin, le travail est le fondement du profit (al- a'mâl, aslu I-makâsib). Si le travail n'est pas apprécié, s'il est fait pour rien, l'espoir de profit disparaît, et le travail n'est pas productif. Les sédentaires se dispersent et la civilisation décline. Autre chose encore : les Arabes ne portent aucun intérêt ('inâya) aux lois (ahkâm). Ils ne cherchent pas à dissuader les malfaiteurs ou à assurer l'ordre public. Ils ne s'intéressent (hammu-hum) qu'à ce qu'ils peuvent soustraire aux autres, sous forme de butin ou d'impôt. Quand ils ont obtenu cela, ils ne s'occupent ni de prendre soin des gens, ni de suivre leurs intérêts, ni de les forcer à se bien conduire. Ils lèvent des amendes sur les propriétés, pour en tirer quelque avantage, quelque taxe, quelque profit. Telle est leur habitude. Mais elle n'aide pas à prévenir les méfaits ou à dissuader les malfaiteurs. Au contraire, le nombre en augmente: comparée au bénéfice du crime, la perte représentée par l'amende est insignifiante. En régime arabe, les sujets vivent sans lois, dans l'anarchie (fawda). L'anarchie détruit l'humanité et ruine la civilisation. En effet, le pouvoir royal tient à une qualité naturelle de l'homme. C'est lui qui garantit l'existence des hommes et leur vie sociale (ijtimâ'). On a déjà vu cela au début du chapitre." Bonjour, Pas besoin d'aller parler d'Ibn Khaldoun, Y'a qu'à voir ce que sont devenus les pays dits arabes. À commencer par ceux qui veille sur la mecque. C'est des modéles de justice et de bienfaisance. Citer Link to post Share on other sites
chougui 10 Posted August 25, 2013 Partager Posted August 25, 2013 Une épopée arabe merveilleuse. Depuis le travail du 1er Orientaliste sur cette chanson de geste dans les années 1836 et suivantes, c’est feu Tahar Guiga qui eut le mérite, en 1968, d’attirer l’attention des chercheurs français sur la valeur de cette œuvre collective et sur le texte dont son père Abderahmane Guiga avait eu connaissance. L’Epopée hilalienne aurait été composée sous forme de chroniques au XIe siècle ou au plus tard au XIVe siècle de l’ère chrétienne, puisque le sociologue et historien Ibn Khaldoun en rapporte quelques passages versifiés. La Geste est contée sur les lieux de nombreuses haltes hilaliennes dans des cités tunisiennes comme Kairouan, Medjez El Bab, etc. Poètes et historiens décrivent ces tribus guerrières comme des hordes destructrices marchant depuis la presqu’île arabique jusqu’au Maroc et aux confins de l’Occident musulman. Les hauts faits d’une douzaine de héros Que raconte La Geste ? Elle relate les hauts faits d’une douzaine de héros pris dans la tourmente de la faim et les vicissitudes d’un immense voyage à résonance initiatique; cela se passait au XIe siècle (ère chrétienne). Il s’agit des tribus Drid avec sa fraction Ameur, Zahal, Makhzoum et Ghanem avec sa fraction Zoghba où se rencontraient les musiciens du campement. La Geste fait l’apologie de le bédouinité. L’émigration en Egypte à partir de Najd est provoquée par une longue et sévère famine; leur dispersion dans le Magreb jusqu’au Maroc est provoquée par de multiples conflits amoureux et familiaux : Hassan, souverain de la confédération et qui ne va pas à la guerre, Bouzid, chef retors, Diab, berger beau-frère du roi et chevalier intrépide qui conquiert Tunis, et surtout l’incomparable Jazia à la naissance miraculeuse, à la chevelure légendaire, sœur du sultan Hassan dont la science et la sagesse sont légendaires et qui périra misérablement sous le coup de Dhieb. Mais les grands personnages indigènes sont aussi chantés dans La Geste hilalienne tels que Khlifa, le souverain Zenète, son frère Allem, brillant général, et sa fille Saâda qui trahira par amour son père et mourra elle aussi tragiquement. C’est autour de 120 personnages que se nouent intrigues et guerres racontées par plus de cent poèmes et une suite de récits. Les Hilaliens étaient des arabes de Modhar, leur origine se perd dans la nuit des temps, leur terrain de parcours sont les déserts du Hijaz qui jouxtent le Najd. Montagnards en hiver, ils dévalaient l’été vers les plaines frontières d’Irak ou de Syrie à la recherche de butins. Voici ce qu’écrit W. Marçais : «Ibn Khaldoun en dit beaucoup de mal, mais a pour eux intérêt et sympathie, connaît leurs conteurs et leurs bardes». Cette épopée arabe merveilleuse, habitée par une fatalité tragique à la fois enrichie par des générations de poètes et mutilée par le temps, semble avoir conservé une cohérence interne et une puissance émotionnelle qui ne cessent de nous interpeller. Un poème épique La Geste hilalienne, poème épique, a franchi les siècles à michemin entre le monde du merveilleux et le discours édifiant, teintée d’éléments de poésie courtoise; mais le plus remarquable, c’est qu’à travers le texte de La Geste, le poète nous révèle une connaissance prodigieuse sur l’honneur, la préséance, les serments juridiques, ceux d’allégeance et de promesse de sauvegarde, d’hospitalité, la loyauté, la patience, la sobriété, les coutumes de tissage (la ragghata, terme employé jusqu’à nos jours pour désigner le travail de groupe, ou le couscous très fin namli). La femme a un rôle de prédilection; elle est la maîtresse de tente, l’âme de la cellule hilalienne, conseillère aux jours difficiles, attise le courage des guerriers par sa présence et celle de ses compagnes. La réception de l’hôte qui dure trois jours est une affaire de femmes. La violence de l’invasion présente dans l’ensemble du récit est en quelque sorte tempérée par la description d’une civilisation nomade avec ses pratiques vestimentaires, culinaires, guerrières et ses activités ludiques, par son don d’éloquence et de poésie et sa relation bouleversante avec la nature, en somme tout un art de vivre. La Geste hilalienne, une histoire de vie révisée par le sociologue Ibn Khaldoun, a le mérite de nous ramener vers la source épique dans le déroulement des faits dans la durée, et les exaltations du cœur dans les crises. Le souffle épique et le souffle lyrique se mêlent en parfaite symbiose. Les poèmes qui chantent cet événement étaient jusqu’ici connus grâce à la transmission orale. le journal la Presse (Tunis) Citer Link to post Share on other sites
ADHAR 110 Posted August 25, 2013 Partager Posted August 25, 2013 Une épopée arabe merveilleuse. Depuis le travail du 1er Orientaliste sur cette chanson de geste dans les années 1836 et suivantes, c’est feu Tahar Guiga qui eut le mérite, en 1968, d’attirer l’attention des chercheurs français sur la valeur de cette œuvre collective et sur le texte dont son père Abderahmane Guiga avait eu connaissance. L’Epopée hilalienne aurait été composée sous forme de chroniques au XIe siècle ou au plus tard au XIVe siècle de l’ère chrétienne, puisque le sociologue et historien Ibn Khaldoun en rapporte quelques passages versifiés. La Geste est contée sur les lieux de nombreuses haltes hilaliennes dans des cités tunisiennes comme Kairouan, Medjez El Bab, etc. Poètes et historiens décrivent ces tribus guerrières comme des hordes destructrices marchant depuis la presqu’île arabique jusqu’au Maroc et aux confins de l’Occident musulman Les hauts faits d’une douzaine de héros Que raconte La Geste ? Elle relate les hauts faits d’une douzaine de héros pris dans la tourmente de la faim et les vicissitudes d’un immense voyage à résonance initiatique; cela se passait au XIe siècle (ère chrétienne). Il s’agit des tribus Drid avec sa fraction Ameur, Zahal, Makhzoum et Ghanem avec sa fraction Zoghba où se rencontraient les musiciens du campement. La Geste fait l’apologie de le bédouinité. L’émigration en Egypte à partir de Najd est provoquée par une longue et sévère famine; leur dispersion dans le Magreb jusqu’au Maroc est provoquée par de multiples conflits amoureux et familiaux : Hassan, souverain de la confédération et qui ne va pas à la guerre, Bouzid, chef retors, Diab, berger beau-frère du roi et chevalier intrépide qui conquiert Tunis, et surtout l’incomparable Jazia à la naissance miraculeuse, à la chevelure légendaire, sœur du sultan Hassan dont la science et la sagesse sont légendaires et qui périra misérablement sous le coup de Dhieb. Mais les grands personnages indigènes sont aussi chantés dans La Geste hilalienne tels que Khlifa, le souverain Zenète, son frère Allem, brillant général, et sa fille Saâda qui trahira par amour son père et mourra elle aussi tragiquement. C’est autour de 120 personnages que se nouent intrigues et guerres racontées par plus de cent poèmes et une suite de récits. Les Hilaliens étaient des arabes de Modhar, leur origine se perd dans la nuit des temps, leur terrain de parcours sont les déserts du Hijaz qui jouxtent le Najd. Montagnards en hiver, ils dévalaient l’été vers les plaines frontières d’Irak ou de Syrie à la recherche de butins. Voici ce qu’écrit W. Marçais : «Ibn Khaldoun en dit beaucoup de mal, mais a pour eux intérêt et sympathie, connaît leurs conteurs et leurs bardes». Cette épopée arabe merveilleuse, habitée par une fatalité tragique à la fois enrichie par des générations de poètes et mutilée par le temps, semble avoir conservé une cohérence interne et une puissance émotionnelle qui ne cessent de nous interpeller. Un poème épique La Geste hilalienne, poème épique, a franchi les siècles à michemin entre le monde du merveilleux et le discours édifiant, teintée d’éléments de poésie courtoise; mais le plus remarquable, c’est qu’à travers le texte de La Geste, le poète nous révèle une connaissance prodigieuse sur l’honneur, la préséance, les serments juridiques, ceux d’allégeance et de promesse de sauvegarde, d’hospitalité, la loyauté, la patience, la sobriété, les coutumes de tissage (la ragghata, terme employé jusqu’à nos jours pour désigner le travail de groupe, ou le couscous très fin namli). La femme a un rôle de prédilection; elle est la maîtresse de tente, l’âme de la cellule hilalienne, conseillère aux jours difficiles, attise le courage des guerriers par sa présence et celle de ses compagnes. La réception de l’hôte qui dure trois jours est une affaire de femmes. La violence de l’invasion présente dans l’ensemble du récit est en quelque sorte tempérée par la description d’une civilisation nomade avec ses pratiques vestimentaires, culinaires, guerrières et ses activités ludiques, par son don d’éloquence et de poésie et sa relation bouleversante avec la nature, en somme tout un art de vivre. La Geste hilalienne, une histoire de vie révisée par le sociologue Ibn Khaldoun, a le mérite de nous ramener vers la source épique dans le déroulement des faits dans la durée, et les exaltations du cœur dans les crises. Le souffle épique et le souffle lyrique se mêlent en parfaite symbiose. Les poèmes qui chantent cet événement étaient jusqu’ici connus grâce à la transmission orale. le journal la Presse (Tunis) Bonjour, Je ne peux pas mettre en doute la qualité d'une telle œuvre Mais la question qui me vient à l'esprit, c'est pourquoi attirer l'attention des occidentaux pourquoi aucun pays arabe, y compris l'Egpte, ne s'est intéressé à cette œuvre? Citer Link to post Share on other sites
Bourourou 11 Posted August 25, 2013 Partager Posted August 25, 2013 Voici ce que dit Ibn Khaldoun des" valeureux" Beni Hillal : Au cinquième siècle de l’hégire, les Beni-Hilal et les Soleïm y firent irruption, et, pendant trois siècles et demi, ils ont continué à s’acharner sur ces pays (Ifriqiâ et Maghreb); aussi la dévastation et la solitude y règnent encore. Citer Link to post Share on other sites
chougui 10 Posted August 25, 2013 Partager Posted August 25, 2013 Bonjour, Je ne peux pas mettre en doute la qualité d'une telle œuvre Mais la question qui me vient à l'esprit, c'est pourquoi attirer l'attention des occidentaux pourquoi aucun pays arabe, y compris l'Egpte, ne s'est intéressé à cette œuvre? Bonjour, Merci d'avoir l’honnêteté de reconnaître le mérite chez le voisin même si on le considère à tors ou à raison adversaire. On n'a pas attiré l'attention de l'occidental, c'est l'occidental qui, en venant occuper nos terres, s'est émerveillé devant tant de splendeur, tant de sensibilité, tant de génie poétique. Alors que nous, tous, aussi bien ceux qui se sont retranchés dans leur ghetto (mental et géographique) et leur camp que ceux qui se sont retrouvés à devoir justifier la légitimité et l'ancrage de leur présence sur cette terre (alors que cet ancrage s'étend sur des millénaires) et qui sont maudis (par l'autre camp) d'avoir vécu, subi et (inter)agi avec les événements de leur Histoire, donc d'avoir évolué, nous tous donc nous avons régressé et sommes atteints d'amnésie et nous nous retrouvons à nous disputer qui était là avant l'autre, comme dans l'histoire de l’œuf et la poule. 2/ l'oeuvre est reconnue et primée par l'UNESCO, mais aussi par la tunisie qui la considère comme patrimoine national. nous algériens qui normalement devons revendiquer une part dans cet apport, nous en sommes à tournoyer dans cette ambivalence identitaire. Citer Link to post Share on other sites
ADHAR 110 Posted August 25, 2013 Partager Posted August 25, 2013 Bonjour, Merci d'avoir l’honnêteté de reconnaître le mérite chez le voisin même si on le considère à tors ou à raison adversaire. On n'a pas attiré l'attention de l'occidental, c'est l'occidental qui, en venant occuper nos terres, s'est émerveillé devant tant de splendeur, tant de sensibilité, tant de génie poétique. Alors que nous, tous, aussi bien ceux qui se sont retranchés dans leur ghetto (mental et géographique) et leur camp que ceux qui se sont retrouvés à devoir justifier la légitimité et l'ancrage de leur présence sur cette terre (alors que cet ancrage s'étend sur des millénaires) et qui sont maudis (par l'autre camp) d'avoir vécu, subi et (inter)agi avec les événements de leur Histoire, donc d'avoir évolué, nous tous donc nous avons régressé et sommes atteints d'amnésie et nous nous retrouvons à nous disputer qui était là avant l'autre, comme dans l'histoire de l’œuf et la poule. 2/ l'oeuvre est reconnue et primée par l'UNESCO, mais aussi par la tunisie qui la considère comme patrimoine national. nous algériens qui normalement devons revendiquer une part dans cet apport, nous en sommes à tournoyer dans cette ambivalence identitaire. j'ai repris ton écrit , quand tu dis: il a eu le mérite d'attirer l'attention des occidentaux..... La question n'est pas de savoir qui est le premier de L'œuf ou de la poule, mais la reconnaissance et le respect de toutes les entités . La dispute comme tu le dis vient de la domination d'une entité sur l'autre voir le déni d'exsitance. Citer Link to post Share on other sites
chougui 10 Posted August 25, 2013 Partager Posted August 25, 2013 j'ai repris ton écrit , quand tu dis: il a eu le mérite d'attirer l'attention des occidentaux..... La question n'est pas de savoir qui est le premier de L'œuf ou de la poule, mais la reconnaissance et le respect de toutes les entités . La dispute comme tu le dis vient de la domination d'une entité sur l'autre voir le déni d'exsitance. Le texte n'est pas de moi, je l'ai repris d'un article du journal tunisien "la presse". je le cite: " c’est feu Tahar Guiga qui eut le mérite, en 1968, d’attirer l’attention des chercheurs français sur la valeur de cette œuvre collective et sur le texte dont son père Abderahmane Guiga avait eu connaissance". Attirer l'attention dans le sens de faire connaitre, par la traduction en français. tahar guiga n'a fait que traduire l'oeuvre. 2/pour, je cite:" la domination d'une entité sur l'autre", c'est une loi de la nature et de la sociologie, quand deux langues, deux cultures cohabitent dans un même espace, la plus forte, la plus étendue (géographiquement), la plus élaborée tend à dominer, à influer (sur), voire même à écarter l'autre. Nous en connaissons les effets, nous en Algérie avec la cohabitation entre l'arabe et le français (langues et cultures), et ce n'est pas la faute au fellah de la mitidja ou le pasteur de djelfa. Citer Link to post Share on other sites
AwiTerredh 10 Posted August 25, 2013 Partager Posted August 25, 2013 Le texte n'est pas de moi, je l'ai repris d'un article du journal tunisien "la presse". je le cite: " c’est feu Tahar Guiga qui eut le mérite, en 1968, d’attirer l’attention des chercheurs français sur la valeur de cette œuvre collective et sur le texte dont son père Abderahmane Guiga avait eu connaissance". Attirer l'attention dans le sens de faire connaitre, par la traduction en français. tahar guiga n'a fait que traduire l'oeuvre. 2/pour, je cite:" la domination d'une entité sur l'autre", c'est une loi de la nature et de la sociologie, quand deux langues, deux cultures cohabitent dans un même espace, la plus forte, la plus étendue (géographiquement), la plus élaborée tend à dominer, à influer (sur), voire même à écarter l'autre. Nous en connaissons les effets, nous en Algérie avec la cohabitation entre l'arabe et le français (langues et cultures), et ce n'est pas la faute au fellah de la mitidja ou le pasteur de djelfa. Ne parle surtout pas de domination culturelle car les Banou Hillal ont une culture 100% Algérienne de fond Amazigh...pour la langue c'est beaucoup plus par ordre religieux que par domination...si on compte les Nord Africains qui prétendent avoir des liens avec Ahl El Bayt, y aurait 60 millions. Citer Link to post Share on other sites
ADHAR 110 Posted August 25, 2013 Partager Posted August 25, 2013 Le texte n'est pas de moi, je l'ai repris d'un article du journal tunisien "la presse". je le cite: " c’est feu Tahar Guiga qui eut le mérite, en 1968, d’attirer l’attention des chercheurs français sur la valeur de cette œuvre collective et sur le texte dont son père Abderahmane Guiga avait eu connaissance". Attirer l'attention dans le sens de faire connaitre, par la traduction en français. tahar guiga n'a fait que traduire l'oeuvre. 2/pour, je cite:" la domination d'une entité sur l'autre", c'est une loi de la nature et de la sociologie, quand deux langues, deux cultures chabitent dans un même espace, la plus forte, la plus étendue (géographiquement), la plus élaborée tend à dominer, à influer (sur), voire même à écarter l'autre. Nous en connaissons les effets, nous en Algérie avec la cohabitation entre l'arabe et le français (langues et cultures), et ce n'est pas la faute au fellah de la mitidja ou le pasteur de djelfa. en reprenant ce texte, par honnêteté intellectuelle, il aurait fallu dire :je cite et écrire le texte. Personnellement je pensais que c'était de toi. La domination c'est chez les barbares, les faibles...... Les cultures sensées, s'enrichissent des autres sans, pour autant les ecraserLes dominer jusqu'à extinction. Citer Link to post Share on other sites
chougui 10 Posted August 26, 2013 Partager Posted August 26, 2013 Ne parle surtout pas de domination culturelle car les Banou Hillal ont une culture 100% Algérienne de fond Amazigh...pour la langue c'est beaucoup plus par ordre religieux que par domination...si on compte les Nord Africains qui prétendent avoir des liens avec Ahl El Bayt, y aurait 60 millions. Toi si on te laisse faire, çàd nager dans ton délire habituel, tu serais capable vite d'essayer de nous convaincre que les pharaons sont des fils d'amazighs et tu vas te retrouver à disputer leur paternité avec tes amis les juifs :mdr::mdr: . 2/ si ces pauvres et malheureux banou-hillel ont une culture algérienne de fond amazigh (pour vous, bien sûr), pourquoi alors toute cette haine, toute cette rage, tous ce racisme, toute cette rancœur historique contre eux (lis les posts plus haut et tous le vomi qui en dégouline) ?? :D:mdr: Citer Link to post Share on other sites
chougui 10 Posted August 26, 2013 Partager Posted August 26, 2013 en reprenant ce texte, par honnêteté intellectuelle, il aurait fallu dire :je cite et écrire le texte. Personnellement je pensais que c'était de toi. La domination c'est chez les barbares, les faibles...... Les cultures sensées, s'enrichissent des autres sans, pour autant les ecraserLes dominer jusqu'à extinction. 1/ quand je mentionne la source en fin de texte, c'est sûr que c'est de la citation, du copier/coller. 2/ je parlais de processus sociologique naturel et objectif, donc en oeuvre partout et en tous temps. pour ce qui nous concerne et occupe toute notre passion ici, cela a été traité en long et large jusqu'à saturation, donc il serait redondant de reprendre la minute de tous les débats passés. Citer Link to post Share on other sites
Ravenclaw4 10 Posted August 26, 2013 Partager Posted August 26, 2013 Toi si on te laisse faire, çàd nager dans ton délire habituel, tu serais capable vite d'essayer de nous convaincre que les pharaons sont des fils d'amazighs et tu vas te retrouver à disputer leur paternité avec tes amis les juifs :mdr::mdr: . 2/ si ces pauvres et malheureux banou-hillel ont une culture algérienne de fond amazigh (pour vous, bien sûr), pourquoi alors toute cette haine, toute cette rage, tous ce racisme, toute cette rancœur historique contre eux (lis les posts plus haut et tous le vomi qui en dégouline) ?? :D:mdr: Dans le cas où tu l'ignorerais... http://http://fr.wikipedia.org/wiki/Sheshonq_Ier Citer Link to post Share on other sites
AwiTerredh 10 Posted August 26, 2013 Partager Posted August 26, 2013 Toi si on te laisse faire, çàd nager dans ton délire habituel, tu serais capable vite d'essayer de nous convaincre que les pharaons sont des fils d'amazighs et tu vas te retrouver à disputer leur paternité avec tes amis les juifs :mdr::mdr: . 2/ si ces pauvres et malheureux banou-hillel ont une culture algérienne de fond amazigh (pour vous, bien sûr), pourquoi alors toute cette haine, toute cette rage, tous ce racisme, toute cette rancœur historique contre eux (lis les posts plus haut et tous le vomi qui en dégouline) ?? :D:mdr: Ne dévie pas le sujet, tu disais que les Algériens on une sous culture arabe je t'avais demandé de nous donner des exemples et tu as zappé....les banu hillal ont une culture Amazigh et puisque tu doute et tu le refuse tu n'as qu'a nous démontrer le contraire. PS : Ne parle surtout pas de haine et de racisme....descendre la Kabylie et ton sport favoris. Citer Link to post Share on other sites
chougui 10 Posted August 26, 2013 Partager Posted August 26, 2013 Ne dévie pas le sujet, tu disais que les Algériens on une sous culture arabe je t'avais demandé de nous donner des exemples et tu as zappé....les banu hillal ont une culture Amazigh et puisque tu doute et tu le refuse tu n'as qu'a nous démontrer le contraire. PS : Ne parle surtout pas de haine et de racisme....descendre la Kabylie et ton sport favoris. 1/ Sous-culture arabe dans le sens de dérivée de la grande culture arabe globale, de facette, de manifestation et c'est une réalité, bien sûr avec ses spécificités propres à son Histoire, son climat, ses reliefs, le tempérament de ses membres. et vous, malintentionnés, à l’affût de la moindre occasion pour bondir et fondre, vous l'avez compris dans le sens péjoratif, hiérarchique comme produit secondaire, sous-produit bâtard de la culture moyen orientale, saoudienne, syrienne ou égyptienne. :mdr::mdr: 2/ pour les banou-hillel, non, c'est à toi de nous démontrer le bien-fondé de ton affirmation. moi il me suffit d'évoquer votre acharnement sur eux, votre hargne, leur conservation jalouse de leur arbre généalogique, leur chi3r el-mel7oun, leur propension à la générosité,à l'hospitalité, leur esprit chevaleresque etc... Bien sûr, vous, toujours malintentionnés, vous liez tous ce qui est arabe à la péninsule, refusant d'accepter et reconnaitre 13 siècles de rapports, de liens, d'échanges intenses et continus entre le mashrek et le magreb. 2/ s'ils étaient si proches de vous pourquoi vous les haissez tant :mdr::mdr::mdr: Citer Link to post Share on other sites
chougui 10 Posted August 26, 2013 Partager Posted August 26, 2013 Dans le cas où tu l'ignorerais... http://http://fr.wikipedia.org/wiki/Sheshonq_Ier D'abord, réponse à la question, "quelle était la langue la plus étendue parmi la population, la langue véhiculaire dans ce que fut l’Algérie avant la venue des arabes ??? Quelle était la langue officielle appliquée par Massinissa, en Numidie ??" réponse à une question posée à quelqu’un qui se targuait de me donner une leçon d'Histoire de mon pays Citer Link to post Share on other sites
austere 10 Posted August 26, 2013 Partager Posted August 26, 2013 D'abord, réponse à la question, "quelle était la langue la plus étendue parmi la population, la langue véhiculaire dans ce que fut l’Algérie avant la venue des arabes ??? Quelle était la langue officielle appliquée par Massinissa, en Numidie ??" réponse à une question posée à quelqu’un qui se targuait de me donner une leçon d'Histoire de mon pays[/quote/Avant l'arrivee des arabes , l'ALGERIE etaitT amazigh, amazigh, amazigh, si le punic est la langue la plus parlee, elle a disparue, Tamazight est toujours la et asssistera a ton enterrement, et a l'enterremnt de tes descendants. Mets toi dans le crane que tu n'arriveras jamais, jamais , jamais , a faire de nous des traitres qui denient leur identite, tamazighjt est notre mere, notre deesse, notre passé, notre avenir, notre vie, notre vie, notre mort et ce n'est pas un KHERRAY comme toi qui va la faire disparaitre, d'autres encore plus puissants que toi ont deja essaye, ils sont morts sans avoir atteint leur desseins macabres.Tamazight sera officielle dans son pays,on est patients, Une chose est certaine,elle sera officielle sans votre permission ou votre accord.QUI VIVRA VERRA Citer Link to post Share on other sites
Bourourou 11 Posted August 26, 2013 Partager Posted August 26, 2013 D'abord, réponse à la question, "quelle était la langue la plus étendue parmi la population, la langue véhiculaire dans ce que fut l’Algérie avant la venue des arabes ??? Quelle était la langue officielle appliquée par Massinissa, en Numidie ??" réponse à une question posée à quelqu’un qui se targuait de me donner une leçon d'Histoire de mon pays[/quote/Avant l'arrivee des arabes , l'ALGERIE etaitT amazigh, amazigh, amazigh, si le punic est la langue la plus parlee, elle a disparue, Tamazight est toujours la et asssistera a ton enterrement, et a l'enterremnt de tes descendants. Mets toi dans le crane que tu n'arriveras jamais, jamais , jamais , a faire de nous des traitres qui denient leur identite, tamazighjt est notre mere, notre deesse, notre passé, notre avenir, notre vie, notre vie, notre mort et ce n'est pas un KHERRAY comme toi qui va la faire disparaitre, d'autres encore plus puissants que toi ont deja essaye, ils sont morts sans avoir atteint leur desseins macabres.Tamazight sera officielle dans son pays,on est patients, Une chose est certaine,elle sera officielle sans votre permission ou votre accord.QUI VIVRA VERRA Je plussoie même si je ne parle pas tamazight, ni mes parents et mes grand-parents !!!!! Je prie tous les jours pour les vraies langues algériennes deviennent officielles contre la volonté des baathistes et des islamistes issuent de la lignée des beni-hillals Citer Link to post Share on other sites
AwiTerredh 10 Posted August 26, 2013 Partager Posted August 26, 2013 1/ Sous-culture arabe dans le sens de dérivée de la grande culture arabe globale, de facette, de manifestation et c'est une réalité, bien sûr avec ses spécificités propres à son Histoire, son climat, ses reliefs, le tempérament de ses membres. et vous, malintentionnés, à l’affût de la moindre occasion pour bondir et fondre, vous l'avez compris dans le sens péjoratif, hiérarchique comme produit secondaire, sous-produit bâtard de la culture moyen orientale, saoudienne, syrienne ou égyptienne. :mdr::mdr: 2/ pour les banou-hillel, non, c'est à toi de nous démontrer le bien-fondé de ton affirmation. moi il me suffit d'évoquer votre acharnement sur eux, votre hargne, leur conservation jalouse de leur arbre généalogique, leur chi3r el-mel7oun, leur propension à la générosité,à l'hospitalité, leur esprit chevaleresque etc... Bien sûr, vous, toujours malintentionnés, vous liez tous ce qui est arabe à la péninsule, refusant d'accepter et reconnaitre 13 siècles de rapports, de liens, d'échanges intenses et continus entre le mashrek et le magreb. 2/ s'ils étaient si proches de vous pourquoi vous les haissez tant :mdr::mdr::mdr: Bon tu me fatigue avec tes discours sans fin.....tu dis que la culture amazigh et une sous culture arabe...developpe avec des exemples ou ferme la. Citer Link to post Share on other sites
Ravenclaw4 10 Posted August 26, 2013 Partager Posted August 26, 2013 D'abord, réponse à la question, "quelle était la langue la plus étendue parmi la population, la langue véhiculaire dans ce que fut l’Algérie avant la venue des arabes ??? Quelle était la langue officielle appliquée par Massinissa, en Numidie ??" réponse à une question posée à quelqu’un qui se targuait de me donner une leçon d'Histoire de mon pays Je ne veux même pas me rabaisser à te répondre tellement la réponse est évidente! La langue parlée était le berbère! Même le nom de massinissa est tiré de la langue tamazight! Citer Link to post Share on other sites
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