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Plus grands hommes de la terre et le ciel


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Jésus a accompli de nombreux miracles et il a, sans aucun doute, dit plusieurs bonnes choses au sujet de lui-même. Certaines personnes ont utilisé ses paroles pour tenter de prouver qu’il était l’incarnation de Dieu. Mais ses disciples, ceux qui ont vécu avec lui, qui étaient très proches de lui et qui ont été témoins de ses faits et gestes n’ont jamais conclus une telle chose.

 

Les Actes des Apôtres, dans le Nouveau Testament, détaillent les activités des disciples sur une période de trente ans après que Jésus ait été élevé au ciel. Durant cette période, ils ne font aucune fois référence à Jésus en tant qu’incarnation de Dieu. Au contraire, ils utilisent toujours le terme Dieu pour désigner Dieu, et jamais Jésus.

 

Par exemple, une fois, Pierre se leva avec les onze autres disciples et s’adressa ainsi à la foule :

 

« Écoutez bien, Israélites, ce que j'ai à vous dire. Vous le savez tous: Jésus de Nazareth, cet homme dont Dieu vous a montré qu'il l'approuvait en accomplissant, par son moyen, au milieu de vous des miracles, des signes et des actes extraordinaires... » (Actes 2:22)

 

C’est Dieu, donc, qui a accompli ces miracles par l’intermédiaire de Jésus, afin de convaincre le peuple de ce dernier qu’il était bel et bien un prophète envoyé et soutenu par Dieu. Pierre n’a manifestement pas vu ces miracles comme des preuves que Jésus était l’incarnation de Dieu.

 

En fait, la façon dont Pierre fait référence à Dieu et à Jésus démontre clairement que Jésus n’était pas Dieu. Car il fait toujours référence aux deux séparément. Par exemple :

 

« Dieu a fait Seigneur et Messie ce Jésus que vous avez crucifié. » (Actes 2:36)

 

Dans ce passage, les mots Dieu et Jésus sont dans la même phrase et font référence à deux entités distinctes. Comment cela aurait-il été possible si Jésus avait été Dieu?

 

Pour Pierre, Jésus était un serviteur de Dieu. Il dit :

 

« Dieu a ressuscité Son serviteur. » (Actes 3:26)

 

Le titre de serviteur est donné à Jésus. Dans un passage précédent, Pierre déclare :

 

« Non, c'est le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, le Dieu de nos ancêtres, qui vient ici de manifester la gloire de son serviteur Jésus. » (Actes 3:13)

 

Pierre savait certainement qu’Abraham, Isaac et Jacob n’avaient jamais parlé d’un Dieu trinitaire, mais toujours d’un Dieu unique. Ici, comme dans Matthieu 12 :18, Jésus est le serviteur de Dieu. Matthieu nous dit que Jésus était le même serviteur de Dieu dont parle Ésaïe 42:1. Ainsi, selon Matthieu et Pierre, Jésus n’était pas Dieu, mais le serviteur de Dieu. L’Ancien Testament répète maintes fois que Dieu est seul et unique (i.e. Ésaïe 45:5).

 

Tous les disciples de Jésus avaient le même point de vue à ce sujet. Les Actes 4:24 mentionnent que les croyants prièrent Dieu en disant :

 

« Maître, c'est toi qui as créé le ciel, la terre, la mer et tout ce qui s'y trouve. »

 

Il est clair que celui à qui ils adressaient leur prière n’était pas Jésus car, trois versets plus loin, ils parlent de Jésus en disant :

 

« ... Ton saint serviteur Jésus, que tu as choisi comme Messie. » (Actes 4:27)

 

Si Jésus avait été Dieu, ses disciples l’auraient clairement affirmé. Mais au contraire, ils ont toujours prêché que Jésus était le messie envoyé par Dieu. Dans les Actes, on peut lire :

 

« Et chaque jour, dans la cour du Temple ou dans les maisons particulières, ils continuaient à enseigner et à annoncer la bonne nouvelle que le Messie, c'était Jésus. » (Actes 5:42)

 

Le mot grec « messie » est un titre qui signifie « oint » et qui a été donné à d’autres êtres humains à part Jésus. Si Jésus avait été Dieu, pourquoi les disciples auraient-ils constamment référé à lui en utilisant des titres humains comme « serviteur de Dieu » et pourquoi auraient-ils référé à Dieu en parlant de Celui qui avait ressuscité Jésus? Craignaient-ils les hommes? Non! Ils prêchaient la vérité bravement et sans hésitation, ne craignant ni l’emprisonnement ni la mort. Lorsque les autorités s’opposèrent à eux, Pierre déclara :

 

« Il faut obéir à Dieu plutôt qu'aux hommes. » (Actes 5:29)

 

Ils étaient soutenus par le Saint Esprit (voir Actes 2:3, 4:8, et 5:32). Ils enseignaient ce qu’ils avaient appris de Jésus, i.e. que Jésus n’était pas Dieu, mais plutôt Son serviteur et messie.

 

Le Coran confirme que Jésus était le Messie et qu’il était le serviteur de Dieu (voir le Coran 3:45 et 19:30).

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Jésus a accompli de nombreux miracles et il a, sans aucun doute, dit plusieurs bonnes choses au sujet de lui-même. Certaines personnes ont utilisé ses paroles pour tenter de prouver qu’il était l’incarnation de Dieu. Mais ses disciples, ceux qui ont vécu avec lui, qui étaient très proches de lui et qui ont été témoins de ses faits et gestes n’ont jamais conclus une telle chose.

 

Les Actes des Apôtres, dans le Nouveau Testament, détaillent les activités des disciples sur une période de trente ans après que Jésus ait été élevé au ciel. Durant cette période, ils ne font aucune fois référence à Jésus en tant qu’incarnation de Dieu. Au contraire, ils utilisent toujours le terme Dieu pour désigner Dieu, et jamais Jésus.

 

Par exemple, une fois, Pierre se leva avec les onze autres disciples et s’adressa ainsi à la foule :

 

« Écoutez bien, Israélites, ce que j'ai à vous dire. Vous le savez tous: Jésus de Nazareth, cet homme dont Dieu vous a montré qu'il l'approuvait en accomplissant, par son moyen, au milieu de vous des miracles, des signes et des actes extraordinaires... » (Actes 2:22)

 

C’est Dieu, donc, qui a accompli ces miracles par l’intermédiaire de Jésus, afin de convaincre le peuple de ce dernier qu’il était bel et bien un prophète envoyé et soutenu par Dieu. Pierre n’a manifestement pas vu ces miracles comme des preuves que Jésus était l’incarnation de Dieu.

 

En fait, la façon dont Pierre fait référence à Dieu et à Jésus démontre clairement que Jésus n’était pas Dieu. Car il fait toujours référence aux deux séparément. Par exemple :

 

« Dieu a fait Seigneur et Messie ce Jésus que vous avez crucifié. » (Actes 2:36)

 

Dans ce passage, les mots Dieu et Jésus sont dans la même phrase et font référence à deux entités distinctes. Comment cela aurait-il été possible si Jésus avait été Dieu?

 

Pour Pierre, Jésus était un serviteur de Dieu. Il dit :

 

« Dieu a ressuscité Son serviteur. » (Actes 3:26)

 

Le titre de serviteur est donné à Jésus. Dans un passage précédent, Pierre déclare :

 

« Non, c'est le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, le Dieu de nos ancêtres, qui vient ici de manifester la gloire de son serviteur Jésus. » (Actes 3:13)

 

Pierre savait certainement qu’Abraham, Isaac et Jacob n’avaient jamais parlé d’un Dieu trinitaire, mais toujours d’un Dieu unique. Ici, comme dans Matthieu 12 :18, Jésus est le serviteur de Dieu. Matthieu nous dit que Jésus était le même serviteur de Dieu dont parle Ésaïe 42:1. Ainsi, selon Matthieu et Pierre, Jésus n’était pas Dieu, mais le serviteur de Dieu. L’Ancien Testament répète maintes fois que Dieu est seul et unique (i.e. Ésaïe 45:5).

 

Tous les disciples de Jésus avaient le même point de vue à ce sujet. Les Actes 4:24 mentionnent que les croyants prièrent Dieu en disant :

 

« Maître, c'est toi qui as créé le ciel, la terre, la mer et tout ce qui s'y trouve. »

 

Il est clair que celui à qui ils adressaient leur prière n’était pas Jésus car, trois versets plus loin, ils parlent de Jésus en disant :

 

« ... Ton saint serviteur Jésus, que tu as choisi comme Messie. » (Actes 4:27)

 

Si Jésus avait été Dieu, ses disciples l’auraient clairement affirmé. Mais au contraire, ils ont toujours prêché que Jésus était le messie envoyé par Dieu. Dans les Actes, on peut lire :

 

« Et chaque jour, dans la cour du Temple ou dans les maisons particulières, ils continuaient à enseigner et à annoncer la bonne nouvelle que le Messie, c'était Jésus. » (Actes 5:42)

 

Le mot grec « messie » est un titre qui signifie « oint » et qui a été donné à d’autres êtres humains à part Jésus. Si Jésus avait été Dieu, pourquoi les disciples auraient-ils constamment référé à lui en utilisant des titres humains comme « serviteur de Dieu » et pourquoi auraient-ils référé à Dieu en parlant de Celui qui avait ressuscité Jésus? Craignaient-ils les hommes? Non! Ils prêchaient la vérité bravement et sans hésitation, ne craignant ni l’emprisonnement ni la mort. Lorsque les autorités s’opposèrent à eux, Pierre déclara :

 

« Il faut obéir à Dieu plutôt qu'aux hommes. » (Actes 5:29)

 

Ils étaient soutenus par le Saint Esprit (voir Actes 2:3, 4:8, et 5:32). Ils enseignaient ce qu’ils avaient appris de Jésus, i.e. que Jésus n’était pas Dieu, mais plutôt Son serviteur et messie.

 

Le Coran confirme que Jésus était le Messie et qu’il était le serviteur de Dieu (voir le Coran 3:45 et 19:30).

 

Vous êtes toujours coincé avec le coté humain de Jésus ?

 

Mahomed n'a vraiment rien compris au terme Messie et il vous a transmis son incompréhension...

 

Jean 10 : 38

Mais si je les fais, quand même vous ne me croyez point, croyez à ces oeuvres, afin que vous sachiez et reconnaissiez que le Père est en moi et que je suis dans le Père.

 

C'est sûr c'est un langage que vous n'arrivez pas a comprendre parce que vous n'avez aucune notion du spirituel....pour vous tout est charnel et nikah

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Moi je rejoins KEYBOARDZAPPER dans ce qu'il dit...quand on compare une religion faut voir l'honnêteté intellectuelle de copier même les passages qui ne vous arrangent pas.y a des versets dans le nouveau testament ou Jésus parle clairement de sa nature devine et accepte qu'on l'adore :

 

1) Jésus-Christ est appelé «Seigneur»

Jésus lui-même s'attribue de façon voilée ce titre lorsqu'il discute avec les Pharisiens sur le sens du Psaume 109: Comme les pharisiens se trouvaient réunis, Jésus les interrogea: «Que pensez-vous au sujet du Messie? de qui est-il le fils?» Ils lui répondirent: «De David». Jésus leur répliqua: «Comment donc David, sous l'inspiration de l'Esprit, l'appelle-t-il Seigneur, en disant: Le Seigneur a dit à mon Seigneur: "Siège à ma droite jusqu'à ce que j'aie mis tes ennemis sous tes pieds?" Celui que David appelle Seigneur, comment peut-il être son fils?» Personne ne pouvait lui répondre un mot et, à partir de ce jour-là, nul n'osa plus l'interroger (Mt 22, 41-46). C'est qu'en effet, la seule réponse possible au dilemme est que David, éclairé par l'Esprit-Saint, se reconnaissait inférieur au Messie, son futur descendant comme homme, mais son Créateur comme Dieu.

 

Jésus s'applique aussi le titre de «Seigneur» de manière explicite en s'adressant à ses Apôtres: Vous m'appelez "Maître" et "Seigneur", et vous avez raison, car vraiment je le suis (Jn 13, 13; cf. CEC 446-447).

 

2) Jésus s'appelle «le Fils de Dieu»

 

Dans l'Ancien Testament, le titre de «fils de Dieu» au pluriel est parfois donné aux anges, au peuple élu, aux enfants d'Israël et à leurs rois. Il signifie alors une filiation adoptive qui établit entre Dieu et ses créatures des relations d'une intimité particulière. Mais il en est tout autrement de l'affirmation des Évangiles suivant laquelle Jésus-Christ est «le Fils de Dieu» (singulier et article défini grec `o).

 

Quand Marthe, la soeur de Lazare, dit à Jésus: Je crois que vous êtes le Christ, le Fils de Dieu, celui qui devait venir en ce monde (Jn 11, 27), le divin Maître accepte ce titre.

 

Le Christ demande un jour aux Apôtres: Qui croyez-vous que je suis? Pierre répond: Vous êtes le Christ, le Fils du Dieu vivant. Aussitôt Jésus lui répond avec solennité: Tu es heureux, Simon, fils de Jonas, car cette révélation ne t'est pas venue de la chair et du sang, mais de mon Père qui est dans les cieux (Mt 16, 15-17). Jésus aurait-il agi ainsi si l'expression «Fils de Dieu» devait être entendue selon le sens commun (un fils parmi bien d'autres)? Assurément non, car dans ce cas la réponse de Pierre aurait été une banalité. De plus, si saint Pierre a pu reconnaître le caractère transcendant de la filiation divine de Jésus, c'est que celui-ci l'a nettement laissé entendre (cf. CEC 442, 443).

 

Devant le Grand Conseil des Juifs (Sanhédrin), le Grand-Prêtre Caïphe interroge Jésus: Je t'adjure, au nom du Dieu vivant, de nous dire si tu es le Christ, le Fils de Dieu. Aussitôt le divin Maître répond: Tu le dis, je le suis. Le Grand-Prêtre, simulant une profonde indignation, déchire ses vêtements: Il a blasphémé, dit-il, qu'en pensez-vous? Et tous les prêtres de s'écrier: Il mérite la mort (Mt 26, 63-66). À leurs yeux, Jésus devait être lapidé comme blasphémateur selon les prescriptions de la loi de Moïse, parce qu'il s'était fait l'égal de Dieu. Ils avaient donc bien compris toute la portée de l'affirmation du Christ: Je suis le Fils de Dieu. Mais, aveuglés par leurs préjugés et leurs passions, ils ne voulaient pas croire en Lui (cf. CEC 443).

 

Les Juifs savaient si bien que Jésus-Christ s'était appelé le Fils de Dieu, qu'ils disent à Pilate, quand celui-ci proclame son innocence: Nous avons une loi et d'après cette loi, il doit mourir, car il s'est dit le Fils de Dieu (Jn 19, 7). Quand Jésus agonise sur la croix, les Juifs lui disent ironiquement: Si tu es le Fils de Dieu, descends de la croix (Mt 27, 40).

 

Parfois, Jésus s'applique simplement à lui-même le titre de Fils, le rapprochant de celui de Père qui désigne à l'évidence Dieu.

 

Tout m'a été confié par mon Père; personne ne connaît le Fils, sinon le Père, et personne ne connaît le Père, sinon le Fils, et celui à qui le Fils veut le révéler (Mt 11, 27).

 

Le Fils est supérieur aux anges eux-mêmes (Mt 24, 36: Quant à ce jour et à cette heure-là, nul ne les connaît, pas même les anges des cieux, pas même le Fils, mais le Père seul. [Remarque: Par cette affirmation, Notre-Seigneur veut dire que le temps fixé par la Providence pour le Jugement qui doit suivre la fin du monde, ne fait pas partie des choses qu'il ait reçu mission de faire connaître aux hommes. Il n'entend nullement par là remettre en cause sa nature divine]).

 

Plus encore, Jésus se dit nettement le «Fils unique» de Dieu. Parlant un jour à Nicodème, il s'exprime ainsi: Dieu a tellement aimé le monde, qu'il lui a donné son Fils unique... Celui qui croit au Fils ne sera pas jugé, mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il ne croit pas au nom du Fils unique de Dieu (Jn 3, 16-18).

 

II. Jésus-Christ a appelé Dieu son Père

et s'est dit égal à Lui

 

Les premières et dernières paroles que nous connaissons de Notre-Seigneur Jésus-Christ sont une affirmation de sa relation tout à fait unique avec Dieu son Père. Quand il revoit Marie, sa mère, et Joseph, son père adoptif, qui, pendant trois jours d'angoisses, l'ont cherché vainement, il leur dit: Ne saviez-vous pas qu'il faut que je m'occupe des affaires de mon Père? (Lc 2, 49). Avant d'expirer sur la croix, il s'écrie: Mon Père, je remets mon âme entre vos mains (Lc 23, 46). Dans l'Ancien Testament, Dieu est parfois appelé le Père du peuple juif (par exemple en Isaïe 64, 7), au sens de "créateur", mais jamais aucun personnage, même Moïse ou Élie, n'appelle Dieu "mon Père".

 

Quand il chasse les marchands du Temple, il dit: Ne faites plus de la maison de mon Père, une maison de trafic (Jn 2, 16). À la dernière Cène, voulant consoler ses disciples, il dit: Je prierai mon Père, et il vous enverra un autre Consolateur (Jn 14, 16).

 

Le Christ, dans ses affirmations, s'attribue la même nature que son Père. Mon Père et moi, nous sommes un (Jn 10, 30). Jésus veut montrer par là sa relation tout à fait unique vis-à-vis de Dieu, relation d'égalité de nature. Les Juifs ont compris, en entendant ces paroles, que Jésus s'attribuait la divinité... et voilà pourquoi ils veulent le lapider: Ce n'est pas pour tes bonnes œuvres que nous te lapidons, mais à cause de ton blasphème, parce que toi qui es un homme, tu te fais Dieu... (Jn 10, 30-33).

 

Jésus répond à Philippe qui lui demande de montrer aux apôtres le Père: Philippe, qui me voit, voit aussi mon Père... Ne crois-tu pas que je suis dans le Père, et que le Père est en moi? (Jn 14, 9-11).

 

Il est vrai que Jésus demande à ses disciples, lorsqu'ils prient, de dire Notre Père (Mt 6, 9). Mais il dit auparavant: Vous donc, priez ainsi: Notre Père. Lui même se met à part et se distingue par là de ses disciples. Il ne s'agit pour eux que d'une filiation adoptive, qui vient de l'Incarnation du Christ, Fils de Dieu (cf. Rm, 8, 15). C'est pourquoi Jésus, le jour de sa Résurrection, distingue ces deux sortes de paternité en enjoignant à Marie-Madeleine: Va dire à mes frères: Je monte vers mon Père et votre Père (Jn 20, 17; cf. CEC 443).

 

Jésus dit: Le Père a donné au Fils le droit de juger, afin que tous honorent le Fils comme ils honorent le Père (Jn 5, 22-23).

 

III. Jésus-Christ s'est attribué des perfections

et des pouvoirs que Dieu seul possède

 

Jésus-Christ affirme son éternité: Avant qu'Abraham fût, je suis (Jn 8, 58). Le Christ ne dit pas "j'étais", mais je suis, laissant entendre par là qu'il n'y a pas de passé en lui, mais un éternel présent. Cette formule rappelle la révélation par Dieu de son Nom à Moïse dans le buisson ardent: Je suis celui qui suis (Ex 3, 14). Là aussi, les Juifs crient au blasphème.

 

Seule l'identité divine de la personne de Jésus peut justifier une exigence aussi absolue que celle-ci: Celui qui n'est pas avec moi, est contre moi (Mt 12, 30); (cf. CEC, 590).

 

A la dernière Cène, s'adressant à son Père, Jésus s'écrie: Mon Père, glorifiez-moi en vous-même, de la gloire que j'avais en vous, avant que le monde fût (Jn 17, 5).

 

Jésus s'attribue la toute-puissance, une puissance égale à celle de son Père: Quelque chose que le Père fasse, le Fils le fait pareillement. Comme le Père ressuscite les morts et leur donne la vie, ainsi le Fils donne la vie à qui il lui plaît (Jn 5, 19 et suiv.). Je quitte ma vie pour la reprendre, personne ne me la ravit. J'ai le pouvoir de la quitter et de la reprendre (Jn 10, 18).

 

Jésus a également le pouvoir de ressusciter nos corps et de nous assurer la vie éternelle: Celui qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle, et moi je le ressusciterai au dernier jour (Jn 6, 54).

 

Jésus-Christ atteste son pouvoir de remettre les péchés et de juger les hommes (cf. CEC, 589, 594, 1441). Ayez confiance, mon fils, dit-il au paralytique, vos péchés vous sont pardonnés (Mt 9, 2). Les pharisiens se scandalisent de cette parole: Qui peut remettre les péchés, sinon Dieu seul? De fait, les prêtres de la Loi ancienne n'avaient pas le pouvoir de remettre les offenses faites à Dieu; c'est le Christ qui le confèrera aux prêtres de la Loi nouvelle. Pour leur prouver qu'il possède le pouvoir d'accorder aux hommes la rémission de leurs péchés, Jésus rend miraculeusement au malheureux perclus l'usage de ses membres: si le Christ avait vraiment blasphémé en remettant les péchés, jamais Dieu ne lui aurait donné le pouvoir de faire aussitôt un miracle.

 

Il a accepté la confession de Thomas, lorsque celui-ci, huit jours après la résurrection, tombant à ses pieds, lui dit: Mon Seigneur et mon Dieu! (Jn 20, 28).

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Il est clair qu en lisant les evangiles, Jesus est divin. Il dit qu il vient du ciel et que nulle connais le Pere s il ne vient pas du ciel comme lui. Il pardonne les peches comme Dieu sur terre, il se donne le qualificatif "Je Suis" comme lorsque Dieu se revele a Moise sur le mont Sinai etc etc

 

C est vraiment marant de voir des musulmans utiliser les textes chretiens alors qu il ne les considerent pas comme textes saints, bien au contraire pour eux ca a ete toujours considere comme des oeuvre des falsificateurs.

 

 

 

De toute les facons le christianisme qui s est impose est le christianisme triunitaire et ceci des siecles avant l Islam. Il s est repandu dans les quatres coins de notre terre, c est meme la religion qui a precede toutes les autres sur les terres jusqu alors inconues

 

 

Disons donc quedepuis un certain temps, les musulmans se donnent un mal fou pour recuperer Jesus, peut etre que parce que le reputation de leur Prophete avec le temps a pris un sacre coup

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Vous êtes toujours coincé avec le coté humain de Jésus ?

 

Mahomed n'a vraiment rien compris au terme Messie et il vous a transmis son incompréhension...

 

 

tu soufres tellement, que j'ai pitié pour toi Key et tes semblables.

 

Ennin, t'as vraiment coincé dans le coin .

 

manque plus que le coup de grâce, Hola

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Jésus a accompli de nombreux miracles et il a, sans aucun doute, dit plusieurs bonnes choses au sujet de lui-même. Certaines personnes ont utilisé ses paroles pour tenter de prouver qu’il était l’incarnation de Dieu. Mais ses disciples, ceux qui ont vécu avec lui, qui étaient très proches de lui et qui ont été témoins de ses faits et gestes n’ont jamais conclus une telle chose.

 

Les Actes des Apôtres, dans le Nouveau Testament, détaillent les activités des disciples sur une période de trente ans après que Jésus ait été élevé au ciel. Durant cette période, ils ne font aucune fois référence à Jésus en tant qu’incarnation de Dieu. Au contraire, ils utilisent toujours le terme Dieu pour désigner Dieu, et jamais Jésus.

 

Par exemple, une fois, Pierre se leva avec les onze autres disciples et s’adressa ainsi à la foule :

 

« Écoutez bien, Israélites, ce que j'ai à vous dire. Vous le savez tous: Jésus de Nazareth, cet homme dont Dieu vous a montré qu'il l'approuvait en accomplissant, par son moyen, au milieu de vous des miracles, des signes et des actes extraordinaires... » (Actes 2:22)

 

C’est Dieu, donc, qui a accompli ces miracles par l’intermédiaire de Jésus, afin de convaincre le peuple de ce dernier qu’il était bel et bien un prophète envoyé et soutenu par Dieu. Pierre n’a manifestement pas vu ces miracles comme des preuves que Jésus était l’incarnation de Dieu.

 

En fait, la façon dont Pierre fait référence à Dieu et à Jésus démontre clairement que Jésus n’était pas Dieu. Car il fait toujours référence aux deux séparément. Par exemple :

 

« Dieu a fait Seigneur et Messie ce Jésus que vous avez crucifié. » (Actes 2:36)

 

Dans ce passage, les mots Dieu et Jésus sont dans la même phrase et font référence à deux entités distinctes. Comment cela aurait-il été possible si Jésus avait été Dieu?

 

Pour Pierre, Jésus était un serviteur de Dieu. Il dit :

 

« Dieu a ressuscité Son serviteur. » (Actes 3:26)

 

Le titre de serviteur est donné à Jésus. Dans un passage précédent, Pierre déclare :

 

« Non, c'est le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, le Dieu de nos ancêtres, qui vient ici de manifester la gloire de son serviteur Jésus. » (Actes 3:13)

 

Pierre savait certainement qu’Abraham, Isaac et Jacob n’avaient jamais parlé d’un Dieu trinitaire, mais toujours d’un Dieu unique. Ici, comme dans Matthieu 12 :18, Jésus est le serviteur de Dieu. Matthieu nous dit que Jésus était le même serviteur de Dieu dont parle Ésaïe 42:1. Ainsi, selon Matthieu et Pierre, Jésus n’était pas Dieu, mais le serviteur de Dieu. L’Ancien Testament répète maintes fois que Dieu est seul et unique (i.e. Ésaïe 45:5).

 

Tous les disciples de Jésus avaient le même point de vue à ce sujet. Les Actes 4:24 mentionnent que les croyants prièrent Dieu en disant :

 

« Maître, c'est toi qui as créé le ciel, la terre, la mer et tout ce qui s'y trouve. »

 

Il est clair que celui à qui ils adressaient leur prière n’était pas Jésus car, trois versets plus loin, ils parlent de Jésus en disant :

 

« ... Ton saint serviteur Jésus, que tu as choisi comme Messie. » (Actes 4:27)

 

Si Jésus avait été Dieu, ses disciples l’auraient clairement affirmé. Mais au contraire, ils ont toujours prêché que Jésus était le messie envoyé par Dieu. Dans les Actes, on peut lire :

 

« Et chaque jour, dans la cour du Temple ou dans les maisons particulières, ils continuaient à enseigner et à annoncer la bonne nouvelle que le Messie, c'était Jésus. » (Actes 5:42)

 

Le mot grec « messie » est un titre qui signifie « oint » et qui a été donné à d’autres êtres humains à part Jésus. Si Jésus avait été Dieu, pourquoi les disciples auraient-ils constamment référé à lui en utilisant des titres humains comme « serviteur de Dieu » et pourquoi auraient-ils référé à Dieu en parlant de Celui qui avait ressuscité Jésus? Craignaient-ils les hommes? Non! Ils prêchaient la vérité bravement et sans hésitation, ne craignant ni l’emprisonnement ni la mort. Lorsque les autorités s’opposèrent à eux, Pierre déclara :

 

« Il faut obéir à Dieu plutôt qu'aux hommes. » (Actes 5:29)

 

Ils étaient soutenus par le Saint Esprit (voir Actes 2:3, 4:8, et 5:32). Ils enseignaient ce qu’ils avaient appris de Jésus, i.e. que Jésus n’était pas Dieu, mais plutôt Son serviteur et messie.

 

Le Coran confirme que Jésus était le Messie et qu’il était le serviteur de Dieu (voir le Coran 3:45 et 19:30).

 

Oui il faut vraiment etre aveugle est sourd pour ne pas admetre qu en lisant les evangiles Jesus se prend pour Dieu sur terre. Le minimum c est qu il se prend pour le Verbe de Dieu sur terre et comme Dieu ne peut se reveler dans ce monde que par son Verbe, donc le Jesus des evangiles se prend pour Dieu sur terre, c est evident

 

Les musulmans devraient plutot se poser la question suivante : comment Allah a laisse une telle religion se repandre sur terre ? Si Allah avait envoyer rapidement Mohammed (disons par exemple a la place de Paul de tarse) pour rectifier le tire, mais non la rectification n est arrivee que 7 siecles apres !

 

J avais lu dernierement un texte ecris probablement par un apostat intitule : un Dieu trompeur, un messie incompetant. C etait vraiment edifiant

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La Bible affirme à deux reprises que Jésus a clairement nié être Dieu

 

Selon la Bible, les juifs ont confronté Jésus à deux reprises en l’accusant de se faire passer pour Dieu ou de prétendre être égal à Dieu. Si Jésus (que la paix soit sur lui) avait vraiment prétendu être Dieu, il aurait certainement été confronté bien plus souvent à ce sujet. Car dans les deux cas où on l’a accusé de prétendre à la divinité, il a vivement nié ce dont on l’accusait. Lorsqu’on l’a accusé de se prétendre égal à Dieu, il a immédiatement répliqué :

 

Jean 5:19, 30 « Vraiment, je vous l’assure: le Fils ne peut rien faire de sa propre initiative; il agit seulement d’après ce qu’il voit faire au Père. »

 

Et lorsqu’on l’a accusé de se faire passer pour Dieu, il a dit, en substance, aux juifs : vos propres Écritures font de Moïse un Dieu et vous prenez vos magistrats pour des dieux. Je ne suis sûrement pas inférieur à eux et pourtant, je n’ai jamais prétendu être Dieu, mais seulement le « fils » de Dieu. (Jean 10:34-36)

 

Il est très improbable que Jésus ait réellement répondu cela. Dans le « Dictionary of the Bible », Hastings dit : « Que Jésus ait dit cela est fort discutable ». L’encyclopédie Grolier, dans la rubrique « Jésus-Christ », dit : « Il est très incertain que le discours Père/Fils (Marc 18:32; Matthieu 11:25-27) vienne de Jésus lui-même ». Suite à une longue étude d’anciens document récemment découverts, le Dr Robert Alley, professeur à l’Université de Richmond, conclut que :

 

« Les passages (bibliques) où Jésus fait mention du Fils de Dieu ont été ajoutés ultérieurement… et correspondent à ce que l’Église dit à son sujet. Une telle prétention à la divinité n’aurait pas été en accord avec son mode de vie, tel que nous sommes arrivés à le reconstituer. Durant les trois premières décennies après le départ de Jésus, le christianisme a continué d’être une secte au sein du judaïsme. Les trois premières décennies de l’existence de l’Église se sont déroulées au sein de la synagogue. On aurait considéré comme absolument incroyable que (les fidèles) proclament ouvertement la divinité de Jésus. »

 

Même si nous assumons que Jésus aurait prétendu être le « fils » de Dieu. Qu’est-ce que cela pouvait-il bien signifier? Nous devons tenir compte de la langue de son peuple, de la langue utilisée par les juifs, auxquels il s’adressait.

 

Beaucoup de gens croient qu’il n’y a aucun autre verset, dans la Bible, qui accorde ce même statut de « fils de Dieu » à d’autres personnes, que ce soit dans l’Ancien ou dans le Nouveau Testament. Mais une étude plus poussée de la Bible nous apprend que Dieu avait plusieurs « fils » : Adam,[1] Jacob (aîné de Dieu),[2] Salomon[3], Ephraïm (aîné de Dieu lui aussi...)[4] et des gens du peuple sont appelés « fils de Dieu ».[5] Les quatre Évangiles font dire à Jésus : « Heureux ceux qui répandent autour d’eux la paix, car Dieu les reconnaîtra pour ses fils. »

 

Le mot « fils » ne peut être accepté littéralement parce que dans la Bible, Dieu s’adresse apparemment à plusieurs de Ses serviteurs élus en les appelant « fils ». Les Hébreux croient que Dieu est unique et qu’Il n’a jamais eu ni épouse ni enfant, au sens littéral. Il est donc évident que l’expression « fils de Dieu » ne pouvait signifier autre chose que « serviteur de Dieu », c’est-à-dire quelqu’un qui parce qu’il met son œuvre au service de Dieu est proche de Lui et Lui est cher comme un fils l’est pour son père. Les chrétiens qui provenaient de milieux grecs ou romains ont plus tard fait mauvais emploi de cette expression. Car dans leur culture, « fils de Dieu » signifiait une incarnation de Dieu, ou une personne née d’une union physique entre un dieu et une déesse.

 

Par ailleurs, le mot grec duquel on a traduit « fils », dans le Nouveau Testament, est « pias » (ou « paida »), qui signifie « serviteur » ou « fils » dans le sens de « serviteur ». Ces mots ont été traduits par « fils » en référence à Jésus et par « serviteur » en référence à toute autre personne dans certaines traductions de la Bible. Donc logiquement, Jésus ne faisait que dire qu’il était le serviteur de Dieu.

Autres problèmes que pose la notion de trinité

 

Pour un chrétien, Dieu doit revêtir une forme humaine pour comprendre ce que sont la tentation et la souffrance humaine. Mais ce concept ne se fonde sur aucune parole claire de Jésus à cet effet. Dieu n’a aucunement besoin d’être tenté ou de souffrir pour arriver à comprendre ce que ressentent les êtres humains et pour leur pardonner leurs péchés; car Il est le Créateur Omniscient de l’homme :

 

Exode 3:7 « L’Eternel reprit: « J’ai vu la détresse de mon peuple en Égypte et j’ai entendu les cris que lui font pousser ses oppresseurs. Oui, je sais ce qu’il souffre. »

 

Dieu avait déjà pardonné des péchés avant la venue de Jésus, et Il continue de pardonner les péchés maintenant que Jésus n’est plus là. Lorsqu’un croyant commet un péché, il peut à tout moment se tourner vers Dieu dans un élan de sincère repentir, afin de recevoir Son pardon. En fait, cette possibilité de se soumettre à Dieu et d’être ainsi sauvé vaut pour toute l’humanité :

 

Esaïe 45:21-22 (voir aussi Jonas 3:5-10) : « Et en dehors de moi, il n’y a pas de Dieu. Oui, en dehors de moi, il n’est pas de Dieu juste, de Dieu qui sauve. Tournez-vous donc vers moi, et vous serez sauvés, vous tous qui habitez les confins de la terre! Car moi seul je suis Dieu, il n’y en a pas d’autre. »

 

Selon la Bible, les hommes peuvent recevoir le pardon pour leurs péchés à condition de se repentir sincèrement à Dieu. Cela est vrai en tout temps et tout lieu. Jamais l’intervention de Jésus comme intercesseur n’a été nécessaire pour obtenir le pardon. Les faits parlent d’eux-mêmes. Il n’y aucune vérité dans la croyance chrétienne selon laquelle Jésus serait mort pour nos péchés et que c’est seulement à travers lui que le salut serait possible. Si cela était vrai, qu’en serait-il des gens qui ont vécu avant Jésus? La « mort » de Jésus n’a pas servi d’expiation pour les péchés des gens et n’a pas été la réalisation de prophéties bibliques.

 

Les chrétiens prétendent que la naissance de Jésus a été l’incarnation miraculeuse de Dieu sous la forme d’un être humain. Affirmer que Dieu est réellement devenu homme soulève un certain nombre de questions. Si son corps ne fonctionnait pas comme celui d’un être humain, il ne pouvait être à la fois réellement humain et réellement Dieu. Mais si son corps fonctionnait comme celui du commun des mortels, il ne pouvait donc être d’essence divine. Car il serait impossible pour une partie de Dieu, même incarné, de se décomposer et de toujours être considérée d’essence divine. L’unique Dieu éternel, en tout ou en partie, ne meurt pas, ne se désintègre pas, ne se décompose pas :

 

Malachie 3:6 « Car je suis l’Eternel, je ne change pas. »

 

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De tous les mystères chrétiens, nul n’occupe un rang aussi élevé que le concept de la crucifixion de Jésus et de son sacrifice expiatoire. En fait, les chrétiens font entièrement reposer leur salut sur cette seule et unique doctrine. Et si cela a vraiment eu lieu, ne devrions-nous pas tous faire comme eux?

 

Enfin… si cela a vraiment eu lieu.

 

Maintenant, je ne sais pas pour vous, mais le concept de Jésus ayant expié les péchés de l’humanité m’apparaît fort intéressant. Ne le devrait-il pas? Si nous arrivons à croire qu’une autre personne a expié tous nos péchés et que nous pouvons aller au Paradis uniquement en y croyant, ne devrions-nous pas tous, immédiatement, conclure ce marché?

 

Si cela a vraiment eu lieu… évidemment.

 

Alors voyons cela de plus près. On nous dit que Jésus fut crucifié. Mais là encore, on nous dit beaucoup de choses qui s’avèrent fausses ou douteuses, par la suite; alors vérifions ce fait, juste pour nous rassurer.

 

Commençons par interroger les témoins. Interrogeons les auteurs des évangiles.

 

Oups! Il y a un problème : nous ne savons pas qui sont ces auteurs. Voilà un mystère chrétien beaucoup moins populaire (beauuuucoup moins populaire) : les auteurs des quatre évangiles du Nouveau Testament sont en réalité anonymes.[1] Personne ne sait qui les a écrits. Graham Stanton nous dit : « Contrairement à la plupart des écrits gréco-romains, les évangiles sont anonymes. Les titres portant le nom d’un auteur (« L’évangile selon…) n’ont jamais fait partie des manuscrits originaux; ils ne furent ajoutés qu’au début du deuxième siècle. »[2]

 

Ajoutés au deuxième siècle? Par qui? Croyez-le ou non, par des gens qui sont eux aussi anonymes.

 

Mais oublions tout cela. Après tout, les évangiles font partie de la Bible, alors nous devons les respecter comme écritures, n’est-ce pas?

 

N’est-ce pas?

 

Eh bien, peut-être pas. Car il se trouve que The Interpreter’s Dictionary of Bible (dictionnaire d’interprétation de la Bible) affirme : « Nous pouvons affirmer à coup sûr qu’il n’y a pas une seule phrase, dans le Nouveau Testament, pour laquelle la tradition manuscrite est totalement identique. »[3] Ajoutez à cela les paroles maintenant célèbres de Bart D. Ehrman : « Il est probablement plus simple de présenter le problème en termes comparatifs : il y a plus de différences entre nos manuscrits qu’il n’y a de mots dans le Nouveau Testament. »[4]

 

Imaginez! D’un côté, nous avons Matthieu, Marc, Luc et Jean qui nous disent… oh, excusez-moi : je voulais dire que nous avons anonyme, anonyme, anonyme et anonyme qui nous disent… euh, quoi? Que nous disent-ils? Qu’ils n’arrivent même pas à s’entendre sur ce que Jésus portait, buvait, disait ou faisait? Après tout, Matthieu 27:28 nous dit que les soldats romains vêtirent Jésus d’une robe écarlate. Mais Jean 19:2 nous dit qu’elle était pourpre. Matthieu 27:34 dit que les Romains donnèrent à Jésus du vin mêlé de fiel, mais selon Marc 15:23, il était plutôt mêlé de myrrhe. Marc 15:25 nous dit que Jésus fut crucifié avant la troisième heure, mais 19:14-15 affirme que c’était vers la sixième heure. Luc 23:46 dit que les dernières paroles de Jésus furent : « Père, je remets mon esprit entre Tes mains », mais selon Jean 19:30, Jésus aurait plutôt dit : « Tout est accompli. »

 

Mais attendez un instant. Il me semble que les fidèles disciples de Jésus auraient été pendus à ses lèvres et bu ses paroles. Pourtant, Marc 14:50 nous apprend que tous ses disciples abandonnèrent Jésus dans le jardin de Gethsémané. Mais il semble que certaines personnes – probablement pas des disciples, mais des personnes anonymes, il va de soi – ne ratèrent aucune de ses paroles, mais entendirent chacune… des paroles différentes.

 

Croyez-le ou non, après cette scène, les évangiles se contredisent de plus en plus.

 

Après la prétendue résurrection, il devient presque impossible de trouver une quelconque information sur laquelle les quatre évangiles concordent. Par exemple :

 

Qui se rendit au tombeau?

 

Matthieu : « Marie-Madeleine et l’autre Marie. »

 

Marc : « Marie-Madeleine, Marie, la mère de Jacques, et Salomé. »

 

Luc : « Les femmes qui étaient venues avec lui de Galilée » et « quelques autres femmes. »

 

Jean : « Marie-Madeleine »

 

 

 

Pourquoi allèrent-elles au tombeau?

 

Matthieu : « Pour voir le tombeau. »

 

Marc : Elles « achetèrent des huiles aromatiques pour embaumer le corps de Jésus. »

 

Luc : Elles « apportèrent des huiles aromatiques. »

 

Jean : ne donne aucune raison.

 

 

 

Y eut-il un tremblement de terre? (Quelque chose que nulle personne, à proximité, n’aurait pu rater ni oublier par la suite.)

 

Matthieu : oui

 

Marc : aucune mention

 

Luc : aucune mention

 

Jean : aucune mention

 

 

 

Un ange est-il descendu? (Allons, tout de même : un ange! Pouvons-nous croire un instant que trois d’entre eux aient raté cet événement?)

 

Matthieu : oui

 

Marc : aucune mention

 

Luc : aucune mention

 

Jean : aucune mention

 

 

 

Qui poussa la pierre?

 

Matthieu : L’ange (celui que les trois autres anonymes n’ont pas vu...).

 

Marc : aucune mention

 

Luc : aucune mention

 

Jean : aucune mention

 

 

 

Qui se trouvait au tombeau?

 

Matthieu : « un ange »

 

Marc : « un jeune homme »

 

Luc : « deux hommes »

 

Jean : « deux anges »

 

 

 

Où se tenaient-ils?

 

Matthieu : L’ange était assis sur la pierre, à l’extérieur du tombeau.

 

Marc : Le jeune homme était dans le tombeau, « assis du côté droit ».

 

Luc : Les deux hommes étaient à l’intérieur du tombeau, debout.

 

Jean : Les deux anges étaient « assis, l’un à la tête et l’autre au pied de l’endroit où le corps de Jésus avait reposé ».

 

 

 

Qui vit Jésus en premier et où?

 

Matthieu : Marie-Madeleine et « l’autre Marie », sur la route qu’elles empruntaient pour aller retrouver les disciples.

 

Marc : Marie-Madeleine seulement et il ne mentionne pas où.

 

Luc : Deux des disciples, en route vers « un village appelé Emmaüs, à environ sept milles de Jérusalem. »

 

Jean : Marie-Madeleine, à l’extérieur du tombeau.

 

 

 

Alors où va-t-on avec tout ça? On ne peut que se demander si c’est là l’idée des Écritures que se font certaines personnes?

 

 

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En relatant l’histoire de Jésus, le Coran décrit la façon dont Marie, sa mère, fut approchée par un ange envoyé de Dieu, qui lui apportait une nouvelle à laquelle elle ne se serait jamais attendue : elle allait donner naissance à un fils, un messie, qui ferait partie des vertueux et des prophètes de Dieu et qui inviterait les Enfants d’Israël à suivre la voie de Dieu.

 

« Et quand les anges dirent : « Ô Marie! Dieu t’annonce la bonne nouvelle d’une Parole de Sa part. Son nom sera le Messie, Jésus, fils de Marie, illustre en ce monde comme dans l’au-delà et l’un des rapprochés (de Dieu). Il parlera aux gens dès le berceau. Et en son âge mûr, il sera du nombre des vertueux. » (Coran 3:45-46)

 

Évidemment, pour Marie, cette nouvelle était à la fois étrange et quasi impossible. Elle dit :

 

« Seigneur! Comment pourrais-je avoir un enfant alors qu’aucun homme ne m’a touchée? » Il dit: « Ce sera ainsi. Dieu crée ce qu’Il veut. Quand Il décrète une chose, Il dit seulement « Sois! » et elle est aussitôt. Dieu lui enseignera les Écritures et la sagesse, ainsi que la Torah et l’Évangile. » (Coran 3:47-48)

 

La nature de Jésus est si particulière que Dieu compare le caractère unique de Sa création à celle du premier homme et premier prophète, Adam.

 

« Certes, pour Dieu, Jésus est comme Adam, qu’Il créa de poussière (de la terre), puis lui dit : « Sois! » et il fut. » (Coran 3:59)

Jésus et ses miracles

 

Jésus devint l’un des plus grands prophètes de Dieu et fut envoyé aux Enfants d’Israël afin de confirmer les enseignements de son prédécesseur, le prophète Moïse. Sa naissance fut un miracle et, comme tous les prophètes de Dieu, il accomplit plusieurs miracles. Il aborda son peuple en lui disant :

 

« En vérité, je viens à vous avec un signe de la part de votre Seigneur. Pour vous, je façonne la glaise et lui fais prendre la forme d’un oiseau; puis, je souffle dedans et, par la permission de Dieu, cela devient un véritable oiseau. Je guéris l’aveugle-né et le lépreux, et je ressuscite les morts par la permission de Dieu. Et je suis à même de vous dire ce que vous venez de manger tout comme ce que vous gardez en réserve dans vos maisons. Dans tout cela, il y a certes un signe, pour vous, si vous êtes croyants. Et (je viens) vous confirmer ce qu’il y avait avant moi, dans la Torah, et je vous rends licite une partie de ce qui vous était interdit. Je viens à vous avec un signe de la part de votre Seigneur; alors craignez Dieu et obéissez-moi. Certes, Dieu est mon Seigneur et votre Seigneur; alors adorez-Le. Voilà le droit chemin. » (Coran 3:49-51)

Les disciples de Jésus

 

Le Coran poursuit l’histoire de Jésus en relatant divers incidents de sa vie et en parlant de ses disciples :

 

« Mais quand Jésus ressentit de l’incrédulité de leur part, il leur dit : « Qui seront mes alliés dans la voie de Dieu? » Les disciples dirent : « Nous serons les alliés de Dieu. Nous croyons en Dieu, et sois témoin que nous Lui sommes soumis. Seigneur! Nous croyons en ce que Tu as révélé et nous suivons celui que Tu nous as envoyé; inscris-nous donc parmi ceux qui témoignent (de la vérité). » (Coran 3:52-53)

 

Les disciples de Jésus lui demandèrent d’accomplir un autre miracle; une sourate du Coran porte d’ailleurs le nom de ce miracle :

 

« Lorsque les disciples dirent: « Ô Jésus, fils de Marie! Ton Seigneur peut-il nous faire descendre du ciel une table servie? » Il leur dit : « Craignez Dieu, si vous êtes vraiment croyants. » (Ils répondirent) : « Nous voulons en manger afin de rassurer nos cœurs, savoir que tu nous as réellement dit la vérité et en témoigner par la suite. » Jésus, fils de Marie, dit : « Ô Dieu, notre Seigneur! Fais-nous descendre, du ciel, une table servie qui soit une célébration pour le premier d’entre nous comme pour le dernier, ainsi qu’un signe de Ta part. Donne-nous notre subsistance, car Tu es le meilleur des nourriciers. » (Coran 5:112-114)

 

Dieu leur envoya la table servie qu’ils avaient demandée, mais non sans leur servir un avertissement :

 

« Je la ferai descendre pour vous. Et quiconque d’entre vous refuse de croire après cela, Je lui ferai sûrement subir un châtiment tel que nulle autre de (Mes) créatures n’en connaîtra de pareil! » (Coran 5:115)

La fin de l’histoire

 

L’histoire de Jésus ne se termine pas vraiment, car le Coran nous apprend que Jésus n’a jamais été tué, mais que Dieu l’a élevé vers Lui :

 

« Et quand Dieu dit: « Ô Jésus! Certes, Je vais mettre fin à ta vie terrestre; Je vais t’élever vers Moi et te débarrasser de ceux qui ne croient pas. Et, jusqu’au Jour de la Résurrection, Je rendrai ceux qui te suivent supérieurs à ceux qui ne croient pas. Puis, vous reviendrez (tous) vers Moi et Je jugerai vos différends. Quant à ceux qui ne croient pas, Je les châtierai d’un terrible châtiment, en ce monde comme dans l’au-delà; et ils ne seront point secourus. Et quant à ceux qui croient et accomplissent de bonnes œuvres, Il leur paiera leur pleine rétribution. Dieu n’aime point les transgresseurs. » (Coran 3:55-57)

 

Le Coran souligne également que Jésus ne fut ni tué ni crucifié. Parlant des Enfants d’Israël, Dieu réfute leurs accusations contre Marie, de même que leurs affirmations selon lesquelles ils auraient tué Jésus :

 

« Et (Nous les avons également maudits) à cause de leur incroyance et de l’énorme calomnie qu’ils ont proférée à l’encontre de Marie, et parce qu’ils ont dit: « Nous avons vraiment tué le Messie, Jésus fils de Marie, le messager de Dieu. » Or, ils ne l’ont ni tué ni crucifié, mais cela leur est apparu ainsi. Et certes, ceux qui sont en désaccord à ce sujet sont remplis d’incertitude ; ils n’en ont aucune connaissance (certaine) et ne font que suivre des conjectures. Ils ne l’ont certainement pas tué ; mais Dieu l’a élevé vers Lui. Et Dieu est Puissant et Sage. » (Coran 4:156-158)

 

Le Coran confirme que Jésus fut élevé vers Dieu et le prophète Mohammed (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) nous a assuré que Jésus serait de nouveau envoyé sur terre avant le Jour du Jugement. Dans un hadith rapporté par Abou Hourayrah, le Prophète dit :

 

« Par Celui qui tient mon âme dans Sa main, le fils de Marie descendra bientôt parmi vous en tant que juge intègre. Il brisera toutes les croix qu’il trouvera sur son chemin, tuera les porcs et abolira la jizyah (taxe), car les richesses deviendront si abondantes que personnes n’en aura plus besoin, jusqu’à ce qu’une seule prosternation soit meilleure que le monde et tout ce qu’il contient. » (sahih al-Boukhari)

 

 

 

Bonsoir,

Le Coran est une suite de la Bible et non un rectificatif, les lettres ont des mémoires.

 

3.59. Pour Allah, Jésus est comme Adam qu'Il créa de poussière, puis Il lui dit "Sois" : et il fut.

 

C’est écrit pour que tu voies les choses comme Allah, dont le talon d’Achille est Dieu

Temps que ce n’est pas écrit tu ne peut pas savoir, mais à la fin tu sais tout

 

3.59. Pour Allah, Jésus est comme Adam qu'Il créa de poussière, puis Il lui dit "Sois" : et il fut.

 

Jésus n’a jamais été enfant il est fait de points, et ses points c’est des hommes avec des ondes

Et il FUT Tout Feu comme de la lumière

 

QU’Il c’est Allah sous une autre forme, le Q dis ce qu’il est, et doublé du U et c’est des points aussi.

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Il est naïf de dire que l'islam est un mélange d' informations de seconde main sur le judaïsme et le christianisme avec un soupçon d'éléments arabes en elle. Il est absurde de suggérer que le Prophète salallahu 'alayhi wa sallam (Puisse Allah exalter sa mention ) , était conscient des deux systèmes religieux .

 

 

Le concept de la prophétie , la mémoire de Ibrahim ( Abraham ) qu'Allah exalter sa mention comme un prophète et fondateur de la Ka ` bah , que les Arabes universellement aimé, ainsi que les rites du Hajj ( pèlerinage à la Kaaba ) institué par Ibrahim qu'Allah exalter sa mention était incontestablement d'avant l'époque des juifs et des chrétiens.

 

Arabes préislamiques , indépendantes de toute influence juive ou chrétienne , connaissaient le concept d'Allah comme le Dieu suprême. Les enseignements de Ibrahim qu'Allah exalter sa mention trouvé refuge en Arabie bien avant l'arrivée du judaïsme ou le christianisme et les Arabes connaissaient déjà le mot « Haneef » comme l'adorateur d'un Dieu .

 

 

Le Prophète salallahu 'alayhi wa sallam (Puisse Allah exalter sa mention ) , a accusé les Arabes contemporain , les juifs et les chrétiens d'avoir dévié des enseignements originaux de leurs prophètes et d'avoir dégénéré en polythéisme. Il a également rejeté ce qu'ils prétendaient être les enseignements de leurs écritures . Donc, il ne peut pas être interprété comme ayant conçu l'idée du monothéisme de l'influence judéo-chrétienne.

 

 

Le Coran ne maintient qu'il enseigne une nouvelle religion. Au contraire, il soutient et fait revivre l'original enseignements que Dieu a donné à travers tous les prophètes de toutes les nations . Il affirme que ses enseignements sont les mêmes que celle de Ibrahim ( Abraham ) , Moussa (Moïse ) et 'Issa (Jésus) , qu'Allah exalter leur mention , et parle de tous en termes élogieux . Comme chaque orientaliste s'accorde sur le fait que le Prophète Muhammad , Salla Allahou 'alayhi wa sallam (Puisse Allah exalter sa mention ) , n'a pas lu les Ecritures , par conséquent, sa source de la connaissance doit être autre chose .

 

 

Le rejet des enseignements bibliques sur le fils ou le père de Dieu a été rejetée , même en sourates mecquoise ( chapitres du Coran ) bien avant la migration du Prophète à Al- Madinah . Par conséquent, il n'est pas exact de dire que ces renoncements sont venus environ , à la suite de la séparation d'avec les Juifs et les chrétiens à Al - Madinah .

 

 

Il était impossible d'obtenir même un aperçu du monothéisme en observant le judaïsme et le christianisme en ces jours-là . Les pratiques de ces deux groupes religieux ont été plongés dans la corruption et les superstitions les plus vils , qui sont largement retiré du monothéisme.

 

Les divers mouvements de réforme dans le christianisme , en particulier le Mouvement clunisien , le mouvement iconoclaste et la Réforme a commencé par Martin Luther témoignent de la profondeur de la dégradation dans laquelle les chrétiens et le christianisme de l'époque étaient descendus . D'une certaine façon , tous ces mouvements de réforme et l'accent ultérieure sur le monothéisme , en dépit d'une adhésion à la doctrine de la Trinité et la divinité du Christ sont en grande partie , les résultats du monothéisme intransigeant énoncés et propagées par l'Islam. En d'autres termes , c'était l'islam qui a influencé les mouvements de renouveau dans le christianisme et non l' inverse.

 

 

//////

 

 

« Certes, pour Dieu, Jésus est comme Adam, qu’Il créa de poussière (de la terre), puis lui dit : « Sois! » et il fut. » (Coran 3:59)

 

Comme cela est bien connu , Jésus-Christ ( psl) est l'une des personnalités les plus populaires et les plus controversés de l'histoire. Pour certains, il est considéré comme Dieu, pour d'autres, il est le fils de Dieu. Les musulmans en particulier , cependant, considèrent Jésus comme un messager de Dieu , qui a été envoyé pour répandre la parole de Dieu et d'obéir à ses ordres , comme Moïse (psl) , Noé (psl) , Abraham (psl) et ceux qui ont été envoyés avant lui , ainsi que Muhammad (psl) qui a été envoyé après lui. Les musulmans ont une plus honorable pour ce qui concerne Jésus et croire en lui est une condition de l'Islam.

 

Alors il peut venir comme une surprise pour certains , le Coran est en fait une excellente source pour tous ceux qui souhaitent apprendre à connaître Jésus -Christ ! Le Coran parle avec le plus grand respect et la beauté de ce Saint Prophète et sa mère Marie.

 

Il ne fait aucun doute qu'il ya des gens qui sont sceptiques sur le Coran et le considèrent comme l'écrit de Mahomet, et il est du devoir d'un musulman à reconnaître et à respecter toutes les opinions , tant qu'ils peuvent être logiquement et assez prouvé .

 

Il ya aussi des gens qui nient les prophètes et les miracles qui les accompagnent . Parmi ceux qui sont les miracles de la création d'Adam et Jésus-Christ . La réponse de Dieu à ceux qui rejettent ces miracles est: ( « Certes, pour Dieu, Jésus est comme Adam, qu’Il créa de poussière (de la terre), puis lui dit : « Sois! » et il fut. » (Coran 3:59)

 

 

En examinant ce verset , nous remarquons que Dieu Tout-Puissant nous dit que Jésus-Christ , comme Adam (psl) , a été créé sans père. De même , les deux étaient prophètes , et tous les deux ont présenté un miracle dans la manière dont leurs mœurs et des comportements exemplaires étaient différentes de celles des gens ordinaires. C'est l'argument islamique, que Jésus ne peut pas être considéré comme divin , simplement parce qu'il n'avait pas de père , parce que si cela est vrai , alors Adam doit également être considéré comme divin , comme il n'avait ni père ni mère.

 

Mais la question est : Comment ce verset peut vraiment convaincre quelqu'un qui rejette simplement le Coran comme la vraie parole de Dieu? Après tout, un sceptique a parfaitement le droit d'être sceptique , mais avec ce scepticisme est un droit sur ​​lui de chercher la preuve afin d'effacer tout doute hors de question ! Donc, il ya aucune preuve physique de la vérité de ces paroles? Y at-il quelque chose , dans ce verset, qui peut prouver concrètement les similitudes proposées entre Jésus et Adam ? Aucun jugement n'est porté sur les mots à suivre , ce qui est laissé au lecteur de contempler .

 

Ce qui est intéressant , c'est que cette connexion entre Jésus et Adam n'est pas simplement limité à la signification du verset comme expliqué ci-dessus. Cette liaison existe, même en ce qui concerne les différentes mentions de Jésus et Adam dans le Coran.

 

Pour expliquer plus loin , si nous regardons le mot «Jésus» dans le Coran, nous trouvons qu'il est mentionné 25 fois dans le Coran. De même, si nous regardons la mention de «Adam» dans le Coran, nous trouvons , encore une fois , qu'il est mentionné exactement 25 fois!

 

Il est naturel pour un athée , peut-être même un musulman, à considérer cela comme une coïncidence. Par conséquent , nous devons regarder plus loin, et voir si Dieu Tout-Puissant a déposé dans ce verset une symétrie numérique cohérente qui pourrait détruire toute possibilité d'une coïncidence .

 

Maintenant, une réflexion sur les différents versets où Jésus et Adam sont mentionnés , nous constatons que le verset précédent - ( En vérité, la ressemblance de Jésus devant Allah est la ressemblance d'Adam ) - est le seul verset dans le Coran où Jésus et Adam ont été mentionnés collectivement . Dans aucun autre verset ne les deux noms se rencontrent , cela donne le verset une importance cruciale dans notre discussion.

 

Par ailleurs, et assez étonnamment , le nombre de fois que le mot Adam a été mentionné dès le début du Coran jusqu'à ce verset essentiel est 7 fois , et le nombre de fois où Jésus a été mentionné dès le début du Coran jusqu'à ce verset est également 7 fois!

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Dans le Coran, Jésus occupe une des positions les plus élevées parmi les prophètes. Contrairement aux autres prophètes qui ont accompli des miracles, Jésus était lui-même un miracle pour être né d’une mère vierge. C’est ainsi que Dieu les décrit, lui et sa mère :

 

« … et Nous fîmes d’elle [Marie], ainsi que de son fils [Jésus], un signe pour (toute) l’humanité. » (Coran 21:91)

 

Néanmoins, dans le Coran, on dit de Jésus qu’il a accompli de nombreux miracles qui lui étaient uniques. Dieu dit :

 

« Et Nous avons donné des preuves claires à Jésus, fils de Marie… » (Coran 2:87)

 

Ce qui suit est une brève description des miracles accomplis par Jésus qui sont mentionnés dans le Coran.

1. Une table pleine de nourriture

 

Dans la cinquième sourate du Coran intitulée « la table servie », nom qu’elle tient du miracle accompli par Jésus, Dieu raconte comment les disciples de Jésus l’ont prié de Lui demander de leur faire descendre une table servie, garnie de nourriture, et d’en faire un jour de commémoration dans le futur.

 

« Lorsque les disciples dirent: « Ô Jésus, fils de Marie! Ton Seigneur peut-il nous faire descendre du ciel une table servie? » Il leur dit : « Craignez Dieu, si vous êtes vraiment croyants. » (Ils répondirent) : « Nous voulons en manger afin de rassurer nos cœurs, savoir que tu nous as réellement dit la vérité et en témoigner par la suite. » Jésus, fils de Marie, dit : « Ô Dieu, notre Seigneur! Fais-nous descendre, du ciel, une table servie qui soit une célébration pour le premier d’entre nous comme pour le dernier, ainsi qu’un signe de Ta part. Donne-nous notre subsistance, car Tu es le meilleur des nourriciers. » (Coran 5:112-114)

 

Il est fort probable que cette occasion est ce à quoi les chrétiens réfèrent en tant que « cène »,[1] c’est-à-dire le dernier souper que prit Jésus avec ses apôtres. L’eucharistie a toujours été au centre de l’adoration chrétienne. L’encyclopédie Britannica écrit :

 

« L’eucharistie est un sacrement chrétien qui commémore l’action posée par Jésus lors de son dernier souper avec ses disciples. (…) Les lettres de Paul et les actes des apôtres indiquent clairement que dans les premiers temps du christianisme, les chrétiens croyaient que cette institution incluait un mandat de perpétuer cette célébration. (…) L’eucharistie est un rite fondamental de l’adoration chrétienne. »[2] (traduction libre)

2. Il a parlé aux gens dès le berceau

 

Un des miracles mentionnés dans le Coran (mais non dans la Bible) est le fait que Jésus ait parlé aux gens alors qu’il était encore au berceau, afin de protéger sa mère, Marie, des accusations que les gens étaient susceptibles de porter contre elle pour avoir eu un enfant alors qu’elle n’était pas mariée. Lorsque, après la naissance de Jésus, les gens s’approchèrent d’elle stupéfaits, Marie montra Jésus du doigt et il parla miraculeusement, tel que Dieu l’avait promis à Marie lorsqu’Il lui avait annoncé qu’elle aurait un enfant.

 

« Il parlera aux gens dès le berceau. Et en son âge mûr, et il sera du nombre des vertueux. » (Coran 3:46)

 

Jésus dit aux gens :

 

« Je suis vraiment le serviteur de Dieu. Il m’a donné le Livre et m’a fait prophète; Il a fait de moi une source de bénédiction où que je sois, et Il m’a enjoint la prière et la zakat tant que je vivrai. Il m’a rendu dévoué envers ma mère et Il ne m’a fait ni insolent ni misérable. Que la paix soit sur moi le jour où je naquis, le jour où je mourrai et le jour où je serai ressuscité! » (Coran 19:30-33)

3. … et cela devient un véritable oiseau

 

Dans le Coran, Dieu mentionne un miracle accompli par nul autre à part Jésus, avec Sa permission. C’est un miracle qui s’apparente à la façon dont Dieu Lui-même a créé Adam. Dieu rapporte les paroles de Jésus :

 

« Pour vous, je façonne la glaise et lui fais prendre la forme d’un oiseau; puis, je souffle dedans et, par la permission de Dieu, cela devient un véritable oiseau. » (Coran 3:49)

 

Ce miracle n’est pas mentionné dans le Nouveau Testament, mais il en est fait mention dans l’Évangile de l’enfance de Jésus, selon Thomas (deuxième verset), livre non-canonique. « Ce petit enfant Jésus, âgé de cinq ans, jouait, après un orage, au bord d'une rivière. (…) Ensuite, ayant pris de la terre glaise, il pétrit douze petits moineaux. Mais Jésus frappa dans ses mains et cria aux moineaux " Partez ! " Les oisillons déployèrent leurs ailes et s'envolèrent en pépiant. »

4. ll guérit l’aveugle et le lépreux

 

Comme il est mentionné dans le Nouveau Testament [3], le Coran mentionne également que Jésus guérissait l’aveugle et le lépreux.

 

« Je guéris l’aveugle-né et le lépreux… » (Coran 3:49)

 

À l’époque de Jésus, les juifs étaient relativement avancés dans les sciences médicales et ils en étaient très fiers. C’est pour cela que Dieu a donné à Jésus la possibilité d’accomplir des miracles de cette nature, pour que les juifs comprennent qu’aucune force de la nature ne pouvait arriver à tels résultats.

5. Il ressuscite les morts

 

« … et je ressuscite les morts par la permission de Dieu. » (Coran 3:49)

 

La résurrection, comme la création de l’oiseau, était un miracle incomparable, un miracle qui aurait dû convaincre les juifs de croire en la mission prophétique de Jésus et de ne plus en douter. Dans le Nouveau Testament, on mentionne trois personnes que Jésus aurait ressuscitées par la permission de Dieu : la fille de Jaïrus (Mathieu 9:18, 23; Marc 5:22, 35; Luc 8:40, 49), le fils de la veuve, à Naïn (Luc 7:11) et Lazare (Jean 11:43)

6. Les provisions d’aujourd’hui et de demain

 

Dieu avait donné à Jésus la possibilité de savoir ce que les gens venaient tout juste de manger et ce qu’ils avaient en réserve pour les jours à venir. Dieu dit :

 

« Et je suis à même de vous dire ce que vous venez de manger tout comme ce que vous gardez en réserve dans vos maisons. Dans tout cela, il y a certes un signe, pour vous, si vous êtes croyants. » (Coran 3:49)

Une manifestation de la vérité

 

Comme d’autres prophètes, Jésus a accompli des miracles afin de convaincre les sceptiques du caractère véridique de sa mission et non pas pour leur faire croire qu’il possédait une quelconque divinité. Le Coran dit :

 

« Dans tout cela, il y a certes un signe, pour vous, si vous êtes croyants. » (Coran 3:49)

 

Ces miracles ont été accomplis uniquement par la permission de Dieu; s’Il n’avait pas souhaité leur réalisation, ils ne se seraient jamais réalisés. Dieu le mentionne de façon explicite dans le Coran, précisant que ces miracles se sont produits…

 

« … par la permission de Dieu. » (Coran 3:49; 5:10)

 

Bien que les musulmans ne puissent le confirmer, la Bible, à travers certaines narrations, affirme que Jésus a parfois échoué à accomplir des miracles. Une fois, alors qu’il souhaitait guérir un aveugle, il échoua à sa première tentative et dû essayer de nouveau (Marc 8:22-26). Une autre fois, « Il ne put faire là aucun miracle, si ce n'est qu'il imposa les mains à quelques malades et les guérit. » (Marc 6:5)

 

Il demeure qu’en réalité, ce n’est pas par sa seule volonté que Jésus a accompli des miracles. Ils ne se sont réalisés que par la volonté de Dieu Tout-Puissant – un fait qui est aussi mentionné clairement dans la Bible :

 

« … cet homme dont Dieu vous a montré qu'il l'approuvait en accomplissant, par son moyen, au milieu de vous des miracles, des signes et des actes extraordinaires. » (Actes 2:22)

 

 

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Allah est omnipotent, cela signifie qu'il peut tout faire et que rien ne lui est impossible.

S'il peut tout faire, il peut donc engendrer...

 

Tout à fait, il peut engendrer, dormir, mourir, péter, pisser.

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Allah est omnipotent, cela signifie qu'il peut tout faire et que rien ne lui est impossible.

S'il peut tout faire, il peut donc engendrer...

 

 

Les attributs de Dieu

 

Si le Créateur est éternel et perpétuel, Ses attributs doivent aussi être éternels et perpétuels. Ses attributs sont donc absolus. Peut-il exister plus d’un créateur possédant de tels attributs absolus? Peut-il y avoir, par exemple, deux créateurs possédant tous deux un pouvoir absolu? Il suffit d’un moment de réflexion pour se rendre compte que cela est impossible.

 

Le Coran résume cet argument dans les versets suivants :

 

« Dieu ne S’est point attribué de fils et il n’existe aucune autre divinité avec Lui; sinon, chaque divinité se serait sûrement emparée de ce qu’elle aurait créé, et certaines en auraient dominé d’autres. » (Coran 23:91)

 

Aussi :

 

« S’il y avait d’autres divinités que Dieu, dans les cieux et sur la terre, ciel et terre seraient livrés au chaos. » (Coran 21:22)

L’unicité de Dieu

 

Le Coran nous rappelle que toutes les prétendues divinités sont fausses. Aux adorateurs d’objets fabriqués par l’homme, il demande :

 

« Adorez-vous ce que vous sculptez vous-mêmes alors que Dieu vous a créés, vous et ce que vous fabriquez ? » (Coran 37:95)

 

Et :

 

« Prendrez-vous alors, en dehors de Lui, d’autres protecteurs qui ne détiennent aucun contrôle, même pour eux-mêmes, sur le bien ou le mal? » (Coran 13:16)

 

Aux adorateurs de corps célestes, il cite l’histoire d’Abraham :

 

« Quand la nuit l’enveloppa, il observa une étoile et dit : « Voilà mon Seigneur! ». Puis lorsqu’elle déclina, il dit : « Je n’aime pas les choses qui disparaissent. » Lorsqu’ensuite il vit la lune poindre (à l’horizon), il dit : « Voilà mon Seigneur! ». Puis lorsqu’elle disparut, il dit : « À moins que mon Seigneur ne me guide, je serai certes du nombre des égarés. » Lorsqu’ensuite il vit le soleil se lever, il dit : « Voilà mon Seigneur! Celui-ci est plus grand! ». Puis lorsque le soleil se coucha, il dit : « Ô mon peuple! Je désavoue tout ce que vous associez à Dieu. En tant que croyant véritable, je tourne mon visage vers Celui qui a créé les cieux et la terre (à partir de rien), et je ne suis point du nombre des polythéistes. » » (Coran 6:76-79)

L’attitude du croyant

 

Pour être musulman, c’est-à-dire pour se soumettre à Dieu, il est nécessaire de croire en Son unicité, ce qui signifie croire qu’Il est l’unique Créateur, Soutien, Nourricier, etc. Mais cette croyance n’est pas suffisante. En effet, nombreux étaient les idolâtres qui savaient et croyaient que seul Dieu possédait tous ces attributs; mais cela ne suffisait pas à faire d’eux des musulmans. Car en plus de croire à cela, une personne doit reconnaître que Dieu seul mérite d’être adoré; elle doit donc s’abstenir d’adorer autre chose ou un autre être que Dieu.

 

Une fois qu’il a acquis cette connaissance du seul véritable Dieu, l’homme doit constamment maintenir sa foi en Lui et doit éviter tout ce qui pourrait l’amener à nier la vérité.

 

Si l’homme se soumet consciemment et sans réserve à Dieu, et qu’il reconnaît que Lui seul mérite d’être adoré, il doit donc logiquement L’adorer, Lui et nul autre. Lui vouer une obéissance totale signifie mettre en pratique ce que nous reconnaissons au fond de notre cœur. Dieu demande aux hommes :

 

« Pensiez-vous que Nous vous avions créés sans but, et que vous ne seriez pas ramenés vers Nous? » (Coran 23:115)

 

Il affirme aussi, catégoriquement :

 

« Je n’ai créé les djinns et les hommes que pour qu’ils M’adorent. » (Coran 51:56)

 

Quand la foi pénètre le cœur d’une personne, elle crée chez elle un certain état d’esprit qui la pousse à faire certaines actions. Cet état d’esprit et ces actions sont le reflet de la foi de cette personne. Le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) a dit :

 

« La foi est ce qui se loge dans le cœur et qui est confirmé par les actions. »

 

Un de ces états d’esprit du croyant est le sentiment de gratitude envers Dieu, qui constitue l’essence de l’adoration.

 

Ce sentiment de gratitude est si important que celui qui ne croit pas est appelé « kafir », ce qui signifie « celui qui nie la vérité », mais aussi « celui qui est ingrat ».

 

Le croyant aime Dieu, et il Lui est reconnaissant pour tous les bienfaits dont Il l’a comblé. Mais il demeure conscient du fait que ses bonnes actions, mentales ou physiques, sont loin d’être proportionnelles aux faveurs de Dieu; et c’est pourquoi il comprend que Dieu peut décider de le châtier, ici ou dans l’au-delà. Alors il Le craint, il se soumet à Lui et il se met entièrement à Son service avec la plus grande humilité. Nul ne peut être dans cet état d’esprit sans se rappeler Dieu de façon constante. Se rappeler de Dieu est ce qui nourrit la foi; et si Dieu est absent de l’esprit d’une personne, sa foi s’estompe et finit par s’éteindre.

 

Le Coran encourage ce sentiment de gratitude en répétant souvent les attributs de Dieu. Dans les deux versets coraniques suivants, plusieurs de ces attributs sont cités ensemble :

 

« C’est Lui Dieu, en dehors de qui il n’y aucune autre divinité, le Connaisseur de l’invisible et du visible; Il est le Tout-Miséricordieux, le Très Miséricordieux. C’est Lui Dieu, en dehors de qui il n’y aucune autre divinité, le Seigneur souverain, le Saint, l’Apaisant, le Rassurant, le Gardien, le Puissant, le Contraignant, le Suprême. Gloire à Dieu! [il est] bien au-dessus de tout ce qu’ils Lui associent. C’est Lui Dieu, le Créateur, Celui qui donne un commencement à toute chose et qui en détermine la forme. Les plus beaux noms Lui appartiennent. Tout ce qui est dans les cieux et sur la terre Le glorifie, et c’est Lui le Puissant, le Sage. » (Coran 59:22-24)

 

Et :

 

« Dieu! Nul ne doit être adoré en dehors de Lui, le Vivant, l’Éternel qui subsiste par Lui-même. Ni somnolence ni sommeil ne Le saisissent. À Lui appartient tout ce qui est dans les cieux et sur la terre. Qui peut intercéder auprès de Lui sans Sa permission? Il sait ce qui se trouve devant eux et ce qui se trouve derrière eux, tandis qu’ils ne connaissent, de Son savoir, que ce qu’Il veut. Son Trône s’étend au-delà des cieux et de la terre, dont la garde ne Lui coûte aucune peine. Il est le Très-Haut, le Très-Grand. » (Coran 2:255)

 

Et aussi :

 

« Ô gens du Livre! N’exagérez pas dans votre religion et ne dites, sur Dieu, que la vérité. Le Messie, Jésus fils de Marie, n’était qu’un messager de Dieu, Sa parole qu’Il transmit à Marie et un esprit provenant de Lui. Croyez donc en Dieu et en Ses messagers, et ne dites plus « Trois ». Cessez! Ce sera bien mieux pour vous. Dieu est un Dieu unique. Il est trop parfait pour avoir un fils. » (Coran 4:171)

 

Nous devons donc croire que Dieu est le Créateur suprême, le Gardien et le Juge de l’univers et de tout ce qu’il contient. Nous ne devons rien adorer en dehors de Lui et nous devons Lui vouer une adoration exclusive. Nous devons reconnaître qu’à Lui seul appartiennent les noms et attributs divins, et que nous ne pouvons attribuer ces derniers à aucun autre être, quel qu’il soit. Si une personne reconnaît tout cela seulement du bout des lèvres, cela ne suffit pas; il faut aussi que son adoration soit exclusivement vouée à Dieu dans les faits.

 

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Le côté fonctionnel et pratique de la Loi islamique m’a vraiment impressionné, à l’époque, moi qui était issu, je le répète, d’un milieu chrétien. Le fait qu’on trouve, en islam, des enseignements détaillés dont l’objectif visé est facile à atteindre, qui sont faciles à mettre en pratique et qui sont en harmonie avec la nature humaine est vraiment une grande bénédiction. L’absence de tels enseignements est un des plus grands problèmes du christianisme. Par exemple, relativement à la cohésion sociale et aux interactions entre les gens, les plus grands enseignements que l’on puisse trouver dans le Nouveau Testament sont ceux auxquels on réfère en tant que « paroles dures de Jésus » :

 

« Vous avez appris qu'il a été dit : œil pour œil, et dent pour dent. Mais moi, je vous dis de ne pas résister au méchant. Si quelqu'un te frappe sur la joue droite, présente-lui aussi l'autre. Si quelqu'un veut plaider contre toi, et prendre ta tunique, laisse-lui encore ton manteau. Si quelqu'un te force à faire un mille, fais-en deux avec lui. Donne à celui qui te demande, et ne te détourne pas de celui qui veut emprunter de toi. Vous avez appris qu'il a été dit : tu aimeras ton prochain, et tu haïras ton ennemi. Mais moi, je vous dis : aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent, afin que vous soyez fils de votre Père qui est dans les cieux; car Il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et Il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes. Si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle récompense méritez-vous? Les publicains aussi n'agissent-ils pas de même? Et si vous saluez seulement vos frères, que faites-vous d'extraordinaire? Les païens aussi n'agissent-ils pas de même? Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait. » (Matthieu 5:38-48)

 

Les érudits chrétiens sont eux-mêmes perplexes. Comment appliquer de tels enseignements? Un seul exemple d’une discussion relative à ces paroles suffira à démontrer à quel point ces enseignements peuvent être déroutants pour ceux qui y croient fermement :

 

« [Pour interpréter ces paroles], le modèle proposé par Joachim Jeremias est simple, représentatif et d’influence continue. Selon ce modèle, ce sermon est habituellement perçu de l’une des trois façons suivantes : (1) comme un code perfectionniste, parfaitement en accord avec le légalisme du judaïsme rabbinique; (2) comme un idéal impossible à atteindre destiné à pousser le croyant d’abord vers le désespoir, puis à placer sa confiance en la miséricorde de Dieu; (3) comme un système moral provisoire qui était d’abord destiné à une période déterminée et qui est maintenant dépassé. Jeremias ajoute une quatrième thèse personnelle : ce sermon est une représentation de la vie naissante dans le royaume de Dieu, qui présuppose, pour la rendre possible, l’expérience de la conversion. Des schématisations plus complexes et détaillées ont été suggérées, mais la majorité des grands commentateurs offrent des explications qui rejoignent celles proposées par Jeremias. »[1]

 

En islam, il n’y a pas de tels dilemmes. Les enseignements sont faciles à appliquer, flexibles, pratiques et parfaitement adaptés à la vie quotidienne, même pour un musulman nouvellement converti et vivant dans un milieu non-musulman, comme moi, à l’époque. Le célèbre auteur James A. Michener a aussi remarqué et apprécié cet aspect de l’islam. Dans un de ses premiers écrits sur l’islam, Islam – the Misunderstood Religion (l’islam, la religion incomprise), que j’ai lu, il écrit :

 

« Le Coran est remarquablement réaliste et pratique là où il aborde les choses de la vie. Dans un verset mémorable, il ordonne : « Lorsque vous contractez une dette à échéance déterminée, mettez-la par écrit. (…) Et appelez comme témoins deux hommes parmi vous. » C’est cette combinaison de dévouement à un seul Dieu et d’enseignements pratiques qui fait du Coran un livre unique. »[2]

 

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Tout à fait, il peut engendrer, dormir, mourir, péter, pisser.

 

Donc pour vous si on peut faire la chose donc on l'a fait forcement, si tu marches dans une ruelle et que tu trouves une femmes ligotée qui te demande de l'aide, tu peux la tuer, tu peux la violer et tu peux aussi la sauver, si tu choisis de la tuer c'est que tu es minable, si tu la violes alors tu es un pervers et si tu la sauves tu es quelqu'un de bien et un héros, donc ce n'est pas parce qu'on peut faire la chose qu'on doit forcement la faire, Dieu peut tout faire mais il fait les choses digne d'un créateur, trouvez un autre argument et essayez d’être plus intelligents la prochaine fois.

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Donc pour vous si on peut faire la chose donc on l'a fait forcement, si tu marches dans une ruelle et que tu trouves une femmes ligotée qui te demande de l'aide, tu peux la tuer, tu peux la violer et tu peux aussi la sauver, si tu choisis de la tuer c'est que tu es minable, si tu la violes alors tu es un pervers et si tu la sauves tu es quelqu'un de bien et un héros, donc ce n'est pas parce qu'on peut faire la chose qu'on doit forcement la faire, Dieu peut tout faire mais il fait les choses digne d'un créateur, trouvez un autre argument et essayez d’être plus intelligents la prochaine fois.

 

 

 

 

 

D'où vient la femme de l'Ouest assistent à l'échelle de l'humanité et qui représente elle?

Sont-ils représentés par les dames artificielles de Hollywood qui apparaissent sur les écrans de télévision , qui sont réprimées par la charge de travail énorme et par les hommes?

Lorsque l'on compare deux cultures différentes , peut être un véritable étude faite afin de comparer entre les réalités des deux cultures , et ainsi atteindre une réponse pratique (et pas seulement à titre informatif un) pour savoir lequel des deux est plus honorable et civilisé ?

 

Dans un milieu qui est contrôlée par des gens corrompus , les femmes qui adhèrent à Hijaab sont considérés comme une preuve évidente de son humilité , de la dégradation de l'arriération , l'ignorance ... etc D'autre part , la négociation avec le corps des femmes n'a jamais été considéré comme tel ... !

Nous essayons de prétendre que la situation de la femme musulmane ou arabe est au plus haut degré de perfection et de développement. En outre, nous ne croyons pas que l'effort gigantesque elle fait face est due au fait qu'elle était une femme, mais elle fait partie de ce que les hommes font face , qui vient comme un résultat naturel de la nation opprimée , tyrannisé et forcés de suivre d'autres cultures .

 

Lorsque nous abordons la situation et le statut de la femme occidentale , nous le ferons à partir d'un regard à l'intérieur et nous allons laisser les personnes concernées ont la parole , et laisser chiffres et les statistiques renseignent sur la réalité.

Nous allons soulever un véritable dialogue entre deux civilisations , non seulement une méthodologie ou idéologique , mais une véritable comparaison entre les deux réalités . Le sujet que nous avons choisi de commencer avec et l'adresse est: « la violence domestique contre les femmes dans l'Ouest" .

Il faut remarquer que cette violence, qui va au-delà des limites humaines et les dimensions , n'est pas exercée par des personnes analphabètes qui vivent dans la campagne quelque part , ni dans les zones les plus pauvres . En revanche, de tels abus est pratiqué par des hommes lisses comme ceux qui apparaissent dans Hollywood qui sont dans certains cas bien éduqués ayant un statut social élevé. Elle est exercée contre les femmes faibles , quelle que soit la finesse ils peuvent sembler être ... après le retour dans leurs foyers , ils deviennent rien de plus que des esclaves sous l'effet de fouet de l'humilité et de la violence .

 

Nous limiterons notre exposé à la violence domestique contre les femmes dans l'ouest, et nous allons prouver par des chiffres que la femme humiliée n'est pas celui qui vit en Afghanistan et porte son couvre-face . Nous allons montrer que cette femme n'est pas celle de la péninsule arabique , qui est en fait bien protégés et honorés dans une communauté qui appelle à son égard. Immobilier dégrader et la vulgarité , c'est ce qui rend une femme pas cher marchandise comme n'importe quel autre bien échangeable , et lui a fait l'objet d'attaques et tous les types d'oppression et d' injustice.

Les Etats-Unis d'Amérique:

La violence, sous toutes ses formes, a frappé le membre le plus faible de la famille, notamment les femmes et les enfants. Des choses comme , secret , aucune preuve suffisante et obstacles juridiques et sociaux font qu'il est difficile d'obtenir des données très précises concernant la violence contre les femmes , ce qui est , selon les spécialistes sociales , c'est le moins que type de crime qui obtient rapporté .

 

Ironiquement, la plupart des informations disponibles concernant la violence contre les femmes est recueillie à partir de petites statistiques réalisées ici et là , qui donnent une vue d'ensemble rapide pour quelque chose d'aussi important que ce phénomène international. Ces informations ne peut être utilisé pour fournir des indicateurs précis pour le niveau de violence et de maltraitance pratiquée contre les femmes, mais il clarifie certainement que la violence et les mauvais traitements à domicile est un phénomène répandu , et que la femme est la victime dans la plupart des cas .

• En 1980, une statistique a été faite par Appleton , qui comprenait six cent vingt dames américaines ont montré que 35% d'entre eux étaient soumis à des abus de mari physique au moins une fois . En 1981, Chtraws exprimé que l'abus de mari varie entre 50-60% aux États-Unis . D'autre part , en 1982 , le pourcentage était estimé à 21% par Russell , tandis que Baglo a estimé qu'il devrait se situer entre 25-30%.

• En 1984, sur la base de ses recherches, Walker a fait remarquer que les femmes américaines sont bien expérimentés dans la violence physique, et que 41% des femmes ont subi des violences physiques par leur mère et 44% par leurs pères. 44% d'entre eux témoin accidents de violence physique par leurs pères de leur mère .

 

 

• Deux mille 928 personnes ont été tuées en 1985 par l'un des membres de leur famille , et si seulement considérer le cas des femmes que nous voyons que les deux tiers d'entre eux ont été tuées par leur mari ou leur petit ami . Puis, en 1984 , 20% des femmes ont été tuées par leur mari et 10% par leurs copains .

• Les statistiques prouvent que trois sur quatre femmes ont été l'objet d'abus , 9% de ce qui fut fait par l'ex -maris , dont 35% par des amis et 32 % en ex-petits amis .

• Une autre statistique qui a étudié le pourcentage des assaillants a confirmé que les ex-maris ou leurs maris séparés commis 79% des attaques, tandis que les maris commis 21% des attaques.

• Les statistiques ont prouvé que la cause la plus fréquente de blessure physique des femmes ( et dans certains cas la seule cause ) était leurs petits amis . Il était plus élevé dans nombre de blessures causées par des accidents de voiture , les vols et les viols tous accumulé.

• Selon une étude , une personne sur quatre femmes qui recherchent des soins médicaux par un médecin de famille , rapport qui ont abusé physiquement par leurs copains . 37% de ces femmes ont déclaré que c'est à peine s'ils ont surmonté leur abusés sexuellement dans leur enfance , et 29% ont déclaré avoir été victimes d'abus sexuels quand ils ont atteint la puberté. En outre , les femmes qui ont fait l'objet de tels abus souffert de dépression plus que les femmes qui n'ont pas.

• Les résultats d'un questionnaire qui a été fait sur ​​les six mille familles américaines ont montré que 50 % des hommes abusent constamment leurs épouses et leurs enfants physiquement .

• Les enfants qui ont été victimes de violences physiques par leurs pères se développent généralement à des gens violents avec leurs femmes et abusives d'eux trois fois plus que les autres hommes qui n'ont pas vécu l'abus de leurs pères dans l'enfance. En outre , les enfants dont les pères étaient très dures et abusives sont mille fois plus susceptibles d'être violent envers leurs épouses.

• Plus de trois millions d' enfants sont menacés par l'abus des parents par an.

 

 

• Un million de femmes par an subissent d'être victime d' abus par un membre de la famille qui n'atteint pas l'ampleur de la mort, cette statistique est l'un des plus modérés des .

• Quatre millions de femmes américaines une année de la vie d'abus menaçant par leurs copains . En outre, une personne sur trois grandi femmes sont confrontées à la violence physique par leurs petits amis au moins une fois .

• En 1993, 557 hommes ont été arrêtés pour leur violence aux femmes.

• En 1994 , 21% des cas de violence physique contre les femmes ont fait des parents , alors que seulement 4 % des cas d'attaque contre les hommes ont été faits par des parents de sexe féminin.

 

 

• 90-95 % des victimes de violence conjugale sont des femmes.

• Les enfants qui vivent dans des maisons étaient le mari et la femme attaque un autre sont soumis à des sévices physiques quinze cents fois plus que les autres enfants .

• 40-60 % des hommes qui maltraitent leurs épouses physiquement maltraiter leurs enfants .

• Dans l'une des études réalisées , 27% ​​des cas de meurtre à l'intérieur de la même famille étaient des enfants.

• 90% des enfants qui se font tuer avant l' âge de dix ans ont été tués à la suite d' une dispute familiale , et 56% d'entre eux étaient âgés de moins de deux ans .

• En 1994, 243 000 de ceux qui ont reçu des soins médicaux dans le " Emergency Room " ont été traités pour des blessures résultant de mauvais traitements physiques infligés par un parent , et le rapport des hommes aux femmes dans ce nombre était 01h09 .

 

• Il ya au moins quatre millions de rapports de violence contre les femmes chaque année , et environ 20% d'entre eux se sont passées dans la maison.

• En 1991 , plus de quatre-vingt dix femmes ont été tuées par semaine , dont neuf sur dix ont été tués par un homme.

• Dans environ 30% des familles armes des cas de violence ont été utilisées.

• 95% des cas de violence familiale ont été attaqués par des hommes sur les femmes.

 

 

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Les attributs de Dieu

 

Si le Créateur est éternel et perpétuel, Ses attributs doivent aussi être éternels et perpétuels. Ses attributs sont donc absolus. Peut-il exister plus d’un créateur possédant de tels attributs absolus? Peut-il y avoir, par exemple, deux créateurs possédant tous deux un pouvoir absolu? Il suffit d’un moment de réflexion pour se rendre compte que cela est impossible.

 

Le Coran résume cet argument dans les versets suivants :

 

« Dieu ne S’est point attribué de fils et il n’existe aucune autre divinité avec Lui; sinon, chaque divinité se serait sûrement emparée de ce qu’elle aurait créé, et certaines en auraient dominé d’autres. » (Coran 23:91)

 

Aussi :

 

« S’il y avait d’autres divinités que Dieu, dans les cieux et sur la terre, ciel et terre seraient livrés au chaos. » (Coran 21:22)

L’unicité de Dieu

 

Le Coran nous rappelle que toutes les prétendues divinités sont fausses. Aux adorateurs d’objets fabriqués par l’homme, il demande :

 

« Adorez-vous ce que vous sculptez vous-mêmes alors que Dieu vous a créés, vous et ce que vous fabriquez ? » (Coran 37:95)

 

Et :

 

« Prendrez-vous alors, en dehors de Lui, d’autres protecteurs qui ne détiennent aucun contrôle, même pour eux-mêmes, sur le bien ou le mal? » (Coran 13:16)

 

Aux adorateurs de corps célestes, il cite l’histoire d’Abraham :

 

« Quand la nuit l’enveloppa, il observa une étoile et dit : « Voilà mon Seigneur! ». Puis lorsqu’elle déclina, il dit : « Je n’aime pas les choses qui disparaissent. » Lorsqu’ensuite il vit la lune poindre (à l’horizon), il dit : « Voilà mon Seigneur! ». Puis lorsqu’elle disparut, il dit : « À moins que mon Seigneur ne me guide, je serai certes du nombre des égarés. » Lorsqu’ensuite il vit le soleil se lever, il dit : « Voilà mon Seigneur! Celui-ci est plus grand! ». Puis lorsque le soleil se coucha, il dit : « Ô mon peuple! Je désavoue tout ce que vous associez à Dieu. En tant que croyant véritable, je tourne mon visage vers Celui qui a créé les cieux et la terre (à partir de rien), et je ne suis point du nombre des polythéistes. » » (Coran 6:76-79)

L’attitude du croyant

 

Pour être musulman, c’est-à-dire pour se soumettre à Dieu, il est nécessaire de croire en Son unicité, ce qui signifie croire qu’Il est l’unique Créateur, Soutien, Nourricier, etc. Mais cette croyance n’est pas suffisante. En effet, nombreux étaient les idolâtres qui savaient et croyaient que seul Dieu possédait tous ces attributs; mais cela ne suffisait pas à faire d’eux des musulmans. Car en plus de croire à cela, une personne doit reconnaître que Dieu seul mérite d’être adoré; elle doit donc s’abstenir d’adorer autre chose ou un autre être que Dieu.

 

Une fois qu’il a acquis cette connaissance du seul véritable Dieu, l’homme doit constamment maintenir sa foi en Lui et doit éviter tout ce qui pourrait l’amener à nier la vérité.

 

Si l’homme se soumet consciemment et sans réserve à Dieu, et qu’il reconnaît que Lui seul mérite d’être adoré, il doit donc logiquement L’adorer, Lui et nul autre. Lui vouer une obéissance totale signifie mettre en pratique ce que nous reconnaissons au fond de notre cœur. Dieu demande aux hommes :

 

« Pensiez-vous que Nous vous avions créés sans but, et que vous ne seriez pas ramenés vers Nous? » (Coran 23:115)

 

Il affirme aussi, catégoriquement :

 

« Je n’ai créé les djinns et les hommes que pour qu’ils M’adorent. » (Coran 51:56)

 

Quand la foi pénètre le cœur d’une personne, elle crée chez elle un certain état d’esprit qui la pousse à faire certaines actions. Cet état d’esprit et ces actions sont le reflet de la foi de cette personne. Le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) a dit :

 

« La foi est ce qui se loge dans le cœur et qui est confirmé par les actions. »

 

Un de ces états d’esprit du croyant est le sentiment de gratitude envers Dieu, qui constitue l’essence de l’adoration.

 

Ce sentiment de gratitude est si important que celui qui ne croit pas est appelé « kafir », ce qui signifie « celui qui nie la vérité », mais aussi « celui qui est ingrat ».

 

Le croyant aime Dieu, et il Lui est reconnaissant pour tous les bienfaits dont Il l’a comblé. Mais il demeure conscient du fait que ses bonnes actions, mentales ou physiques, sont loin d’être proportionnelles aux faveurs de Dieu; et c’est pourquoi il comprend que Dieu peut décider de le châtier, ici ou dans l’au-delà. Alors il Le craint, il se soumet à Lui et il se met entièrement à Son service avec la plus grande humilité. Nul ne peut être dans cet état d’esprit sans se rappeler Dieu de façon constante. Se rappeler de Dieu est ce qui nourrit la foi; et si Dieu est absent de l’esprit d’une personne, sa foi s’estompe et finit par s’éteindre.

 

Le Coran encourage ce sentiment de gratitude en répétant souvent les attributs de Dieu. Dans les deux versets coraniques suivants, plusieurs de ces attributs sont cités ensemble :

 

« C’est Lui Dieu, en dehors de qui il n’y aucune autre divinité, le Connaisseur de l’invisible et du visible; Il est le Tout-Miséricordieux, le Très Miséricordieux. C’est Lui Dieu, en dehors de qui il n’y aucune autre divinité, le Seigneur souverain, le Saint, l’Apaisant, le Rassurant, le Gardien, le Puissant, le Contraignant, le Suprême. Gloire à Dieu! [il est] bien au-dessus de tout ce qu’ils Lui associent. C’est Lui Dieu, le Créateur, Celui qui donne un commencement à toute chose et qui en détermine la forme. Les plus beaux noms Lui appartiennent. Tout ce qui est dans les cieux et sur la terre Le glorifie, et c’est Lui le Puissant, le Sage. » (Coran 59:22-24)

 

Et :

 

« Dieu! Nul ne doit être adoré en dehors de Lui, le Vivant, l’Éternel qui subsiste par Lui-même. Ni somnolence ni sommeil ne Le saisissent. À Lui appartient tout ce qui est dans les cieux et sur la terre. Qui peut intercéder auprès de Lui sans Sa permission? Il sait ce qui se trouve devant eux et ce qui se trouve derrière eux, tandis qu’ils ne connaissent, de Son savoir, que ce qu’Il veut. Son Trône s’étend au-delà des cieux et de la terre, dont la garde ne Lui coûte aucune peine. Il est le Très-Haut, le Très-Grand. » (Coran 2:255)

 

Et aussi :

 

« Ô gens du Livre! N’exagérez pas dans votre religion et ne dites, sur Dieu, que la vérité. Le Messie, Jésus fils de Marie, n’était qu’un messager de Dieu, Sa parole qu’Il transmit à Marie et un esprit provenant de Lui. Croyez donc en Dieu et en Ses messagers, et ne dites plus « Trois ». Cessez! Ce sera bien mieux pour vous. Dieu est un Dieu unique. Il est trop parfait pour avoir un fils. » (Coran 4:171)

 

Nous devons donc croire que Dieu est le Créateur suprême, le Gardien et le Juge de l’univers et de tout ce qu’il contient. Nous ne devons rien adorer en dehors de Lui et nous devons Lui vouer une adoration exclusive. Nous devons reconnaître qu’à Lui seul appartiennent les noms et attributs divins, et que nous ne pouvons attribuer ces derniers à aucun autre être, quel qu’il soit. Si une personne reconnaît tout cela seulement du bout des lèvres, cela ne suffit pas; il faut aussi que son adoration soit exclusivement vouée à Dieu dans les faits.

 

 

Pourtant c'est devant la pierre noir que vous vous prosternez et c'est en la touchant et l'embrassant que vous pensez que vos péchés sont pardonnés...si c'est pas adoré une autre divinité qu'Allah je veux vraiment savoir ce que c'est....à moins que....Allah c'est cette fameuse pierre :eek:

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Guest rechveret

On est le plus grand par la spiritualité et l'humilité

 

Voyez-vous l’humilité de cet homme? Je vous ferais aussi remarquer que l’humilité constitue l’un des principaux thèmes du onzième chapitre de Matthieu. En Matthieu 11.19, nous lisons que Jésus entretenait des relations amicales avec les publicains et les pécheurs. Il était l’ami de ceux que la société rejette. Au v. 23, le Seigneur Jésus donne cet avertissement aux habitants de Capernaüm : Si vous croyez que vous serez élevés jusqu’au ciel, détrompez-vous. Vous serez abaissés jusqu’en enfer!’ Au v. 25, Jésus compare ses disciples à des enfants, humbles et simples. Il dit, ‘Je te loue, dieu, de ce que tu as révélé ces choses aux enfants, à ceux qui sont tout petits.’ Et finalement, au v. 29, Jésus dit, ‘Apprenez de moi car je suis doux et humble de cœur.’

 

Doux et humble de cœur. N’est-ce pas là un trait dominant de la personnalité de Jean? ‘Il faut qu’il grandisse et que je diminue.’ Quelle humilité! C’est là qu’on voit la grandeur d’un homme. Rappelez-vous des paroles de Jésus en Luc 9.48. Car celui qui est le plus petit parmi vous tous, c’est celui-là qui est grand. Celui qui est petit, doux, humble, simple, celui-là sera grand. Dans le royaume de Dieu, la grandeur d’une personne se mesure par son humilité. Nous pouvons maintenant mieux comprendre Jésus quand il déclare que le plus petit dans le royaume de Dieu est plus grand que Jean le Baptiste. Qui est le plus petit dans le royaume de Dieu? Jésus est le plus petit. Personne n’est plus humble que lui. Il s’est humilié au point de devenir le plus petit dans le royaume. C’est pourquoi il est le plus grand.

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