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je suis un mahboul comme elles disent


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Bonsoir ,

 

Je n"ai jamais insulté , ni manquer de respect et avec mon experience je dis ce que j'ai vecu et ce qui fait defaut dans notre education , je me montre sage car ma mere m"a bien elevé ........mais je reste le mal aimé :mad:

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Bonsoir ,

 

Je n"ai jamais insulté , ni manquer de respect et avec mon experience je dis ce que j'ai vecu et ce qui fait defaut dans notre education , je me montre sage car ma mere m"a bien elevé ........mais je reste le mal aimé :mad:

 

c bien d'avouer :wavetowel3:

 

en tt cas j'ai rien contre toi ;)

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Bonsoir ,

 

Je n"ai jamais insulté , ni manquer de respect et avec mon experience je dis ce que j'ai vecu et ce qui fait defaut dans notre education , je me montre sage car ma mere m"a bien elevé ........mais je reste le mal aimé :mad:

 

bin merci a cette merveilleuse créature ( ta mère )

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Guest OsiriaS
Bonsoir ,

 

Je n"ai jamais insulté , ni manquer de respect et avec mon experience je dis ce que j'ai vecu et ce qui fait defaut dans notre education , je me montre sage car ma mere m"a bien elevé ........mais je reste le mal aimé :mad:

 

Noooooooooooooooooooooon machi mahboul, makhbote bark. :D

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Bonsoir ,

 

Je n"ai jamais insulté , ni manquer de respect et avec mon experience je dis ce que j'ai vecu et ce qui fait defaut dans notre education , je me montre sage car ma mere m"a bien elevé ........mais je reste le mal aimé :mad:

En tous cas tu aimes bien Aznavour....:)

Bah sinon, il ne faut pas être en quête d'auditoire l'ami..Si c'est ce que tu cherches, bah faut abonder....:D

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Bonsoir ,

 

Je n"ai jamais insulté , ni manquer de respect et avec mon experience je dis ce que j'ai vecu et ce qui fait defaut dans notre education , je me montre sage car ma mere m"a bien elevé ........mais je reste le mal aimé :mad:

 

moi je t'aime bien :)

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Retourne vivre en Suisse, tu seras apprécié à ta juste valeur.

 

tu t'assois a coté du suisse pendant 6 heures

et lorsqu'il s'en va tu te dis s'il t'avais vu ou pas :cool:

 

 

mais ici a coté de ta mère tu es présent des fois elle te redoute, tu va lui ramener une femme étrangère a la maison, elle 'a pas une retraite..pendant que tu dors elle est inquiété. elle fait mille et mille calcul..sa biologie n'est plus la même..la perturbation organique la rend plus sensible et plus impatiante plus nerveuse. elle commence par cacher tous ces objets de valeur..si elle ne fait la salate, Satan va accentuer ces cauchemars et ses suspicions. Tous le monde voudra lui prendre ces bijoues ou même son gâteau de l'aid de l'année dernière qu'elle avait soigneusement caché sous le lit ou las haut sur le placards fermé a clé....

vous avez lue le avares de Molière??

Il faut écrire un autre roman ''la avares de Molière''

il n'est jamais éditer et vous allez le comprendre

 

voici un extrait (source toutmoliere.net)

 

HARPAGON, LA FLÈCHE.

 

HARPAGON.- Hors d’ici tout à l’heure, et qu’on ne réplique pas. Allons, que l’on

détale de chez moi, maître juré filou ; vrai gibier de potence.

 

LA FLÈCHE.- Je n’ai jamais rien vu de si méchant que ce maudit vieillard ; et je

pense, sauf correction , qu’il a le diable au corps.

 

HARPAGON.- Tu murmures entre tes dents.

LA FLÈCHE.- Pourquoi me chassez-vous ?

 

HARPAGON.- C’est bien à toi, pendard ; à me demander des raisons : sors vite,

que je ne t’assomme.

 

LA FLÈCHE.- Qu’est-ce que je vous ai fait ?

 

HARPAGON.- Tu m’as fait, que je veux que tu sortes.

 

LA FLÈCHE.- Mon maître, votre fils, m’a donné ordre de l’attendre.

 

HARPAGON.- Va-t’en l’attendre dans la rue, et ne sois point dans ma maison

planté tout droit comme un piquet, à observer ce qui se passe, et faire ton profit

de tout. Je ne veux point avoir sans cesse devant moi un espion de mes affaires ;

un traître, dont les yeux maudits assiégent toutes mes actions, dévorent ce que

je possède, et furettent de tous côtés pour voir s’il n’y a rien à voler.

 

LA FLÈCHE.- Comment diantre voulez-vous qu’on fasse pour vous voler ?

Êtes-vous un homme volable, quand vous renfermez toutes choses, et faites

sentinelle jour et nuit ?

 

HARPAGON.- Je veux renfermer ce que bon me semble, et faire sentinelle

comme il me plaît. Ne voilà pas de mes mouchard [17] s, qui prennent garde à

ce qu’on fait ? Je tremble qu’il n’ait soupçonné quelque chose de mon argent. Ne

serais-tu point homme à aller faire courir le bruit que j’ai chez moi de l’argent

caché ?

 

LA FLÈCHE.- Vous avez de l’argent caché ?

teux. .

 

HARPAGON.- Viens çà, que je voie. Montre-moi tes mains.

LA FLÈCHE.- Les voilà.

HARPAGON.- Les autres [18] .

LA FLÈCHE.- Les autres ?

HARPAGON.- Oui.

LA FLÈCHE.- Les voilà.

HARPAGON.- N’as-tu rien mis ici dedans ?

LA FLÈCHE.- Voyez vous-même.

HARPAGON. Il tâte le bas de ses chausses.- Ces grands hauts-de-chausses

sont propres à devenir les recéleurs des choses qu’on dérobe ; et je voudrais

qu’on en eût fait pendre quelqu’un [19] .

LA FLÈCHE.- Ah ! qu’un homme comme cela, mériterait bien ce qu’il craint ! et

que j’aurais de joie à le voler !

HARPAGON.- Euh ?

LA FLÈCHE.- Quoi ?

HARPAGON.- Qu’est-ce que tu parles de voler ?

LA FLÈCHE.- Je dis que vous fouilliez bien partout, pour voir si je vous ai volé.

HARPAGON.- C’est ce que je veux faire.

(Il fouille dans les poches de la Flèche).

LA FLÈCHE.- La peste soit de l’avarice, et des avaricieux.

HARPAGON.- Comment ? que dis-tu ?

LA FLÈCHE.- Ce que je dis ?

HARPAGON.- Oui. Qu’est-ce que tu dis d’avarice, et d’avaricieux ?

LA FLÈCHE.- Je dis que la peste soit de l’avarice, et des avaricieux.

HARPAGON.- De qui veux-tu parler ?

LA FLÈCHE.- Des avaricieux.

HARPAGON.- Et qui sont-ils ces avaricieux ?

LA FLÈCHE.- Des vilains, et des ladres.

HARPAGON.- Mais qui est-ce que tu entends par là ?

LA FLÈCHE.- De quoi vous mettez-vous en peine ?

HARPAGON.- Je me mets en peine de ce qu’il faut ?

LA FLÈCHE.- Est-ce que vous croyez que je veux parler de vous ?

HARPAGON.- Je crois ce que je crois ; mais je veux que tu me dises à qui tu

parles quand tu dis cela.

LA FLÈCHE.- Je parle... Je parle à mon bonnet.

HARPAGON.- Et moi, je pourrais bien parler à ta barrette .

LA FLÈCHE.- M’empêcherez-vous de maudire les avaricieux ?

HARPAGON.- Non ; mais je t’empêcherai de jaser, et d’être insolent. Tais-toi.

LA FLÈCHE.- Je ne nomme personne.

HARPAGON.- Je te rosserai, si tu parles.

LA FLÈCHE.- Qui se sent morveux, qu’il se mouche.

HARPAGON.- Te tairas-tu ?

LA FLÈCHE.- Oui, malgré moi.

HARPAGON.- Ha, ha.

LA FLÈCHE, lui montrant une des poches de son justaucorps. - Tenez,

voilà encore une poche. Etes-vous satisfait ?

HARPAGON.- Allons, rends-le-moi sans te fouiller.

LA FLÈCHE.- Quoi ?

HARPAGON.- Ce que tu m’as pris.

LA FLÈCHE.- Je ne vous ai rien pris du tout.

HARPAGON.- Assurément.

LA FLÈCHE.- Assurément.

HARPAGON.- Adieu. Va-t’en à tous les diables.

LA FLÈCHE.- Me voilà fort bien congédié.

HARPAGON.- Je te le mets sur ta conscience au moins. Voilà un pendard de

valet qui m’incommode fort ; et je ne me plais point à voir ce chien de

boiteux-là [20] .

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