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Le salafiste Abdelfettah Hamadache : «Si je suis président en 2014, j'instituerai une police islamique»


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Guest abderfik

Ceux qui utilisent la religion pour gouverner sont égarés

Qui les a délégué? meme ce hamadache, porter une barbe ne veut rien dire

Ils disent par leurs bouches ce qu'ils ne fond pas et se trahissent par leurs propres paroles

Au lieux d'avoir la foi, faire de bonnes actions et chercher l'au dela, ils utilisent la religion pour gouverner les gens, l'islam Etatique est une erreur dés le départ

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Ceux qui utilisent la religion pour gouverner sont égarés

Qui les a délégué? meme ce hamadache, porter une barbe ne veut rien dire

Ils disent par leurs bouches ce qu'ils ne fond pas et se trahissent par leurs propres paroles

Au lieux d'avoir la foi, faire de bonnes actions et chercher l'au dela, ils utilisent la religion pour gouverner les gens, l'islam Etatique est une erreur dés le départ

 

Tu me plais toi !!!!

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  • 3 months later...

je penses qu il n est pas dangereux, c est ça la démocratie que le DRS veut mettre en place, ils permettent a un de leurs homme (Le salafiste Abd El Fettah Hamadache ) de se presenter, afin de dire a la population on est pas conttre l islam.

 

Pourquoi il n autorise pas Ali Benhadj? le DRS a peur de lui.

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Guest OsiriaS
abde-allfetah.jpg

 

 

Dans un entretien paru sur le site web de la chaîne qatarie Al Jazeera, Abdelfettah Hamadache, chef d’un obscur parti islamiste, ne cache pas son rêve d’établir en Algérie un Etat islamique avec à sa tête, évidemment, un président islamiste qui ne serait personne d’autre que… Abdelfettah Hamadache, c'est-à-dire lui-même. Son programme ne se distingue pas de ceux des autres partis islamistes, y compris sur la question du contrôle des comportements des Algériens dont il veillera à la conformité par rapport aux préceptes de la religion, telle qu’il la conçoit lui-même. Il s’appuiera pour cela sur une police islamique qu’il créera en priorité. Pour le moment, il reproche aux autorités algériennes de faire la sourde oreille à ses demandes d’agrément. Il est convaincu que les pouvoirs publics ne veulent pas de sa formation politique appelée «Front de la renaissance islamique salafiste», mais ne comprend pas pourquoi, en même temps, le ministère de l’Intérieur a accordé son agrément à une formation politique qui relève des Frères musulmans. Il trouve que c’est là une discrimination à l’égard des salafistes. Pourquoi Djaballah et pas nous ? dit-il. Il n’attend pas pour agir à travers la publication de communiqués qui marquent son activité et sa présence dans le champ politique algérien. Il s’en prend aux autres salafistes, «ceux de l’Etat» agréés par le ministère de l’Intérieur mais qui ne font pas de politique. Les vrais salafistes, dit-il, ne sont pas ceux qui mettent le kamis, gardent la barbe et s’occupent uniquement de ce qui passe à l’intérieur de chez eux. Les vrais salafistes, tient-il à souligner, font de la politique. Et sur la lancée, il commente la situation politique du pays, la santé du Président et annonce, dans la foulée, sa candidature aux prochaines élections présidentielles, en déclinant son programme dont la pièce centrale est justement la création de la police islamique qui veillera à la bonne conduite des gens et remettra sur le «droit chemin» ceux qui s’en écartent, selon ses critères. Sur la situation en Egypte, il soutient les Frères musulmans et condamne l’armée égyptienne. Il détruit une illusion en précisant qu’en dehors du parti Nour, aucune autre formation salafiste ne soutient les militaires et qu’au contraire tous les autres salafistes sont du côté des Frères musulmans.

Kamel Moulfi

 

En premier lieux il s'attaque aux comportement de la population bababa

il est nul à chier !!!!

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Mr Ladoz s'excuse platement auprès de la cheikha Mouza (qui se serait faite opérer esthétiquement :crazy::crazy: là ou tout le monde pense sans y penser d'après Okacha:crazy:) du moment que ce clown barbu est plutôt le poulain des judéo-maçonniques d'Al Seoud .

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Guest OsiriaS
Mr Ladoz s'excuse platement auprès de la cheikha Mouza (qui se serait faite opérer esthétiquement :crazy::crazy: là ou tout le monde pense sans y penser d'après Okacha:crazy:) du moment que ce clown barbu est plutôt le poulain des judéo-maçonniques d'Al Seoud .

 

:mdr::mdr::mdr::mdr:

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abde-allfetah.jpg

 

 

Dans un entretien paru sur le site web de la chaîne qatarie Al Jazeera, Abdelfettah Hamadache, chef d’un obscur parti islamiste, ne cache pas son rêve d’établir en Algérie un Etat islamique avec à sa tête, évidemment, un président islamiste qui ne serait personne d’autre que… Abdelfettah Hamadache, c'est-à-dire lui-même. Son programme ne se distingue pas de ceux des autres partis islamistes, y compris sur la question du contrôle des comportements des Algériens dont il veillera à la conformité par rapport aux préceptes de la religion, telle qu’il la conçoit lui-même. Il s’appuiera pour cela sur une police islamique qu’il créera en priorité. Pour le moment, il reproche aux autorités algériennes de faire la sourde oreille à ses demandes d’agrément. Il est convaincu que les pouvoirs publics ne veulent pas de sa formation politique appelée «Front de la renaissance islamique salafiste», mais ne comprend pas pourquoi, en même temps, le ministère de l’Intérieur a accordé son agrément à une formation politique qui relève des Frères musulmans. Il trouve que c’est là une discrimination à l’égard des salafistes. Pourquoi Djaballah et pas nous ? dit-il. Il n’attend pas pour agir à travers la publication de communiqués qui marquent son activité et sa présence dans le champ politique algérien. Il s’en prend aux autres salafistes, «ceux de l’Etat» agréés par le ministère de l’Intérieur mais qui ne font pas de politique. Les vrais salafistes, dit-il, ne sont pas ceux qui mettent le kamis, gardent la barbe et s’occupent uniquement de ce qui passe à l’intérieur de chez eux. Les vrais salafistes, tient-il à souligner, font de la politique. Et sur la lancée, il commente la situation politique du pays, la santé du Président et annonce, dans la foulée, sa candidature aux prochaines élections présidentielles, en déclinant son programme dont la pièce centrale est justement la création de la police islamique qui veillera à la bonne conduite des gens et remettra sur le «droit chemin» ceux qui s’en écartent, selon ses critères. Sur la situation en Egypte, il soutient les Frères musulmans et condamne l’armée égyptienne. Il détruit une illusion en précisant qu’en dehors du parti Nour, aucune autre formation salafiste ne soutient les militaires et qu’au contraire tous les autres salafistes sont du côté des Frères musulmans.

Kamel Moulfi

 

Toz, si je vais voter pour toi mon frère.

Tahya el gazouz!

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