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Le duel


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La douleur d’un homme

 

 

 

« Son chagrin était fort mais restait silencieux,

Les larmes coulaient de ses magnifiques yeux,

Pas un son, aucune plainte ne sortaient de sa bouche,

Je restais debout en silence, mon coeur, il touche.

 

Voir un homme pleurer, le sentir en souffrance,

Alors de prétendre, qu’un homme ne pleure pas,

Me voici démunie, mais pourtant je suis là,

Le prenant dans mes bras pour gagner sa confiance.

 

Il s’est mis à parler, racontant ses émois,

je n’ai pu que l’écouter et lui sourire parfois,

Mon regard restait longuement dans la tendresse,

Mon intérieur serré, de sa vie, il se confesse.

 

Voir un homme pleurer, préférant cacher ses douleurs,

Un grand moment, difficile à vivre, un homme qui pleure… »

 

Poème écrit par: Agnès Genestier;)

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Armez-vous , venez vous défendre

Dans un duel je vous défie

Je veux que ce lieu , soit le théâtre de votre courroux

Allez, exposez à mes yeux votre grandeur.

 

Ravisseuse farouche, je fais appeler quelques armures et canons

Pouvoir d'amour et de vengeance

Vous avez nourri votre sort, à force de me narguer

Le trouble qui vous agite précipite votre perte

Le désordre est dans votre bouche

Je vous envie de me craindre.

 

Insolent, devant moi vous vous courberez

L'échine penchée, d'un front audacieux, vous me bravez

Mordant vos lèvres prêt à vous venger.

J'ose parler à votre place :

mais sur quelle brindille fragile avez vous pris appui, ma mie ?

 

Je ne veux pas d'un ennemi faible,

A moins que vous comploter quelques ruses

Votre regard me fait frémir,

Laissez moi inventer des jeux pour vous adoucir

Jamais vous ne verrez de regard plus doux sur vous

Je viens épier, le moment favorable où

Sachant que vous tournant le dos, je n'ai rien à redouter.

 

Puniriez-vous mes efforts à vous plaire ?

Laissez moi vous dire comment sévir

Mais avant que vous ne posiez votre glaive sur moi

Je veux porter dans ma main, le sceau de ma victoire.

 

Mais crédule espoir que d’imaginer qu’un seul regard caressant me suffirait

Couronnant votre insolente assurance

Vous me laissez captive de mes espérances

Je ne doute moins maintenant que je vous connais

Mais que me cache votre silence ?

Est-ce pour mieux me rappeler à mon souvenir

Que vous me laissez si mourante ?

 

 

Miss A.

 

Tas annoncé la couleur là, c'est du haut niveau, tu veux qu'on écrive quoi après cela ?:confused::D

 

Je veux bien zissiyé :o

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Guest Miss angel
Tas annoncé la couleur là, c'est du haut niveau, tu veux qu'on écrive quoi après cela ?:confused::D

 

Je veux bien zissiyé :o

 

 

 

hihi..... en garde.....

 

merci pour ta lecture...

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Guest Miss angel
Cette arène a vu plus d'un duel

Des mauvais , des durs mais qui restent virtuels

Démunis de ta force on te laisse la victoire, ne sois pas cruelle

Epargne nos âmes fatiguées, résiduelles !!!

 

 

sublimissimme

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Debout sur un rocher guettant une potentielle menace

Une légère brise caresse mon visage et je sens des mains

Invisibles qui m’enlacent et qui ne laissent aucune trace

Dans ce moment de rêverie, je ne vois pas le danger au loin

 

Une voix gronde dans le ciel, une voix féminine et rauque

Celle d'une guerrière venue défier ma tribu pourtant invaincue

Armée de mon arc et vêtue de ma tunique asymétrique

D'un pas décidé je rejoins la rivière où sont mes sœurs dévêtues

 

Ce n'est pas un homme qui vient à nous mais une femme

Nous avions éliminé un à un tous les mâles de cette contrée

Avec facilité et sans réelle combativité de ces pauvres âmes

Miss Angel en a décidé autrement et est venue nous défier

 

:confused:

 

To be continued or not :D

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Guest Miss angel
Debout sur un rocher guettant une potentielle menace

Une légère brise caresse mon visage et je sens des mains

Invisibles qui m’enlacent et qui ne laissent aucune trace

Dans ce moment de rêverie, je ne vois pas le danger au loin

 

Une voix gronde dans le ciel, une voix féminine et rauque

Celle d'une guerrière venue défier ma tribu pourtant invaincue

Armée de mon arc et vêtue de ma tunique asymétrique

D'un pas décidé je rejoins la rivière où sont mes sœurs dévêtues

 

Ce n'est pas un homme qui vient à nous mais une femme

Nous avions éliminé un à un tous les mâles de cette contrée

Avec facilité et sans réelle combativité de ces pauvres âmes

Miss Angel en a décidé autrement et est venue nous défier

 

:confused:

 

To be continued or not :D

 

 

good, so good

 

 

yes why not continue, but , you or me ?

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Guest Miss angel
La douleur d’un homme

 

 

 

« Son chagrin était fort mais restait silencieux,

Les larmes coulaient de ses magnifiques yeux,

Pas un son, aucune plainte ne sortaient de sa bouche,

Je restais debout en silence, mon coeur, il touche.

 

Voir un homme pleurer, le sentir en souffrance,

Alors de prétendre, qu’un homme ne pleure pas,

Me voici démunie, mais pourtant je suis là,

Le prenant dans mes bras pour gagner sa confiance.

 

Il s’est mis à parler, racontant ses émois,

je n’ai pu que l’écouter et lui sourire parfois,

Mon regard restait longuement dans la tendresse,

Mon intérieur serré, de sa vie, il se confesse.

 

Voir un homme pleurer, préférant cacher ses douleurs,

Un grand moment, difficile à vivre, un homme qui pleure… »

 

Poème écrit par: Agnès Genestier;)

 

 

 

très joli poème

 

à toi WW

 

fait rugir ta plume...:D

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Guest Miss angel
Debout sur un rocher guettant une potentielle menace

Une légère brise caresse mon visage et je sens des mains

Invisibles qui m’enlacent et qui ne laissent aucune trace

Dans ce moment de rêverie, je ne vois pas le danger au loin

 

Une voix gronde dans le ciel, une voix féminine et rauque

Celle d'une guerrière venue défier ma tribu pourtant invaincue

Armée de mon arc et vêtue de ma tunique asymétrique

D'un pas décidé je rejoins la rivière où sont mes sœurs dévêtues

 

Ce n'est pas un homme qui vient à nous mais une femme

Nous avions éliminé un à un tous les mâles de cette contrée

Avec facilité et sans réelle combativité de ces pauvres âmes

Miss Angel en a décidé autrement et est venue nous défier

 

:confused:

 

To be continued or not :D

 

 

 

 

Vous vous dressez comme une ombre derrière moi

par des chemins obscurs, mes doigts rassemblés autour de vous

précipitent frémissement et embrasement

 

captive dans ce palais , contre un pilier vous m'avez enchaînée

dépouillée de mes désirs effrontés

vous m'opposez un empire contre mes faibles attraits

 

je veux m'associer à vos projets,

mais vous en avez décidé autrement

vous faites de vos volontés, des lois

que ma bouche répètent inlassablement

 

mais la politesse de mon langage

ne cache pas mon adresse

la patience est ma vertu

et mon audace sa faiblesse

 

vous atteignez votre apogée lorsque

les châtiments que vous m'infligez

vous servent de pâture

dans ma hargne déguisée

 

mais quand vous vous serez épuisé sur moi

prenez garde , à ce que je ne me venge pas.

 

 

Miss A.

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Vous vous dressez comme une ombre derrière moi

par des chemins obscurs, mes doigts rassemblés autour de vous

précipitent frémissement et embrasement

 

captive dans ce palais , contre un pilier vous m'avez enchaînée

dépouillée de mes désirs effrontés

vous m'opposez un empire contre mes faibles attraits

 

je veux m'associer à vos projets,

mais vous en avez décidé autrement

vous faites de vos volontés, des lois

que ma bouche répètent inlassablement

 

mais la politesse de mon langage

ne cache pas mon adresse

la patience est ma vertu

et mon audace sa faiblesse

 

vous atteignez votre apogée lorsque

les châtiments que vous m'infligez

vous servent de pâture

dans ma hargne déguisée

 

mais quand vous vous serez épuisé sur moi

prenez garde , à ce que je ne me venge pas.

 

 

wawwww :cupidarrow:

Très agréable à lire, merci, j'essaierais de te répondre

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mais que nous offrent donc les reines

que de joute maitrisées, des armes sans haine

je ne saurai brandir ma plume face à tant de doigté

je n'oserai le faire et "en garde!" crier

 

ne pouvant faire semblant d'être guerrier

je m'attable avec le reste des fermiers

oui fermier car dans la ferme on se la ferme

et on contemple le spectacle des dames en armes

 

je te salue toi la Miss.A

et constate que de modestie tu t'es parée

qui pourrait ici affirmer face aux vent

que de ceux des plus grands, tes vers seraient différents

 

ainsi je choisis mon camp

sans flatter l'égo j'énonce en chant

ma préférence et mon opinion

et que dure cette arène et qu'elle brise le temps!

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Guest Miss angel
mais que nous offrent donc les reines

que de joute maitrisées, des armes sans haine

je ne saurai brandir ma plume face à tant de doigté

je n'oserai le faire et "en garde!" crier

 

ne pouvant faire semblant d'être guerrier

je m'attable avec le reste des fermiers

oui fermier car dans la ferme on se la ferme

et on contemple le spectacle des dames en armes

 

je te salue toi la Miss.A

et constate que de modestie tu t'es parée

qui pourrait ici affirmer face aux vent

que de ceux des plus grands, tes vers seraient différents

 

ainsi je choisis mon camp

sans flatter l'égo j'énonce en chant

ma préférence et mon opinion

et que dure cette arène et qu'elle brise le temps!

 

 

 

 

Préparez-vous à vous évanouir

A la pensée de ce qu’il va vous advenir

Mais quand je vois votre sourire

Je me dis que je ne connais pas d’asile plus fidèle

 

Du feu de mes envies, je nargue vos démons

J’éclipserai mon honneur pour vous abreuver d’outrages

Par mes artifices, je soutiens tout votre édifice

Je veux faire tomber vos remparts

 

Je déploie mes bras, je m’élance et me brise contre vous

Pour que quand dans un bruit de tonnerre, tout s’embrase

Vous assisterez enfin au naufrage de vos frustrations

 

A vos jeux innocents qui plaisent à ma vue,

J’ai crains de périr avant de fuir

Par quels secrets enchainements m’avez-vous dompté ?

Vos mains feignant l’indifférence, se disputent ma capture

 

Mais sous mon innocente candeur, vous semblez tout agité !

Comme c’est agréable, cette pudeur que vous portez

Laissez-là monter comme les volutes de fumée

 

Votre parfum m’enivre

L’envie de vous renverser me déchire

couteau entre les dents, j’avance vers vous en rampant

Rien ne vous met à l’abri de ce qui vous attend, et nulle sortie de secours

 

Quand on charme une poudrière , il faut s’attendre à une explosion.

 

 

Miss A.

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si tu savais

 

Si tu savais la valeur de ma Houri tu me comprendras

 

Mais tu l’ignores !

 

Si tu avais, des matins, accosté à l’INES tu me comprendras

 

Mais tu en es loin !

 

Si tu t’étais métamorphosé en ange tu me comprendras

 

Mais tu en es incapable !

 

Si tu étais éblouit par son rayonnement tu me comprendras

 

Mais tu en serais aveugle !

 

Si tu avais été envoûté par sa voix de sirène tu me comprendras

 

Mais tu en serais sourd !

 

Si tu avais, pour plaire, été terre à terre tu me comprendras

 

Mais tu es trop compliqué !

 

De grâce, préserve-moi de ton index accusateur !

 

Sais-tu au moins qu’est ce que le vrai bonheur ?

 

As-tu des notions sur les phénomènes des âmes-sœurs ?

 

Et disposes-tu d’appareils mesurant les cœurs ?

 

Pour oser dire qu’il est question de jet de fleurs !

 

Toutefois je te comprends, tu n’es pas à plaindre

 

Mais en même temps je t’assure, rien à craindre

 

Et sache au moins que si je pouvais la joindre

 

Je ne resterai pas si loin, en train de la peindre

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solitude

 

Solitude

 

C’est vers moi que tu te replis

Quand personne ne veut de toi

Tu viens te réfugier sous mon toit

Où t’es sûr d’y trouver un bon lit

T’accueillant toujours à cœur ouvert

Pour alimenter tes comptes à découvert

 

 

C’est à ma sagesse que tu fais appel

Quand indécis à la croisée des chemins

Tu ne sais que faire de ta pioche et ta pelle

Confiant et résigné tu me donnes la main

T’accueillant dans ma bouée de sauvetage

Pour te faire accoster les beaux rivages

 

 

C’est mon calme qui t’attire vers moi

Quand ta vie devient assourdissante

Tu fuis cette jungle scalpée de sa foi

Ne résistant à ma sérénité séduisante

Tu te soumets à mon château magnétique

Où tes recueillements te seraient bénéfiques

 

 

C’est mon vide qui t’inspire la sagesse

Le silence de mes pages régénère ta plume

De l’ombre de mes anges tu crées les rimes

Dans mon île isolée des images en largesse

Pour tes mots outils tout comme tes mots choses

Tu hérites de mes trésors en poésie et en prose

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Préparez-vous à vous évanouir

A la pensée de ce qu’il va vous advenir

Mais quand je vois votre sourire

Je me dis que je ne connais pas d’asile plus fidèle

 

Du feu de mes envies, je nargue vos démons

J’éclipserai mon honneur pour vous abreuver d’outrages

Par mes artifices, je soutiens tout votre édifice

Je veux faire tomber vos remparts

 

Je déploie mes bras, je m’élance et me brise contre vous

Pour que quand dans un bruit de tonnerre, tout s’embrase

Vous assisterez enfin au naufrage de vos frustrations

 

A vos jeux innocents qui plaisent à ma vue,

J’ai crains de périr avant de fuir

Par quels secrets enchainements m’avez-vous dompté ?

Vos mains feignant l’indifférence, se disputent ma capture

 

Mais sous mon innocente candeur, vous semblez tout agité !

Comme c’est agréable, cette pudeur que vous portez

Laissez-là monter comme les volutes de fumée

 

Votre parfum m’enivre

L’envie de vous renverser me déchire

couteau entre les dents, j’avance vers vous en rampant

Rien ne vous met à l’abri de ce qui vous attend, et nulle sortie de secours

 

Quand on charme une poudrière , il faut s’attendre à une explosion.

 

 

Miss A.

 

je reste muet ...

je l'ai été et plus d'une fois

quand de parmi des nuages gris

un rideau de lumière dansait

 

je l'ai été aussi

quand je vis pour la première fois

mon neveux de trois pommes

danser nu fesses talquées

 

je le suis resté longtemps

quand feu boudiaf fut sacrifié

sur l'autel de la justice

il en voulait, et il fut pris

 

je me suis senti muer

quand aidés par le temps

les autres m'ont contaminé

et le murmure devint cri

 

je ...hurle

mais seulement quand personne n'écoute

je danse

quand nul œil ne voit

 

j'avance

en contemplant mes pas

avant de reprendre ma route

et de rire des obstacle

 

je ne suis pas ce que je veux

je fut ce que je ne savais pas

je voudrai être ce qu'ils ne veulent pas

je suis ce que la vie a fait de moi

 

de moi, des moi, des mois

"aidez moi!" je ne crie point

la mélancolie s’accapare la beauté

tiens... hier ma vile grise en fut dominée!

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  • 3 weeks later...

et voilà que la foule

au milieu de la rue se rue

sur la place, où jadis

furent construites ces bâtisses

 

le cercle de pieds formé

au centre du quel se tient désarmé

risk le pouette pouette

ami des coins sombres honnis des girouettes

 

le désarmé s'arma

d'une plume qu'il pointa

vers celle qui se tenait là

immobile...en silence, connue comme la miss A

 

rire ou sourire il ne su le dire

elle s'avança comme une brise

le calme revint et le sang comme chauffé à la braise

le duel débuta

 

à ce moment même

le ciel gronda, le gris domina

le murmure des goutes s'écrasant sur les murs

le vent pliait les arbres fit disparaitre les rimes

 

le scène se vida

tout le monde s'en alla

sauf ...

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