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JE M'OPOSE A TOUTE ACTION CONTRE LA SYRIE


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SALAM

Ce n'est pas par plaisir

Mais par justice et logique

 

1 on doit s'attaquer a ceux qui armes l'oposition

 

JE M'OPOSE A TOUTE ACTION CONTRE LA SYRIE

 

Le mal n'est pas dans l'etat Syrien

 

Mais bien dans les pays qui arment et l'oposition

 

 

 

SI ON STOP LES ARMES

 

CA FERA MOINS DE DEGATS QU'AUTRE INTERVENTION

 

 

Toute a fait d'accord avec toi....Vaut mieux un dictat que des islamistes.

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moi, la télécommande à la main, et j'attends...

 

c'est clair et net que c'est un coup monté pour frapper la Syrie. D'une pierre plusieurs coups. Je pense qu'ils sont tous complices y compris la Russie qui fait semblant de jouer le rôle de l'autre bras de l'équilibre.

 

 

je ne pense pas...

pour le reste je suis d'accord... et j'ajouterais qu'une intervention militaire serait catastrophique avec des conséquences gravissimes pas forcément immédiates mais certaines... et le pire dans tout ça, ce sont les pays arabes qui s'impliquent et qui semblent avoir été frappés subitement de débilité intellectuelle profonde... :)

depuis le début, chacun des pays arabes tour à tour tisse la corde qui va servir à le pendre le moment venu mais l'amnésie semble faire son oeuvre...

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Bachar El-Assad : "La Syrie ne deviendra jamais la marionnette de l'Occident"

 

Le quotidien russe Izvestia a recueilli une longue interview du dictateur syrien plus que jamais droit dans ses bottes. Intervention américaine, utilisation d'armes chimiques, relations avec la Russie, conférence Genève-2... En voici les principaux moments.

 

2608-SYRIE-ASSAD.jpg

 

 

Il ne faut pas être pour le terrorisme en Syrie et contre au Mali, le soutenir en Tchétchénie et le combattre en Afghanistan" - A Damas, Bachar El-Assad donne une interview au quotidien russe Izvestia. - AFP / HO / SANA

Monsieur le président, la question d'actualité la plus brûlante aujourd'hui est la situation en Syrie. Quels sont les territoires qui restent sous le contrôle des insurgés ?

Notre terre n'est occupée par aucun ennemi. Nous avons affaire à des terroristes qui pénètrent dans nos villages et la périphérie de nos villes. Ce sont des criminels qui tuent des citoyens innocents et détruisent des infrastructures. L'armée et la police tentent de les déloger des agglomérations, et de les anéantir. Ceux qui parviennent à survivre passent sur d'autres territoires et se joignent à d'autres bandes de criminels. Les combats ne cessent à cause du nombre impressionnant de terroristes qui débarquent en permanence sur le territoire de la Syrie. Chaque mois, ils sont des dizaines de milliers à affluer, et leur financement et leur armement depuis l'étranger ne se tarissent pas non plus.

 

Notre entretien va être traduit dans de nombreuses langues, de nombreux chefs d'Etat, dont certains sont vos adversaires, vont le lire. Que voulez-vous leur déclarer ?

 

Parmi les chefs d'Etat, il y a aujourd'hui de nombreux politicards, et peu de dirigeants. Le fait est qu'ils ne connaissent pas l'histoire et n'en tirent pas les leçons. Certains oublient même le passé très récent. Ont-ils appris quelque chose des cinquante dernières années ? Ont-ils seulement feuilleté les documents de leurs prédécesseurs qui ont perdu toutes les guerres depuis celle du Vietnam ? Ont-ils compris que toutes ces guerres n'ont apporté que destruction et instabilité au Proche-Orient et dans d'autres régions du monde ?

 

C'est précisément à ces hommes politiques que je voudrais expliquer que le terrorisme n'est pas un atout que l'on peut sortir de sa poche, l'utiliser comme bon vous semble, puis le remettre en place. Le terrorisme, c'est comme un scorpion qui pique n'importe quand. Par conséquent, il ne faut pas être pour le terrorisme en Syrie et contre lui au Mali, le soutenir en Tchétchénie et le combattre en Afghanistan. Certains chefs d'Etat occidentaux feraient bien de ne pas s'immiscer dans les affaires d'autres pays en y instaurant leurs régimes fantoches, mais de prêter l'oreille à leur opinion publique.

 

Puisque vous insistez pour que je m'adresse au monde, alors j'affirme que si quelqu'un rêve de faire de la Syrie une marionnette de l'Occident, c'est perdu d'avance. Nous sommes un Etat indépendant et nous combattrons le terrorisme, nous serons libres d'avoir des relations avec qui bon nous semble, dans l'intérêt du peuple syrien.

 

La Syrie est accusée d'avoir employé des armes chimiques. Que répondez-vous à cela ?

 

Les déclarations de politiciens américains, occidentaux et d'autres pays sont des insultes au bon sens et trahissent leur mépris pour leur opinion publique. C'est absurde : d'abord, on brandit des accusations et ce n'est qu'après qu'on rassemble des preuves. Et cela est le fait d'un pays puissant, les Etats-Unis. Mercredi, nous sommes accusés et, deux jours plus tard, le gouvernement américain annonce le début de la collecte des preuves. On accuse notre armée d'avoir utilisé des armes chimiques dans la région qui se trouverait sous le contrôle des insurgés. Mais, en fait, il n'y a pas de ligne de front nette entre l'armée et les insurgés dans cette région. Pensez-vous vraiment qu'un Etat puisse utiliser des armes chimiques ou toute autre arme de destruction massive dans un lieu où sont concentrées ses troupes ?

 

En ce qui concerne les enquêtes sur les crimes de guerre en Syrie, nous avons été les premiers à demander l'arrivée d'une commission internationale. Lorsque les terroristes ont lancé une roquette au gaz toxique sur Alep, nous avons demandé la visite d'experts étrangers. Nous nous étions mis d'accord avec la Russie pour que les Etats-Unis, la France et la Grande-Bretagne se convainquent eux-mêmes que ce n'était pas nous, mais nos adversaires qui avaient utilisé des armes chimiques. Ces dernières semaines, nous avons négocié avec les Nations unies la création d'une commission, et des spécialistes sont enfin arrivés. Les résultats de leur travail seront présentés à l'ONU. Nous espérons que la Russie n'autorisera pas d'interprétation de ces documents favorable à la politique américaine et occidentale en général.

 

Les Américains n'excluent pas de mener des opérations militaires en Syrie. Permettrez-vous que les Etats-Unis agissent comme ils l'ont fait en Irak, en essayant de trouver un prétexte pour intervenir ?

 

Depuis le début de la crise, les Etats-Unis, la France, et la Grande-Bretagne ont tenté d'intervenir militairement mais, malheureusement pour eux, l'affaire a pris un autre tour. Ils ont essayé de convaincre la Russie et la Chine de changer de position au Conseil de sécurité, mais ils n'y sont pas parvenus. Ils n'ont pas pu convaincre leur opinion publique, ni le reste du monde. Il est apparu aussi que la situation ici est bien distincte de celle de l'Egypte et de la Tunisie. Ils ont compris qu'ils ne contrôlaient pas leur scénario. Il y a encore un obstacle à cette intervention : tout le monde a compris que ce qui se passe en Syrie, ce n'est pas une révolution populaire, ni l'expression de la volonté de réformes. C'est du terrorisme. Les dirigeants occidentaux ne peuvent pas dire à leur population : ''Nous allons en Syrie pour soutenir le terrorisme."

 

A quoi se heurteront les Etats-Unis s'ils se décident tout de même à frapper la Syrie ou même à y intervenir ?

 

Les Etats-Unis doivent s'attendre à un échec, comme dans toutes les guerres qu'ils ont déclenchées depuis celle du Vietnam. L'Amérique n'a pu ni convaincre sa propre population multiethnique du bien-fondé de ces guerres, ni imposer son idéologie à d'autres contrées.

 

Que se passera-t-il si la Russie cède à la pression des Américains ? Avez-vous envisagé un tel scénario ?

 

Il ne faut pas examiner les relations russo-américaines d'aujourd'hui uniquement à travers le prisme de la crise syrienne. Les divergences de position à ce sujet ne représentent qu'un des motifs de leurs désaccords. Après la chute de l'URSS, les Américains ont pensé que la Russie était finie. Mais, à la fin des années 1990, avec l'arrivée de Vladimir Poutine, la Russie a repris du poil de la bête et s'est mise à défendre plus âprement ses positions. Une nouvelle guerre froide a commencé pour l'influence politique. Les Etats-Unis avançaient sur plusieurs fronts, s'efforçant de bloquer les intérêts russes à travers le monde.

 

La Russie n'est pas en train de défendre le président Bachar El-Assad ou son gouvernement. Elle défend des principes qui sont les siens depuis au moins cent ans : des principes d'indépendance et de non-ingérence dans les affaires intérieures d'autres Etats. Par ailleurs elle défend ses intérêts dans la région, et c'est son droit. Ses intérêts ne se limitent pas au port de Tartous [deuxième port de Syrie, où la Russie possède une base navale], ils sont beaucoup plus larges : le terrorisme met en péril la stabilité de l'ensemble du Proche-Orient. Et cette instabilité peut avoir des répercussions sur la Russie.

 

Menez-vous des pourparlers avec la Russie sur des livraisons de carburant, armes et autres marchandises ? Les systèmes russes de missiles sol-air S-300 vous ont-ils été livrés ?

 

Je tiens à dire que tous les contrats signés avec la Russie sont honorés. Ni la crise, ni la pression des Etats-Unis, de l'Europe ou des pays du Golfe n'ont empêché qu'ils le soient. La Russie livre à la Syrie tout ce qui est nécessaire à sa défense et à la défense de son peuple. Les sanctions économiques actuelles privent les citoyens syriens de produits de première nécessité, indispensables à la survie – aliments, médicaments et carburant. Et par conséquent tous les contrats que signe l'Etat syrien avec la Russie et d'autres pays alliés visent à pallier ce manque.

 

Monsieur le président, qui pouvez-vous qualifier de principaux alliés et de principaux adversaires ?

 

Nos principaux alliés sur la scène mondiale sont la Russie et la Chine ; au niveau régional, l'Iran. Mais je peux vous dire qu'une évolution positive se dessine dans le monde : certains pays qui étaient radicalement contre nous sont en train de changer de point de vue, d'autres renouent carrément leurs relations avec la Syrie. Et il y a aussi des pays qui nous soutiennent indirectement.

 

En revanche, le Qatar est le sponsor des terroristes, et la Turquie les entraîne et leur ménage des points de passage. L'Arabie Saoudite a pris le relais du Qatar comme sponsor du terrorisme. C'est un Etat qui ne possède que de l'argent. Or celui qui ne possède que l'argent ne peut créer de société civilisée, ni soutenir la paix. Malheureusement, un grand pays comme la Turquie, jouissant d'une position stratégique et d'une société progressiste, est dirigé par l'un des pays du Golfe. Et le Premier ministre Erdogan est le seul responsable de cette situation. Pas le peuple turc, avec lequel nous partageons beaucoup de traditions et un même héritage historique.

 

Qu'attendez-vous de la conférence Genève-2 ?

 

Qu'une pression soit exercée sur les pays qui soutiennent le terrorisme en Syrie. Ils doivent arrêter la contrebande d'armes et l'envoi de terroristes-mercenaires. Quand ce pas aura été franchi, il sera beaucoup plus facile d'entamer la discussion avec toutes les parties syriennes sur un nouveau modèle d'Etat, de législation et de Constitution.

 

Paru le 26 août

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je ne pense pas...

pour le reste je suis d'accord... et j'ajouterais qu'une intervention militaire serait catastrophique avec des conséquences gravissimes pas forcément immédiates mais certaines... et le pire dans tout ça, ce sont les pays arabes qui s'impliquent et qui semblent avoir été frappés subitement de débilité intellectuelle profonde... :)

depuis le début, chacun des pays arabes tour à tour tisse la corde qui va servir à le pendre le moment venu mais l'amnésie semble faire son oeuvre...

 

Les USA et la Russie je les vois comme le duo éternel Pepsi-CocaCola; là où on les trouve, ils sont ensemble.

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Les USA et la Russie je les vois comme le duo éternel Pepsi-CocaCola; là où on les trouve, ils sont ensemble.

 

normal, ça se bouscule toujours là où un intérêt est convoité...

je maintiens que la Russie joue franc jeu sur ce coup là.. tout comme la Chine et l'Iran... c'est ça l'art de la guerre, savoir choisir ses alliés et pour les bonnes raisons...

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Les juifs n'ont pas fait pire aux palestiniens que Bachar à son propre peuple

 

 

tu n as pas du compter les morts depuis la colonisation de la Palestine pour nous sortir une betise pareil

 

la Syrie etait un pays tranquille jouissant d une civilisation bien avancee et le peuple en profitait grandement

 

malheureusement depuis que les terros ont mis pied sur cette terre le calvaire des syriens est devenu intenable

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Guest Zapata

 

la Syrie etait un pays tranquille jouissant d une civilisation bien avancee et le peuple en profitait grandement

 

malheureusement depuis que les terros ont mis pied sur cette terre le calvaire des syriens est devenu intenable

 

Assad pére était une ordure, Assad fils n'est pas mieux.

 

J’espère de tout cœur que les américains vont lui exploser la gueule. Et qu ensuite les syriens exterminent les djihadistes jusqu'au dernier.

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Guest Soizik
On en se demande tous.

Qu'est ce que les occidentaux vient avoir là ? D'ailleurs que sait-on ! Possible que c'est eux qui font ça. dans ce cas là ça serait une guerre de pouvoir et d’intérêt futuristes.

 

les "occidentaux" fournissent les armes car tout ce bord..el partout arrange leurs intérêts ... c'est ce que je crois ...

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les "occidentaux" fournissent les armes car tout ce bord..el partout arrange leurs intérêts ... c'est ce que je crois ...

 

Ce que je ne comprend pas, c'est la position des pays arabes tel que l'AS et le Qatar. Pourquoi financier l'ASL? Je pense que ceux qui ont armé l'opposition, sont les responsables de ce qui se passe en Syrie.

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pourquoi il annonce pas sa demission pour permettre aux syriens d'elire un nouveau president-apres 40 ans de pouvoir je pense qu'il a eu le temps de mettre en place toutes les reformes dont son imagination est capable !!! ou alors il se prend pour le prophete ! il croit peut etre que sans lui la syrie ne lui survivra pas !!! mais non t'inquietes pas tu peux partir la syrie sera toujours la !!! alors tu te casses quand ?

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Syrie : "Les attaques chimiques sont un coup monté"

 

 

François Janne d’Othée

 

mardi 27 août 2013 à 15h28

 

En exil depuis 35 ans, l’opposant Haytham Manna, responsable à l’étranger du Comité de Coordination nationale pour le changement démocratique (opposition syrienne non armée), s’oppose avec force à toute intervention étrangère contre son pays.

 

Haytham-Manna.jpg

 

 

Haytham Manna © Reuters

 

L’utilisation d’armes chimiques en Syrie pourrait amener les Occidentaux à "punir" le régime. Qu’en pensez-vous ?

 

HAYTHAM MANNA : Je suis totalement contre, tout comme la coordination que je dirige. Cela ne fera que renforcer le régime. Ensuite, une intervention risque d'attiser encore plus la violence, d'ajouter de la destruction à la destruction et de démanteler un peu plus la capacité de dialogue politique. Le régime est le premier responsable car il a choisi l’option militaro-sécuritaire. Mais comment peut-on parler de guerre contre le terrorisme et donner un coup de main à des extrémistes affiliés à Al Qaeda ?

 

Les Occidentaux choisissent la mauvaise option, selon vous ?

 

Depuis le début, c’est une succession d’erreurs politiques. Les Etats-Unis, la France et le Royaume-Uni ont poussé les parties à se radicaliser. Ils n’ont pas empêché le départ de djihadistes vers la Syrie et ont attendu très longtemps avant d’évoquer ce phénomène. Où est la démocratie dans tout ce projet qui vise la destruction de la Syrie ? Et pensez-vous que ce soit la morale qui les guide ? Lors du massacre d’Halabja [commis par les forces de Saddam Hussein en 1988], ils ont fermé les yeux. Je m’étonne aussi de voir que les victimes d’armes chimiques sont bien davantage prises en considération que les 100 000 morts qu’on a déjà dénombrés depuis le début du conflit.

 

Qui est responsable du dernier massacre à l’arme chimique ?

 

Je n’ai pas encore de certitude mais nos informations ne concordent pas avec celles du président Hollande. On parle de milliers de victimes, alors que nous disposons d’une liste de moins de 500 noms. On est donc dans la propagande, la guerre psychologique, et certainement pas dans la vérité. Ensuite, les armes chimiques utilisées étaient artisanales. Vous pensez vraiment que l’armée loyaliste, surmilitarisée, a besoin de cela ? Enfin, des vidéos et des photos ont été mises sur Internet avant le début des attaques. Or ce matériel sert de preuve pour les Américains !

 

Pensez-vous qu’une partie au conflit a voulu provoquer les Occidentaux à intervenir ?

 

C’est un coup monté. On sait que les armes chimiques ont déjà été utilisées par Al Qaeda. Or l’Armée syrienne libre et les groupes liés à Al Qaeda mènent en commun 80% de leurs opérations au nord. Il y a un mois, Ahmad Jarba [qui coordonne l’opposition armée] prétendait qu’il allait changer le rapport de forces sur le terrain. Or c’est l’inverse qui s’est produit, l’armée loyaliste a repris du terrain. Seule une intervention directe pourrait donc aider les rebelles à s’en sortir… Alors, attendons. Si c’est Al Qaeda le responsable, il faudra le dire haut et fort. Si c’est le régime, il faudra obtenir une résolution à l’ONU. Et ne pas laisser deux ou trois payer fédérer leurs amis, pas tous recommandables d’ailleurs.

 

Entre Occidentaux et Russes, quelle position vous semble la plus cohérente ?

 

Les Russes sont les plus cohérents car ils travaillent sérieusement pour les négociations de Genève 2 [sensées mettre autour d’une même table le régime et les opposants]. Les Américains ont triché. Deux ou trois fois, ils se sont retirés, au moment où s’opérait un rapprochement.

 

Une solution politique est-elle encore possible ?

 

Tout est possible mais cela dépendra surtout des Américains. Les Français se contentent de suivre. Une solution politique est la seule qui permettra de sauver la Syrie. Mais l’opposition armée ne parvient pas à se mettre d’accord sur une délégation.

 

Que deviendra Bachar al Assad?

 

Il ne va pas rester. Si les négociations aboutissent, elles mèneront de facto à un régime parlementaire. Si du moins on accepte de respecter le texte de base de Genève 2 qui est le meilleur texte, avec par-dessus un compromis international. Mais laissez-moi dire ceci : quand on parle de massacrer des minorités, et que le président fait partie d’une minorité, comment peut-on lui demander de se retirer ou ne pas se retirer ? Aujourd’hui, la politique occidentale a renforcé sa position de défenseur de l’unité syrienne et des minorités. Cela dit, personne ne pourra revendiquer de victoire : la violence est devenue tellement aveugle qu’il faudrait vraiment un front élargi de l’opposition et du régime pour en venir à bout.

 

François Janne d’Othée

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En tant qu'occidentale, j'en ai marre de payer pour des gens qui choisissent les armes au dialogue.

 

J'ai de la sympathie pour les civils qui n'ont rien à voir avec cette guérilla du pouvoir mais le passé a montré que plus on s'implique, plus on est critiqué.

 

En tant que canadienne, je voudrais que mon gouvernement s'abstienne de participer à cette guerre.Laissons les frères arabes s'entendre entre eux...enfin on verra si c'est du domaine du possible.....

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En tant qu'occidentale, j'en ai marre de payer pour des gens qui choisissent les armes au dialogue.

 

J'ai de la sympathie pour les civils qui n'ont rien à voir avec cette guérilla du pouvoir mais le passé a montré que plus on s'implique, plus on est critiqué.

 

En tant que canadienne, je voudrais que mon gouvernement s'abstienne de participer à cette guerre.Laissons les frères arabes s'entendre entre eux...enfin on verra si c'est du domaine du possible.....

 

OH OH!!

 

c'est pire que le c'est pas moi

 

qui te demande des comptes a toi

 

peut tu y faire quelques chose?

mais laisse nous accuser par la suite

 

 

le mal qui sera fait

comme d'habitude

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Guest Soizik

toutes ces interventions occidentales sont motivées par un intérêt autre que celui des peuples qu'on va soi-disant aider ...

le bénéfice est certainement supérieur aux pertes ... sauf pour les pays où on intervient ...là-bas, on attend toujours le bénéfice ...

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