helena 10 Posted August 28, 2013 Partager Posted August 28, 2013 L'Italie a rejeté hier toute intervention militaire en Syrie sans l'aval du Conseil de Sécurité des Nations unies, soulignant qu'il n'y a pas d'alternative à «une solution politique négociée». «L'Italie ne prendra part à aucune solution militaire sans mandat du Conseil de Sécurité de l'ONU», a déclaré la ministre italienne des Affaires étrangères Emma Bonino devant le Parlement. «Même l'option d'une intervention limitée risque de devenir illimitée», a prévenu la ministre, ajoutant que l'Italie était «déjà engagée et même sur-engagée» militairement dans d'autres régions du monde, notamment en Afghanistan. «Il n'y a pas de solution militaire au confit syrien. La seule solution est une solution politique négociée», a-t-elle affirmé, appelant à «une grande détermination» dans la poursuite des négociations entre les parties au conflit. Un porte-parole du ministère de la Défense a toutefois précisé que des bases aériennes et navales italiennes pourraient théoriquement être utilisées par d'autres pays pour une éventuelle frappe, sous réserve du feu vert du Parlement. Cette approbation ne serait pas nécessaire en revanche pour la base militaire américaine de Sigonella en Sicile, qui fait déjà l'objet d'un accord bilatéral italo-américain. Les bases militaires italiennes avaient été largement utilisées lors de l'intervention occidentale en Libye en 2011 l expression Citer Link to post Share on other sites
helena 10 Posted August 28, 2013 Author Partager Posted August 28, 2013 lol ils se payent nos tetes ces italiens ils ne participent pas mais ils pretent leur territoire pour des frappes ben pour moi c est tout comme c est comme ci que c est eux qui frappent Citer Link to post Share on other sites
helena 10 Posted August 28, 2013 Author Partager Posted August 28, 2013 La Jordanie refuse d'être la "rampe de lancement" Mercredi 28 Aout 2013 Cette déclaration intervient au second jour d'une réunion entre les chefs d'état-major de plusieurs pays occidentaux et moyen-orientaux pour examiner les retombées du conflit en Syrie. La Jordanie ne sera pas une «rampe de Lancement» pour une intervention militaire chez son voisin syrien, a affirmé un haut responsable gouvernemental hier, au moment où les Etats-Unis et leurs alliés semblaient de plus en plus décidés à intervenir. «La position de la Jordanie n'a pas changé. Le territoire jordanien ne sera pas utilisé comme rampe de lancement pour une quelconque opération militaire contre Damas», a-t-il déclaré sous couvert d'anonymat. Amman a maintes fois appelé à une solution politique en Syrie. Ces déclaration interviennent au second jour d'une réunion entre les chefs d'état-major de plusieurs pays occidentaux et moyen-orientaux pour examiner les retombées du conflit en Syrie. «Il n'est pas prévu que les conclusions de cette rencontre sur les développements en Syrie soient publiées, en raison de la nature de la réunion», a indiqué ce responsable. L'agence nationale Petra a cité un porte-parole de l'armée jordanienne disant que la rencontre avait lieu à l'invitation du chef de l'armée jordanienne, Meshaal Mohamed al-Zaban, et du Général Lloyd Austin, chef du Centcom, le commandement américain en charge de 20 pays du Moyen-Orient et d'Asie. Le chef d'état-major américain Martin Dempsey était attendu, selon Petra, tout comme les chefs d'état-major saoudien, qatari, turc, britannique, français, allemand, italien et canadien. «Nous le redisons, cette rencontre était prévue depuis des mois. D'autres rencon-tres de ce genre ont eu lieu à Londres et à Doha», a souligné le responsable. Le ministre jordanien des Affaires étrangères, Nasser Jawdeh, avait indiqué dimanche que cette réunion serait l'occasion de discuter «de la situation et des scénarios sur le terrain, tout particulièrement après les récents développements dangereux. Les chefs d'état-major doivent avoir des discussions complètes et examiner les retombées». Les Etats-Unis et leurs alliés semblent de plus en plus déterminés à lancer une frappe contre le régime syrien, accusé d'être à l'origine d'une attaque chimique près de Damas, sur laquelle les experts de l'ONU poursuivent leur enquête. Les Jordaniens, qui se rendaient aux urnes hier pour élire leurs maires, craignent de nouvelles retombées du conflit, qui a déjà entraîné l'afflux de 500 000 réfugiés syriens, lourd fardeau pour une économie en difficulté. Le Premier ministre Abdallah Nsour a indiqué que les Etats Unis fournissaient à leur allié jordanien un soutien technique pour faire face à toute menace chimique venant de la Syrie voisine. l expression Citer Link to post Share on other sites
Murof 10 Posted August 28, 2013 Partager Posted August 28, 2013 l'intervention en Libye leur a coutée très cher .....et sans aucun contre partie réel Citer Link to post Share on other sites
helena 10 Posted August 28, 2013 Author Partager Posted August 28, 2013 ben oui tout ceux qui ont participe de pres ou de loin en Libye avec des promesses allechantes de se partager le butin petrolier l on eu dans le baba ! ils l ont compris a ne plus refaire Citer Link to post Share on other sites
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