Jump to content

Des Personnages de l'Afrique du nord avant l'Islam


Recommended Posts

Massinissa, est un roi Amazigh, en tifinagh et le premier roi de la Numidie unifiée.

 

Son nom a été retrouvé dans son tombeau à Cirta, l'actuelle Constantine sous la forme consonnique MSNSN (à lire MAS-N-SEN, qui veut dire « Leur Seigneur »).

MASSINISSA

 

Fils du roi Gaïa (Agellid en berbère) , petit-fils de Zelalsan et arrière-petit-fils d'Ilès.

 

Né vers 238 av. J.-C. dans la tribu des Massyles (Mis Ilès), il meurt début janvier 148 av. J.-C..

 

À la mort de Gaïa, Massinissa passant dans le camp de Rome, en 204 av. J.-C. contribue à la capture et la victoire sur Syphax roi des Massaesyles par le commandant romain Gaius Laelius. Syphax est alors envoyé à Rome en tant que prisonnier où il meurt en 202 ou 203 av. J.-C. et les Romains accordent au roi Massinissa le royaume de Syphax en remerciement de son aide.

 

Il contribua largement à la victoire de la bataille de Zama à la tête de sa fameuse cavalerie numide1.

 

220px-GM_Massinissa.png

 

Appien (Un grand procurateur de Rome - Haut fonctionnaire dans l'Etat) dit de lui : « qu'il était beau dans sa jeunesse et de taille élevée. Il garda, jusqu'à l'âge le plus avancé, une étonnante vigueur. Il pouvait rester une journée entière debout ou à cheval; octogénaire, il sautait sur sa monture sans aucune aide et, comme les autres Numides, il dédaignait l'usage de la selle. Il bravait tête nue le froid et la pluie. À 88 ans, il commanda son armée dans une grande bataille contre les Carthaginois; le lendemain, Scipion Emilien le trouva sur pied devant sa tente, tenant un morceau de galette sec qui constituait tout son repas. »

 

Massinissa eut plusieurs épouses et un nombre considérable d'enfants dont quarante-trois garçons ; parmi ses nombreuses filles, plusieurs furent mariées à des nobles carthaginois. La plupart des enfants de Massinissa disparurent avant lui mais il en resta, à sa mort, une dizaine (Mikusan dit Micipsa, Gulussa, Mastanabal, Masucan...). Massinissa adorait les enfants et il garda durant plusieurs années auprès de lui certains de ses petits-enfants. À des marchands grecs, venus acheter des singes en Numidie, pour distraire des riches oisifs, il aurait dit: « Les femmes de votre pays, ne vous donnent-elles donc pas d'enfants ? »

 

Massinissa, qui était un rude guerrier, encouragera la littérature et les arts, envoya ses enfants étudier en Grèce et reçut à sa cour de nombreux écrivains et artistes étrangers. Ce fut un homme courageux et un roi généreux (pardon accordé à Lacumazes et Meztul, protection accordée à Sophonisbe).

 

Après la bataille de Zama, Massinissa vécut encore de nombreuses années. Il garda sa vie durant l'amitié de Rome sans jamais être son vassal et, contre ses appétits impérialistes, déclara, dans une formule restée célèbre : « l'Afrique appartient aux Africains ». Il récupéra non seulement les territoires que lui accordait le traité passé avec Carthage mais aussi de nombreuses villes et régions sous l'autorité des Carthaginois ou de Vermina, le fils de Syphax. De 174 à 172, il occupa soixante-dix villes et forts.

 

Si Massinissa combattit les Carthaginois, il ne dédaigna pas pour autant la civilisation carthaginoise, dont il sut tirer avantage. La langue punique fut d'usage courant dans sa capitale où l'on parlait également, en plus du berbère, les langues grecque et latine. Il savait aussi se comporter en souverain raffiné, portant de riches vêtements et une couronne sur la tête, donnant, dans son palais de Cirta, des banquets où les tables étaient chargées de vaisselle d'or et d'argent et où se produisaient les musiciens venus de Grèce.

 

L'œuvre sociale et politique de Massinissa fut aussi grande que son œuvre militaire. Il sédentarisa les Numides, édifia un État puissant et le dota d'institutions, inspirées de celles de Rome et de Carthage. Il fit frapper une monnaie nationale et entretint une armée régulière et une flotte qu'il mit parfois au service de ses alliés romains. Ce fut un grand souverain qui s'efforça toute sa vie, de faire de la Numidie un pays unifié et indépendant.

Link to post
Share on other sites
  • Réponses 239
  • Créé
  • Last Reply

Top Posters In This Topic

Guest samirovsky
"les Romains accordent au roi Massinissa le royaume de Syphax en remerciement de son aide."

????

 

Je lui avais dit qu'il nous parle plutôt de : Okba Ibn Nafi3, de Omar Ibn El 3as... qui ont offert l'Afrique du Nord à leur dynasties respectives, comme un vulgaire cadeau...;)

Link to post
Share on other sites
Ils parlaient PUNIQUE ????

 

Pourtant à l'arrivée des Musulmans ils ont trouvé des Berbères parlant Berbère même en Tunisie dit pays "Phénicien" Okba lui même parla des Berbères de Tunisie et de Sousse en particulier sachant que les parents de Hannibal Barca étaient de cette ville.

Link to post
Share on other sites

Augustin d'Hippone

 

Augustin d’Hippone (latin : Aurelius Augustinus), ou saint Augustin, né dans le municipe de Thagaste (actuelle Souk Ahras, Algérie) le 13 novembre 354 et mort le 28 août 430 à Hippone (actuelle Annaba, Algérie) est un philosophe, théologien d'origine berbère. Évêque d'Hippone, c'est aussi l’un des quatre Pères de l'Église latine (avec saint Ambroise, saint Jérôme et Grégoire Ier) et l’un des 35 docteurs de l’Église.

 

Augustin nait en 354 à Thagaste en Numidie (actuelle Souk Ahras, Algérie). La ville, située à un peu plus de 90 km de la Méditerranée à une altitude de 600 mètres, est alors un municipe d'Afrique romaine depuis environ deux siècles.

 

Augustin appartient à une famille berbère de la classe aisée « en voie de prolétarisation » qui ambitionne de voir son enfant devenir avocat ou membre de l'administration impériale. Le père d'Augustin est un citoyen romain païen du nom de Patricius. D'origine modeste, il n'a pas fait d'études. Son épouse Monique est chrétienne. Le couple est soumis à des tensions liées à la fois aux infidélités du mari et au fait que l'épouse le trouve « limité ». Malgré tout, Monique parvient à convertir son mari au christianisme peu avant son décès.

 

Augustin a un frère, Navigius, et une sœur – voire deux – qui sera supérieure du monastère d'Hippone. Leur langue maternelle est le latin. Si Augustin se définit lui-même comme un écrivain punique, il n'est pas certain qu'il ait connu les dialectes africains locaux et sa culture est foncièrement latine. Élève doué, mais indocile, il déteste l’école et craint le châtiment de ses maîtres.

 

Le père d'Augustin réussit à amasser des économies pour que ses fils puissent bénéficier d'une éducation classique. Augustin étudie d’abord à partir de 15 ans à Madaure (actuelle M'daourouch, Algérie). Plus tard, dans les Confessions (livre I) il critique ses études comme étant trop centrées sur l’éloquence et la mémoire. Le manque d'argent le contraint à revenir à la maison familiale alors qu'il a seize ans. À cette époque, il commet de menus larcins tel le célèbre vol des poires commis non par besoin, mais par plaisir de la transgression. Il se le reprochera plus tard et écrira dans son livre les Confessions.

 

« Dans le voisinage de nos vignes était un poirier chargé de fruits qui n’avaient aucun attrait de saveur ou de beauté. Nous allâmes, une troupe de jeunes vauriens, secouer et dépouiller cet arbre, vers le milieu de la nuit, ayant prolongé nos jeux jusqu’à cette heure, selon notre détestable habitude, et nous en rapportâmes de grandes charges, non pour en faire régal, si toutefois nous y goûtâmes, mais ne fût-ce que pour les jeter aux pourceaux : simple plaisir de faire ce qui était défendu. »

 

Les œuvres d'Augustin sont traduites par des gens de lettres souvent membres de l'académie française tels Guillaume Colletet traducteur de La doctrine chrétienne en 1636, Louis Giry, traducteur De la Cité de Dieu (1665-1667) ou encore Philippe Goibaud du Bois, traducteur notamment des Lettres (1684) et des Sermons (1694) . Ces hommes admirent le lyrisme et la qualité poétique de l'œuvre d'Augustin. Le xviie siècle qui commence avec l'édition des Œuvres complètes d'Augustin par l'ancienne université de Louvain en 1577 et se clôt sur une autre édition complète, celle des bénédictins de Saint-Maur (en 1679-1700), est profondément marqué par la pensée de l'évêque d'Hippone. On n'a reconnu que très récemment, au début des années mille neuf cent soixante, la forte influence d'Augustin sur le xviie siècle français avec la parution en 1963 de l'ouvrage de Pierre Courcelle Les "Confessions" de saint Augustin dans la tradition littéraire, suivi de Pascal et Saint Augustin en 1970 et de La Rochefoucauld, Pascal et Saint Augustin de Jean Lafond – et bien d'autres ouvrages. En 1982, la revue xviie siècle consacre un numéro spécial à ce qu'ils ont appelé « Le siècle de Saint Augustin ».

 

Christine de Suède en conversation avec René Descartes La reine Christine a écrit un peu à la façon d'Augustin une autobiographie.

L'influence d'Augustin sur la littérature se fait sentir à plusieurs niveaux. À travers son livre Doctrine chrétienne, Augustin a influencé les grands prédicateurs du siècle de Louis XIV tels que Bossuet, mais cette influence se combine avec celle d'autres orateurs comme Cicéron ou Sénèque. Concernant la littérature profane, pour Pierre Sellier qui synthétise les apports de la recherche de la fin du xxe siècle, la pensée de Platon reprise par Augustin, faite d'hostilité à la fiction, a eu deux effets. Elle a conduit les augustiniens les plus durs, les jansénistes de Port-Royal, à critiquer Pierre Corneille et à rejeter le théâtre et le roman. De façon plus positive, elle pousse le classicisme français à exiger de l'art littéraire « le vrai, et un vrai-qui-est-bon, qui élève l'âme ». En effet, en lien avec ce que préconise Augustin dans De Doctrina christina, IV, 28, l'être humain doit être rendu capable de faire face aux réalités .

Link to post
Share on other sites
"les Romains accordent au roi Massinissa le royaume de Syphax en remerciement de son aide."

????

 

Oui contre Carthage !!! Il a plusieurs fois combattu Carthage. Le royaume de Carthage était expanssioniste et voulait sans cesse s'étendre vers la partie occidentale sur les terres de la Numidie. Il est normal que Massinissa négocia des pactes avec les romains.

Link to post
Share on other sites

"Augustin a un frère, Navigius, et une sœur – voire deux – qui sera supérieure du monastère d'Hippone. Leur langue maternelle est le latin. Si Augustin se définit lui-même comme un écrivain punique, il n'est pas certain qu'il ait connu les dialectes africains locaux et sa culture est foncièrement latine."

?????

Link to post
Share on other sites
"Augustin a un frère, Navigius, et une sœur – voire deux – qui sera supérieure du monastère d'Hippone. Leur langue maternelle est le latin. Si Augustin se définit lui-même comme un écrivain punique, il n'est pas certain qu'il ait connu les dialectes africains locaux et sa culture est foncièrement latine."

?????

 

L’Afrique du nord était en ce temps multi-culturelle ! Ou est le problème ? Langue maternelle, le latin, tout simplement parceque leur mère Monique ne leur parlait qu'en cette langue. Mais cela ne veut pas dire qu'ils n'ont pas appris le berbère et d'autres langues par la suite!

En Algérie, dont la langue nationale et officielle est l'arabe, tu rencontres des gens dont la langue maternelle n'est que tamazight ! Non pas parceque les mères de ces enfants algériens font de la réticence mais tout simplement parcequ'elles sont analphabètes et que c'est la seule langue qu'elles maîtrisent !!!

Link to post
Share on other sites
"Augustin a un frère, Navigius, et une sœur – voire deux – qui sera supérieure du monastère d'Hippone. Leur langue maternelle est le latin. Si Augustin se définit lui-même comme un écrivain punique, il n'est pas certain qu'il ait connu les dialectes africains locaux et sa culture est foncièrement latine."

?????

 

Et tu veux arriver à quoi ?

Link to post
Share on other sites
Guest samirovsky
Que saint augustin n'est pas arabe?quel Malheur pour lui?Il est latin , mais pas berbere???tout mais pas berbere, caq fait t:mdr::mdr::mdr:rop mal

 

Par contre Ibn Hazm l'Andalou...arabe, il ne va pas manquer de le monter sur un piedestal :mdr: Il se l'est meme choisi comme pseudo, pour te dire ;)

 

 

Ps: chkoupi will show up soon:mdr::mdr:

Link to post
Share on other sites
"Augustin a un frère, Navigius, et une sœur – voire deux – qui sera supérieure du monastère d'Hippone. Leur langue maternelle est le latin. Si Augustin se définit lui-même comme un écrivain punique, il n'est pas certain qu'il ait connu les dialectes africains locaux et sa culture est foncièrement latine."

?????

 

Sa maman est aussi très populaire Saint Monique,la ville de Santa Monica en Californie a été nommé à son honneur.

Link to post
Share on other sites
Sa maman est aussi très populaire Sainte Monique,la ville de Santa Monica en Californie a été nommé à son honneur.

 

Ces personnages, authentiquement berbères, sont les véritables références culturelles sur lesquelles nous devons constamment nous appuyer pour construire notre avenir !!!

Link to post
Share on other sites

JUGURTHA

 

Jugurtha, né vers 160 av. J.-C. et mort vers 104 avant J.-C., est un roi de Numidie. Il s'oppose durant sept ans à la puissance romaine entre 111 av. J.-C. et 105 av. J.-C..

 

Jugurtha est le petit-fils du roi numide Massinissa dont le tombeau se trouve à Cirta, l'actuelle Constantine en Algérie, et qui fut un grand allié de Rome durant les guerres puniques ; il recevra le titre d'« ami de Rome ». Son père est Mastanabal, frère de Micipsa, tandis que sa mère est une esclave concubine. Comme il s'agit d'un successeur potentiel — le fils légitime de Mastanabal, Gauda, étant maladif —, Micipsa, roi de Numidie à l'époque, veut se débarrasser de Jugurtha en l'envoyant en Hispanie (actuelle Espagne) combattre avec les troupes auxiliaires de l'armée romaine. Jugurtha se montre brave et courageux et les armées numide et romaine sont victorieuses à Numance. Jugurtha se fait beaucoup d'amis à Rome — non seulement grâce à sa valeur mais aussi, quand il le faut, grâce à son argent — et c'est peut-être suite à des pressions des Romains que Micipsa finit par l'adopter trois ans avant sa mort, ce qui en fait l'un des héritiers du pouvoir. Après sa mort, le royaume est partagé entre ses fils Adherbal et Hiempsal et son fils adoptif Jugurtha.

 

Jugurtha, qui ne veut pas voir le royaume de Numidie divisé de cette manière, n'accepte pas la décision du sénat numide. En outre, ses cousins ne l'apprécient guère et ne se privent pas de railler son ascendance peu glorieuse. La même année, Jugurtha fait assassiner Hiempsal, le plus jeune des deux frères. Le sénat ne paraît pas offusqué par cet étrange décès et la Numidie est partagée entre Adherbal et Jugurtha. Les deux hommes continuent néanmoins à se faire la guerre jusqu'en 113 av. J.-C., date à laquelle Adherbal est assassiné par Jugurtha. En outre, ce dernier s'empare aussi de la cité de Cirta, massacrant les commerçants romains qui s'y trouvent. Rome accepte mal que ses ressortissants aient été massacrés, ni le fait que Jugurtha veuille mettre en place un royaume de Numidie fort et uni. Le consul Calpurnius est alors envoyé en Afrique du Nord et le conflit dure jusqu'en 111 av. J.-C., date à laquelle Jugurtha accepte de faire la paix.

 

À Rome, les avis sont divisés sur la question numide : les optimates considèrent que la Numidie doit rester un royaume indépendant, les populares considérant au contraire que la Numidie est une propriété du peuple romain. Jugurtha est alors convoqué devant le Sénat romain. C'est alors que le consul Postimius Albinus propose de régler le problème en donnant la couronne à Massiva, un cousin de Jugurtha. Ce dernier tue Massiva et s'enfuit. Les hostilités reprennent alors. Postimius Albinus ayant été vaincu par Jugurtha à la bataille de Calama, il est remplacé par un nouveau consul, Quintus Caecilius Metellus qui gagnera son surnom de Numidicus au cours de cette guerre. Ce dernier est secondé par le consul Caius Marius soutenu par les populares, Caecilius Metellus étant le patron de Marius. Caecilius Metellus sort victorieux, s'emparant des villes de Zama et Thala et repoussant Jugurtha en Maurétanie. Cependant, il est relevé de son commandement en 107 av. J.-C. au profit de Marius. Ce dernier remporte de nouvelles victoires contre Jugurtha à Cirta et à Capsa, l'actuelle Gafsa.

 

Jugurtha emprisonné par les Romains : gravure provenant d'une édition espagnole du Bellum Iugurthinum (La Guerra de Jugurta por Cayo Salustio Crispo) imprimée à Madrid par Joaquin Ibarra en 1772

En 105 av. J.-C., à l'initiative du questeur Sylla, Jugurtha est capturé par son beau-père Bocchus, roi de Maurétanie, qui le livre à Rome. Bocchus reçoit le titre d'« ami de Rome » et la Numidie n'est pas annexée. Elle est cependant étroitement surveillée en devenant un royaume client de Rome. Les Romains placent sur le trône Gauda, fils légitime de Mastanabal. Marius est alors réélu consul en 105 av. J.-C. puis reçoit les honneurs du triomphe lorsqu'il retourne à Rome. Quant à Jugurtha, il meurt — sans doute étranglé ou de faim — dans la prison de Tullianum vers 104 av. J.-C.

 

Le conflit entre Rome et Jugurtha nous est surtout connu grâce à la Guerre de Jugurtha (Bellum Jugurthinum) de l'historien romain Salluste.

Link to post
Share on other sites
Guest Serena1
Que saint augustin n'est pas arabe?quel Malheur pour lui?Il est latin , mais pas berbere???tout mais pas berbere, caq fait t:mdr::mdr::mdr:rop mal

 

Je me disais aussi...que vient faire augustin dans les berberes....:rolleyes:...meme s'il a vecu la bas....

 

et puis ces tetes ressemblent plutot a des europeens.. plus qu'aux berberes que nous connaissons aujourdhui....qu'est ce qui s'est passe dans leur morphologie???:rolleyes:

Link to post
Share on other sites
Guest samirovsky
Qui connait l'expression "Boukhsse" ?

Wedj El Boukhsse!

Meb'khousse !

C'est une expression qui nous vient de ce roi traite !!!

 

Chez moi, pour dire à quelqu'un que n'inspire pas confiance, on dit

'' Ayallen nel vakhouch" espèce de zyeux de Bocchus !!:p

bocchus, le beau-père de Jugurtha, qui l'avait trahi.

Link to post
Share on other sites
Je me disais aussi...que vient faire augustin dans les berberes....:rolleyes:...meme s'il a vecu la bas....

 

et puis ces tetes ressemblent plutot a des europeens.. plus qu'aux berberes que nous connaissons aujourdhui....qu'est ce qui s'est passe dans leur morphologie???:rolleyes:

 

Oui depuis qu'on est métissé avec les Beni Kardass :mdr: :mdr: :mdr:

Link to post
Share on other sites
Je me disais aussi...que vient faire augustin dans les berberes....:rolleyes:...meme s'il a vecu la bas....

 

et puis ces tetes ressemblent plutot a des europeens.. plus qu'aux berberes que nous connaissons aujourdhui....qu'est ce qui s'est passe dans leur morphologie???:rolleyes:

 

Pour toi forcément c'est les discours de Benbella et de Chadli qui s'appliquent à toi !

Link to post
Share on other sites
Oui, je suis tout à fait d'accord avec toi mais malheureusement les Pseudo-Arabes n'aiment pas trop la culture berbère.

 

Il faut constamment raconter notre vrai histoire et constamment citer les exemples en puisant de ces sources !

On les aura à l'usure car leur idéologie finira un jour par s'épuiser !

Toutes les villes algériennes portent un nom berbère !

Qui connait l'histoire de la ville de Frenda qui se situe près d'Aflou ?

Que veut dire Frenda ?

Hé bien ! Frenda, pour ceux qui comprennent le tamazight, vient de la phrase "ifren dhagui" et qui veut dire "cache toi ici" !!!

La plupart des villes Algérienne ont une existence past-islamique !

Link to post
Share on other sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Guest
Répondre

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.


×
×
  • Create New...