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le personnage mohamed et la réalité historique


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il se trouve que si j'ai ouvert ce sujet sur mohamed ...c'est aprés une longue prpéparation et recherche et non sur un coup de tete un bon matin .....

 

ce n'est absolument pas un reproche que je te fais, tu a lu et repondu toi meme à certains sur la megalomanie, et comme tu l'a si bien mentionné que mohamed ne parlait pas de lui et qu'il citait le coran , tu a ouvert une breche qui va permettre au detracteur de commencer à insulter avant meme d'essayer de comprendre

 

mon sujet c'est la personne de mohamed .....et je ne vois vraiment pas en quoi il y aurais plus d'objectivité dans le fait de faire la meme chose pour jesus ....je ne comprend vraiment pas cela !

 

alors essayer d'etre un peu plus objectif et essai de repondre à ma question si mohamed n'etait pas connu comme prophete est-ce que le personnage t'aurait interessé et suscité un quelconque interet ?

 

je soucponne fortement un non dit de ta part ...alors dis le plus clairement

 

absolument pas tu sais compter , regarde a quelle page j'ai intervenu dans ton topic, jusqu'a là je m'etais contenter de lire et de m'instruire apres avoir lu les insultes injustifiée e" megalomanie, epileptique , schizophrene.." au passage merci pour les epileptiques du forum , j'ose esperer que dieu leur donnera des enfants ou des neveux atteints de cette maladie afin de comprendre la haine qui les rongent

 

jesus ne m'interesse pas beaucoup ..... le travail d'historisation sur jesus a été fait par des milliers de gens dans des milliers de livres .....bien que l'existance de preuves sur lui soit tres rares par rapport a mohamed !

 

le but n'est point Jesus , ni Moise , mais mohamed est un personnage méprisable , repugnant parce que pour certains detracteur il a pretendu etre prophete si tel n'etait pas le cas , on lui aurait offert la moitié des biens de la Mecque

 

les vrais travaux sur mohamed sont eux encore tres rares .....pour l'instant soit c'est des ecrit apologétique sans réel interet ...soit des ecrits diabolisant et insultant envers lui !

 

c'est ton topic et tu en est maitre alors mene ce debat avec objectivité, et sans prejugé , si le but est la recherche de la verité ce que je n'en doute pas , alors essai de recadrer les insultes inutile et infondé

 

c'est ce vide d' une etude objectives des faits historique que j'essaye un tant soi peu de combler par ce sujet ...et si tu relis .....je peut dire qu'il y a une petite réusssite meme si elle est extremement partielle ...

 

c'est la raison pour laquelle je me suis permis de lire sans intervenir juste au moment ou j'ai relevé des propos haineux

 

..bous avons pu mener une discussion sur presque une année sans trop de passion ...et on a tous un peut appris ..
..

 

on apprend tous les uns des autres et heureusement d'ailleurs dire le contraire ne serait que pretentieux , je participerai ulterieurement si j'apprecie la qualité des intervenants , je te posterai un article concernant les propos de Tabari , a plus

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@Belkarem je t'ai promis que je reviendrai sur ta discussion

 

Toute la difficulté dans cette discussion est de savoir a quel moment nous admettrons des faits comme avéré et des faits comme des histoires de chouyoukh vide de contenance , pour certains d’entre nous le fait de citer des situations en rapport avec sa mission prophétique relèverait de la mythologie et de la science-fiction , parfois l’argument qui jusqu’alors était admis comme postulat de vérité se métamorphoserai en propos de chouyoukh et par conséquent on réfute, ce qui rend l’exercice très difficile de pouvoir échanger avec lucidité

On ne peut dissocié l’homme de sa spiritualité, car sans le volet de sa mission prophétique l’homme n’aurait susciter autant d’intérêt et de questionnement qu’a travers son titre de prophète , sa vie d’enfant était ordinaire, son père mourut au retour d’un voyage de commerce en Syrie , il était tombé malade à Médine et y était mort alors que Mohamed était encore au sein de sa mère, le père avait était enterré au cimetière de Médine qu’on appelle Dâr-al-Nâbighaet , c’était au cinquième mois de la grossesse d’Amina

La mère du Prophète avait à Médine des oncles et des tantes des Béni-Naddjar, à Médine comme nous l’avons mentionné était également la tombe du père du Prophète , donc elle demanda à Abdou’l-Mottalib la permission de se rendre à Médine pour voir ses oncles leur présenter son fils et visiter la tombe de son père, Abdou’l-Mouttalib y consentit, elle se rendit donc avec son fils à Médine c’était là le premier voyage du prophète avec sa mère qui resta avec sa mère pendant un an, jusqu'à sa sixième année , ensuite elle le ramena, il y a entre la Mecque et Médine une station appelé Al-Abwâ ou Amina tomba malade et mourut, Mohamed resté seul , il fut ramené par ses compagnons de voyage auprès d’Abdou’l-Mottalib qui le garda jusqu'à ce qu’il eut atteint l’âge de huit ans , alors Abdou’l-Mottalib mourut laissant les fonctions de chef de la Mecque à Abou-Talib nommé aussi Abdou’l-Manâf, il lui confia Mohamed

 

En ce temps il y avait une pratique ou les principaux habitants de la Mecque avaient coutume de donner leur petits enfants en nourrice en dehors de la ville pour les y faire élever, l’air de la Mecque est pestilentiel surtout en été , et dans les montagnes du désert et du Hedjaz à deux journées de la Mecque demeuraient les Benî-Sa’d-ben-Bekr-ben-Hawâzin-ben-Mansour des gens pauvres, chaque année à l’époque du printemps ils venaient à la Mecque emportaient les nourrissons qu’on leur confiait, les élevaient jusqu'à ce qu’ils fussent grands et les rapportaient ensuite à leurs parents, cette année la tribu des Beni-Sa’d les foins ayant manqué était dans une grande misère et les femmes vinrent en plus grand nombre, il y avait parmi elle une femme nommé Halima fille d’Abou-Dsouwaîb son mari s’appelait Hârith ce couple avait deux filles et un garçon et était très pauvre et lors de leur voyage à la Mecque ils eurent un nouveau née dans leur famille, alors sa femme lui dit mène moi à la Mecque peut-être trouverai-je un nourrissions à élever afin que notre position devienne meilleur, quand les femmes furent arrivées à la Mecque , elles prirent chacune un nourrisson , mais aucune de celles à qui on présenta le prophète ne voulut le prendre disant que c’était un orphelin, n’ayant plus de père, et que la nourrice recevait du père différentes gratifications en dehors du salaire Abdou’l-Mottalib le présenta aussi à Halima qui le refusa on disant j’ai assez de ma pauvreté, je n’ai pas besoin d’y ajouter un enfant orphelin, toutes les femmes de Benî-Sa’d ayant trouvé des nourrissons s’apprêtaient a rentrer , Halima n’ayant pas trouvé décida d’aller prendre cet enfant orphelin pour ne pas avoir honte devant les autres femmes, je vous ai évité le récit de l’ânesse qui n’arrivait pas avancer durant le voyage de l’allée et la chamelle que montait son époux qui n’avançait pas et au retour Halima et son mari était en tête de la caravane et lorsqu’elle a donné le sein à son nourrisson et à l’orphelin qu’elle venait de récupérer trouva ses seins plein de lait, quand ils furent revenus dans leur demeure la bénédiction attachée au prophète se répandit sur eux, chaque soir leurs moutons rentraient avec du lait , tandis que ceux des autres avaient les pis secs, les hommes dirent à leurs bergers faites paître les moutons là ou paissent les moutons de Halima, le prophète grandit quand il eut deux ans , Halima le sevra et la mère du prophète envoya quelqu’un pour lui rapporter l’enfant , Halima fut très affligée à cause de la bénédiction qui s’étaient répandues sur sa maison, elle prit l’enfant le mena à sa mère et la pria de lui laisser encore en disant sa bénédiction et sa fortune se sont répandue sur ma maison et nous l’aimons beaucoup, l’air de la Mecque est malsain je crains qu’il ne tombe malade elle la supplia et pleura tant que la mère du prophète le lui laissa, quelque temps après Mohamed fut pris d’un malaise il perdit connaissance , il avait le teins pale, alors le mari de Halima dit a sa femme emmenant le garçon chez le devin le très habile du village, c’est pour ce dernier passage que j’ai tenu a raconter ce récit, non pour les miracles de cet orphelin , mais pour la réaction du Devin lorsqu’il se rendirent chez lui , le devin se leva prit Mohamed sur sa poitrine et cria a haute voix Arabe celui-ci est votre ennemi et l’ennemi de votre religion et de vos dieux, il changera votre religion et renversera vos idoles, les hommes de la tribu se rassemblèrent et le devin leur dit tuez-le et coupez-le en deux Halima se précipita sur lui, lui arracha l’enfant le lendemain il le rendit à sa mère et si je m’attarde sur le récit de Halima c’est pour vous expliquez que jamais homme dans l’histoire de l’humanité n’a autant été hais et pourchasser à mort que par les Arabes, je reviendrai plus en détail sur cette affirmation , tout simplement qu’il allait changé l’ordre établie de la suprématie d’une poignée d’homme sur le reste de la population et de la région, mais en terme de persécution et harcèlement Mohamed n’eut jamais autant dans sa vie autant d’ennemi que chez les Arabes

 

De sa vie d’adolescent et de jeune adulte on n’a pas grand-chose à l’exception qu’il ne se donnait pas au même distraction que les jeunes de son âge , il ne fréquentais pas les lieux ou les jeunes allaient s’enivraient ni les lieux ou ils abusaient des filles de joie , il était plutôt solitaire , discret, respectueux, serviable un homme de parole et de confiance au point ou ses relations et même ceux qui ne l’aimaient pas lui confiaient leur bien car ils savaient qu’ils été en lieu sur, là il n’était point question de religiosité mais de moralité je veux absolument souligner ce point le jeune homme se distinguer par ses principe moraux avant même d’avoir eu la révélation divine, donc nous ne citons pas le prophète mais le comportement d’un jeune de Qoraisch qui avait déjà des principes et des règles de vie

 

Dans le récit de son mariage avec Khadîdja, j’essaye d ‘expliquer que l’orphelin pauvre a été choisie par Khadîdja non pour sa notoriété , ni sa fortune, ni même sa force, mais pour sa moralité , sa bonne conduite et son code de l’honneur , par ailleurs dans ce récit Khadîdja qui est la première femme a avoir cru en lui, lui citais ses qualités d’homme ordinaire avant même qu’il fut choisie comme prophète

Khadîdja était de la parenté de Mohamed, de la tribu de Qoraisch, elle était fille de Khouwaîlid, fils d’Asad , fils d’Abdou’i-Ozza fils de Qoçayy, elle avait perdu son mari qui lui avait laissé une fortune considérable, et elle faisait le commerce, elle avait un affranchi nommé Maîsara homme probe et sûr qu’elle envoyait chaque année avec une caravane de marchandises, en Syrie, Mohamed était connu parmi les Qorayshites pour sa probité, son honnêteté et sa droiture on l’appelait Mohamed al Amin(l’homme sur)lorsqu’on parla de lui à Khadîdja elle le fit appeler et lui dit fais cette année le voyage commercial en Syrie avec mon esclave, il n’y avait presque personne à la Mecque qui eut une si grande quantité de marchandise que Khadîdja, quelques un disent qu’elle l’engagea comme salarié d’autre disent qu’elle l’avait pris comme associé, car des son premier voyage Khadîdja avait réalisé des bénéfices au delà de toute espérance, alors elle donna les instructions à son homme de main Maisara et lui dit de le reprendre avec lui pour la prochaine expédition, elle fit venir Mohamed et lui dit tu sais que je suis une femme considéré et que je n’ai pas besoin d’un mari, j’ai refusé tous les hommes important qui m’ont demandé, mais j’ai beaucoup de bien s qui se perdent , et j’ai besoin d’un surveillant, j’ai jeté les yeux sur toi, car je t’ai trouvé honnête et tu prendra soin de ma fortune, Mohamed était marié depuis quinze ans avec Khadîdja lorsque à l’âge de quarante ans il reçut sa mission prophétique, Khadîdja a partir de cette époque vécut encore cinq ans, c’est la première a avoir embrassé l’islamisme, elle mourut après avoir vécu vingt ans auprès de Mohamed et pendant ce temps par affection pour elle n’avait pas repris d’autre femme il avait eu d’elle trois fils et quatre filles , ses fils étaient Qasim , ou Abou’i Qâsim , tâhir et Tayib les quatres filles se nomaient Zaînab , Roqaya,oum-khaltoum et Fatima, les trois fils moururent avant sa mission, mais ses quatre filles survécurent, Mohamed usait généreusement de la fortune de Khadîdja tous les habitants de la Mecque s’accordaient à reconnaitre son influence et sa droiture on l’appelait Mohamed al amine quiconque avait un dépôt à placer le lui rapportait et tous ceux qui avaient un litige ensemble venaient le soumettre à l’arbitrage de Mohamed, c’était l’opinion générale que lorsque Abou-Tâlib viendrait à mourir il n’y aurait pas d’homme plus digne que Mohamed d’exercer le gouvernement de la Mecque, lorsque Mohamed fut âgée de trente cinq ans les Qorayshites démolirent le temple de la Kaaba pour le reconstruire à nouveau , au moment de poser la pierre noire tous avaient la prétention de le faire, alors ils convinrent de réserver cet honneur à Mohamed qui posa la pierre de ses propres mains

Le détail du récit est le suivant , au moment ou l’on devait poser la pierre Noire à l’endroit ou elle était placée, les quatre tribus des Qorayshites, les benî-Haschim, les Beni-Omayya les Beni-Zohra et les beni-Makhzoum, chaque tribu prétendait avoir plus de mérite , et allaient en venir aux mains chaque tribu et chaque parti prétendait y avoir plus de droits que les autres alléguant plus grande noblesse sa puissance ou sa gloire walid fils de Moghaira evita cette guerre civiles on leur soumettons de se remettre à la décision du premier homme qui viendrai vers nous et ce fut Mohamed tous se remettent a sa décision , Mohamed ôta son manteau de ses épaule le posa par terre mis la pierre noire au milieu et demanda a chaque représentant de tribu de prendre un coin

 

J’ai tenu a relater ce passage après avoir lu que Mohamed était intéressé par le butin des batailles qu’il menait, voila un homme qui hérite d’une des plus grandes fortunes si c’est la plus grande fortune de l’époque et au lieu de s’employer à la fructifier car il avait le sens des affaires et savaient négocier il préfère en faire profiter les habitants de Qoraisch, et si c’était l’appât du gain qui l’intéressait quand les chefs de tribu de Qoraisch sont venu voir son oncle pour lui demander de renoncer a son projet de Dieu unique et qu’il s’engageait a faire de lui l’homme le plus riche d’entre-eux , il dit à son oncle s’ils devaient me déposer la lune dans ma main gauche et le soleil dans ma main droite que je ne renoncerai à la volonté de Dieu de transmettre son message , là en l’occurrence ce n’est point un message coranique, ou des voix qu’il aurait entendu c’est une discussion et une négociation qui a eu lieu entre Mohamed son oncle et les chefs de tribu de Qoraysches

Son enseignement a ses compagnons hâtez vous de faire don des économies qui vous reste dans votre poche avant le coucher du soleil car nul ne sait si demain il sera de ce monde et si vous devez rencontrez dieu on ayant gardé de l’argent dans vos poches il vous sera demandé pourquoi n’a tu pas distribué ses sous pour subvenir au besoin du nécessiteux,

si nous devions étudié ce comportement sur le plan de la moralité, et non celui de la religiosité, est-ce que ce comportement serait immoral ?

 

je cite ce passage non pour les propos de Mohamed , qui relève du mythe pour les savants cartésiens , mais pour la réponse formulé par Khadîdja son épouse, Mohamed lui dit oh Khadîdja je vois en songe un être énorme qui se présente à moi, un être dont la tête touche le ciel et dont les pieds touche la terre, je ne le connais pas et il s’approche de moi pour me saisir,(on peut dire peut-être le gars a fumer de la bonne là n’est pas l’essentiel de mon propos) je ne veux pas essayer d’expliquer le mythique , mais le réel, Khadîdja lui dit « O Mohamed ne t’inquiète pas avec les qualités que tu as toi qui n’adore pas les idoles, qui t’abstiens du vin et de la débauche qui fuis le mensonge, toi qui pratiques la probité, la générosité et la charité tu n’a rien à craindre en considération de ces vertus, Dieu ne te laissera pas tomber sous le pouvoir d’un esprit maléfique , avertis moi si tu vois quelque chose de ce genre », un jour qu’il étais chez lui en compagnie de son épouse Khadîdja , il lui cria je le vois, Khadîdja s’approcha de Mohamed s’assit le prit sur son sein et lui dit « le vois tu encore ? oui répond Mohamed, alors Khadîdja découvrit sa tête et ses cheveux et dit le vois tu maintenant ? non dit Mohamed alors Khadîdja lui dit réjouis toi o Mohamed, ce n’’était pas un esprit maléfique, car si s’en était il n’aurait pas montré de respect pour ma chevelure et n’aurait pas disparu,

Là je souhaiterai soulever un détail, on est là juste au premier verset de lis au nom de ton seigneur, Iqra Bismi Rabika…. c’était là le seul verset que Mohamed avait eu, et nous constatons que son épouse Khadîdja porté déjà le voile, donc c’était une pratique d’époque qui se faisait avant même que les croyants se convertissent à l’islam …… à creuser

 

moi ce que je voudrai retenir de ce récit, si les propos de Mohamed peuvent être définis comme métaphysique , ou irréaliste , ou délirants, le témoignage de Khadîdja est un propos qui décrivait la personnalité de Mohamed, et je n’ai rien retenue qui soit désobligeant , d’irrespectueux, ou d’immoral chez l’homme

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Justement , c'est ce qu'il n'a jamais cessé de répéter à ces compagnons et c'est ce qui devrait nous pousser , ne serait ce que par simple curiosité , à étudier son squelette et voir un peu ce à quoi aurait pu ressembler le prophète de la troisième religion monothéiste .

 

en supposant que son squelette soit intact je ne vois en rien ce qui peut renseigner sur ce qu'il était?

genre homme masculin, 1.78m, type caucasien, ressemblant au genre humain de l'actuel Arabie saoudite et Yémen, etc. mais ca rapporte quoi?

 

si par contre tu doutes de son existence? même l'ouverture de sa tombe ne pourra te réconforter

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on s'interesse à la réalité historique de Mohamed et par consequent à sa prophetie , je voudrais savoir qu'en-est-il de la réalité historique de Jésus et de Moise et de leurs propheties ? leur recit historique est veridique ?

 

est-ce que le bedouin arabe analphabete qu'est mohamed peut-il s'elever au rang de prophete comme les seigneurs de sang pur comme Moise et Jésus ?

 

tu soulèves la le vrai problème, c'est effectivement la difficulté des historiens et archéologues orientalistes par rapport a l'impossibilité de retracer les événements et personnages bibliques qui les a poussé a vouloir mettre en doute l'existence du prophète 3alihi essalt we essalam

en plus du fait de ne pas accepté que des bédouins aient pu avoir un texte sacré "le coran", et que l'islam soit né en Arabie loin des grands centre de civilisation

 

par contre ils ont de la difficulté a expliquer le fait que le coran décrit la personne et le personnage du prophète comme étant celui d'un humain tout ordinaire, alors que d'habitude les textes sacrés décrivent des personnages plus mythologiques qu'humains (le cas de certains hadiths)

 

autrement dit, le problème dans le fond pour eux ne serait plus celui du prophète mais celui du coran, et dans ce chapitre toutes les découvertes faites jusque la incluant ceux des dernières années n'ont fait que confirmer les récits déjà connus dans l'historiographie islamique

et retour a la case de départ

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en supposant que son squelette soit intact je ne vois en rien ce qui peut renseigner sur ce qu'il était?

genre homme masculin, 1.78m, type caucasien, ressemblant au genre humain de l'actuel Arabie saoudite et Yémen, etc. mais ca rapporte quoi?

 

si par contre tu doutes de son existence? même l'ouverture de sa tombe ne pourra te réconforter

 

on jour proche ...on pourra le cloner

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kosner

 

des le depart ..j'ai dis que j'ecartais tout surnaturel ....tout faits a caractere miraculeux ou tendant a le faire penser .....

 

je ne sais pas si tu lu tout le topic ...dans ce cas je t'invite a le faire ...

 

car je ne peut "humainement" pas reprendre tout ce que j'ai dis sur le sujet !

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@Belkarem

c'est la raison justement pour laquelle , j'ai mis l'accent sur le temoignage de personne physique qui l'avaient approché, quand khadidja, déclare qu'il etais honnete, droit , genereux, charitable, il n'y a rien de prophetique c'est un temoignage reel terrestre d'une femme qui a existé envers cet homme

 

quand les Qoraischites disent de lui qu'il etait essedik el amine, loyal honnete personne de confiance , ce ne sont point des temoignages d'ange à l'égard de mohamed, mais des Mecquois avec qui il avait vecu à cette epoque , et ce malgré qu'ils affichaient une aversion profonde à la personne de mohamed

 

alors ou se situe cette amoralité de l' Homme ?

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je te laisse apprecier la difficultée de ton exercice

 

quelles étaient les croyance de mohamed avant la revelation

 

 

 

le premier element de reponse est donné par le coran dans ce verset

 

 

Allah ne te trouva t-il point égaré (dalal), si bien qu'il te guida (hada)

 

tafsir tabari

(Tabari, Tafsir 93/7).

 

"Il t'a trouvé dans l'errance": Il était en accord avec les coutumes de son peuple pendant quarante ans (KANA ALA AMRI QAUMIHI).

 

d'autres verset moins directes font allusion au fait que mohamed etait dans l'erreur ....

il n'etait pas des gens des livres ummi ...il n'etait pas hanif ....il ne pouvait etre donc qu'idolatre

 

kosner

 

des le depart ..j'ai dis que j'ecartais tout surnaturel ....tout faits a caractere miraculeux ou tendant a le faire penser .....

 

je ne sais pas si tu lu tout le topic ...dans ce cas je t'invite a le faire ...

 

car je ne peut "humainement" pas reprendre tout ce que j'ai dis sur le sujet !

 

j'ai commencé par te repondre avec cette formulation

 

"Toute la difficulté dans cette discussion est de savoir a quel moment nous admettrons des faits comme avéré et des faits comme des histoires de chouyoukh vide de contenance , pour certains d’entre nous le fait de citer des situations en rapport avec sa mission prophétique relèverait de la mythologie et de la science-fiction , parfois l’argument qui jusqu’alors était admis comme postulat de vérité se métamorphoserai en propos de chouyoukh et par conséquent on réfute, ce qui rend l’exercice très difficile de pouvoir échanger avec lucidité"

 

tu veux prendre le coran comme livre de reference pour argumenter tes propos ? j'essai juste de te suivre afin qu'en puisse etre sur la meme longueur d'onde, je te demanderai si tu veux bien me donner les sourates des versets que tu cite merci

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@Belkarem

c'est la raison justement pour laquelle , j'ai mis l'accent sur le temoignage de personne physique qui l'avaient approché, quand khadidja, déclare qu'il etais honnete, droit , genereux, charitable, il n'y a rien de prophetique c'est un temoignage reel terrestre d'une femme qui a existé envers cet homme

 

quand les Qoraischites disent de lui qu'il etait essedik el amine, loyal honnete personne de confiance , ce ne sont point des temoignages d'ange à l'égard de mohamed, mais des Mecquois avec qui il avait vecu à cette epoque , et ce malgré qu'ils affichaient une aversion profonde à la personne de mohamed

 

alors ou se situe cette amoralité de l' Homme ?

 

je ne crois avoir dit de mohamed qu'il etait amoral bien au contraire ......tout le long des 40 pages du sujet et sur plus d'une centaine de posts de ma part ...

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je te laisse apprecier la difficultée de ton exercice

 

 

 

 

 

j'ai commencé par te repondre avec cette formulation

 

"Toute la difficulté dans cette discussion est de savoir a quel moment nous admettrons des faits comme avéré et des faits comme des histoires de chouyoukh vide de contenance , pour certains d’entre nous le fait de citer des situations en rapport avec sa mission prophétique relèverait de la mythologie et de la science-fiction , parfois l’argument qui jusqu’alors était admis comme postulat de vérité se métamorphoserai en propos de chouyoukh et par conséquent on réfute, ce qui rend l’exercice très difficile de pouvoir échanger avec lucidité"

 

tu veux prendre le coran comme livre de reference pour argumenter tes propos ? j'essai juste de te suivre afin qu'en puisse etre sur la meme longueur d'onde, je te demanderai si tu veux bien me donner les sourates des versets que tu cite merci

 

je te dirais que le prophete lui meme ...ne se definissait que comme un simple humain .....et cela sous la presion de ses contradicteur qui le pressait a faire un miracle !

 

plusieurs verset montre ces elements la sous la forme ya9ouloun anaka ....

 

devant leur scepticisme ..en somme tout a fait normal ...il leur oposé l'agument d'autorité ...si dieu avait voulu il l'aurait fait ...

 

le coran seul texte qu'on peut valablement dater du temps du prophete ne comporte aucun elemnent de surnaturel liés au prophete ...mis a part la visite de l'ange et la revelation du coran ...par contre il reprend la bible dans pas mal d'element moraculeux...

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tafsir tabari

(Tabari, Tafsir 93/7).

 

"Il t'a trouvé dans l'errance": Il était en accord avec les coutumes de son peuple pendant quarante ans (KANA ALA AMRI QAUMIHI).

 

..il n'etait pas hanif ....il ne pouvait etre donc qu'idolatre

 

comment expliquer que 99% des musulmans disent qu'il était hanif (musulman) ?

Tabari aurait-il pris le contre-pied d'autres moufassirines ou d'autres hadith ?

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L’œuvre est plus difficile quand il s’agit de rénover une maison que lorsqu’il s’agit de construire à neuf une maison , dans le premier chantier on travail selon la volonté du premier bâtisseur , dans le second chantier vous menez les travaux selon vos volontés , on essayant de reprendre tous ce que tu avais posté Belkarem et de mettre le doigt sur les détails que tu n’a pas jugé nécessaire de préciser m’ a demandé plus d’investissement , mais je crois que j’ai été mal compris , car tu a cru comprendre que je te répondais sans avoir lu tes précédents post, c’est pourquoi je ne peux pas tout reprendre comme tu l’a si bien mentionné humainement cela n’est pas possible, c’est pourquoi je vais me contenter de disserté juste ce paragraphe que tu a posté

 

Mais avant je souhaiterai m’expliquer sur le mécanisme de la compréhension d’un texte, qui doit reposer sur la première partie qui consiste a présenter le sujet de la thèse, d’une seconde partie qui doit énuméré l’antithèse et enfin la synthèse qui doit faire l’objet d’une analyse critique fondé sur des éléments de réponse cohérant, sans idée préconçue, et parfois cette synthèse est une étape à une nouvelle réflexion , il arrive souvent que le narrateur qui est censé vous transmettre un pan de l’histoire juge les personnages de son récit ou exprime ses propres émotions, il donne ses propres opinions on s’adressant directement au lecteur, il attire l’attention sur les faits qui l’intéresse, alors sommes nous face a des narrateurs qui influence fortement le lecteur ou des narrateurs qui laisse le lecteur libre de ses jugements, ma remarque trouve une réponse dans ce que tu a posté

 

(Tabari , Histoire des Prophètes et des Rois III 101-2).

Chaque année , à l'époque du pèlerinage , le prophète abordait les Arabes venus de tous côtés , et leur proposait sa religion. Il espérait que quelqu'un d'entre eux croirait en lui et l'emmènerait dans sa tribu , pour qu'il y pût adorer Allah et qu'il fût délivré des gens de la Mecque et des Quraysh474 . Mais aucun de ceux à qui il s'adressait ne répondait à son appel ; ou si quelqu'un croyait , il n'osait pas le recevoir , par crainte des habitants de la Mecque. Il se présenta aux Banu Kinda475 , qui formaient une tribu fort considérable et étaient d'une grande autorité parmi les Arabes ; mais ils le refusèrent ; les Banu Kalb et les Banu Hanifa et toutes les autres tribus

firent de même. Les Quraysh , de leur côté , postaient chaque année quelqu'un à Mina476 pour empêcher que personne n'acceptât la religion de Muhammad. Cet homme se rendait auprès de toutes les tribus arabes , leur disant:

-Il y a ici un fou , nommé Muhammad , qui a établi une religion nouvelle. S'il vient vers vous , ne le croyez pas et n'acceptez pas sa foi.

Voici ce qu'un homme de la tribu de Kinda a raconté :

-Une certaine année , étant encore enfant , j'étais venu avec mon père pour le pèlerinage de la Mecque. Lorsque nous nous arrêtâmes à Mina , je vis un homme ayant une longue chevelure , beau de visage , se tenant en face de nous majestueusement , nous tenant des discours fort beaux , qui allaient au cœur des hommes , et qui nous présenta sa religion , en nous appelant à Allah et en nous détournant de l'idolâtrie. Après lui vint un homme ayant une longue barbe , des cheveux noirs , l'œil louche , un manteau d'Aden sur les épaules , un homme si laid que je n'ai jamais vu son pareil , et qui nous dit :

-Gardez-vous de cet homme , qui est possédé et menteur ; n'écoutez pas ses paroles et n'abandonnez pas votre religion!

Alors je demandai à mon père:

 

-Qui est celui-là?

 

-C'est le prophète des Quraysh , répondit mon père , Muhammad ibn Aldallah , ibn Abdul Muttalib ; il appelle les hommes à sa religion.

 

-Et qui est l'autre? lui dis-je.

 

-C'est son oncle , Abu Lahab , qui s'attache partout à ses pas et le fait passer pour un imposteur devant le peuple.

 

Le prophète faisait ainsi chaque année. Sa réputation se repandit dans toute l'Arabie , dans le Bahrayn , le Yamama , le Yémen , et dans toutes les autres contrées. Mais il ne trouvait personne qui voulût le recevoir , jusqu'au moment où , rebuté par les gens de la Mecque , il émigra à Médine , avec quelques personnages notables de cette ville.

 

J’ai mis en gras et surligné quelques passage du texte que tu as posté que je trouve illogique

« Il espérait que quelqu'un d'entre eux croirait en lui »

 

Quand on est investie d’une telle mission et qu’il a la foi qu’il avait, tu crois qu’il aurait eu un doute d’entrevoir autre espoir que tous viennent à lui, ce n’est pas d’une espérance qu’il s’agit , mais d’une volonté divine , on négocie pas

 

l'emmènerait dans sa tribu

 

Est-ce une vérité, un fait historique ? Ou une croyance du narrateur qu’il voudrait porter au prophète ? Jamais Mohamed n’avait exprimé le souhait de quitter la Mecque

 

qu'il fût délivré des gens de la Mecque et des Quraysh474 .

 

Sa mission première était justement de renverser l’ordre établie par les Qorayshites dans la première demeure d’Adam à la Mecque

 

-C'est le prophète des Quraysh

 

Cet homme de la tribu de Kidna qui se trouve être le narrateur dit que son père lui dit que Mohamed c’est le prophète de Qoraysch, il le reconnaît comme prophète de Qoraysch et plus haut dans le texte on le décrit comme un homme seul soudoyant implorons suppliant les nomades des différentes tribu pour croire en lui, pour sauver son âme, pour leur faire fuir de Qoraysh lui qu’on qualifie quelques lignes plus bas dans le même texte de prophète de qoraysch, début du texte

 

il appelle les hommes à sa religion.

 

Mohamed ne l’a jamais fait d’une façon archaïque, et ne parlait de lui-même mais sous l’inspiration de dieu, vu qu’on m’a cité le coran, je répondrai plus tard par les versets du coran comme je donnerai le détail précis des prédications publique de l’islamisme, et lorsqu'on parle sous l'isnpiration divine on ne peut blasphamer et dire n'importe quoi, quand il a du le faire saw il a fait pour tous les hommes au nom de la Religion de Dieu et non au non de sa religion propre

 

Mais il ne trouvait personne qui voulût le recevoir

 

Là aussi c’est un mensonge du narrateur, attention je n’accuse pas Tabari, mais la plume qui a repris les propos de ce grand historien et essayer de déformer le sens de la vérité, car je vous citerai le même fait rapporté par Tabari mais écris d’une main plus savante afin d’évaluer le sens

 

rebuté par les gens de la Mecque , il émigra à Médine

 

essayons de comprendre là encore le propos, le narrateur nous dit que Mohamed a juste était rebuté par les gens de la Mecque , alors que ses mêmes gens ont établie des plans pour l’assassiner lâchement tout simplement , nous connaissons tous l’histoire lorsque chaque chef de tribu de qoraych désigne un de ses fils afin de se joindre au groupe qui aller assassiner Mohamed dans son sommeil pour que la loi du talion ne puisse s’accomplir ils avaient tous voulu se débarrasser de lui sans répondre de ce crime, ce soir là Ali prit sa place dans son lit voila pourquoi ils n’ont pas pu achevé leur œuvre, autre fait qu’il faudrait souligner Mohamed n’a pas émigré vers Médine il s’est enfui et à même était pourchasser durant ce voyage ce n’était point un voyage de détente, mais de survie, je reviendrai plus en détail sur les raisons de sa fuite vers Médine, car c’est un point très important à clarifier sur la vie de Mohamed , alors que les Arabes de la Mecque combattaient avec la plus grande sauvagerie et fermeté et la plus grande cruauté la mission de Mohamed, c’est des juifs qui sont venu à lui pour lui annoncer qu’il croyait en lui et en sa mission

 

quelques personnages notables de cette ville.

 

Un autre fait qui discrédite ce texte, car le prophète comme chacun le sait n’a pas fait le voyage avec des personnages notables encore un fantasme du narrateur, ce périlleux voyage le prophète saw l’a fait avec une seule personne pas plusieurs, il n’y avait que lui est Abou bekr Essedik

 

 

{(ibn Hisham , Conduite de l'envoyé d'Allah ).

L’apôtre se présenta lui-même aux tribus des Arabes dans les foires dès que l’occasion se présentait, les exhortant à Allah et leur disant qu’il était le prophète qui leur avait été envoyé. Il leur demandait de croire en lui et de le protéger jusqu’à ce qu’Allah leur apporte un message clair479 que le prophète était chargé de leur donner.

(ibn Sa’d , Tabaqat I ).

L’apôtre d'Allah resta à la Mecque pendant les trois premières années de son appel à la prophétie. La quatrième année , il se déclara et appela les gens à se soumettre à l’islam , et fit cela pendant 10 ans. Chaque saison de pèlerinage , il s’approchait des pèlerins , à leurs haltes , Ukaz , Majanna , Dhul Majaz , et leur demandait de le protéger pour qu’il puisse propager aux gens le message de son seigneur , et en retour , ils recevraient une place au paradis. Mais il trouva personne pour le soutenir , ou pour répondre à son appel. A chaque fois , il s’approchait des tribus aux haltes , en disant:

-Ô gens! Il n’y a pas de dieu sinon Allah ; vous allez prospérer et devenir les maîtres de l’Arabie , et les Perses se rendront devant vous en état d’humiliation , et si vous croyez , vous serez des rois au paradis**

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Je vais vous racontez le même récit, décris par le même historien Tabari, mais écris avec une plume plus objective et plus réfléchis, l’œuvre est traduite par Hermann Zotenberg et préfacée par Jacques Berque, donc ce n’est pas un Khoroto, ou un panarabisme, qui aurait rapporté ce que je cite

 

Prédications publiques de l’islamisme

 

Lorsque Dieu envoyé ce verset « O apôtre, fais connaitre ce qui t’a été envoyé de la part de ton seigneur » sourate v verste 71, alors le prophète adressa publiquement sa prédication à tous, il se rendit au temple de la Ka’aba et le récita devant les hommes, c’est dans la mosquée qu’il leur adressa le premier appel, ensuite il alla au mont çafâ éleva la voix, et tous les habitants de la Mecque s’y réunirent Mohamed leur parla ainsi quelle conduite ai-je tenue parmi vous ? ils répondirent tu est un homme véridique et sûr, nous n’avons jamais entendu de toi un mensonge, Mohamed reprit : maintenant je dis, je suis l’apôtre de Dieu envoyé vers vous, adorez dieu et abandonnez les idoles, sinon le châtiment descendra sur vous du ciel et vous serez exterminés. Abou-Lahab son oncle qui se trouvait dans l’assistance se leva et dit toi Mohamed tu veux nous appeler à une religion, sois maudit toi et ta religion il engagea le peuple à se retirer en disant allez ce Mohamed est fou(vous voyez déjà à l’époque du prophète Mohamed on avait déjà des personnes qui tenaient ses propos, donc on peut dire qu’on a nos Abou-lahab sur ce Forum) Alors Dieu envoya à son intention les versets suivants « que les deux mains d’Abou-Lahab périssent » etc. , ensuite dieu envoya à Mohamed le verset suivant » adresse l’appel à tes proches parents » sourate XXVI verset 214 , le prophète dit mes parents ce sont les béni-Haschim et les Béni-Abd-Manâf, il dit à Ali d’aller préparer un repas, Ali ayant fait cuire dans le four un mouton sur du gruau invita tous les Béni-haschime et les béni-Manâf, de même qu’Abou-Talib, Hamza , Abbâs, et un grand nombre d’autres personnes et leur servit ce repas, ils mangèrent beaucoup, cependant la quantité de la nourriture ne diminuait pas , Abou-Lahab dit Mohamed nous a invité aujourd’hui pour nous faire voir sa magie, le prophète très affligé de ces paroles ne leur parla point ce jour là, le lendemain il fit préparer un nouveau repas et les invité , pendant qu’ils mangeaient il leur parla ainsi « O mes Oncles et mes cousins, je suis l’apôtre de Dieu envoyé vers tous les hommes en général et envers vous en particulier, croyez en Dieu et à ma mission, et Dieu vous donnera le paradis eternel, personne ne répondit, puis Abou Tâlib dit mon fils tu a parlé et nous avons entendu, laisse nous aller et réfléchir jusqu’a demain , le prophète dit ensuite mes oncles et cousins si vous ne cherchez pas l’autre monde au moins recherchez le bonheur de ce monde, car Dieu répondra ma religion et l’empire de l’Arabie , de la Perse m’appartiendra, y-a-t-il quelqu’un parmi vous qui veuille répondre à mon appel et que je puisse nommer vicaire , Tous gardèrent le silence. Alors Ali dit O apôtre de Dieu si personne ne croit, moi je suis croyant, le prophète répondit « O Ali tu a cru et tu est mon frère et mon vicaire, les autres se levèrent et sortirent, ils se moquèrent d’Abou-Talib en lui disant Mohammed a fait de ton fils ton maître

Le prophète continuait sa prédication et l’on osait pas s’y opposer, par respect pour Abou-Talib mais on frappait et l’on insultait ses amis, alors fut révélé le verset suivant » certes , vous et les idoles que vous adorez à coté de Dieu vous serez la proie de l’enfer » Sourate XXI verset 98 , le prophète vint à la mosquée et proclama ce verset devant le peuple, les hommes se tournèrent tous contre lui, l’expulsèrent de la mosquée et se rendirent ensuite auprès d’Abou-Talib ils lui dirent notre patience est à bout ton neveu insulte nos divinités , il a introduit une religion nouvelle et nous l’avons supporté, il nous a insultés en disant que nous sommes des sots, nous l’avons supporté, il a dit que nous et nos pères nous irons en enfer et nous l’avons supporté, maintenant il se met à insulter nos dieux, dis-lui qu’il fasse ce qu’il voudra, mais qu’il n’attaque pas nos Dieux, qu’il s’occupe de son Dieu et de sa religion, s’il ne le fait pas , nous le frapperons et le chasserons de la ville, Abou-Talib fit appeler Mohamed qui vint et prit place, Abou-Talib lui dit écoute ce que disent ces gens, le prophète ayant entendu leur discours, dit il n’y a qu’un point qui nous divise eux et moi s’ ils professent qu’il n’y a qu’un seul dieu et que je suis son prophète, dieu sera satisfait d’eux, et je ne parlerai plus contre eux mais s’ils ne font pas cette profession aussi longtemps que mon âme sera en moi je les appellerai à dieu et à sa religion , Abou-Talib congédia les gens avec de bonnes paroles et resta seul avec le prophète il lui dit ces gens agissent avec équité envers toi , mais tu n’es pas juste envers eux , ils te disent d’enseigner et de faire ce que tu voudras seulement de ne pas insulter leurs dieux, si tu n’insultais pas leurs dieu cela profiterait à ta religion , le prophète pensa qu’ Abou-Talib voulait lui retirer sa protection ses larmes coulèrent et il dit O mon Oncle c’est Dieu qui me l’ordonne ainsi, s’ils mettaient dans ma main mais droite le soleil et dans ma main gauche la lune et s’ils me brulaient par le feu , je ne retrancherais pas une lettre de ce que Dieu ordonne et je ne dirai ni plus ni moins, puis il quitta Abou-Talib qui fut touché, le rappela prit sa tête sur son cœur et lui dit O mon fils va exécute ce que Dieu t’ordonne et ne t’inquiète pas aussi longtemps que je vivrai, personne n’osera mettre la min sur toi, je sais que tu dis la vérité, et si je ne craignais pas d’encourir le blâme des Arabe qui diraient qu’ Abou-Talib sur ses vieux jours a quitté la religion de ses pères, je croirais aussi en toi

A l’époque du pèlerinage, le prophète allait à Arafat et appelait à Dieu les hommes des différentes contrées qui en retournant dans leur pays, y répandaient sa réputation. Alors ils venaient de tous les cotés des arabes pour voir quel était cet homme et ce qu’il disait et ils devenaient croyant, de cette manière le nombre des adhérents du prophète s’accrut des Arabes de la Mecque et Bat’ha et des arabes du désert , les Qorayshites incrédules les attaquaient

 

 

 

(Envoyé par Belkarem

quelles étaient les croyance de mohamed avant la revelation

 

le premier element de reponse est donné par le coran dans ce verset

 

Allah ne te trouva t-il point égaré (dalal), si bien qu'il te guida (hada)

 

tafsir tabari

(Tabari, Tafsir 93/7).

 

"Il t'a trouvé dans l'errance": Il était en accord avec les coutumes de son peuple pendant quarante ans (KANA ALA AMRI QAUMIHI)

 

d'autres verset moins directes font allusion au fait que mohamed etait dans l'erreur ....

il n'etait pas des gens des livres ummi ...il n'etait pas hanif ....il ne pouvait etre donc qu'idolatre)

 

si nous devons recevoir le coran comme un livre de vérité, nous ne pouvons accepter le principe que ce livre décrive un fait comme vérité et décris le contraire de ce fait comme vérité

 

voila ce qui est dit de Mohamed dans le coran sourate 53 verset 2 à 4

"votre compagnon (parlant de Mohamed) ne s’est pas égaré et pas été induit en erreur, et il ne prononce rien sous l’effet de la passion, et ce n’est rien d’autre qu’une révélation inspirée"

dans ce verset Dieu nous explique que cet homme n'etait pas dans l'errance, et ne parlait pas pas pour ne rien dire, pour ce qui est de l'idolatrie , je reviendrai dans un autre texte qui explique que jamais mohamed n'a aimé ou prier les dioles de Qoraischs

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envoyé Faiste

Citation:

Envoyé par Cosner Voir le message

 

tafsir tabari

(Tabari, Tafsir 93/7).

 

"Il t'a trouvé dans l'errance": Il était en accord avec les coutumes de son peuple pendant quarante ans (KANA ALA AMRI QAUMIHI).

 

..il n'etait pas hanif ....il ne pouvait etre donc qu'idolatre

comment expliquer que 99% des musulmans disent qu'il était hanif (musulman) ?

Tabari aurait-il pris le contre-pied d'autres moufassirines ou d'autres hadith ?

 

il faudrait peut-etre poser la question à la personne qui a posté ses propos, il ne sont pas de moi tu m'a quotté des écrits que je n'ai pas posté et par consequent je ne peux repondre à la place de cette personne

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Envoyé par Pax

Ca y est t'es entré dans le costume de CosnerCharlie et tu renies les écrits de Cosner ? ;

 

les ecrits que m'attribue FAIste , ne sont pas de moi , mais de Belkarem remonte le topic tu comprendrai mieux , et arrete de fumer cette camelote marocaine tu va te griller les neuronnes et les poumons, car si moi je renie cosner , toi tu plane au dessus de PAX

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Mohamed n'a jamasi adoré les Idoles

 

Conversion d'Abou-Bekr Es Sediq

 

Mohammed et Abou-Bekr es sediq étaient liés d’amitié, Abou-Bekr était un homme très aimé parmi les Qorayshites ayant de l’autorité, honnête et riche, il faisait le commerce, quand il se tenait dans la mosquée les hommes jeunes et vieux l’entouraient, il leur parlait et ils l’écoutaient et lui demandaient des conseils. Le cercle d’Abou-Bekr dans la mosquée était plus grand que celui d’Abou-Tâlib ou celui d’Abou-Djahl ou de Walid fils de Moghaîra.Mohammed choisissait toujours quand il venait à la mosquée le cercle d’Abou-Bekr et causait avec lui de ses affaires. Ceux qui entraient dans la mosquée faisaient d’abords les processions d’usage autour de la Kabba adoraient une des idoles qui se trouvaient dans le temple et venaient ensuite choisir une place dans un cercle des grands personnages. Il y avait dans la mosquée de la Mecque trois cent soixante idoles outre celles qui se trouvaient dans la Kabba, Hobal et Manâf et d’autres toutes les idoles étaient de pierre et avaient la forme humaine, elles étaient couvertes de vêtements de différentes couleurs de khalouq, de safran et d’autres aromes. Mohamed n’avait jamais adoré aucune idole. Lorsqu’il venait au temple il faisait les tournées autour de la Kabba et allait ensuite s’asseoir auprès d’Abou-Bekr il était souvent dans la maison d’Abou-Bekr et celui-ci venait aussi chez Mohammed quelque fois Abou-Bekr lui disait en secret pourquoi Ô Mohammed n’adore-tu pas les idoles comme font tous les autres ? Mohammed lui répondait « je ne peux pas me faire à la pensée d’adorer un objet que j’aurai gravé moi-même ou une image que j’aurai faite de mes mains, puisque je sais qu’il ne m’en peut venir ni dommage, ni avantage, et que c’est Dieu qui m’a créé et qui me conserve et me donne ma subsistance. Abou-Bekr répliquait « tua raison Ô Mohammed la même idée s’est présentée à mon esprit, je ne sais pas quelle est cette religion dans laquelle nous vivons et dans laquelle vivaient nos pères depuis tant d’années

Or le jour ou Mohammed reçut sa mission et ou Gabriel lui enseigna la prière, ou Khadîdja et Ali embrassèrent l’islam et prièrent avec le prophète, comme celui-ci après le départ de Gabriel qui lui avait recommandé d’appeler les hommes à Dieu, réfléchissait continuellement à qui il pourrait d’abord révéler ce secret, il songea à Abou-Bekr .Il se dit Abou-Bekr est un homme âgé et un ami, il est intelligent judicieux et de bon conseil, j’irai le trouver demain matin pour lui demander son avis sur ce que je dois faire et à qui je devrai m’adresser. Mohammed ne prévoyait pas ni n’espérait qu’Abou-Bekr deviendrait croyant aussitôt. Abou-Bekr cette même nuit ne pouvait pas trouver le sommeil, il faisait les réflexions suivantes, ce culte des idoles que nous pratiquons et que pratiquaient nos ancêtres est absurde, ces idoles ne peuvent produire ni avantage, ni dommage .Le Dieu qui a créé la terre et le ciel et les hommes ne souffre pas qu’on adore autre chose que lui. Je voudrais trouver quelqu’un qui pût me diriger dans la voie de la vraie religion, je ne sais à qui m’ouvrir à cet égard. Alors il songea à Mohammed et se dit en lui –même : Mohammed le neveu d’Abou-Talib est un homme sage, il est mon ami intime et un homme sûr. Il méprise comme moi ce culte et il n’ jamais adoré les idoles. Demain matin j’irai chez lui, je m’ouvrirai à lui et le consulterai, peut-être me montrera-t-il la bonne voie

Au matin le prophète se leva et sortit pour se rendre chez Abou-Bekr qui de son coté s’était mis en route pour aller chez Mohammed, ils se rencontrèrent dans la rue et s’étant adressé des questions sur cette rencontre Mohammed dit j’allais chez toi pour te consulter sur une certaines chose, Abou-Bekr répliqua et moi je me rendais chez toi pour te demander un avis. Mohammed lui en ayant demandé l’objet, Abou-Bekr dit parle d’abord toi car mon récit est long, alors Mohammed lui dit , hier un ange m’est apparu m’apportant un message de la part de Dieu, me disant d’appeler les hommes à Dieu, afin qu’ils croient en Dieu et en ma mission prophétique et qu’ils abandonnent le culte des idoles , je me rendais chez toi pour te demander à qui je dois adresser cet appel et à qui je pourrais en parler.

Abou-Bekr répliqua O Mohammed que je sois le premier de tous les hommes à qui tu adressera cet appel, j’ai réfléchis toute cette nuit à cette affaire, et c’est pour cela que je me suis mis en route pour aller chez toi, ce n’était pas pour autre chose, engage moi ç cette religion avant tous les autres, afin que je sois le premier croyant. L e Prophète qui n’avait pas formé cet espoir fut très-heureux lui exposa à l’instant la formule de confession de foi et Abou-Bekr l’a prononça, le prophète n’a jamais été aussi heureux d’aucune conversion que de celle d’Abou-Bekr, on rapporte d’après Abou-Obaîda ben Sellâm dans son livre sur les événements remarquables de la vie du prophète, que Mohammed a dit « de tous les hommes à qui j’ai présenté l’islamisme il n’y en a pas eu un seul qui n’ait fait des difficultés sauf Abou-Bekr qui n’a pas hésité u instant , des que l’appel tomba dans son esprit eut l’étincelle de l’islam au bout de la langue, après sa conversion Abou –Bekr tint sa foi secrète, mais chaque fois qu’il se trouait dans la mosquée à causer avec quelqu’un il lui en parlait et l’engageait à l’islam, il conduisait auprès du Prophète ceux qui acceptaient et ils prononçaient la profession de foi, le premier qui fut converti par Abou-Bekr fut Othmân fils d’affân, il convertit ensuite Abderrahman fils d’Auf puis Zobaîr fils d’Awwâm, puis Tal’ha fils d’Obaî-dallah, puis Sa^d fils d’Abou-Waqqâç, ils furent ainsi trente-neuf adhérents qui tenaient leur foi secrète. Ils n’osaient pas se rendre à la mosquée de la Mecque pour prier ni eux , ni le Prophète, ils priaient soit à la maison soit sur le Mont Hira. Le premier qui en eut connaissance fut Abou-talib qui demanda à Mohamed quelle était la religion qu’il avait établie. L e prophète le lui dit et voulut le convertir.Abou-Talib lui repondit si Dieu t’a ordonnée cette œuvre accomplis-la, je te protégerai

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@Belkarem

je me permets vu que ton sujet traite de ce personnage de mettre une des citations du prophete saw dite il y a plus e 14 siecle et qui trouve toute sa dimension dans le contexte actuellement, , je vais essayer de traduire comme je pourrai car ce n'est pas facile de taduire le sens des mots

 

le prophete mohamed saw a dit

 

"âllâ akhir zamen tadharou fiatoune mine oumati mina cham wel îraq rayatouhou saoudaa yertakibouna el jarima bismi allah wa bismi el quaraân, inahoum leyssa mini kounyatouhoum âlla ismi el moudoun"

 

"vers la fin des temps apparaitra une poignée d'homme de ma communuaté de la region du cham(Syrie) et d'Irak leur porte drapeau sera noir, ils commettrons des crimes au nom de dieu et au nom du coran , ils se proclamerons de moi , ils ne sont pas les miens et ne me represente aucunement ils se feront appelé au nom des contrées qu'ils peuplent "

 

exemple le numero un de DAESH se fait appelé "el baghdadi " du nom de la ville de Baghdad

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