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conseil des ministre annulé


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comme indiqué dans le titre le conseil des ministres qui devait être présidé par Bouteflika et qui était programé pour ce matin a été "déprogrammé" chose inédite je pense dans les annales de la politique algériens , et comme cela prête a toute sorte de spéculation , est-ce que ce report a un rapport avec la santé de Bouteflika , est ce une rechute ??

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comme indiqué dans le titre le conseil des ministres qui devait être présidé par Bouteflika et qui était programé pour ce matin a été "déprogrammé" chose inédite je pense dans les annales de la politique algériens , et comme cela prête a toute sorte de spéculation , est-ce que ce report a un rapport avec la santé de Bouteflika , est ce une rechute ??

 

:wheelchair:_________ :huh:

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comme indiqué dans le titre le conseil des ministres qui devait être présidé par Bouteflika et qui était programé pour ce matin a été "déprogrammé" chose inédite je pense dans les annales de la politique algériens , et comme cela prête a toute sorte de spéculation , est-ce que ce report a un rapport avec la santé de Bouteflika , est ce une rechute ??

 

Le conseil n'est pas obligatoirement présidé par le président non?

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si , le conseil des ministres est obligatoirement présidé par le président !

Il ne faut pas confondre avec le conseil du gouvernement !

 

dans certains systemes de continents oui !

et d'autre.... même le pays n'est pas obligatoirement présidé par le président :huh:

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désaccord avec ses ministères? tu es sérieux là? c'est lui meme qui l'a désigné comment il peut etre en désaccord avec des gens qui disent jour et nuit Bouteflika c'est l'Algérie

 

la dichotomie entre ministres pro ou anti BOUTEF est digne des pays démocratiques avec des partis qui placent leurs élus dans des gouvernements , les nouveaux ministres demeurant toujours fidèles à leur famille.

en Algérie , tout dès la base est contrôlé par le DRS. Aucun responsable dans une administration ou plus encore à un poste politique n'est mis en avant sans l'aval de TOUFIK et de ses services. Les meneurs des partis sont tous des collaborateurs officiers du DRS ou "correspondants" bienveillants et dociles. Ce qui différencie nos ministres est leur appartenance à des clans ennemis du système qui essaient chacun de son côté de placer des proches aux postes décisionnels. On dit SELLAL proche de BOUTEF, alors que dans le cursus du chef de gouvernement, nous retrouvons le fonctionnaire type qui dès la faculté est engagé par le DRS. Carrière de technocrate aux ordres des militaires et promotion assurée parce que travailleur intelligent et obéissant. Près de BOUTEF dont il a su gagner non la confiance, l'homme est un renard, mais la "tolérance", SELLAL est toujours sous les ordres de TOUFIK en position de présidentiable maison.

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Ya-t-il eu un Conseil des ministres ' Personne ne le sait, mais le gouvernement se serait discrètement réuni pour échanger des nouvelles de la famille. Au début du Conseil, le Premier ministre aurait conseillé à chacun d'être bref et de prendre son temps. Ce serait le nouveau ministre de la Santé qui aurait ouvert le bal en conseillant au Conseil de prendre en charge les malades plutôt que de les laisser mourir. Ce à quoi aurait répondu le ministre de l'Agriculture en expliquant que les morts font du bon engrais. Le ministre de l'Intérieur aurait protesté, les listes électorales étant en pleine révision. Le ministre des Moudjahidine, constatant qu'il y a de plus en plus de moudjahidine, aurait conseillé de faire une nouvelle guerre pour se débarrasser des faux moudjahidine, les faux mourant rapidement pendant les conflits. Le vice-ministre de la Défense n'aurait pas apprécié la démarche et celui des Finances aurait refusé.C'est le ministre du Commerce qui aurait conseillé que, pour réduire la facture d'importation, il fallait allonger celle de l'exportation. Le ministre de l'Energie était d'accord, il a conseillé de construire des moutons à partir de dérivé d'hydrocarbures. Le ministre de l'humour a rigolé jusqu'à ce que le Premier ministre réalise qu'il n'y a de ministère de l'humour. Une fois l'importun chassé, la réunion a repris autour du programme présidentiel. La ministre de la Culture aurait proposé d'en faire un film, le ministre du Tourisme d'en faire un salon et celui de l'Enseignement un module. Le Président n'a pas pris son café habituel avec la main droite, par contre le tout nouveau ministre du nouveau ministère chargé de la Réforme du service public aurait conseillé de privatiser le secteur, en accord avec le ministre de l'Industrie. A la fin du Conseil, tout le monde s'est embrassé et le président a conseillé à tous les ministres de rentrer chez eux.

 

Chawki Amari -ElWatan-

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vive le FIS, ces vieillards ne veulent pas partir, un ramassis de crapules lèches culs, aucun nif ni patriotisme. viendra le jour, ou ils devront rendre des comptes.

 

ah bon !! parce que les criminels du fis sont des patriotes, mon cher c'est la peste et cholera donc faut faire un bon choix,

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la dichotomie entre ministres pro ou anti BOUTEF est digne des pays démocratiques avec des partis qui placent leurs élus dans des gouvernements , les nouveaux ministres demeurant toujours fidèles à leur famille.

en Algérie , tout dès la base est contrôlé par le DRS. Aucun responsable dans une administration ou plus encore à un poste politique n'est mis en avant sans l'aval de TOUFIK et de ses services. Les meneurs des partis sont tous des collaborateurs officiers du DRS ou "correspondants" bienveillants et dociles. Ce qui différencie nos ministres est leur appartenance à des clans ennemis du système qui essaient chacun de son côté de placer des proches aux postes décisionnels. On dit SELLAL proche de BOUTEF, alors que dans le cursus du chef de gouvernement, nous retrouvons le fonctionnaire type qui dès la faculté est engagé par le DRS. Carrière de technocrate aux ordres des militaires et promotion assurée parce que travailleur intelligent et obéissant. Près de BOUTEF dont il a su gagner non la confiance, l'homme est un renard, mais la "tolérance", SELLAL est toujours sous les ordres de TOUFIK en position de présidentiable maison.

Bouteflika est un dictateur qui vit dans une époque qui n'est pas la sienne

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