pmat 276 Posted October 17, 2013 Partager Posted October 17, 2013 SALAM IL SE DIT L'Algérie, La "Mecque des Révolutionnaires" AH COMMENT J'AI PUT L'OUBLIER AID ALDJAZAIR MABROUK OUI JE M'EN SOUVIEN A CHAMBERY ON AVAIT RECU LE MOT D'ORDRE POUR MANIFESTER DANS SA VILLE ET LE LENDEMAIN LES ALGERIENS DE CHAMBERY ON FAISAIENTT DES RONDS EN VOITURE AUTOUR DE LA MAIRIE DE CHAMBERY AVEC DES SLOGANTS, ON VEUT NOTRE INDEPENDANCE ET ON ENTENDU LE DESASTRE A LYON PUIS CELUI DE PARIS ON JETTAIS DANS LE RHONE ET DANS LA SEINE A PARIS LES ALGERIENS DEPUIS LE PONT DE NEUILLY ON A DIT QU'ON A MONTER DANS LES HELICOPTERES DES ALGERIENS QU'ON A JETÉS DEPUIS DES HAUTEURS OUI CA NE S'OUBLIE PAS MONSIEUR PAPAON VOUS EN ETES UN DES RESPONSABLE DE CE MASSACRE L'Algérie, La "Mecque des Révolutionnaires" BEAUCOUP DES COMME CEUX LA Citer Link to post Share on other sites
Jean Couscous 10 Posted October 17, 2013 Partager Posted October 17, 2013 Fafa veut pas donné des excuse , alors que meme l'allemagne a pardonné la France ... Tfou Citer Link to post Share on other sites
Guest L'étrangère Posted October 17, 2013 Partager Posted October 17, 2013 Vraiment vraiment juste en 1961.. Je suis de plus en plus étonnée du comportement Algérien. Citer Link to post Share on other sites
Guest L'étrangère Posted October 17, 2013 Partager Posted October 17, 2013 Il y a eu plusieurs fois des ratonnades, c'est les nôtres qui sont amnésiques. L'expression vient du mot raton, très fortement péjoratif et raciste, apparu en 1937(Dictionnaire historique de la langue française, dir. Alain Rey, Dictionnaire LE ROBERT, 1998), qui désigne un Maghrébin en argot français. À noter qu'un raton est un petit rat dans la langue française... Les ratonnades (au sens premier historique, c'est-à-dire des violences contre les personnes nord-africaines) ont été particulièrement violentes dans les années 1950 et 60, faisant de très nombreux blessés et morts dans le contexte de la guerre d'Algérie. La plus importante fut le massacre des Algériens à Paris les 17 et 18 octobre en 1961, qui fut qualifiée de ratonnade à l'époque, et qui fit des dizaines de morts (les estimations varient de 30 à plus de 200), dans la suite de l'affaire de la station de métro Charonne en février. Une autre ratonnade importante fit 127 blessés graves3 : la « ratonnade de la Goutte d'Or », les 2 et 3 avril 1961. Ces dizaines de morts dans les manifestations font suite à des centaines d'arrestations arbitraires d'Algériens par la police de Paris et les supplétifs FPA4, à l'occasion desquelles de nombreux Algériens ont été torturés, parfois à mort. Parmi les tortures, citons celle où on fait boire au prisonnier de l'eau de Javel. Des viols ont également été commis pendant les perquisitions chez les Algériens de Paris5. En 1973, des ratonnades ont lieu à Marseille. Au Royaume-Uni, de nombreuses ratonnades, appelées là-bas « paki-bashing », ont été commises par des racistes d'extrême droite dans les années 1970 à la suite de la venue d'immigrés pakistanais (« Paki » est un terme informel péjoratif utilisé pour désigner une personne d'origine pakistanaise). En Espagne, des ratonnades eurent lieu suite aux attentats du 11 mars 2004 à Madrid, plus précisément en Andalousie. En revanche, le phénomène de ratonnade exercée par des citoyens ordinaires a été également très important. Il est notamment, mais pas seulement, le fait de skinheads néonazis, comme Blood & Honour appelant à la violence contre les immigrés. Un des derniers exemples en France fit un mort6. Citer Link to post Share on other sites
Guest L'étrangère Posted October 17, 2013 Partager Posted October 17, 2013 Portrait de la martyre Fatima Bedar ; une lycéenne de 15 ans jetée par la police dans le canal Saint-Denis à Paris lors des manifestations d’Octobre 1961. La martyre Fatima Bedar est née le 5 août 1946 à Béjaia (acte de naissance n° 174). Elle est d’une famille modeste. Son père a émigré en France pour y travailler et subvenir aux besoins de la famille. C’est en 1951, alors âgée de 5 ans, que la petite Fatima quitte son Béjaia natal en compagnie de sa mère pour rejoindre son père. Celui-ci est ouvrier salarié chez Gaz de France. Sa mère, illettrée, est femme au foyer. Durant la seconde guerre mondiale, le père de Fatima a été mobilisé. Il a été fait prisonnier par les Allemands mais réussit à s’évader. Ensuite il rejoint son bataillon et part faire la campagne d’Italie. Il est démobilisé en 1945. La famille Bedar habite d’abord la ville de Sarcelles avant de la quitter pour Stains- Saint Denis. Après l’école, Fatima, aînée de la famille, aide de ses petites mains sa mère dans les tâches ménagères. A vrai dire, elle s’occupe surtout de son frère cadet et de ses petites sœurs. Fatima fait ses études au collège commercial et industriel féminin, sis à la rue des Boucheries à Stains. Elle n’a que 15 ans en cette année 1961. En cette journée du 17 Octobre, sa mère lui demande de revenir le plus tôt possible à la maison pour garder son frère et ses sœurs car les parents devraient se rendre à la manifestation, décidée par les frères. Fatima, mécontente du rôle que sa mère lui attribue s’y oppose. Elle exprime fermement à ses parents son désir de les accompagner. « II n’en est pas question ! », lui rétorquent-ils avec autorité. C’est alors la grande dispute. L’accrochage de Fatima a lieu surtout avec sa mère. Après le départ des parents, Fatima décide de sortir pour aller à la manifestation. Sa petite sœur Louisa la voit partir en courant. Le soir venu, Fatima ne rentre pas à la maison. Le lendemain non plus. Les jours suivants, non plus. Les recherches parentales sont vaines. Puis un soir, le paternel rentre à la maison avec le cartable de sa petite Fatima tant chérie. Le 31 octobre on retrouvera finalement le corps sans vie de Fatima dans les profondeurs du canal de Stains. Ce sont les ouvriers chargés du nettoyage de la grille de la 7e écluse du canal qui font la macabre découverte. Le frêle corps était retenu par la grille d’une turbine. Le 17 octobre 2006, soit 45 ans après sa mort, les restes du corps de la martyre Fatima Bedar sont ramenés à sa terre natale. C’est au cimetière du village qu’elle a été à nouveau inhumée.biographie de la jeune victime Fatima Bédar Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted October 17, 2013 Author Partager Posted October 17, 2013 NON ON OUBLI RIEN L'ETRANGERE sauf qu"aujourdhui est le jour du 17 octobre 1961 Cap Falestine a partagé la photo de Cap Falestine. il y a 15 heures « 17 octobre 1961, ici on noie les Algériens » par Comité Action Palestine (octobre 2013) « Même si il est rarement reconnu comme tel, il s’agit dans toute l’histoire contemporaine de l’Europe occidentale, de la répression d’Etat la plus violente et la plus meurtrière qu’ait jamais subie une manifestation de rue désarmée. Le nombre de victimes serait supérieur à celui de la place Tiananmen à Pékin en 1989 »* Alors que les négociations pour l’indépendance de l’Algérie sont ouvertes à Evian depuis mai 1961, la répression de l’Etat français contre les militants du FLN en France s’intensifie et atteint son paroxysme en septembre-octobre 1961. Le 17 octobre 1961, la Fédération de France du FLN invite la communauté algérienne de Paris à une manifestation pacifique pour protester contre les mesures de couvre-feu instaurées depuis le 5 octobre par le préfet de police Maurice Papon. Malgré l’interdiction de la manifestation, ce sont 30000 à 40000 Algériens - hommes, femmes, enfants - qui se mobilisent et se retrouvent sans défense face à des milliers de policiers. C’est alors le carnage, la répression est sanglante et sans limites. Plus de 12000 manifestants sont sauvagement arrêtés, torturés, certains sont jetés à la Seine. Les jours suivants, les rafles se multiplient. Des centaines d’Algériens sont expulsés. Alors que les officiels font état de 3 décès, le nombre des morts et des disparus s’élève selon de nombreuses sources à plusieurs centaines. Et pourtant ce massacre odieux sera occulté pendant plus de 50 ans, aucune enquête ne sera diligentée et ce crime reste jusqu’à ce jour impuni. En novembre 2012, François Hollande déclare reconnaître les faits, mais ne se prononce pas sur la responsabilité de l’Etat français. La France de 1961, c’est la France de l’oppression coloniale, celle de la guerre d’Algérie, celle qui met en œuvre les mêmes méthodes racistes et criminelles contre la Résistance en Algérie et la population immigrée en métropole, les considérant toutes deux comme des menaces pour l’intégrité de la République française. Pourtant 50 ans plus tard, rien n’a changé dans le rapport que la République française entretient vis-à-vis de ceux qui sont originaires de son ancien empire colonial. Rien ne peut changer en effet, puisque la politique impérialiste française et sa mission dite « civilisatrice » - basée sur des conceptions racistes - sont des éléments constitutifs de la Nation française. En témoigne la « Marche pour l’Egalité et contre le Racisme » dont nous célébrons cette année le 30ème anniversaire. Vingt ans après octobre 1961, les fils et les filles de ceux que la République française avait massacrés, se levèrent à leur tour pour dire « stop aux crimes racistes et réclamer l'égalité et la justice ». La République traita alors leurs revendications avec le même mépris que le colon vis-à-vis du colonisé. Adoptant la stratégie de “diviser pour mieux régner”, elle s’appliqua, par des manœuvres politiciennes, à phagocyter le mouvement- notamment via la création de SOS-Racisme- à le discréditer et à l’entraîner vers l’oubli. En témoigne aussi les mesures répressives de type colonial, mises en place lors du soulèvement des jeunes des quartiers populaires en 2005. L’état d'urgence, procédure rarissime, fut décrété pour 12 jours. Le couvre-feu, pratique phare de la « guerre contre-insurrectionnelle » contre les résistants algériens pendant la bataille d'Alger, puis en France en octobre 1961, fut imposé dans plusieurs villes. Non rien n’a changé. Depuis 50 ans la France conserve cette approche coloniale et raciste, élément structurel de la République française, permettant de tirer économiquement profit des classes sociales les plus défavorisées – indigènes dans les colonies ou classes populaires issues de l’immigration – tout en réprimant sévèrement toute revendication d’égalité, d’indépendance, voire de soutien à l’indépendance des peuples. Au-delà de nos frontières, la politique interventionniste de la France en Irak (1991), Afghanistan (2003), Lybie (2011), Mali (2012) et sa volonté farouche d’intervenir en Syrie relève des mêmes mécanismes. L’impérialisme, « stade suprême du capitalisme », est un système barbare d’asservissement des peuples pour contrôler les ressources. Nous, Comité Action Palestine, qui soutenons la résistance palestinienne contre le colonialisme juif en Palestine, réaffirmons que les liens inconditionnels entre l’Etat français et l’entité sioniste s’expliquent par des intérêts communs pour mener à bien cette politique coloniale et raciste. Nous tenons à rendre un profond hommage à toutes les victimes de cette politique et à tous ceux qui se sont levés, comme en Octobre 1961, et continuent à le faire pour lutter contre l’oppression. * le 17 octobre des Algériens, Marcel et Paulette Péju, 2011, Ed° la Découverte. Citer Link to post Share on other sites
Guest L'étrangère Posted October 18, 2013 Partager Posted October 18, 2013 Il est possible que l'on apprenne d'avantage sur une société en considérant ce qu'elle ne commémore pas que ce qu'elle commémore. Les Algériens sont trop occupés à détester les leurs pour garder en mémoire les méfaits des colons. Ils détestent l'Islam alors que la religion du colon est le catholicisme, ils détestent les Arabes alors que le colon est occidental Ils détestent Ramadan, el'Id et fêtent noël Ils détestent l'Algérienne Arabe et musulmane et sont fières de nous ramener la fille des colons pour acheter nos terres. Un peuple Madloul donc j'ai vraiment honte, je préfère l'Arabie tant haït, je serai fière d'échanger ma nationalité Algérienne contre celle de l'Arabie. Les algériens haïssent l'immigré qu'ils envient et non pas le colon. Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted October 18, 2013 Author Partager Posted October 18, 2013 Il est possible que l'on apprenne d'avantage sur une société en considérant ce qu'elle ne commémore pas que ce qu'elle commémore. Les Algériens sont trop occupés à détester les leurs pour garder en mémoire les méfaits des colons. Ils détestent l'Islam alors que la religion du colon est le catholicisme, ils détestent les Arabes alors que le colon est occidental Ils détestent Ramadan, el'Id et fêtent noël Ils détestent l'Algérienne Arabe et musulmane et sont fières de nous ramener la fille des colons pour acheter nos terres. Un peuple Madloul donc j'ai vraiment honte, je préfère l'Arabie tant haït, je serai fière d'échanger ma nationalité Algérienne contre celle de l'Arabie. Les algériens haïssent l'immigré qu'ils envient et non pas le colon. Bonjour L'etrangere J'aime beaucoup ton constat C'est ce que nous, nous disons sur nous meme C'est ce que nous constatons tien un video sur le 17 octobre 1961 ici on noie les algeriens documentaire [YOUTUBE]WvSZUi_1hL0[/YOUTUBE] Citer Link to post Share on other sites
Guest L'étrangère Posted October 19, 2013 Partager Posted October 19, 2013 Beaucoup de monde s'est précipité sur ce topic :mdr: Imaginez que nous aillons un ennemi, moi je me bats pour vous sauver, que vous soyez enfin libre, une fois que j'ai été tuée, torturés, vous et cet ennemi menez la belle vie ensemble, riez, déjeunez, reformez un couple comme si rien s'était passé. Le pire vous les ramenez acheter nos terres et peupler notre pays de leurs enfants. Quelle humiliation et double mort pour nos chouhadas. Non seulement cela touche le pays mais aussi l'Islam. En écrivant ça je me suis rendue compte que les Algériens sont un peuple qui n'en vaut pas la peine. Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted October 19, 2013 Author Partager Posted October 19, 2013 Beaucoup de monde s'est précipité sur ce topic :mdr: Imaginez que nous aillons un ennemi, moi je me bats pour vous sauver, que vous soyez enfin libre, une fois que j'ai été tuée, torturés, vous et cet ennemi menez la belle vie ensemble, riez, déjeunez, reformez un couple comme si rien s'était passé. Le pire vous les ramenez acheter nos terres et peupler notre pays de leurs enfants. Quelle humiliation et double mort pour nos chouhadas. Non seulement cela touche le pays mais aussi l'Islam. En écrivant ça je me suis rendue compte que les Algériens sont un peuple qui n'en vaut pas la peine. SALAM L'ETRANGERE Le pire vous les ramenez acheter nos terres et peupler notre pays de leurs enfants. Quelle humiliation et double mort pour nos chouhadas. Non seulement cela touche le pays mais aussi l'Islam. C'est une belle verité Ce qui a ete signé au accords d'evian des'honore les chouhadas Et nous les Algeriens vivant aujourdhui et ne comprenons pas ou plus ni notre peuple ni notre etat ni NOTRE IDENTITE ET SON UNITE ON A QUELQURES PART ETE TRAHIT ET QUI MENE LA DANSE? LA TRAHISON ET SES ADHERENTS Citer Link to post Share on other sites
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