letempsquipasse 10 Posted June 27, 2008 Partager Posted June 27, 2008 Fresque De l’Histoire D’une Nation Prise En Otage Par LETEMPSQUIPASSE :egypt: De l’Epoque coloniale : 1830 Les gens soumis à un joug longtemps enduré de ces félons, Passant d'un monde paisible à la garde de tous ces colons. Terres fertiles spoliées, même celles des biens en héritage. Contraints à travailler sans rien des parts mises en gages. Aux indigènes, il est fait des discours d’une vie meilleure, A toutes ces occasions ne sont servies que piètres leurres, Avec le temps, leur contenu s’est avéré bien des gageures. Les apparences, leurs apparats souvent sont bien rageurs. De l’Epoque du Nationalisme : 1926-1954 1926, de L’étoile Nord Africaine, la graine est en gestation Du nationalisme Algérien. Conscience est prise de la notion «Indépendantiste national». De la «Ghourba», déjà ceux là, Aidés du PCF, une idée nouvelle : l’identité nationale est là. De La Guerre d’Algérie Et Ses péripéties Las, en supportant insultes, avanies, aussi des malédictions. Méditant et préparant dans le secret le jour de la libération. Messali Hadj, les Ulémas, Boudiaf et encore bien des gens, Déterminés le colon combattre. Le chasser aussi ses agents. Réunions et palabres la décision arrêtée faire la révolution. 1954, Brisant net le carcan, partant faire pour la libération. Valeureux au combat, l’ennemi supérieur mais en démolition. Si âpre se déroule la révolution, alors l’exemple aux nations. Août 56, congrès à la Soummam. Abane Ramdane l’assurer ; Le civil prévaloir sur le militaire. Du GPRA, F.Abbas en est Le président en titre nommé. La révolution est bien orientée. Des décisions sont arrêtées, tout doit alors mieux continuer. 1959, Charles De Gaulle à la tête de la Vième République. La France bloquée, son économie vacillante, si bien inique. Les nations outrées, à l’ONU débattant de toute la question, J.F.Kennedy, N. Kroutchev, exiger dès lors libérer la nation En 59-60, trompés et abusés, des compagnons s'entretuèrent. Chahids s’évitant assurément la honte d’une vie, ses misères. Actes de trahisons, déceptions furent aux derniers moments, La médaille alors ternissant, apparût son revers pas brillant. 1960 la révolution bien menacée, FLN très affaiblis, en appel. Le peuple doit manifester. Bravement une réponse à cet appel. La France acculée, aux soldats leur est donné l’ordre de tirer. Des martyrs et leur courage, en admiration le monde en entier. La France, plans ourdis déjà prêts pour la postindépendance S’engagea pour aller aux pourparlers. En première instance, Les accords à Evian. Seddik Benyahia étant là, le tout mener, Exigeant à sa place la moindre virgule. 18 Mars en Terminer. De L’indépendance : Le 5 Juillet 62 Son indépendance acquise, le peuple se mît à la liesse, Longtemps durant, les discours ne sont que promesses. Passé le temps, le voila encore tomber dans des nasses, Contraint à vivre, et endurant bien toutes les impasses. Vingt cinq ans d'espoirs mais toujours des remises en cause, jeunesse errant, échec scolaire, chômage, en sont les causes. Pays d'outremer espérés en un recours pour une vie décente, Ali au pays des merveilles, les rêves finissant sur les pentes. Du 5 Octobre 88 Bien des gens à se prévaloir de la guerre et son maquis, La course à la puissance, prenant des biens mal acquis. Concept de la démocratie introduit calmant les ardeurs. Responsables mal intentionnés, jouant jeu des farceurs. De colère impuissante, le peuple en pense une revanche, Ne se doutant point en préparation une autre avalanche. Entraîné malgré lui, manifestant encore à cette occasion. Se nourrissant de l'espoir en foi pour la bonne libération. Bien mal lui en prît, car était exigé une légale autorisation, La forteresse prît peur ordre fût donné de passer à l'action, L'aveuglement eût ses résultats et tant de jeunes en mutilation. Jeunesse égarée l’avait décidée : devenir soldats de la religion. De Janvier 92 Elections annulées pour cause un peuple pas assez préparé. Complot ourdi contre les gens pour en être ainsi massacrés. Tuerie et barbarie apparue dès lors en ce malheureux pays. Le peuple en solitude décidé pour lutter face à ces incuries. Massacres inouïs à Bentalha, Reîs, là est le triangle de la mort. Le peuple étranglé le monde en est effaré, ainsi semée la mort. Bien des gens indifférents entassant argent biens et des fortunes, Jamais si bonne occasion, déshumanisés, la situation opportune. Bien des doutes la consternation. Question posée qui tue qui ? Embarras, explications, imbroglios nul ne sachant alors qui ! Nations observant mais très peu s’engager, ne rien formuler. Silences complices laisser ce peuple massacrer, laisser aller. L'angoisse gagnant les gens craignant toutes les férocités, Peurs abjectes et tourments ainsi naissants en chaque cité. A double tour, bien enfermés, gens malgré tout découverts Il se passât alors ces horreurs bouleversant tout l’univers. Des temps Actuels L'accalmie faisant suite aux évènements de cette histoire, Heureux et malheureux en nourrissant encore de l'espoir. A ce cruel destin d'imposer à chaque temps de ses œuvres, Du malheur des uns, bien le bonheur des autres s'en ouvre. Enchaînés, surveillés, personne ne parvient à y faire. De sorte que, contraints à regarder malgré tout faire. Seul et s'adressant à Dieu, chacun se met en des prières. Incidemment, tous subissant cette mal vie tels des hères. A toute histoire malgré tout est réservée une bonne fin. Au temps laissons lui faire, les chaînes briseront enfin. Sur ce pays, de nouveau le soleil, ses rayons darderont, Aux gens de ce pays joie et bonheur, à l'éternité seront. Citer Link to post Share on other sites
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