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LES ACQUIS ,LES SALARIES LES SYNDICATS ET LEURS PATRONS ET LES REPROCHES A LEURS SOCIETES


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« Jamais nous ne tolérerons que soit rogné un seul des avantages de la Sécurité sociale. »

Ambroise Croizat

Michel Etiévent,notre ami, a écrit l'article ci-dessous dans l'Humanité du 29 octobre, et nous savons qu'il ne nous en voudra pas de le reproduire ici !

« Il ne peut y avoir de politique efficace sans l’accompagnement fort des gens.» Ambroise Croizat

« Il ne peut y avoir de politique efficace sans l’accompagnement fort des gens.» Ambroise Croizat

L’œuvre sociale d'Ambroise Croizat

 

PAR MICHEL ETIÉVENT, HISTORIEN.

 

L'extrême discrétion de l’histoire officielle et des médias sur la place et l’œuvre d’Ambroise Croizat tient non seulement à l’étiquette « communiste » du « ministre des Tra*vailleurs », mais surtout à la dérangeante modernité de son combat et de son mes*sage politiques à l'heure de la casse de ses « conquis » sociaux et du renoncement du gouvernement à une politique à hauteur de dignité d’homme. Il faut chercher la modernité du personnage (dont l’œuvre est évidemment non séparable de l’inven*tion sociale portée par le programme du CNR et le peuple de France) dans le choix d'une politique exclusivement centrée sur l'humain. Ce qui caractérise l’œuvre de Croizat et celle des ministres communistes de 1945 à 1947 est bien dans la volonté de placer d'emblée l’homme au centre de tous leurs choix politiques [Maintenant nous disons L'Humain avant tout, Ndlr]. L’ouverture de son discours à l'Assemblée nationale le 27 novembre 1945, en est l’illustration :

« Désormais, déclara-t-il, dans toutes les phases de sa vie, nous mettrons définiti*vement l’homme à l'abri du besoin. Nous en finirons avec les angoisses du lende*main. » Un autre critère de modernité est à saisir dans la volonté de lier tout « dé*veloppement économique de qualité » à la hauteur des besoins d’une nation à un « statut social » à la hauteur des besoins des hommes. Ce postulat extrêmement novateur commande l’ensemble des ré*formes progressistes initiées par Croizat et les autres ministres communistes. Il tient dans une « sécurisation » totale du travailleur et de sa famille sur l’ensemble de leurs parcours de vie. La revendication d'une enfance digne tout d’abord par le triplement du montant des allocations familiales, l'attribution, pour la première fois au monde, d’une prime prénatale, de l'allocation de salaire unique, du double*ment du congé maternité... Cette sécuri*sation du chemin de vie se prolonge au fil de l’adolescence par une volonté de formation professionnelle performante (Afpa, centres d’apprentissage...) puis, dès l'entrée au travail, par l’attribution d'un salaire décent, la mise en place de conventions collectives protectrices, une véritable protection dans l’entreprise par la création des CHSCT, de la prévention, de la reconnaissance des maladies profes*sionnelles, l’instauration de la médecine du travail et bien sûr d’une protection so*ciale financée par les richesses créées dans l'entreprise et gérée par les travailleurs eux-mêmes. Ce vrai « statut social » du travailleur s'affirme également par la vo*lonté de l'associer étroitement à la gestion et à l'avenir de l’entreprise par la création des CE et de faire de l’individu un citoyen, un acteur de son outil de travail. Cette ambition de citoyenneté se retrouvera ainsi dans l’instauration du statut des mineurs, des électriciens et gaziers et dans celui de la fonction publique qui, pour la première fois, permet une vraie participation du travailleur à l’organisation de sa carrière et au fonctionnement des services publics par l'institution d’organismes paritaires. Cette « sécurité sociale » au sens glo*bal, appliquée à tous les instants de vie, s'achève enfin dans le droit à une retraite décente. Il faudrait également rechercher la modernité des ministres communistes et de Croizat dans une pratique de proxi*mité constante avec la base. « Nous étions en permanence sur le terrain, organisant des réunions dans les municipalités, les entreprises, en contact direct avec les travailleurs. Nous les écoutions, nous rapportions toutes leurs doléances, leurs propositions pour les transformer en dé*crets ou en lois. Il ne peut en effet y avoir de politique efficace sans l’accompagne*ment fort des gens », soulignait Croizat en 1946 [Cela nous rappelle le fonctionnement de notre député André Chassaigne, Ndlr ].

Enfin, autre critère de modernité et non des moindres : la volonté constante de mener de pair deux politiques. L’une faite de satisfaction immédiate des besoins des travailleurs (c’est le sens des fortes augmentations de salaire, de la loi sur les heures supplémentaires, de la hausse de toutes les prestations familiales), l’autre porteuse de grandes idées transforma*trices de la société à long terme, à l’image de l'instauration de la Sécurité sociale, des plans de nationalisation, des statuts sociaux nouveaux.

On comprend dès lors, à la lueur de ces innovations, combien le rappel de cette actualité brûlante est dangereux pour les pouvoirs actuels en place alors que se poursuivent toutes les régressions sociales et le détricotage des « conquis » hérités du CNR.

Plus que ja*mais les multiples attaques, qu’elles vien*nent du gouvernement ou d’un patronat « détricoteur d’acquis », requièrent nos mobilisations.

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VOICI COMMENT SE COMPORTENT LES ETATS

 

 

 

La Commission européenne contredit Hollande sur le chômage

Le Point.fr - Publié le 05/11/2013 à 16:39 - Modifié le 05/11/2013 à 17:22

Contrairement à Paris, qui continue d'affirmer que la courbe du chômage s'inversera à la fin de cette année, la Commission voit le chômage continuer à augmenter jusqu'à 2015.

 

François Hollande.

 

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De NOTRE CORRESPONDANT À BRUXELLES, ALAIN FRANCO

À la une du Point.fr

 

INFOS:

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La PME Borloo rachète la TPE Bayrou

 

C'est une nouveauté, et qui est à mettre au crédit de l'amélioration de la gouvernance économique dans la zone euro : la France et la Commission européenne ont des prévisions identiques de croissance : 0,9 % l'an prochain et 1,7 % en 2014, après 0,2 % cette année. "C'est une bonne nouvelle", s'est réjoui Olli Rehn, vice-président de la Commission. Contraint par les accords européens à plus de sérieux, Paris n'est plus au temps où l'on améliorait ses prévisions pour des raisons de politique interne. Au chapitre des nouvelles positives venues de Bruxelles, on retiendra aussi la baisse du déficit structurel des comptes publics, sur lequel Olli Rehn affirme vouloir se concentrer : en deux ans, la réduction de ce déficit hors conjoncture a atteint 1,75 point de PIB.

 

Mais pour le reste, pas de quoi pavoiser. Car le déficit public "nominal" tel qu'on a l'habitude de le calculer, et qui fait foi dans les critères de Maastricht, devrait atteindre 3,8 % en 2014 et 3,7 % en 2015, soit bien au-delà des 3 % fixés par les dirigeants eux-mêmes des Vingt-Huit comme objectif pour chaque État membre. La dette nette de la France n'en finit pas de grimper : 95,3 % du PIB fin 2014, 96 % en 2015. C'est plus que les prévisions de Bercy.

 

Mais c'est sans doute sur le front de l'emploi que la divergence entre Paris et Bruxelles se fait le plus sentir. Car contrairement à l'Élysée et à Bercy, qui continuent d'affirmer que la courbe du chômage s'inversera à la fin de cette année, la Commission voit le chômage continuer à augmenter jusqu'à 2015, passant en deux ans de 11 % à 11,3 %. La France n'est pas un cas isolé. D'autres pays comme la Belgique, l'Espagne, le Portugal, l'Espagne, la Grèce voient leur courbe du chômage en hausse constante malgré des signes de reprise de l'activité économique. "C'est préoccupant", reconnaît-on au siège de la Commission, en pointant du doigt le manque de compétitivité des entreprises, le manque de souplesse du marché du travail, les freins à l'investissement et des banques toujours frileuses pour accorder des crédits.

 

"Confiance partielle"

 

Il y a peu, la Commission européenne, chargée par les Vingt-Huit de jouer le rôle de gendarme budgétaire, avait donné deux ans de répit à la France pour descendre à 2,8 % de déficit nominal. "Pour la France et l'Espagne, où le besoin de réformes économiques est d'une urgence et d'une importance particulières, nous avions proposé de prolonger de deux ans la correction du déficit excessif, précisément pour donner un peu d'oxygène et en comptant sur ces pays pour qu'ils fassent des réformes économiques sérieuses et efficaces pour améliorer la compétitivité, la croissance et l'emploi", rappelle Olli Rehn.

 

La Commission dira la semaine prochaine si le projet de budget français pour 2014 répond à ce donnant-donnant. On sait déjà qu'Olli Rehn n'est pas franchement satisfait de la réforme des retraites. Mais le "shérif de l'euro" doit trouver un équilibre entre la nécessité de pousser la France aux réformes pour assainir ses comptes publics et le risque de trop exposer les carences françaises aux yeux des marchés, qui se sont calmés, certes, mais qui n'ont retrouvé qu'une "confiance partielle" dans les pays de la zone euro. À Bruxelles, on assure que l'arbitrage ne sera fait qu'en dernière minute. Le téléphone n'a pas fini de sonner entre Olli Rehn et Pierre Moscovici.

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Et si pour garder intacts tes avantages sociaux

On doit couper dans les logements subventionnés

Les soins aux malades

Les infrastructures routières

l'éducation

 

Tu t'en fout toi hein!

Tout ce qui compte c'est que ton petit pécule reste intact pour te permettre au moins une fois l'an de retourner ou tu es né pour déblatérer sur le pays qui te permet de le faire.

 

Egocentrique jusqu'à la moelle!

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Et si pour garder intacts tes avantages sociaux

On doit couper dans les logements subventionnés

Les soins aux malades

Les infrastructures routières

l'éducation

 

Tu t'en fout toi hein!

Tout ce qui compte c'est que ton petit pécule reste intact pour te permettre au moins une fois l'an de retourner ou tu es né pour déblatérer sur le pays qui te permet de le faire.

 

Egocentrique jusqu'à la moelle!

Et toi radine comme toujour et TRES AVARE

JOUANT LE POT DE FER CONTRE LE POT DE TERRE

MAIS TU NE FAIS PAS LE POIDS

 

on a ete a l'ecole et on a enfin des ides et des avis

et aussi des strateges

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Guest L'étrangère
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Cette affiche est très vraie.

 

A l'université ils apprennent que le but de la politique actuelle est de paupériser les citoyens.

 

J'ai vu une émission envoyé spécial sur les nouveaux riches, ils disaient que ces 10 dernières leur fortune a beaucoup augmentés.

 

C'est toujours les plus pauvres qui trinquent.

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Guest L'étrangère
Se moquer des gens en fonction de leur âge, c'est Hallal dis?

Il doit certainement manquer des pages à mon Coran!

 

Elle est où la moquerie Hurlevent ? Granny veut dire grand mère simplement.

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Se moquer des gens en fonction de leur âge, c'est Hallal dis?

Il doit certainement manquer des pages à mon Coran!

Non a ton esprit

Car imagine si on t'aurais mis comme enseignant tu metrais plein de gens en faux

 

IMAGINE

TON ESPRIT CONCERNANT L4ISLAM

L'ARABITE ET LES MUSULMANTS EGALEMRENT L'IMMOIGRATION

ET QUE TU ENSEIGNE LA SOCILOGIE OU UNE MATIERE OU IL FAUT QUE TU CONSIDERES CES NOTIONS

 

ON SERAIS PAS DANS LA MERDE

AVEC TOI

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