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SALAM

 

beaucoup de gens de tout age devant les difficultés amoureuses, sociales ou autres,ne trouve rien de mieux a faire que de se suicider.quel que soit les problèmes est ce la seule solution ?...

personnellement je trouve que c'est lache de se suicider.ces gens-la pensent-ils a la souffrance qu'ils occasionnent a leurs familles,amis et entourage !

j'ai trouvé ce texte qui vous interessera surement si jamais vous voulez passer a l'acte.

 

 

 

 

Si vous pensez au suicide

lisez d'abord ceci

 

 

 

Si vous vous sentez suicidaire, arrêtez-vous pour lire ce qui suit.

Cela ne vous prendra que cinq minutes.

Je ne veux pas vous dissuader de la réalité de votre souffrance.

Je ne vous parlerai ici que comme quelqu'un qui sait ce que souffrir veut dire.

 

Je ne sais pas qui vous êtes, ni pourquoi vous lisez cette page.

Je sais seulement qu'en ce moment, vous la lisez, et c'est déjà une bonne chose.

Je peux supposer que vous êtes ici parce que vous souffrez et que vous pensez à mettre fin à votre vie.

Si cela était possible, je préférerais être avec vous en ce moment,

m'asseoir avec vous et parler, face à face et coeur ouvert.

Mais puisque ce n'est pas possible, faisons-le par la biais de cette page.

 

J'ai connu un certain nombre de personnes qui voulaient se tuer.

J'ai moi-même été dans ce cas.

J'ai donc idée de ce que vous pouvez sentir.

Je sais que vous n'êtes pas capable de lire un gros livre, alors je vais faire court.

Pendant que nous sommes ici ensemble pour les cinq prochaines minutes,

j'ai cinq choses simples, pratiques, à vous dire et que j'aimerais partager avec vous.

Je ne discuterai pas de savoir si vous devriez vous tuer ou pas.

Je pense juste que si vous y pensez, vous devez vraiment souffrir.

 

Bien, vous lisez encore ce texte, et c'est très bon.

J'aimerais vous demander de rester avec moi jusqu'à la fin de cette page.

J'espère que cela veut dire que vous êtes au moins un peu incertain,

au fond, quelque part à l'intérieur de vous,

de savoir si oui ou non vous allez vraiment mettre fin à votre vie.

On ressent souvent cela, même dans l'obscurité la plus profonde de désespoir.

Etre dans le doute concernant sa mort, c'est normal.

Le fait que vous êtes encore vivant à cette minute signifie

que vous êtes encore un peu incertain.

Cela veut dire que pendant que vous voulez mourir, au même moment,

une partie de vous-même veut continuer à vivre.

Tenons-nous à cela, et continuons quelques minutes de plus.

 

Commencez par penser à cette phrase :

"Le suicide n'est pas un choix,

on y est conduit quand la douleur dépasse les ressources qui permettent d'y faire face."

Dans le suicide, il ne s'agit que de cela.

Vous n'êtes pas une personne haïssable, ou folle, ou faible, ou incapable,

parce que vous vous sentez suicidaire.

Avoir des idées noires ne veut même pas dire que vous voulez vraiment mourir

cela veut juste dire que vous avez plus de douleur que de ressources

pour la prendre en charge maintenant.

Si j'empile des poids sur vos épaules, vous vous écroulerez au bout d'un moment

si j'ajoute suffisamment de poids... quelle que soit votre volonté de rester debout.

(C'est pourquoi il est si inutile que les gens vous disent :

"debout, garde le moral!" - vous le feriez, évidemment, si vous le pouviez.)

 

N'acceptez pas que quelqu'un vous dise,

"il n'y a pas de quoi être suicidaire pour cela."

Il y a différentes sortes de souffrances qui peuvent mener au suicide.

Qu'une douleur soit supportable ou non diffère d'une personne à une autre.

Ce qui peut être supportable pour quelqu'un peut ne pas l'être pour vous.

La limite où la douleur devient insupportable dépend du genre de ressources

dont vous disposez.

Les individus sont très différents dans leur capacité à supporter la douleur.

Quand la douleur dépasse les ressources qui permettent d'y faire face,

le résultat, ce sont des pensées suicidaires, des "idées noires".

Le suicide n'est alors ni faux ni vrai; ce n'est pas un défaut de caractère;

il n'y a pas à le juger moralement.

C'est simplement un déséquilibre de la douleur par rapport aux ressources qui permettent de les affronter.

Vous pouvez survivre à des sentiments suicidaires si vous faites l'une ou l'autre de ces deux choses:

(1) Trouver un moyen pour réduire la douleur,

ou

(2) Trouver un moyen pour augmenter vos ressources pour y faire face.

Ou les deux à la fois.

 

Voici les cinq choses à prendre en considération dont je vous parlais tout à l'heure.

 

 

1- La première chose que vous avez besoin d'entendre, c'est de savoir qu'on s'en sort.

Des personnes qui souffraient autant que vous en ce moment, s'en sont sorties.

Vous avez donc de très fortes chances de vous en sortir.

J'espère que cette information peut vous donner un peu d'espoir.

 

2- La deuxième chose que je veux vous suggérer est de vous donner du recul.

Dites-vous, "j'attendrai 24 heures avant de faire quoi que ce soit." Ou une semaine.

Souvenez-vous que sensations et actions sont deux choses différentes

que vous ayez le sentiment de vouloir vous tuer,

ne signifie pas que vous devez le faire maintenant.

Mettez du recul entre vos sensations suicidaires et un passage à l'acte.

Même si ce n'est que 24 heures.

Vous en avez été capables 5 minutes en lisant cette page.

Vous pouvez le faire encore 5 minutes en continuant à la lire.

Continuez et prenez conscience du fait qu'alors que vous vous sentez encore suicidaire,

vous n'êtes pas, en ce moment, en train d'agir en ce sens.

C'est très encourageant pour moi, et j'espère que cela l'est pour vous.

 

3- La troisième chose est ceci: on pense souvent au suicide

pour trouver un soulagement à sa douleur.

On ne veut pas mourir mais arrêter de souffrir.

Souvenez-vous que le soulagement est une sensation.

Et vous devez être vivant pourla ressentir.

Vous ne sentirez pas le soulagement que vous cherchez si désespérément, si vous êtes mort.

 

4- La quatrième chose est ceci: certains réagiront mal à vos sentiments suicidaires,

parce qu'ils sont effrayés ou en colère;

ces personnes peuvent même augmenter votre douleur au lieu de vous aider,

en dépit de leurs intentions, en disant ou faisant des choses irréfléchies.

Vous devez comprendre que leurs réactions négatives

ont à voir avec leurs propres peurs, pas avec vous.

 

Mais il y a aussi des personnes qui peuvent être avec vous pendant ces moments si difficiles.

Ils ne vous jugeront pas, ne chercheront pas à vous contredire.

Ils feront simplement attention à vous.

Trouvez-en une.

Maintenant.

Utilisez vos 24 heures, ou votre semaine, et dites à quelqu'un ce qui se passe pour vous.

Il est normal de pouvoir un jour demander de l'aide.

Appelez une ligne d'écoute spécialisée

(SOS Suicide Phénix, SOS amitié, appelez un centre spécialisé près de vous...regardez dans l'annuaire),

appelez un psychothérapeute (psychanalyste, psychologue, psychiatre),

quelqu'un qui est capable de vous écouter.

Mais surtout ne portez pas le fardeau supplémentaire d'essayer de vous charger de cela seul.

Juste parler de ce qui vous a conduit là

peut vous enlever une grosse part de la pression qui vous pèse,

et c'est peut-être juste la ressource supplémentaire

dont vous avez besoin pour retrouver l'équilibre.

 

5- La dernière chose que je veux que vous sachiez maintenant est ceci:

les sensations suicidaires sont, dans et par elles-mêmes, traumatisantes.

Après leur disparition, vous avez besoin de continuer à prendre soin de vous.

Commencer une thérapie est vraiment une bonne idée.

 

Bien. il s'est écoulé quelques minutes et vous êtes encore avec moi.

J'en suis vraiment heureux.

Puisque vous avez été jusqu'ici, vous méritez un cadeau.

Je pense que vous devriez vous récompenser

en vous donnant une portion de ressources supplémentaires pour affronter la douleur .

Souvenez-vous, plus haut vers le début de la page,

j'ai dit que l'idée est de s'assurer d'avoir plus de ressources que de douleur.

Alors donnez-vous en une supplémentaire, ou deux, ou dix...!

jusqu'à ce qu'elles surpassent vos sources de douleur.

 

Maintenant, si cette page a pu vous apporter un quelconque soulagement,

la meilleure et la plus grande ressource que vous pouvez trouver,

c'est quelqu'un a qui parler.

Si vous trouvez quelqu'un qui veut écouter,

et si vous lui dites comment vous vous sentez

et comment vous en êtes arrivé là,

vous aurez vraiment augmenté vos ressources.

Heureusement, la première personne que vous choissirez ne sera pas la dernière.

Il y a beaucoup de gens qui aimeraient entendre ce qu'il en est pour vous.

Il est temps de commencer à en chercher une autour de vous.

Et maintenant, j'aimerais que vous appeliez quelqu'un.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Source: David L. Conroy, texte original sur metanoia.org, traduit et modifié par Stéphane Barbery...

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j etais tombee sur ce texte, y a quelques temps et je l ai trouve pas mal fait

 

maintenant, je ne sais pas s il peut reellement aider quelqu un de suicidaire

 

en tout cas, pas de jugement, pas de minimisation, pas de culpabilisation, pas de reproche...si quelque chose doit marcher, c est ca

et je pense que c est ainsi qu on devrait reagir a n importe quelle douleur de l autre

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j etais tombee sur ce texte, y a quelques temps et je l ai trouve pas mal fait

 

maintenant, je ne sais pas s il peut reellement aider quelqu un de suicidaire

 

en tout cas, pas de jugement, pas de minimisation, pas de culpabilisation, pas de reproche...si quelque chose doit marcher, c est ca

et je pense que c est ainsi qu on devrait reagir a n importe quelle douleur de l autre

piètre placebo...

à la rigueur ça peut soulager une déprime mais pour un cas suicidaire sévère, j'en doute fort

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piètre placebo...

à la rigueur ça peut soulager une déprime mais pour un cas suicidaire sévère, j'en doute fort

 

je ne sais pas, parce que je me dis que si un suicidaire tombe dessus, c est que deja il a fait une recherche sur le net. Ca ne serait pas un suicidaire severe mais un qui doute encore

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Guest fouad-inh

Trop long(je l'ai pas lu en entier) pour un suicidaire qui en a marre de la vie,au début Mquidech dit que ces gens doivent penser à leur famille bah je crois qu'il y en a qui se suicident pour ça,pour faire mal a leur famille.

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Trop long(je l'ai pas lu en entier) pour un suicidaire qui en a marre de la vie,au début Mquidech dit que ces gens doivent penser à leur famille bah je crois qu'il y en a qui se suicident pour ça,pour faire mal a leur famille.

 

ou il parle de la famille?

 

mais c est vrai trop long a lire pour quelqu un d angoisse, de deprime

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SALAM

 

beaucoup de gens de tout age devant les difficultés amoureuses, sociales ou autres,ne trouve rien de mieux a faire que de se suicider.quel que soit les problèmes est ce la seule solution ?...

personnellement je trouve que c'est lache de se suicider.ces gens-la pensent-ils a la souffrance qu'ils occasionnent a leurs familles,amis et entourage !

j'ai trouvé ce texte qui vous interessera surement si jamais vous voulez passer a l'acte.

 

 

 

 

Si vous pensez au suicide

lisez d'abord ceci

 

 

 

Si vous vous sentez suicidaire, arrêtez-vous pour lire ce qui suit.

Cela ne vous prendra que cinq minutes.

Je ne veux pas vous dissuader de la réalité de votre souffrance.

Je ne vous parlerai ici que comme quelqu'un qui sait ce que souffrir veut dire.

 

Je ne sais pas qui vous êtes, ni pourquoi vous lisez cette page.

Je sais seulement qu'en ce moment, vous la lisez, et c'est déjà une bonne chose.

Je peux supposer que vous êtes ici parce que vous souffrez et que vous pensez à mettre fin à votre vie.

Si cela était possible, je préférerais être avec vous en ce moment,

m'asseoir avec vous et parler, face à face et coeur ouvert.

Mais puisque ce n'est pas possible, faisons-le par la biais de cette page.

 

J'ai connu un certain nombre de personnes qui voulaient se tuer.

J'ai moi-même été dans ce cas.

J'ai donc idée de ce que vous pouvez sentir.

Je sais que vous n'êtes pas capable de lire un gros livre, alors je vais faire court.

Pendant que nous sommes ici ensemble pour les cinq prochaines minutes,

j'ai cinq choses simples, pratiques, à vous dire et que j'aimerais partager avec vous.

Je ne discuterai pas de savoir si vous devriez vous tuer ou pas.

Je pense juste que si vous y pensez, vous devez vraiment souffrir.

 

Bien, vous lisez encore ce texte, et c'est très bon.

J'aimerais vous demander de rester avec moi jusqu'à la fin de cette page.

J'espère que cela veut dire que vous êtes au moins un peu incertain,

au fond, quelque part à l'intérieur de vous,

de savoir si oui ou non vous allez vraiment mettre fin à votre vie.

On ressent souvent cela, même dans l'obscurité la plus profonde de désespoir.

Etre dans le doute concernant sa mort, c'est normal.

Le fait que vous êtes encore vivant à cette minute signifie

que vous êtes encore un peu incertain.

Cela veut dire que pendant que vous voulez mourir, au même moment,

une partie de vous-même veut continuer à vivre.

Tenons-nous à cela, et continuons quelques minutes de plus.

 

Commencez par penser à cette phrase :

"Le suicide n'est pas un choix,

on y est conduit quand la douleur dépasse les ressources qui permettent d'y faire face."

Dans le suicide, il ne s'agit que de cela.

Vous n'êtes pas une personne haïssable, ou folle, ou faible, ou incapable,

parce que vous vous sentez suicidaire.

Avoir des idées noires ne veut même pas dire que vous voulez vraiment mourir

cela veut juste dire que vous avez plus de douleur que de ressources

pour la prendre en charge maintenant.

Si j'empile des poids sur vos épaules, vous vous écroulerez au bout d'un moment

si j'ajoute suffisamment de poids... quelle que soit votre volonté de rester debout.

(C'est pourquoi il est si inutile que les gens vous disent :

"debout, garde le moral!" - vous le feriez, évidemment, si vous le pouviez.)

 

N'acceptez pas que quelqu'un vous dise,

"il n'y a pas de quoi être suicidaire pour cela."

Il y a différentes sortes de souffrances qui peuvent mener au suicide.

Qu'une douleur soit supportable ou non diffère d'une personne à une autre.

Ce qui peut être supportable pour quelqu'un peut ne pas l'être pour vous.

La limite où la douleur devient insupportable dépend du genre de ressources

dont vous disposez.

Les individus sont très différents dans leur capacité à supporter la douleur.

Quand la douleur dépasse les ressources qui permettent d'y faire face,

le résultat, ce sont des pensées suicidaires, des "idées noires".

Le suicide n'est alors ni faux ni vrai; ce n'est pas un défaut de caractère;

il n'y a pas à le juger moralement.

C'est simplement un déséquilibre de la douleur par rapport aux ressources qui permettent de les affronter.

Vous pouvez survivre à des sentiments suicidaires si vous faites l'une ou l'autre de ces deux choses:

(1) Trouver un moyen pour réduire la douleur,

ou

(2) Trouver un moyen pour augmenter vos ressources pour y faire face.

Ou les deux à la fois.

 

Voici les cinq choses à prendre en considération dont je vous parlais tout à l'heure.

 

 

1- La première chose que vous avez besoin d'entendre, c'est de savoir qu'on s'en sort.

Des personnes qui souffraient autant que vous en ce moment, s'en sont sorties.

Vous avez donc de très fortes chances de vous en sortir.

J'espère que cette information peut vous donner un peu d'espoir.

 

2- La deuxième chose que je veux vous suggérer est de vous donner du recul.

Dites-vous, "j'attendrai 24 heures avant de faire quoi que ce soit." Ou une semaine.

Souvenez-vous que sensations et actions sont deux choses différentes

que vous ayez le sentiment de vouloir vous tuer,

ne signifie pas que vous devez le faire maintenant.

Mettez du recul entre vos sensations suicidaires et un passage à l'acte.

Même si ce n'est que 24 heures.

Vous en avez été capables 5 minutes en lisant cette page.

Vous pouvez le faire encore 5 minutes en continuant à la lire.

Continuez et prenez conscience du fait qu'alors que vous vous sentez encore suicidaire,

vous n'êtes pas, en ce moment, en train d'agir en ce sens.

C'est très encourageant pour moi, et j'espère que cela l'est pour vous.

 

3- La troisième chose est ceci: on pense souvent au suicide

pour trouver un soulagement à sa douleur.

On ne veut pas mourir mais arrêter de souffrir.

Souvenez-vous que le soulagement est une sensation.

Et vous devez être vivant pourla ressentir.

Vous ne sentirez pas le soulagement que vous cherchez si désespérément, si vous êtes mort.

 

4- La quatrième chose est ceci: certains réagiront mal à vos sentiments suicidaires,

parce qu'ils sont effrayés ou en colère;

ces personnes peuvent même augmenter votre douleur au lieu de vous aider,

en dépit de leurs intentions, en disant ou faisant des choses irréfléchies.

Vous devez comprendre que leurs réactions négatives

ont à voir avec leurs propres peurs, pas avec vous.

 

Mais il y a aussi des personnes qui peuvent être avec vous pendant ces moments si difficiles.

Ils ne vous jugeront pas, ne chercheront pas à vous contredire.

Ils feront simplement attention à vous.

Trouvez-en une.

Maintenant.

Utilisez vos 24 heures, ou votre semaine, et dites à quelqu'un ce qui se passe pour vous.

Il est normal de pouvoir un jour demander de l'aide.

Appelez une ligne d'écoute spécialisée

(SOS Suicide Phénix, SOS amitié, appelez un centre spécialisé près de vous...regardez dans l'annuaire),

appelez un psychothérapeute (psychanalyste, psychologue, psychiatre),

quelqu'un qui est capable de vous écouter.

Mais surtout ne portez pas le fardeau supplémentaire d'essayer de vous charger de cela seul.

Juste parler de ce qui vous a conduit là

peut vous enlever une grosse part de la pression qui vous pèse,

et c'est peut-être juste la ressource supplémentaire

dont vous avez besoin pour retrouver l'équilibre.

 

5- La dernière chose que je veux que vous sachiez maintenant est ceci:

les sensations suicidaires sont, dans et par elles-mêmes, traumatisantes.

Après leur disparition, vous avez besoin de continuer à prendre soin de vous.

Commencer une thérapie est vraiment une bonne idée.

 

Bien. il s'est écoulé quelques minutes et vous êtes encore avec moi.

J'en suis vraiment heureux.

Puisque vous avez été jusqu'ici, vous méritez un cadeau.

Je pense que vous devriez vous récompenser

en vous donnant une portion de ressources supplémentaires pour affronter la douleur .

Souvenez-vous, plus haut vers le début de la page,

j'ai dit que l'idée est de s'assurer d'avoir plus de ressources que de douleur.

Alors donnez-vous en une supplémentaire, ou deux, ou dix...!

jusqu'à ce qu'elles surpassent vos sources de douleur.

 

Maintenant, si cette page a pu vous apporter un quelconque soulagement,

la meilleure et la plus grande ressource que vous pouvez trouver,

c'est quelqu'un a qui parler.

Si vous trouvez quelqu'un qui veut écouter,

et si vous lui dites comment vous vous sentez

et comment vous en êtes arrivé là,

vous aurez vraiment augmenté vos ressources.

Heureusement, la première personne que vous choissirez ne sera pas la dernière.

Il y a beaucoup de gens qui aimeraient entendre ce qu'il en est pour vous.

Il est temps de commencer à en chercher une autour de vous.

Et maintenant, j'aimerais que vous appeliez quelqu'un.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Source: David L. Conroy, texte original sur metanoia.org, traduit et modifié par Stéphane Barbery...

 

Je préfère me suicider au lieu de lire ce long texte ...:D

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SALAM

 

beaucoup de gens de tout age devant les difficultés amoureuses, sociales ou autres,ne trouve rien de mieux a faire que de se suicider.quel que soit les problèmes est ce la seule solution ?...

personnellement je trouve que c'est lache de se suicider.ces gens-la pensent-ils a la souffrance qu'ils occasionnent a leurs familles,amis et entourage !

j'ai trouvé ce texte qui vous interessera surement si jamais vous voulez passer a l'acte.

.

 

C'est tout ce qui te tracasse ?

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crois moi, lire ton texte n'aide pas, ... Trop long mon cher.... Trop trop long. J'arriverai pas a le lire. Je l'ai même pas commence.

 

Et faut dire que les textes génériques peuvent pousser un démoraliser au suicide et non pas le sauver. Il faut être très prudent en parlant à quelqu'un qui pense déjà au suicide et envisage de le faire.

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Guest mounir 73
je ne sais pas, parce que je me dis que si un suicidaire tombe dessus, c est que deja il a fait une recherche sur le net. Ca ne serait pas un suicidaire severe mais un qui doute encore

 

le pauvre il aura encore un regret de plus a supporté :D

vu la "petitesse" du texte :D il risque de dormir avant d'avoir fini et se dire bon je vais finir ca demain et ainsi de suite :D

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crois moi, lire ton texte n'aide pas, ... Trop long mon cher.... Trop trop long. J'arriverai pas a le lire. Je l'ai même pas commence.

 

Et faut dire que les textes génériques peuvent pousser un démoraliser au suicide et non pas le sauver. Il faut être très prudent en parlant à quelqu'un qui pense déjà au suicide et envisage de le faire.

SALAM

mon dieu que les gens sont devenus si faineant meme pour lire.....:cool:

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crois moi, lire ton texte n'aide pas, ... Trop long mon cher.... Trop trop long. J'arriverai pas a le lire. Je l'ai même pas commence.

 

Et faut dire que les textes génériques peuvent pousser un démoraliser au suicide et non pas le sauver. Il faut être très prudent en parlant à quelqu'un qui pense déjà au suicide et envisage de le faire.

 

tout de meme pas

surtout que celui ci ne porte aucun jugement et ne nie pas la douleur

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tout de meme pas

surtout que celui ci ne porte aucun jugement et ne nie pas la douleur

 

Ils sont pas personnaliser,

Imagine tu leur parle de la peine que soufrera leurs parents alors qu'ils envisagent se suicider après la perte de leur parents... Ce qui fait que tu les démoralisera encore plus.

 

Quand tu parles a un être qui envisage de se suicider, il faut personnaliser et le comprendre avant tout.

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Ils sont pas personnaliser,

Imagine tu leur parle de la peine que soufrera leurs parents alors qu'ils envisagent se suicider après la perte de leur parents... Ce qui fait que tu les démoralisera encore plus.

 

Quand tu parles a un être qui envisage de se suicider, il faut personnaliser et le comprendre avant tout.

 

ah oui! je parlais du texte copie colle, pas de ce qui est du cru de mquidech.

 

le coup des parents, de ceux qui t aiment, c est sur, c est pas le truc a dire

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Guest Miss angel

la personne suicidaire traine derrière elle , un lourd passé de problèmes et de déprime, il lui parait comme évident de mettre fin à ses jours, comme une ultime réponse à tous ses problèmes, donc arriver à trouver les mots et les raisons pour la faire renoncer à son geste est très délicat et difficile. Une chose est certaine c'est qu'il ne faut jamais minimiser son problème.

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Je pense que les personnes qui décident de mettre fin a leur vie, je pense que ces gens la ont beaucoup de courage...

 

je ne crois pas que ce soit du courage, ni du courage, ni de la lachete

 

je vois ca vraiment comme cela a ete decrit dans le texte, supprimer une souffrance trop grande et qu on ne voit que cette solution

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je ne crois pas que ce soit du courage, ni du courage, ni de la lachete

 

je vois ca vraiment comme cela a ete decrit dans le texte, supprimer une souffrance trop grande et qu on ne voit que cette solution

 

SALAM

 

quelle que soit notre souffrance,il y'a des gens qui souffrent plus que nous sans pour cela mettre fin a leurs jours.

(meme si la vie ne vaut rien,rien ne vaut la vie)citation.

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SALAM

 

quelle que soit notre souffrance,il y'a des gens qui souffrent plus que nous sans pour cela mettre fin a leurs jours.

(meme si la vie ne vaut rien,rien ne vaut la vie)citation.

 

C'est très facile de juger mquidech. "Fet'se3".

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Je pense que les personnes qui décident de mettre fin a leur vie, je pense que ces gens la ont beaucoup de courage...

 

Je pense pareil.

je ne crois pas que ce soit du courage, ni du courage, ni de la lachete

 

je vois ca vraiment comme cela a ete decrit dans le texte, supprimer une souffrance trop grande et qu on ne voit que cette solution

 

Mais sans courage on ne peut pas le faire, même si on pense vraiment que c'est la seule solution.

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