Guest tayiba Posted December 31, 2013 Partager Posted December 31, 2013 :wub: Allah, artiste éternel qui retient nos moments dans les huiles vivantes pleines de mouvements apprends moi les secrets d'une douce aquarelle où j'ose imprimer ma Laila mortelle et lui parler un langage sans mots elle saura m'apaiser depuis son gai tableau Allah, ami qui connais ma douleur prête moi ton talent et tes couleurs j'ai envie de contempler ma Laila sur une toile elle saura m'apaiser avec sa pudeur et son voile :wub: Citer Link to post Share on other sites
Guest tayiba Posted December 31, 2013 Partager Posted December 31, 2013 :wub: il habite un voyage aussi grand que le monde et sa vie toute n'est qu'une pacifique onde un oued oublié aux confins d'un désert où pleurent tendrement de nostalgiques vers esseulé par le courant de l'âge il regarde passer dans le mort paysage le matin moqueur et les ombres du soir où s'entend un écho colportant de l'espoir un jour il partira noyer l'âpre veuvage dans son pays rêvé dans un ultime ancrage il trouvera l'amour comme l'or, l'orpailleur et son cœur s'ouvrira sur un destin meilleur il dira tous ses maux à sa Laila bienheureuse qui pansera sa plaie de sa main guérisseuse il chantera sa joie d'un air de ses vingt ans et elle dansera cette valse d'antan :wub: Citer Link to post Share on other sites
ma kayen walou 10 Posted January 1, 2014 Partager Posted January 1, 2014 :wub::wub::wub: Tu seras aimé le jour où tu pourras montrer ta faiblesse...Sans que l'autre s'en serve pour affirmer sa force :wub::wub::wub: dans le monde réel des humains (et animal et peut être végétal) ca ne fonctionne pas comme ca montrer sa faiblesse aux autres c'est se mettre en situation d'extrême vulnérabilité et c'est tes dangereux pour soit même le plus faible fera des cornes "grounes" s'il se trouve devant une autre personne qu'il pense plus faible que lui (pas tous bien sur) quand Buddha avait compris cette amère vérité il n'a pu trouver refuge que dans la solitude et l'éloignement du monde des gens Citer Link to post Share on other sites
ma kayen walou 10 Posted January 1, 2014 Partager Posted January 1, 2014 ليس لي عندك ما حييت براحٍ *** أنت منى مُمَكنُ في السواد إن تكن راضياً عليّ فإني *** يا مُنى القلب قد بدا إسعادي Citer Link to post Share on other sites
Guest tayiba Posted January 1, 2014 Partager Posted January 1, 2014 :wub: je m'approprie tes lignes en espérant y trouver un signe j'imagine que tu me les dédicaces pour ne pas avoir à me les dire en face je butine le suc de tes écrits ta douce poésie embaume ma vie même si c'est un délire te lire me lie à toi merci pour tes sourires et tes mots où je me noie :wub: Citer Link to post Share on other sites
Guest coucou19 Posted January 1, 2014 Partager Posted January 1, 2014 Je demeure attaché à celle dont l’amour Est bien l’équivalent de vingt pèlerinages, Je n’ai toujours pas compris son intense passion, Et je ne puis davantage la supporter! Mon œil ne fut pas apte à jeter un regard Sur la beauté parfaite émanant de sa face. Pas plus que mes oreilles n'entendirent jamais Proclamer la mention qu'on aurait fait d'elle. Jusqu’au jour où je vis pendant un face à face Le fulgurant éclair jaillissant du Vivant. Il m'a comblé un jour, m'accordant Ses bienfaits Et montré Son courroux pour le reste du temps! Ibn ‘Arabi, in Traité de l’Amour (Le Livre des Conquêtes Spirituelles Mecquoies), Traduit par Maurice Gloton. Citer Link to post Share on other sites
ma kayen walou 10 Posted January 1, 2014 Partager Posted January 1, 2014 merci pour le partage des textes (tayiba & toi) plus pour les images, t'as un excellent gout Citer Link to post Share on other sites
Guest tayiba Posted January 2, 2014 Partager Posted January 2, 2014 merci pour le partage des textes (tayiba & toi) plus pour les images, t'as un excellent gout de rien:) :yes: les photos sont magnifiques :wub: merci coucou Citer Link to post Share on other sites
Guest tayiba Posted January 2, 2014 Partager Posted January 2, 2014 :wub: j’étais en balade, un peu bohème le cœur aux abois, l’esprit blême j'ai rencontré tes beaux yeux marrons innocents et ta peur de ce temps cruel qui passe et me voilà alors dans cet état de grâce tu as envoûté mes sentiments :wub: Citer Link to post Share on other sites
Guest tayiba Posted January 2, 2014 Partager Posted January 2, 2014 :wub: le voile recouvre mon ciel de minuit mon cœur s’ouvre au jour de là-bas je tiens bon à ces moments loin de tes pas le soleil brille encore de ses mille feux lorsque loin de moi ma sœur tu t’endors, fermes les yeux mais je crois entendre battre ton cœur et cette distance absurde nous séparant quand ici souffle le vent tandis que sous tes palmiers je me demande si je suis dans tes pensées tu es si loin de mes petits matins j’aimerais pourtant avancer main dans la main avec toi ma douce amie vers Allah et son paradis et tes yeux au travers de l’écran me sourient merveilleusement nos doigts glissent sur ce clavier seul échange qui nous soit permis j’ai le coup de lune sous ton soleil l’apaisement de tes sourires qui veillent mes nuits agitées de tant de désirs à rencontrer nos moments de rires :wub: Citer Link to post Share on other sites
Guest coucou19 Posted January 2, 2014 Partager Posted January 2, 2014 Je suis l’esclave de mon Bien-Aimé Je ne suis que le néant dans Son immensité Je recherche la mort entre Ses mains Afin de renaître pour l’Eternité. [YOUTUBE]WDLXxnlfPB0[/YOUTUBE] Citer Link to post Share on other sites
Guest tayiba Posted January 3, 2014 Partager Posted January 3, 2014 :wub: au cœur de l’hiver t'as fais de ma vie une oasis au cœur du désert mis une telle lueur sur mon trottoir que j'ai encore du mal à y croire jour après jour avec tes flèches t'a pansé mon cœur et montré le chemin du bonheur :wub: Citer Link to post Share on other sites
Guest tayiba Posted January 4, 2014 Partager Posted January 4, 2014 :wub: elle son charme innocent m'ensorcelle elle plus merveilleuse qu'une photo de mille mégapixels elle donne des conseils, sèche les larmes elle évite les embrouilles et les drames elle son sens de l'humour m'impressionne avec elle, mon dieu comment on déconne elle j'ai besoin de sa main pour y tracer mon destin elle est tout simplement... elle :wub: Citer Link to post Share on other sites
Guest tayiba Posted January 6, 2014 Partager Posted January 6, 2014 :wub: Beauté du créateur Allah, le tout puissant seigneur Fille au teint brun , odeur de Jasmine Souriante comme une gamine Aussi charmante que belle Avec ses foulards et ses yeux de miel Amoureuse du soleil, fine et sage Apte au plus beau des partages Pour elle,je suis près à tous les sillages Vers milles lieux,vers de lointains rivages Mon amour pour elle est sans concurrent Pour la décrocher,je suis le premier postulant Je m'inclinerais pour lui témoigner L’expression de mon profond respect :wub: Citer Link to post Share on other sites
Guest tayiba Posted January 6, 2014 Partager Posted January 6, 2014 :wub: L'an neuf de l'Hégire (Victor Hugo) :wub: :wub: Grave, il ne faisait plus à personne un reproche, Il marchait en rendant aux passants leur salut, On le voyait vieillir chaque jour, quoiqu’il eût A peine vingt poils blancs à sa barbe encore noire ; Il s'arrêtait parfois pour voir les chameaux boire, Se souvenant du temps qu’il était chamelier. Il semblait avoir vu l’Eden, l’âge d’amour, Les temps antérieurs, l’ère immémoriale. Il avait le front haut, la joue impériale, Le sourcil chauve, l’œil profond et diligent, Le cou pareil au col d’une amphore d’argent, L’air d’un Noé qui sait le secret du déluge. Si des hommes venaient le consulter, ce juge Laissait l’un affirmer, l’autre rire et nier, Ecoutait en silence et parlait le dernier. Sa bouche était toujours en train d’une prière ; Il mangeait peu, serrant sur son ventre une pierre ; Il s’occupait de lui-même à traire ses brebis ; Il s’asseyait à terre et cousait ses habits. Il jeûnait plus longtemps qu’autrui les jours de jeûne, Quoiqu’il perdît sa force et qu’il ne fût plus jeune. A soixante-trois ans une fièvre le prit. Il relut le Coran de sa main même écrit, Puis il remit au fils de Séid la bannière, En lui disant : " Je touche à mon aube dernière. Il n’est pas d’autre Dieu que Dieu. Combats pour lui. " Et son œil, voilé d’ombre, avait ce morne ennui D’un vieux aigle forcé d’abandonner son aire. Il vint à la mosquée à son heure ordinaire, Appuyé sur Ali le peuple le suivant ; Et l’étendard sacré se déployait au vent. Là, pâle, il s’écria, se tournant vers la foule ; "Peuple, le jour s'éteint, l'homme passe et s'écroule ; La poussière et la nuit, c’est nous. Dieu seul est grand. Peuple je suis l’aveugle et suis l’ignorant. Sans Dieu je serais vil plus que la bête immonde." Un cheikh lui dit : "Ô chef des vrais croyants ! Le monde, Sitôt qu’il t’entendit, en ta parole crut ; Le jour où tu naquit une étoile apparut, Et trois tours du palais de Chosroès tombèrent." Lui, reprit : "Sur ma mort, les Anges délibèrent ; L’heure arrive. Ecoutez. Si j’ai de l’un de vous Mal parlé, qu’il se lève, ô peuple, et devant tous Qu’il m’insulte et m’outrage avant que je m’échappe, Si j’ai frappé quelqu’un, que celui-là me frappe." Et, tranquille, il tendit aux passants son bâton. Une vieille, tondant la laine d’un mouton, Assise sur un seuil, lui cria : "Dieu t’assiste !" Il semblait regarder quelque vision triste, Et songeait ; tout à coup, pensif, il dit : "voilà, Vous tous, je suis un mot dans la bouche d’Allah ; Je suis cendre comme homme et feu comme prophète. J’ai complété d’Issa la lumière imparfaite. Je suis la force, enfants ; Jésus fut la douceur. Le soleil a toujours l’aube pour précurseur. Jésus m’a précédé, mais il n’est pas la Cause. Il est né d’une Vierge aspirant une rose. Moi, comme être vivant, retenez bien ceci, Je ne suis qu’un limon par les vices noirci, J’ai de tous les péchés subi l’approche étrange, Ma chair a plus d’affront qu’un chemin n’a de fange, Et mon corps par le mal est tout déshonoré ; Ô vous tous, je serais bien vite dévoré Si dans l’obscurité du cercueil solitaire Chaque faute engendre un ver de terre. Fils, le damné renaît au fond du froid caveau Pour être par les vers dévoré de nouveau ; Toujours sa chair revit, jusqu’à ce que la peine, Finie ouvre à son vol l’immensité sereine. Fils, je suis le champ vil des sublimes combats, Tantôt l'homme d’en haut, tantôt l'homme d’en bas, Et le mal dans ma bouche avec le bien alterne Comme dans le désert le sable et la citerne ; Ce qui n’empêche pas que je n'aie, ô croyants ! Tenu tête dans l'ombre aux Anges effrayants Qui voudraient replonger l'homme dans les ténèbres, J’ai parfois dans mes poings tordu leurs bras funèbres ; Souvent, comme Jacob, j’ai la nuit, pas à pas, Lutté contre quelqu’un que je ne voyais pas ; Mais les hommes surtout on fait saigner ma vie, Ils ont jeté sur moi leur haine et leur envie, Et, comme je sentais en moi la vérité, Je les ai combattus, mais sans être irrité, Et, pendant le combat je criais : "laissez faire ! Je suis le seul, nu, sanglant, blessé ; je le préfère. Qu’ils frappent sur moi tous ! Que tout leur soit permis ! Quand même, se ruant sur moi, mes ennemis Auraient, pour m’attaquer dans cette voie étroite, Le soleil à leur gauche et la lune à leur droite, Ils ne me feraient point reculer ! "C’est ainsi Qu’après avoir lutté quarante ans, me voici Arrivé sur le bord de la tombe profonde, Et j’ai devant moi Allah, derrière moi le monde. Quant à vous qui m’avez dans l’épreuve suivi, Comme les grecs Hermès et les hébreux Lévi, Vous avez bien souffert, mais vous verrez l’aurore. Après la froide nuit, vous verrez l’aube éclore ; Peuple, n’en doutez pas ; celui qui prodigua Les lions aux ravins du Jebbel-Kronnega, Les perles à la mer et les astres à l’ombre, Peut bien donner un peu de joie à l'homme sombre. Il ajouta ; "Croyez, veillez ; courbez le front. Ceux qui ne sont ni bons ni mauvais resteront Sur le mur qui sépare Eden d'avec l’abîme, Etant trop noirs pour Dieu, mais trop blancs pour le crime ; Presque personne n’est assez pur de péchés Pour ne pas mériter un châtiment ; tâchez, En priant, que vos corps touchent partout la terre ; L’enfer ne brûlera dans son fatal mystère Que ce qui n’aura point touché la cendre, et Dieu A qui baise la terre obscure, ouvre un ciel bleu ; Soyez hospitaliers ; soyez saints ; soyez justes ; Là-haut sont les fruits purs dans les arbres augustes, Les chevaux sellés d’or, et, pour fuir aux sept dieux, Les chars vivants ayant des foudres pour essieux ; Chaque houri, sereine, incorruptible, heureuse, Habite un pavillon fait d’une perle creuse ; Le Gehennam attend les réprouvés ; malheur ! Ils auront des souliers de feu dont la chaleur Fera bouillir leur tête ainsi qu’une chaudière. La face des élus sera charmante et fière." Il s’arrêta donnant audience à l’espoir. Puis poursuivant sa marche à pas lents, il reprit : "Ô vivants ! Je répète à tous que voici l'heure Où je vais me cacher dans une autre demeure ; Donc, hâtez-vous. Il faut, le moment est venu, Que je sois dénoncé par ceux qui m’ont connu, Et que, si j’ai des torts, on me crache au visage." La foule s’écartait muette à son passage. Il se lava la barbe au puits d’Aboufléia. Un homme réclama trois drachmes, qu’il paya, Disant : "Mieux vaut payer ici que dans la tombe." L’œil du peuple était doux comme un œil de colombe En le regardant cet homme auguste, son appui ; Tous pleuraient ; quand, plus tard, il fut rentré chez lui, Beaucoup restèrent là sans fermer la paupière, Et passèrent la nuit couchés sur une pierre Le lendemain matin, voyant l’aube arriver ; "Aboubékre, dit-il, je ne puis me lever, Tu vas prendre le Livre et faire la prière." Et sa femme Aïscha se tenait en arrière ; Il écoutait pendant qu’Aboubékre lisait, Et souvent à voix basse achevait le verset ; Et l’on pleurait pendant qu’il priait de la sorte. Et l’Ange de la mort vers le soir à la porte Apparut, demandant qu’on lui permît d’entrer. "Qu’il entre." On vit alors son regard s’éclairer De la même clarté qu’au jour de sa naissance ; Et l’Ange lui dit : "Dieu désire ta présence. - Bien", dit-il. Un frisson sur les tempes courut, Un souffle ouvrit sa lèvre, et Mahomet mourut. :wub: Citer Link to post Share on other sites
Guest tayiba Posted January 10, 2014 Partager Posted January 10, 2014 :wub: Invocation, Alphonse de LAMARTINE :wub: O toi qui m'apparus dans ce désert du monde, Habitante du ciel, passagère en ces lieux ! O toi qui fis briller dans cette nuit profonde Un rayon d'amour à mes yeux ; A mes yeux étonnés montre-toi tout entière, Dis-moi quel est ton nom, ton pays, ton destin. Ton berceau fut-il sur la terre ? Ou n'es-tu qu'un souffle divin ? Vas-tu revoir demain l'éternelle lumière ? Ou dans ce lieu d'exil, de deuil, et de misère, Dois-tu poursuivre encor ton pénible chemin ? Ah ! quel que soit ton nom, ton destin, ta patrie, Ou fille de la terre, ou du divin séjour, Ah ! laisse-moi, toute ma vie, T'offrir mon culte ou mon amour. Si tu dois, comme nous, achever ta carrière, Sois mon appui, mon guide, et souffre qu'en tous lieux, De tes pas adorés je baise la poussière. Mais si tu prends ton vol, et si, loin de nos yeux, Soeur des anges, bientôt tu remontes près d'eux, Après m'avoir aimé quelques jours sur la terre, Souviens-toi de moi dans les cieux. :wub: Citer Link to post Share on other sites
Guest tayiba Posted January 11, 2014 Partager Posted January 11, 2014 :wub: Et quand Mes serviteurs t'interrogent sur Moi.. alors Je suis tout proche : Je réponds à l'appel de celui qui Me prie quand il Me prie. Qu'ils répondent à Mon appel, et qu'ils croient en Moi, afin qu'ils soient bien guidés. Coran, , sourate 2, verset 186 :wub: Citer Link to post Share on other sites
Guest tayiba Posted January 11, 2014 Partager Posted January 11, 2014 :wub: la foi ne se vente pas, elle se construit en secret, dans nos intentions, nos prières, et nos invocations :wub: Citer Link to post Share on other sites
Guest tayiba Posted January 11, 2014 Partager Posted January 11, 2014 :wub: tout l'argent du monde ne pourrait vous acheter le bonheur c'est dans le rappel d'Allah que s'apaisent les cœurs :wub: Citer Link to post Share on other sites
Guest tayiba Posted January 11, 2014 Partager Posted January 11, 2014 "Le fait de dire la vérité ne m'a laissé aucun ami." :wub: Omar ibn El Khattab :wub: Citer Link to post Share on other sites
Guest tayiba Posted January 11, 2014 Partager Posted January 11, 2014 :wub: Quand la vérité crève les yeux, certains préfèrent jouer les aveugles :wub: Citer Link to post Share on other sites
Guest tayiba Posted January 11, 2014 Partager Posted January 11, 2014 :wub: Lorsqu'elle est fille , elle ouvre les portes du Paradis a son père Lorsqu'elle est épouse, elle complète la moitié de la foi de son mari Lorsqu'elle est mère , le Paradis est a ses pieds.. Si quelqu'un connaissait le statut de la femme musulmane en islam, même les hommes voudraient être des femmes. :wub: Citer Link to post Share on other sites
samsoumabena 10 Posted January 11, 2014 Partager Posted January 11, 2014 :wub: Lorsqu'elle est fille , elle ouvre les portes du Paradis a son père Lorsqu'elle est épouse, elle complète la moitié de la foi de son mari Lorsqu'elle est mère , le Paradis est a ses pieds.. Si quelqu'un connaissait le statut de la femme musulmane en islam, même les hommes voudraient être des femmes. :wub: Il n'est pas possible de vivre heureux sans être sage, honnête et juste, ni sage, honnête et juste sans être heureux.:04: Citer Link to post Share on other sites
Guest tayiba Posted January 11, 2014 Partager Posted January 11, 2014 :wub: attendre d'être marié pour se mettre dans le droit chemin... c'est oublier qu'à tout moment la mort peut te passer la bague au doigt :wub: Citer Link to post Share on other sites
Guest tayiba Posted January 11, 2014 Partager Posted January 11, 2014 Il n'est pas possible de vivre heureux sans être sage, honnête et juste, ni sage, honnête et juste sans être heureux.:04: je suis d'accord Citer Link to post Share on other sites
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