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Le Jardin de la Gnose


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:wub:

 

Allah, artiste éternel

qui retient nos moments

dans les huiles vivantes pleines de mouvements

apprends moi les secrets d'une douce aquarelle

où j'ose imprimer ma Laila mortelle

et lui parler un langage sans mots

elle saura m'apaiser depuis son gai tableau

 

Allah, ami qui connais ma douleur

prête moi ton talent et tes couleurs

j'ai envie de contempler ma Laila sur une toile

elle saura m'apaiser avec sa pudeur et son voile

 

:wub:

 

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:wub:

 

il habite un voyage aussi grand que le monde

et sa vie toute n'est qu'une pacifique onde

un oued oublié aux confins d'un désert

où pleurent tendrement de nostalgiques vers

 

esseulé par le courant de l'âge

il regarde passer dans le mort paysage

le matin moqueur et les ombres du soir

où s'entend un écho colportant de l'espoir

 

un jour il partira noyer l'âpre veuvage

dans son pays rêvé dans un ultime ancrage

il trouvera l'amour comme l'or, l'orpailleur

et son cœur s'ouvrira sur un destin meilleur

 

il dira tous ses maux à sa Laila bienheureuse

qui pansera sa plaie de sa main guérisseuse

il chantera sa joie d'un air de ses vingt ans

et elle dansera cette valse d'antan

 

:wub:

 

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:wub::wub::wub: Tu seras aimé le jour où tu pourras montrer ta faiblesse...Sans que l'autre s'en serve pour affirmer sa force :wub::wub::wub:

 

dans le monde réel des humains (et animal et peut être végétal) ca ne fonctionne pas comme ca

montrer sa faiblesse aux autres c'est se mettre en situation d'extrême vulnérabilité et c'est tes dangereux pour soit

même le plus faible fera des cornes "grounes" s'il se trouve devant une autre personne qu'il pense plus faible que lui (pas tous bien sur)

 

quand Buddha avait compris cette amère vérité il n'a pu trouver refuge que dans la solitude et l'éloignement du monde des gens

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Guest tayiba

 

:wub:

 

je m'approprie tes lignes

en espérant y trouver un signe

j'imagine que tu me les dédicaces

pour ne pas avoir à me les dire en face

je butine le suc de tes écrits

ta douce poésie embaume ma vie

même si c'est un délire

te lire me lie à toi

merci pour tes sourires

et tes mots où je me noie

 

:wub:

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Guest coucou19

Je demeure attaché à celle dont l’amour

Est bien l’équivalent de vingt pèlerinages,

Je n’ai toujours pas compris son intense passion,

Et je ne puis davantage la supporter!

Mon œil ne fut pas apte à jeter un regard

Sur la beauté parfaite émanant de sa face.

Pas plus que mes oreilles n'entendirent jamais

Proclamer la mention qu'on aurait fait d'elle.

Jusqu’au jour où je vis pendant un face à face

Le fulgurant éclair jaillissant du Vivant.

Il m'a comblé un jour, m'accordant Ses bienfaits

Et montré Son courroux pour le reste du temps!

 

 

Ibn ‘Arabi, in Traité de l’Amour (Le Livre des Conquêtes Spirituelles Mecquoies), Traduit par Maurice Gloton.

 

 

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Guest tayiba

:wub:

 

j’étais en balade, un peu bohème

le cœur aux abois, l’esprit blême

j'ai rencontré tes beaux yeux marrons innocents

et ta peur de ce temps cruel qui passe

et me voilà alors dans cet état de grâce

tu as envoûté mes sentiments

 

 

:wub:

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Guest tayiba

:wub:

 

le voile recouvre mon ciel de minuit

mon cœur s’ouvre au jour de là-bas

je tiens bon à ces moments loin de tes pas

 

le soleil brille encore de ses mille feux

lorsque loin de moi ma sœur

tu t’endors, fermes les yeux

mais je crois entendre battre ton cœur

 

et cette distance absurde nous séparant

quand ici souffle le vent

tandis que sous tes palmiers

je me demande si je suis dans tes pensées

 

tu es si loin de mes petits matins

j’aimerais pourtant avancer main dans la main

avec toi ma douce amie

vers Allah et son paradis

 

et tes yeux au travers de l’écran

me sourient merveilleusement

nos doigts glissent sur ce clavier

seul échange qui nous soit permis

 

j’ai le coup de lune sous ton soleil

l’apaisement de tes sourires qui veillent

mes nuits agitées de tant de désirs

à rencontrer nos moments de rires

 

:wub:

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Guest coucou19

Je suis l’esclave de mon Bien-Aimé

Je ne suis que le néant dans Son immensité

Je recherche la mort entre Ses mains

Afin de renaître pour l’Eternité.

 

 

[YOUTUBE]WDLXxnlfPB0[/YOUTUBE]

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Guest tayiba

:wub:

 

au cœur de l’hiver

t'as fais de ma vie une oasis au cœur du désert

mis une telle lueur sur mon trottoir

que j'ai encore du mal à y croire

jour après jour

avec tes flèches t'a pansé mon cœur

et montré le chemin du bonheur

 

:wub:

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Guest tayiba

:wub:

elle

son charme innocent m'ensorcelle

elle

plus merveilleuse qu'une photo de mille mégapixels

elle donne des conseils, sèche les larmes

elle évite les embrouilles et les drames

elle

son sens de l'humour m'impressionne

avec elle, mon dieu comment on déconne

elle

j'ai besoin de sa main

pour y tracer mon destin

elle est tout simplement... elle

:wub:

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Guest tayiba

:wub:

 

Beauté du créateur

Allah, le tout puissant seigneur

Fille au teint brun , odeur de Jasmine

Souriante comme une gamine

Aussi charmante que belle

Avec ses foulards et ses yeux de miel

Amoureuse du soleil, fine et sage

Apte au plus beau des partages

Pour elle,je suis près à tous les sillages

Vers milles lieux,vers de lointains rivages

Mon amour pour elle est sans concurrent

Pour la décrocher,je suis le premier postulant

Je m'inclinerais pour lui témoigner

L’expression de mon profond respect

 

:wub:

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Guest tayiba

:wub: L'an neuf de l'Hégire (Victor Hugo) :wub:

 

:wub:

 

Grave, il ne faisait plus à personne un reproche,

 

Il marchait en rendant aux passants leur salut,

 

On le voyait vieillir chaque jour, quoiqu’il eût

 

A peine vingt poils blancs à sa barbe encore noire ;

 

Il s'arrêtait parfois pour voir les chameaux boire,

 

Se souvenant du temps qu’il était chamelier.

 

Il semblait avoir vu l’Eden, l’âge d’amour,

 

Les temps antérieurs, l’ère immémoriale.

 

Il avait le front haut, la joue impériale,

 

Le sourcil chauve, l’œil profond et diligent,

 

Le cou pareil au col d’une amphore d’argent,

 

L’air d’un Noé qui sait le secret du déluge.

 

Si des hommes venaient le consulter, ce juge

 

Laissait l’un affirmer, l’autre rire et nier,

 

Ecoutait en silence et parlait le dernier.

 

Sa bouche était toujours en train d’une prière ;

 

Il mangeait peu, serrant sur son ventre une pierre ;

 

Il s’occupait de lui-même à traire ses brebis ;

 

Il s’asseyait à terre et cousait ses habits.

 

Il jeûnait plus longtemps qu’autrui les jours de jeûne,

 

Quoiqu’il perdît sa force et qu’il ne fût plus jeune.

 

A soixante-trois ans une fièvre le prit.

 

Il relut le Coran de sa main même écrit,

 

Puis il remit au fils de Séid la bannière,

 

En lui disant : " Je touche à mon aube dernière.

 

Il n’est pas d’autre Dieu que Dieu. Combats pour lui. "

 

Et son œil, voilé d’ombre, avait ce morne ennui

 

D’un vieux aigle forcé d’abandonner son aire.

 

Il vint à la mosquée à son heure ordinaire,

 

Appuyé sur Ali le peuple le suivant ;

 

Et l’étendard sacré se déployait au vent.

 

Là, pâle, il s’écria, se tournant vers la foule ;

 

"Peuple, le jour s'éteint, l'homme passe et s'écroule ;

 

La poussière et la nuit, c’est nous. Dieu seul est grand.

 

Peuple je suis l’aveugle et suis l’ignorant.

 

Sans Dieu je serais vil plus que la bête immonde."

 

Un cheikh lui dit : "Ô chef des vrais croyants ! Le monde,

 

Sitôt qu’il t’entendit, en ta parole crut ;

 

Le jour où tu naquit une étoile apparut,

 

Et trois tours du palais de Chosroès tombèrent."

 

Lui, reprit : "Sur ma mort, les Anges délibèrent ;

 

L’heure arrive. Ecoutez. Si j’ai de l’un de vous

 

Mal parlé, qu’il se lève, ô peuple, et devant tous

 

Qu’il m’insulte et m’outrage avant que je m’échappe,

 

Si j’ai frappé quelqu’un, que celui-là me frappe."

 

Et, tranquille, il tendit aux passants son bâton.

 

Une vieille, tondant la laine d’un mouton,

 

Assise sur un seuil, lui cria : "Dieu t’assiste !"

 

Il semblait regarder quelque vision triste,

 

Et songeait ; tout à coup, pensif, il dit : "voilà,

 

Vous tous, je suis un mot dans la bouche d’Allah ;

 

Je suis cendre comme homme et feu comme prophète.

 

J’ai complété d’Issa la lumière imparfaite.

 

Je suis la force, enfants ; Jésus fut la douceur.

 

Le soleil a toujours l’aube pour précurseur.

 

Jésus m’a précédé, mais il n’est pas la Cause.

 

Il est né d’une Vierge aspirant une rose.

 

Moi, comme être vivant, retenez bien ceci,

 

Je ne suis qu’un limon par les vices noirci,

 

J’ai de tous les péchés subi l’approche étrange,

 

Ma chair a plus d’affront qu’un chemin n’a de fange,

 

Et mon corps par le mal est tout déshonoré ;

 

Ô vous tous, je serais bien vite dévoré

 

Si dans l’obscurité du cercueil solitaire

 

Chaque faute engendre un ver de terre.

 

Fils, le damné renaît au fond du froid caveau

 

Pour être par les vers dévoré de nouveau ;

 

Toujours sa chair revit, jusqu’à ce que la peine,

 

Finie ouvre à son vol l’immensité sereine.

 

Fils, je suis le champ vil des sublimes combats,

 

Tantôt l'homme d’en haut, tantôt l'homme d’en bas,

 

Et le mal dans ma bouche avec le bien alterne

 

Comme dans le désert le sable et la citerne ;

 

Ce qui n’empêche pas que je n'aie, ô croyants !

 

Tenu tête dans l'ombre aux Anges effrayants

 

Qui voudraient replonger l'homme dans les ténèbres,

 

J’ai parfois dans mes poings tordu leurs bras funèbres ;

 

Souvent, comme Jacob, j’ai la nuit, pas à pas,

 

Lutté contre quelqu’un que je ne voyais pas ;

 

Mais les hommes surtout on fait saigner ma vie,

 

Ils ont jeté sur moi leur haine et leur envie,

 

Et, comme je sentais en moi la vérité,

 

Je les ai combattus, mais sans être irrité,

 

Et, pendant le combat je criais : "laissez faire !

 

Je suis le seul, nu, sanglant, blessé ; je le préfère.

 

Qu’ils frappent sur moi tous ! Que tout leur soit permis !

 

Quand même, se ruant sur moi, mes ennemis

 

Auraient, pour m’attaquer dans cette voie étroite,

 

Le soleil à leur gauche et la lune à leur droite,

 

Ils ne me feraient point reculer ! "C’est ainsi

 

Qu’après avoir lutté quarante ans, me voici

 

Arrivé sur le bord de la tombe profonde,

 

Et j’ai devant moi Allah, derrière moi le monde.

 

Quant à vous qui m’avez dans l’épreuve suivi,

 

Comme les grecs Hermès et les hébreux Lévi,

 

Vous avez bien souffert, mais vous verrez l’aurore.

 

Après la froide nuit, vous verrez l’aube éclore ;

 

Peuple, n’en doutez pas ; celui qui prodigua

 

Les lions aux ravins du Jebbel-Kronnega,

 

Les perles à la mer et les astres à l’ombre,

 

Peut bien donner un peu de joie à l'homme sombre.

 

Il ajouta ; "Croyez, veillez ; courbez le front.

 

Ceux qui ne sont ni bons ni mauvais resteront

 

Sur le mur qui sépare Eden d'avec l’abîme,

 

Etant trop noirs pour Dieu, mais trop blancs pour le crime ;

 

Presque personne n’est assez pur de péchés

 

Pour ne pas mériter un châtiment ; tâchez,

 

En priant, que vos corps touchent partout la terre ;

 

L’enfer ne brûlera dans son fatal mystère

 

Que ce qui n’aura point touché la cendre, et Dieu

 

A qui baise la terre obscure, ouvre un ciel bleu ;

 

Soyez hospitaliers ; soyez saints ; soyez justes ;

 

Là-haut sont les fruits purs dans les arbres augustes,

 

Les chevaux sellés d’or, et, pour fuir aux sept dieux,

 

Les chars vivants ayant des foudres pour essieux ;

 

Chaque houri, sereine, incorruptible, heureuse,

 

Habite un pavillon fait d’une perle creuse ;

 

Le Gehennam attend les réprouvés ; malheur !

 

Ils auront des souliers de feu dont la chaleur

 

Fera bouillir leur tête ainsi qu’une chaudière.

 

La face des élus sera charmante et fière."

 

Il s’arrêta donnant audience à l’espoir.

 

Puis poursuivant sa marche à pas lents, il reprit :

 

"Ô vivants ! Je répète à tous que voici l'heure

 

Où je vais me cacher dans une autre demeure ;

 

Donc, hâtez-vous. Il faut, le moment est venu,

 

Que je sois dénoncé par ceux qui m’ont connu,

 

Et que, si j’ai des torts, on me crache au visage."

 

La foule s’écartait muette à son passage.

 

Il se lava la barbe au puits d’Aboufléia.

 

Un homme réclama trois drachmes, qu’il paya,

 

Disant : "Mieux vaut payer ici que dans la tombe."

 

L’œil du peuple était doux comme un œil de colombe

 

En le regardant cet homme auguste, son appui ;

 

Tous pleuraient ; quand, plus tard, il fut rentré chez lui,

 

Beaucoup restèrent là sans fermer la paupière,

 

Et passèrent la nuit couchés sur une pierre

 

Le lendemain matin, voyant l’aube arriver ;

 

"Aboubékre, dit-il, je ne puis me lever,

 

Tu vas prendre le Livre et faire la prière."

 

Et sa femme Aïscha se tenait en arrière ;

 

Il écoutait pendant qu’Aboubékre lisait,

 

Et souvent à voix basse achevait le verset ;

 

Et l’on pleurait pendant qu’il priait de la sorte.

 

Et l’Ange de la mort vers le soir à la porte

 

Apparut, demandant qu’on lui permît d’entrer.

 

"Qu’il entre." On vit alors son regard s’éclairer

 

De la même clarté qu’au jour de sa naissance ;

 

Et l’Ange lui dit : "Dieu désire ta présence.

 

- Bien", dit-il. Un frisson sur les tempes courut,

 

Un souffle ouvrit sa lèvre, et Mahomet mourut.

 

:wub:

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:wub: Invocation, Alphonse de LAMARTINE :wub:

 

 

O toi qui m'apparus dans ce désert du monde,

Habitante du ciel, passagère en ces lieux !

O toi qui fis briller dans cette nuit profonde

Un rayon d'amour à mes yeux ;

 

A mes yeux étonnés montre-toi tout entière,

Dis-moi quel est ton nom, ton pays, ton destin.

Ton berceau fut-il sur la terre ?

Ou n'es-tu qu'un souffle divin ?

 

Vas-tu revoir demain l'éternelle lumière ?

Ou dans ce lieu d'exil, de deuil, et de misère,

Dois-tu poursuivre encor ton pénible chemin ?

Ah ! quel que soit ton nom, ton destin, ta patrie,

Ou fille de la terre, ou du divin séjour,

Ah ! laisse-moi, toute ma vie,

T'offrir mon culte ou mon amour.

 

Si tu dois, comme nous, achever ta carrière,

Sois mon appui, mon guide, et souffre qu'en tous lieux,

De tes pas adorés je baise la poussière.

Mais si tu prends ton vol, et si, loin de nos yeux,

Soeur des anges, bientôt tu remontes près d'eux,

Après m'avoir aimé quelques jours sur la terre,

Souviens-toi de moi dans les cieux.

 

:wub:

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:wub:

 

Et quand Mes serviteurs t'interrogent sur Moi.. alors Je suis tout proche : Je réponds à l'appel de celui qui Me prie quand il Me prie. Qu'ils répondent à Mon appel, et qu'ils croient en Moi, afin qu'ils soient bien guidés.

 

Coran, , sourate 2, verset 186

 

:wub:

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:wub:

Lorsqu'elle est fille , elle ouvre les portes du Paradis a son père

Lorsqu'elle est épouse, elle complète la moitié de la foi de son mari

Lorsqu'elle est mère , le Paradis est a ses pieds..

Si quelqu'un connaissait le statut de la femme musulmane en islam, même les hommes voudraient être des femmes.

:wub:

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:wub:

Lorsqu'elle est fille , elle ouvre les portes du Paradis a son père

Lorsqu'elle est épouse, elle complète la moitié de la foi de son mari

Lorsqu'elle est mère , le Paradis est a ses pieds..

Si quelqu'un connaissait le statut de la femme musulmane en islam, même les hommes voudraient être des femmes.

:wub:

 

Il n'est pas possible de vivre heureux sans être sage, honnête et juste, ni sage, honnête et juste sans être heureux.:04:

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