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BONJOUR

 

POUR 2014

 

PAR QUELLE THEME VOUS SOULEVERIEZ LES QUESTIONS?

 

Autre que celui de la loi du 23 fevrier 2005

 

Ou celui qui est de soulever en tout temps

A nos gouvernants quand ils viennent en EUROPE

Les médiats ou des intéressés par la question suivant

 

Mr le president

La question des Harkis?

La question des pieds noires?

 

Par ceux la meme qui ont tiré sur le president DEGAULLE

Et ceux qui de nos jours sont dans les mairie de France et ou

Comme a Aix Les Bains en Savoie

Donne le nom a un Square Au Generale

 

[DM]xrs5xj_inauguration-du-square-marcel-bigeard-a-aix-les-bains_news[/DM]

 

 

Et ces gens des Mairies change des noms des rues et des Places par des nom des clans ORS LA LOI qui se sont oposé au pouvoir francais

ILS FURENT DES POUTCHISTES

 

ou a CHAMBERY

La place de DEGAULLE va etre changer PAR LE NOM DE CELUI

 

QUI LUI A TIRE DESUS

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Guest Luciana

Wallah el 3adim que ce n'est ni une agression ni une moquerie, mais je n'ai rien compris de ton texte :/ ... à part :

Daily Motion

ERREUR: Si voyez ce message, cela signifie que Dailymotion est inaccessible ou que vous n'avez pas Flash d'installé

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Oui ......

 

ENCHANTE Luciana

sache que tout est devenu plus claire

la video aussi

 

le titre serais semaine antiracisme et de la décolonisation

 

qui est tout les annes en fevrier

 

donc je posait la question sur quelle theme on pourait traité cet annes

si on avait a le faire nous meme

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Alors que tout est critiqué ce qui a ete fais dans le passée

est ce encotre possible

plus honnettemment et plus INOCEMENT?

 

OUI ALORS SI ON Y EST COMME DES ACTEURS

JOUONS LA CARTE DU REVE EN S'IMPLIQUANT TOTALEMENT

 

ON POURRA Y CROIRE

ET NE PAS SE TRENIR COMME UN BEN OUI-IOUISTE

MAIS AVOIR LE ROLE

ET LE JOUER COMME UN ACTEUR

 

1426258_226879124145873_1183908001_n.jpg

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EN FEVRIER 2014

ca sera ma semaine

Ou on poura faire l'amorse

Pouvoir dire contre le racisme et la haine

Et trouver des forces

Allant avertir et rendre vaine

 

Le fond de comerce

 

Du racisme et de la haine et du FN

Et aussi des LEPEN

Tout comme EN 39/45

 

POUR LEUR DIRE STOP

VOU N'AVEZ PLUS LA PAROLE

CE QUE VOUS PRECONISEZ EST UN DELIT

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ON CE N'EST PAS MOI QUI LE DIT

 

CE SONT DES JUIFS ,CONTRE L'ETAT ISRAELIEN

 

Et voici ce qui est dit en plus

 

 

admirez la presse française en entier , ils ne parlent que de cette visite glorieuse et courageuse de Hollande,48H en ISRAMERDE pour rassurer les sionistes , il veut remonter sur les sondages car il sait que les médias français sont à 100% sionistes ,, quel connard ce président

 

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Et voila l'aitre etoile allumée

qui fait adherre au FN

 

ILS OEUVRENT, ILS OEUVRENT MAIS PAS EN BIEN

 

[YOUTUBE]sbDLCSCLTp4[/YOUTUBE]

 

Gilbert Collard soutient Gérard Longuet,Un Autre Bras d'Honneur contre L'ALGERIE .MP4

YouTube

Ce matin sur LCI , Gilbert Collard a apporté son soutien à Gérard Longuet , après avoir été filmé faisant un bras d'honneur sur Public Sénat, destiné au

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HE!!HE ZORRO QUAND UIL ARRIVE

SAUF QUE DES FOIES IL EST ATTENDU

ET IL EST PIEGE

ET QUELLE HAINE

 

NON OJN INVENTE RIEN

TOUT EST VRAIS

 

 

[YOUTUBE]WQFsdsb97-E[/YOUTUBE]

 

Zemmour et Marine Le Pen piégés par leurs haines racistes ! 6 minutes À Voir Absolument

YouTube

Éric Zemmour et Marine Le Pen ils se sont fait piéger ! 6 minutes À Voir Absolument ! --Source des condamnations et peines le Canard Enchaine--

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ALLEZ CADEAU

PAR LE MEILLEUR ABNNALISTE ET PHRASIER

 

QUELLE TRES BELLES FORMULE

MERFCI MONSIEUR VICTOR HUGO

 

QUE DE VERITE QUI INCITE PAR LA VANITE EN S'EN PRENANT A SON VOISIN DES FOIES

 

VICTOR HUGO LES

VOIX INTERIEURES A JOSEPH-LEOPOLD-SIGISBERT, COMTE HUGO, LIEUTENANT

GENERAL DES ARMEES DU ROI NE EN 1774. VOLONTAIRE EN 1791. COLONEL EN 1803.

GENERAL DE BRIGADE EN 1809. GOUVERNEUR DE PROVINCE EN 1810. LIEUTENANT

GENERAL EN 1825. MORT EN 1828. NON INSCRIT SUR L'ARC DE L'ETOILE. SON FILS

RESPECTUEUX, V. H. La Porcia de Shakespeare parle quelque part de cette musique que tout

homme à en soi. - Malheur, dit-elle, à qui ne l'entend pas! - Cette musique, la nature aussi l'a en elle.

Si le livre qu'on va lire est quelque chose, il est l'écho, bien confus et bien affaibli sans doute, mais

fidèle, l'auteur le croit, de ce chant qui répond en nous au chant que nous entendons hors de nous. Au

reste, cet écho intime et secret étant, aux yeux de l'auteur, la poésie même, ce volume, avec quelques

nuances nouvelles peut-être et les développements que le temps a amenés, ne fait que continuer ceux

qui l'ont précédé. Ce qu'il contient, les autre le contenaient; à cette différence près que dans les

Orientales, par exemple, la fleur serait plus épanouie, dans les Voix intérieures, la goutte de rosée ou

de pluie serait plus cachée. La poésie, en supposant que ce soit ici le lieu de prononcer un si grand

mot, la poésie est comme Dieu: une et inépuisable. Si l'homme a sa voix, si la nature a la sienne, les

événement ont aussi la leur. L'auteur a toujours pensé que la mission du poète était de fondre dans un

même groupe de chants cette triple parole qui renferme un triple enseignement, car la première

s'adresse plus particulièrement au coeur, la seconde à l'âme, la troisième à l'esprit. Tres radios. Et

puis, dans l'époque où nous vivons, tout l'homme ne se retrouve-t-il pas là? N'est-il pas entièrement

compris sous ce triple aspect de notre vie: Le foyer, le champ, la rue? Le foyer, qui est notre coeur

même; le champ, où la nature nous parle; la rue, ou tempête, à travers les coups de fouet des partis,

cet embarras de charrettes qu'on appelle les événements politiques. Et, disons-le en passant, dans

cette mêlée d'hommes, de doctrines et d'intérêts qui se ruent si violemment tous les jours sur chacune

des oeuvres qu'il est donné à ce siècle de faire, le poète a une fonction sérieuse. Sans parler même ici

de son influence civilisatrice, c'est à lui qu'il appartient d'élever, lorsqu'ils le méritent, les événements

politiques à la dignité d'événements historiques. Il faut, pour cela, qu'il jette sur ses contemporains ce

tranquille regard que l'histoire jette sur le passé; il faut que, sans se laisser tromper aux illusions

d'optique, aux mirages menteurs, aux voisinages momentanés, il mette dès à présent tout en

perspective, diminuant ceci, grandissant cela. Il faut qu'il ne trempe dans aucune voie de fait. Il faut

qu'il sache se maintenir, au-dessus du tumulte, inébranlable, austère et bienveillant; indulgent

quelquefois, chose difficile, impartial toujours, chose plus difficile encore; qu'il ait dans le coeur cette

sympathique intelligence des révolutions qui implique le dédain de l'émeute, ce grave respect du

 

peuple qui s'allie au mépris de la foule; que son esprit ne concède rien aux petites colères ni petites

vanités; que son éloge comme son blâme prenne souvent à rebours, tantôt l'esprit de cour, tantôt

l'esprit de faction. Il faut qu'il puisse saluer le drapeau tricolore sans insulter les fleur de lys; il faut

qu'il puisse dans le même livre, presque à la même page, flétrir "l'homme qui a vendu une femme" et

louer un noble jeune prince pour une bonne action bien faite, glorifier la haute idée sculptée sur l'arc

de l'Etoile et consoler la triste pensée enfermée dans la tombe de Charles X. Il faut qu'il soit attentif à

tout, sincère en tout, désintéressé sur tout, et que, nous l'avons déjà dit ailleurs, il ne dépende de rien,

pas même de ses propres ressentiments, pas même de ses griefs personnels; sachant être, dans

l'occasion, tout à la fois irrité comme homme et calme comme poète. Il faut enfin que, dans ces temps

livrés à la lutte furieuse des opinions, au milieu des attractions violentes que sa raison devra subir

sans dévier, il ait sans cesse présent à l'esprit ce but sévère: être de tous les partis par leur côté

généreux, n'être d'aucun par leur côté mauvais. La puissance du poète est faite d'indépendance.

L'auteur, on le voit, ne se dissimule aucune des conditions rigoureuses de la mission qu'il s'est

imposée, en attendant qu'un meilleur vienne. Le résultat de l'art ainsi compris, c'est l'adoucissement

des esprits et des moeurs, c'est la civilisation même. Ce résultat, quoique l'auteur de ce livre soit bien

peu de chose pour une fonction si haute, il continuera d'y tendre par toutes les voie ouvertes à sa

pensée, par le théâtre comme par le livre, par le roman comme par le drame, par l'histoire comme par

la poésie. Il tâche, il essaie, il entreprend. Voilà tout. Bien des sympathies, nobles et intelligentes,

l'appuient. S'il réussit, c'est à elles et non à lui que sera dû le succès. Quant à la dédicace placée en

tête de ce volume, l'auteur, surtout après les ligne qui précèdent, pense n'avoir pas besoin de dire

combien est calme et religieux le sentiment qui l'a dictée. On le comprendra, en présence de ces deux

monuments, le trophée de l'Etoile, le tombeau de son père, l'un national, l'autre domestique, tous deux

sacrés, il ne pouvait y avoir place dans son âme que pour une pensée grave, paisible et sereine. Il

signale une omission, et, en attendant qu'elle soit réparée où elle doit l'être, il la répare ici autant qu'il

est en lui. Il donne à son père cette pauvre feuille de papier, tout ce qu'il a, en regrettant de n'avoir pas

de granit. Il agit comme tout autre agirait dans la même situation. C'est donc tout simplement un

devoir qu'il accomplit, rien de plus, rien de moins, et qu'il accomplit comme s'accomplissent les

devoirs, sans bruit, sans colère, sans étonnement. Personne ne s'étonnera non plus de le voir faire ce

qu'il fait. Après tout, la France peut bien, sans trop de souci, laisser tomber une feuille de son épaisse

et glorieuse couronne; cette feuille, un fils doit la ramasser. Une nation est grande, une famille petite;

ce qui n'est rien pour l'une est tout pour l'autre. La France a le droit d'oublier, la famille a le droit de

se souvenir. 24 juin 1837. Paris. I Ce siècle est grand et fort. Un noble instinct le mène. Partout on

voit marcher l'Idée en mission; Et le bruit du travail, plein de parole humaine, Se mêle au bruit divin

de la création. Partout, dans les cités et dans les solitudes, L'homme est fidèle au lait dont nous le

nourrissions; Et dans l'informe bloc des sombres multitudes La pensée en rêvant sculpte des nations.

L'échafaud vieilli croule, et la Grève se lave.

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OUI LE FN

LES RACISTES ET LES HAINEUX

ON A L'IMPRESSION

QUE CERTAINS SONT DES MALADES

MAIS BEAUCOUP DE REPRIS DE JUSTICE

 

ET DES COLEREUX

ET DES ABUSEURS DE POUVOIRS

ILS VIENNENT

DES COLONIES ET APPARTENANT A DES SERVICES DE LA GUERRE

SI JE PUIS DIRE

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