mackiavelik 230 Posted November 20, 2013 Partager Posted November 20, 2013 Le tireur fou se nommerait : Abdelahakim Dekhar. Ca serait un DZ selon BFMTV...Le FN vient de gagner 10% aux intentions de vote selon moi!:D Citer Link to post Share on other sites
tek.afiriste 10 Posted November 21, 2013 Partager Posted November 21, 2013 un tireur au comportement étrange qui au départ n'avait rien de réellement inquiétant pour la sécurité publique. Pas photo avec la tuerie organisée dans une ile du Nord de l'Europe... la police en a rajouté pour les raisons économiques connues, sans influer sur les raisons de la colère des Français. Un maghrébin a blessé un pauvre innocent, un autre envoie la France au Brésil. la colère ira crescendo au gré de la perte des emplois des taxes et du chômage galopant. Citer Link to post Share on other sites
Wahrani 1 465 Posted November 21, 2013 Partager Posted November 21, 2013 Ils ont réussi à trouver un autre Merah ! Citer Link to post Share on other sites
Drec 10 Posted November 21, 2013 Partager Posted November 21, 2013 "la colère ira crescendo au gré de la perte des emplois des taxes et du chômage galopant." Non mais rien avoir .... Il y a des situation bien plus difficle dans d'autres pays et ce n'est pas pour cela qu'il y a des "tireur fou " partout Juste un déséquilibrer Le tireur de Libération est Abdelhakim Dekhar, condamné pour avoir fourni l'arme dans l'affaire Rey-Maupin, une équipée sanglante dans Paris en 1994. Citer Link to post Share on other sites
KEYBOARDZAPPER 6 451 Posted November 21, 2013 Partager Posted November 21, 2013 PORTRAIT - Le tireur présumé qui s'en est pris au quotidien Libération est un personnage complexe, mystérieux, membre de l'ultra-gauche française des années 90. Presque vingt ans après la sanglante virée du jeune couple Audry Maupin et Florence Rey, le nom d'Abdelhakim Dekhar refait brusquement surface. On n'avait plus entendu parler de celui qui se faisait appeler «Toumi» depuis sa condamnation, en 1998, à quatre années d'emprisonnement pour avoir fourni aux «Bonny et Clyde» français l'un des fusils ayant conduit à la mort de trois policiers et d'un chauffeur de taxi. Ayant déjà purgé quatre années de détention préventive avant son procès, Abdelhakim Dekhar avait été libéré pour mieux disparaître des écrans radars. On ignore pour le moment ce qu'il est advenu de cet ancien membre de la mouvance autonome durant ces quinze dernières années. D'ancuns pensent qu'il est retourné en Algérie, son pays d'origine. Sur Europe 1, son ancienne avocate indique qu'il avait été vu il y a quelques années par un journaliste à Londres, où vit l'un de ses frères. Ce mystère correspond bien au personnage de Toumi. Au cours de son procès au côté de Florence Rey, les enquêteurs avaient tenté de dresser le portrait de celui qui a été soupçonné d'être le «troisième homme» de la tuerie de l'est parisien. Le jeune homme, âgé de 30 ans au moment des faits, était de connu de toute la mouvance anarchiste et autonome parisienne, mais n'était pas particulièrement surveillé par les renseignements généraux. Car s'il était de toutes les réunions, son action ne semblait pas aller au delà des mots. Beaucoup le décrivent comme beau parleur, insaisissable et manipulateur. A Libération, un leader autonome confiait, en 1996, que Dekhar était «un type avec des plans d'agent secret qui ne file jamais son numéro de téléphone, donne un faux nom pour sa meuf, fanfaron, braillard, solitaire, qui fait de la provoc dans les réunions, traitant les autres de «mous» et de «larves» qui ne font rien pour changer la société». Un personnage insaisissable Si Toumi est connu dans le milieu, personne ne semble rien savoir sur sa vie. Même son véritable nom est ignoré de ses camarades. Les enquêteurs ont retracé qu'il était né en 1965 en Moselle, troisième d'une famille algérienne de onze enfants. Selon le Journal du Dimanche dui 25 février 1996, Abdelhakim Dekhar n'avait «jamais caché sa révolte contre les conditions de vie ‘lamentables'» de sa famille. À 17 ans, il s'engage dans le 9e régiment de chasseurs parachutiste à Pamiers, dans l'Ariège. Ensuite, mystère. Une faille dans laquelle il s'engouffre lorsqu'il est arrêté, le 18 octobre 1994. Aux enquêteurs, Abdelhakim Dekhar affirme qu'il est en réalité un agent des services secrets algériens, en mission pour infiltrer les milieux de l'ultra-gauche française. Alger soupçonnerait en effet les arnachistes et autonomes d'entretenir des relations avec les islamistes radicaux algériens. Les policiers ne croient pas une seconde à cette explication. Sollicité par les enquêteurs, Alger dément qu'Abdelhakim Dekhar ait déjà servi dans l'armée. Vingt ans plus tard, son avocate, Me Emmanuelle Hauser Phelizon, affirme n'avoir «jamais pu cerner le personnage». Un fusil acheté sous son véritable nom Une chose est certaine: Abdelhakim Dekhar a acheté, le 5 juillet 1994, un fusil au grand magasin de la Samaritaine, qui se retrouvera trois mois plus tard entre les mains du couple Maupin-Rey. Étrangement, Dekhar donne au vendeur sa véritable carte d'identité. Aux enquêteurs, il affirme qu'il était couvert par le gouvernement algérien, et ne craignait donc rien: inutile d'utiliser de faux papiers. Il dit avoir acheté l'arme pour Philippe Lemoual, un autonome de 30 ans ayant déjà purgé 7 ans de prison pour un braquage. Arrêté, l'homme sera par la suite blanchi. Abdelhakim Dekhar niera tout au long de l'instruction avoir connu les jeunes Audry Maupin et Florence Rey. Cette dernière niera également dans les premiers temps, avant de craquer devant les enquêteurs. Le couple connaissait Toumi depuis le début de l'année 1994. Devant le juge, Florence Rey a expliqué que son compagnon était «particulièrement intéressé par Toumi, qui savait tout, entretenait un certain mystère, et était assez vantard aussi». Selon elle, l'homme faisait le guet pendant qu'elle et son compagnon attaquaient la préfourrière de Pantin pour récupérer les armes des policiers. D'autres témoignages dans le milieu autonome attestent que les mois précédents la tuerie, Toumi s'était rapproché d'Aubry Maupin, et aurait exercé sur lui une influence grandissante. Jusqu'au point de l'inciter à tuer des policiers? L'enquête puis le procès n'ont jamais pu le déterminer. Abdelhakim Dekhar, un homme énigmatique Citer Link to post Share on other sites
Souffre Annonyme 10 Posted November 21, 2013 Partager Posted November 21, 2013 Avec les merah et autres islamistes de France ça m'étonne pas que certains barbus convertis veulent s'installer en Algérie on a une réputation d'islamiste et de terroriste dur à effacer. Citer Link to post Share on other sites
sekini 10 Posted November 21, 2013 Partager Posted November 21, 2013 Le tireur fou de Paris est entre les mains de la justice. Et les premières indications sorties de la police française semblent converger vers un franco-algérien de 48 ans, alors que les avis de recherche parlaient plutôt d’« un homme de type européen âgé de 35 à 45 ans ». Au-delà des ratés de l’enquête et de la chasse à l’homme, c’est plutôt l’hébergeur du tireur qui a permis d’accélérer l’arrestation de tireur. C’est cet « ami » qui est allé alerter la police de l’existence de ce tireur fou chez lui, dans un quartier de l’Ouest-Parisien. Selon le procureur général de Paris, Abdelhakim Dekhar est déjà impliqué dans une affaire de meurtre en 1994. Il avait été condamné, en 1998, à 4 ans de réclusion pour avoir été l’acheteur de l’arme qui avait servi à un triple assassinat, commis par des militants de l’extrême gauche, à Paris en 1994. Mais si les autorités ont perdu les traces de l’ancien prisonnier, c’est qu’il est parti vivre à Londres, en Grande-Bretagne. C’est dans la capitale britannique, où il travaillait dans un restaurant, qu’il avait connu, il y a 13 ans, son hébergeur parisien. Mais qui est en fait Abdelhakim Dekhar ? Selon le magazine Marianne, il est originaire de Moselle, est fils de Larbi, ouvrier mineur, ex-agent de liaison du FLN pendant la guerre d’Algérie, et de Reckia, tous deux originaires de Kabylie. D’après les premiers témoignages de son ancienne avocate et des criminologues, il en ressort qu’Abdelhakim un homme aux multiples facettes, d’une ambiguïté déroutante. Preuve en est, cette fameuse lettre retrouvée dans la maison où il séjournait, dans laquelle il s’attaque pêle-mêle au capitalisme, au fascisme et fait référence à des conflits armés comme ceux de la Syrie ou encore de la Libye. Mais point de référence à son pays d’origine, l’Algérie. Abdelhakim Dekhar, qui avait tenté de se suicider, a été soigné, dans la matinée de jeudi. Il est actuellement dans les locaux de la police, selon les médias français Citer Link to post Share on other sites
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