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Djamila Bouhired honorée au Liban


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de voir cette femme héroïque gênée dans son expression et s'excuser de ne pas parler l'Arabe , nous imaginons le plaisir que prirent les maquisards incultes et quelque peu arabisé à gommer le Français langue de travail pour imposer leur arabe primaire et rétrograde.

 

les Algériens qui avaient le plus d'instruction étaient francophones ,issus d'un milieu aisé, pétris de valeurs nationales panachées de l'humanisme , de la tolérance et de la justice des Lumières républicaines. Ils étaient potentiellement dangereux pour les ignares qui venaient de milieu humble ou de famille d'anciens caids, qui ne rêvaient que de vengeance et de richesses et de pouvoir.

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de voir cette femme héroïque gênée dans son expression et s'excuser de ne pas parler l'Arabe , nous imaginons le plaisir que prirent les maquisards incultes et quelque peu arabisé à gommer le Français langue de travail pour imposer leur arabe primaire et rétrograde.

 

les Algériens qui avaient le plus d'instruction étaient francophones ,issus d'un milieu aisé, pétris de valeurs nationales panachées de l'humanisme , de la tolérance et de la justice des Lumières républicaines. Ils étaient potentiellement dangereux pour les ignares qui venaient de milieu humble ou de famille d'anciens caids, qui ne rêvaient que de vengeance et de richesses et de pouvoir.

 

 

Le malheur était que ceux qui étaient instruis et "pétris de valeurs nationalistes" se perdaient dans leurs principes . Normalement ces gens auraient du êtres assez motivés à faire le tour du monde pour y exposer les idées qu'ils défendaient. Ces nationalistes et autres intellos de salon, se cantonnaient dans le périmètre francais . Ils s'enfermaient eux même dans cette pièce capitonnée d'ou aucun son ne sort .

 

NB Nos braves étaient presque tous analphabètes , et pourtant ils ont écris l'histoire de l'Algérie avec leur sang pour seule encre.

 

 

 

.

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quand j'ai vue la vidéo, j'ai pensé à tous ces enseignants à qui on a demander du jour au lendemain d'enseigner en arabe

certain l'on fait mais beaucoup sont partie.

et sa continue dans les universités les filières comme l'informatique l'électronique toute les filières technologiques sont enseigné en Français et les jeunes qui choisisse ses branches arrivent difficilement à s'en sortir leurs niveau en français est très faible.

il faudrait revenir au bilinguisme au moins a partir de la seconde, pour toutes les matières scientifiques.

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. Ces nationalistes et autres intellos de salon, se cantonnaient dans le périmètre francais . Ils s'enfermaient eux même dans cette pièce capitonnée d'ou aucun son ne sort .

 

NB Nos braves étaient presque tous analphabètes , et pourtant ils ont écris l'histoire de l'Algérie avec leur sang pour seule encre.

 

 

.

 

sur le terrain , avec la bleuite l'encre de AMIROUCHE était faite du sang de tous les étudiants qui avaient rejoint le maquis

 

de ceux qui osèrent contester le zaimisme LOTFI ET bien d'autres serviront d'encrier . BENKHEDA et ABBAS n'ont échappé au couteau que grâce à leur renommée .

 

D'autres "instruits" , les médecins de l'ALN entre autres ,l'indépendance acquise , écœurés se retireront de la "course".

 

Le cessez le feu proclamé la horde des barbares qui stationnaient dans les frontières s'est abattu sur l'Algérie pour parachever les accords d'Evian du sang de dizaines de combattants de l'Intérieur .

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quand j'ai vue la vidéo, j'ai pensé à tous ces enseignants à qui on a demander du jour au lendemain d'enseigner en arabe

certain l'on fait mais beaucoup sont partie.

et sa continue dans les universités les filières comme l'informatique l'électronique toute les filières technologiques sont enseigné en Français et les jeunes qui choisisse ses branches arrivent difficilement à s'en sortir leurs niveau en français est très faible.

il faudrait revenir au bilinguisme au moins a partir de la seconde, pour toutes les matières scientifiques.

 

le paradoxe de l'enseignement en Français à l'Université est maintenu tel qu'il est par la volonté du hizb el kharej qui s'est opposé à la tentative d'introduire en alternative l'Anglais et à l'inertie de la masse des chargés de l'enseignement supérieur . Francophones , méprisant l'Arabe qu'ils ne possédaient pas , ils prétendirent que cette langue ne pouvait pas être utilisée dans le supérieur pour continuer à jouir d'un système qui de plus, une fois qu'ils sont devenus professeurs leur assurait leur poste à vie.

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le paradoxe de l'enseignement en Français à l'Université est maintenu tel qu'il est par la volonté du hizb el kharej qui s'est opposé à la tentative d'introduire en alternative l'Anglais et à l'inertie de la masse des chargés de l'enseignement supérieur . Francophones , méprisant l'Arabe qu'ils ne possédaient pas , ils prétendirent que cette langue ne pouvait pas être utilisée dans le supérieur pour continuer à jouir d'un système qui de plus, une fois qu'ils sont devenus professeurs leur assurait leur poste à vie.

 

arrêtons de trop regarder dernière nous. les jeunes cela ne les intéresses pas ils veulent avancer et nous sommes la pour les guider.

nous n'avons que 51 ans d’indépendance et je trouve qu’on s'en sort pas mal.

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arrêtons de trop regarder dernière nous. les jeunes cela ne les intéresses pas ils veulent avancer et nous sommes la pour les guider.

nous n'avons que 51 ans d’indépendance et je trouve qu’on s'en sort pas mal.

 

l'enseignement , comme l'a souligné dernièrement la presse américaines est une des causes qui pousse l'Algérie vers le gouffre

 

BOUTEFLIKA de sa part a d'entrée de jeu souligné que l'Algérie forme des analphabètes dans les deux langues

 

l'université , comme l'armée qui forme des généraux sans compétence , met sur le marché des chômeurs tous grades confondus , qui malgré des années passées sur le banc des universités, sans génie ni esprit d'initiative sont condamnés au chômage dans un pays aux potentialités énormes .

 

en moins de 50 ans Israël est passé d'un pays importateur d'armes à celui du 4 ème exportateur mondial. L'ANP n'est même pas indéoendante de la poudre nécessaire à ses cartouches , tout comme la Santé qui achète du sérum physiologique en devises.

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l'enseignement , comme l'a souligné dernièrement la presse américaines est une des causes qui pousse l'Algérie vers le gouffre

 

BOUTEFLIKA de sa part a d'entrée de jeu souligné que l'Algérie forme des analphabètes dans les deux langues

 

l'université , comme l'armée qui forme des généraux sans compétence , met sur le marché des chômeurs tous grades confondus , qui malgré des années passées sur le banc des universités, sans génie ni esprit d'initiative sont condamnés au chômage dans un pays aux potentialités énormes .

 

en moins de 50 ans Israël est passé d'un pays importateur d'armes à celui du 4 ème exportateur mondial. L'ANP n'est même pas indéoendante de la poudre nécessaire à ses cartouches , tout comme la Santé qui achète du sérum physiologique en devises.

 

il ne faut pas oublier que l’Algérie a formé des milliers de médecins, d'ingénieurs. Elle leurs a pays des bourses d'études à l'étranger et à la fin très peu reviennent pourquoi??

quand un médecin émigre au canada pour devenir chauffeur de taxie, ou un prof d'université va en France enseigner dans un collège. je trouve que c'est pas normal.

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il ne faut pas oublier que l’Algérie a formé des milliers de médecins, d'ingénieurs. Elle leurs a pays des bourses d'études à l'étranger et à la fin très peu reviennent pourquoi??

quand un médecin émigre au canada pour devenir chauffeur de taxie, ou un prof d'université va en France enseigner dans un collège. je trouve que c'est pas normal.

 

c'est d'une "normalité" ordinaire

 

pour le médecin , les Français ont en formés très peu durant la colonisation . Dans le post indépendance , ils leurs ont assuré , dans le cadre de la spécilalité , une formation au rabais destinée aux Africains avec à la clé un diplôme non reconnu pour exercer en France et destiné à les renvoyer chez eux , dans le but de continuer à prescrire leurs médicaments et face aux cas sérieux les leur renvoyer pour soins dans la métropole. Avec le prétexte fallacieux qui arrage les aliénés et leurs anciens colons . Le spécialiste qui raisonne comme s'il travaillait dans un hôpital européen, prétexte du manque de moyens locaux, alors qu' incompétant il n'a pas su créer chez lui les conditions de travail qui tiennent compte des possibilités du pays en accordant toutes les granties pour le malade. Nous aboutissons à ce que l'on vit. Le Professeur de Medecine algérien qui signe une prise en charge à un général pour des soins au Val de Grâce.

 

depuis dans nos université, nous avons toujours les mêmes francophones , devenus professeurs à vie, qui ne rêvent que de stage de perfectionnement chil kharej , qui dispendent un enseignement non maitrisé qui ne tient compte d'aucun intérêt national , avec des militaires trop content de tout importer et des étudiants qui une fois la prétendue sélection par la note du bac passée, font du chantage , grèves, suicides, immolation, pour obtenir un diplôme qu'ils n'arrivent pas à décrocher malgré un programme anémique.

 

pour ce ux qui ont émigré avec une formation algérienne, distinguons ceux qui ont atterri en France et qui ont été employés dans les hôpitaux pendant des décennies selon des conditions d'esclaves , le temps qu'il réactualisent leurs connaisances , sur le terain et ensuite par le passage d'examens .le smig et Après une lutte acharnée , les plus vieux ont réussi à évoluer en repassant examens et concours et certains sont devenus Professeurs. Le vice est dans la formation algérienne et non dans l'Algérien .

 

et ceux qui ont choisi les USA avec des conditions sont plus claires . Concours d'emblée pour les prétenduants à l'exercice médical pour tester ses connaissances générales et une reprise des études avec en fin de cursus un diplôme qui vous donne le droit d'exercer au même titre que le citoyen américain. Au Canada , il me semble que les conditions doivent être équivalentes.

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il ne faut pas oublier que l’Algérie a formé des milliers de médecins, d'ingénieurs. Elle leurs a pays des bourses d'études à l'étranger et à la fin très peu reviennent pourquoi??

pas normal.

 

 

pour les bourses à l'étranger , demande un peu à tous ceux qui en rêvent au bled comment çà se passe

 

les premiers bénéficiaires ont été les fils de militaires pour qui les Français ont créé comme pour les enfants des autres notabes africains des conditons idéales . Bourse d'état d'un montant triple du maximum accordé au Français avec primes diverses en particulier pour le logement.

 

dans le sillon des militaires nous avons les civils qui leur rendaient services et manitenant les Présidents d'Université qui tiennent la une des journaux

 

petite variante , pour perpétuer la mise en condition,l'université algérienne a accepté depuis les accords d'Evian le contrôle de sa formation avec un doctorat d'Etat pour progreser dans la carrière d'enseignant. Tous les assistants devaient aller passer leur doctorats , ailleurs qu'en Algérie.

 

les Professeurs titulaires sur place, jaloux de voir leurs "élèves" profiter des chères devises et du fameux déménagement de retour , s'inventèrent l'année sabbatique. Par période , selon la durée de la mandature , présidentilelle , ils avaient le droit d'aller "faire de la recherche" à l'étranger , gardant leur salaire et bénéficiant de plus de son équivalent en devise pour vivre dans le pays de leur choix.

 

tous les avantages ont été naturellement accordés aux plus dociles et plus tolérant à l'encontre des militaires.

 

Oran a connu son Professeur signataire des prises en charge à l'Etranger à qui la nomenklatura locale présentait des dossiers au cours de repas . Lui même a profité de ses années sabbatiques sans quitter son service .

Un autre haut responsable oranais, membre du Comité Central du FLN , avait bénéficié des mêmes avantages , pour s'inscrire dans un univertité barizienne pour y soutenir une thèse favorable à sa progression hiérachique dans son adminstration. Durant son doctorat qui dura plusieurs années; il avait un triple salaire. Celui de son poste de directeur, un second d'ancien moujahed et la bourse d'etudes en devises.

 

qui après çà des intellectuels oserait contester la canditature de BOUTEFLIKA ?

 

et qui oserait jeter la pierre aux jeunes qui une fois à l'étranger y découvrent un monde de liberté, de dignité et qui en travaillant arrivent à s'épanouir. Même les prisonniers de Guentanamo ne veulent plus du régime des militaires algériens.

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pour les bourses à l'étranger , demande un peu à tous ceux qui en rêvent au bled comment çà se passe

 

les premiers bénéficiaires ont été les fils de militaires pour qui les Français ont créé comme pour les enfants des autres notabes africains des conditons idéales . Bourse d'état d'un montant triple du maximum accordé au Français avec primes diverses en particulier pour le logement.

 

dans le sillon des militaires nous avons les civils qui leur rendaient services et manitenant les Présidents d'Université qui tiennent la une des journaux

 

petite variante , pour perpétuer la mise en condition,l'université algérienne a accepté depuis les accords d'Evian le contrôle de sa formation avec un doctorat d'Etat pour progreser dans la carrière d'enseignant. Tous les assistants devaient aller passer leur doctorats , ailleurs qu'en Algérie.

 

les Professeurs titulaires sur place, jaloux de voir leurs "élèves" profiter des chères devises et du fameux déménagement de retour , s'inventèrent l'année sabbatique. Par période , selon la durée de la mandature , présidentilelle , ils avaient le droit d'aller "faire de la recherche" à l'étranger , gardant leur salaire et bénéficiant de plus de son équivalent en devise pour vivre dans le pays de leur choix.

 

tous les avantages ont été naturellement accordés aux plus dociles et plus tolérant à l'encontre des militaires.

 

Oran a connu son Professeur signataire des prises en charge à l'Etranger à qui la nomenklatura locale présentait des dossiers au cours de repas . Lui même a profité de ses années sabbatiques sans quitter son service .

Un autre haut responsable oranais, membre du Comité Central du FLN , avait bénéficié des mêmes avantages , pour s'inscrire dans un univertité barizienne pour y soutenir une thèse favorable à sa progression hiérachique dans son adminstration. Durant son doctorat qui dura plusieurs années; il avait un triple salaire. Celui de son poste de directeur, un second d'ancien moujahed et la bourse d'etudes en devises.

 

qui après çà des intellectuels oserait contester la canditature de BOUTEFLIKA ?

 

et qui oserait jeter la pierre aux jeunes qui une fois à l'étranger y découvrent un monde de liberté, de dignité et qui en travaillant arrivent à s'épanouir. Même les prisonniers de Guentanamo ne veulent plus du régime des militaires algériens.

 

Le tableau n'est pas si noir que ça.

beaucoup de jeunes s'en sorte, réussissent dans leurs études et trouvent aussi du travail moi je me dit qu'il faut positivé sinon c'est pas possible.

pour le reste à chacun sa conscience.

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