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Le 5 juillet:Fète d'indépendance aux allures de tristesse


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Tristesse

 

 

Triste Algérie ! Nos fêtes nationales sont devenues des journées de deuil. Le 5 Juillet, fête de l’indépendance, passe totalement inaperçu comme le 1er Novembre, date du déclenchement de la lutte de Libération nationale, il se résume à une réception offerte par le président de la République au corps diplomatique, aux membres du gouvernement et à d’autres personnalités nationales. Où sont passés les grands défilés d’antan ? Où sont passées les belles parades de l’Armée nationale populaire au cours desquelles les Algériens ne cachaient pas leur fierté pour les héritiers de l’ALN ? Des commémorations qui étaient l’occasion pour des personnalités étrangères de marque de venir rendre hommage au peuple algérien et à sa magnifique révolution. Débaptisé également fête de la jeunesse, le 5 Juillet n’offre absolument rien à nos jeunes, ni distraction, ni loisirs, ni espoir, tout juste le hittisme au moment où la fuite dans des embarcations de fortune avec la mort en cours de route dans la plupart des cas.

 

Nos avons presque oublié Kassaman, tellement cet hymne s’est fait oublier sur les ondes de la radio et de la télévision. Pour la plupart des jeunes, Ben M’hidi ou Amirouche sont de simples noms de rue. Ils ne connaissent rien de leur passé. Pourquoi le pouvoir agit-il ainsi ? Cherche-t-il à cultiver l’amnésie ? A faire oublier au peuple algérien son passé et surtout son histoire, militante qui a contribué à l’émancipation du Tiers-Monde ? Les Algériens sont en train de perdre progressivement les repères de leur histoire, au point qu’aujourd’hui les moins de 30 ans n’ont plus de considération pour leur drapeau. Comment en serait-il autrement quand le pouvoir lui-même lui tourne le dos ? L’Organisation nationale des moudjahidine, dont la mission première est d’entretenir la mémoire, est totalement absente du terrain, abandonné aujourd’hui à l’islamisme qui a été jusqu’à violer les tombes de nos chouhada. La rente, la rente, la rente ! Telle est aujourd’hui la préoccupation essentielle de ceux qui nous gouvernent. L’Algérie et son histoire sont devenues le dernier de leurs soucis. Le citoyen est abandonné à son sort. Ce n’est guère étonnant quand les usurpateurs se sont emparés des rênes du pouvoir et réécrivent l’histoire à leur façon.

 

 

Par Tayeb Belghiche

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Tristesse

 

 

Triste Algérie ! Nos fêtes nationales sont devenues des journées de deuil. Le 5 Juillet, fête de l’indépendance, passe totalement inaperçu comme le 1er Novembre, date du déclenchement de la lutte de Libération nationale, il se résume à une réception offerte par le président de la République au corps diplomatique, aux membres du gouvernement et à d’autres personnalités nationales. Où sont passés les grands défilés d’antan ? Où sont passées les belles parades de l’Armée nationale populaire au cours desquelles les Algériens ne cachaient pas leur fierté pour les héritiers de l’ALN ? Des commémorations qui étaient l’occasion pour des personnalités étrangères de marque de venir rendre hommage au peuple algérien et à sa magnifique révolution. Débaptisé également fête de la jeunesse, le 5 Juillet n’offre absolument rien à nos jeunes, ni distraction, ni loisirs, ni espoir, tout juste le hittisme au moment où la fuite dans des embarcations de fortune avec la mort en cours de route dans la plupart des cas.

 

Nos avons presque oublié Kassaman, tellement cet hymne s’est fait oublier sur les ondes de la radio et de la télévision. Pour la plupart des jeunes, Ben M’hidi ou Amirouche sont de simples noms de rue. Ils ne connaissent rien de leur passé. Pourquoi le pouvoir agit-il ainsi ? Cherche-t-il à cultiver l’amnésie ? A faire oublier au peuple algérien son passé et surtout son histoire, militante qui a contribué à l’émancipation du Tiers-Monde ? Les Algériens sont en train de perdre progressivement les repères de leur histoire, au point qu’aujourd’hui les moins de 30 ans n’ont plus de considération pour leur drapeau. Comment en serait-il autrement quand le pouvoir lui-même lui tourne le dos ? L’Organisation nationale des moudjahidine, dont la mission première est d’entretenir la mémoire, est totalement absente du terrain, abandonné aujourd’hui à l’islamisme qui a été jusqu’à violer les tombes de nos chouhada. La rente, la rente, la rente ! Telle est aujourd’hui la préoccupation essentielle de ceux qui nous gouvernent. L’Algérie et son histoire sont devenues le dernier de leurs soucis. Le citoyen est abandonné à son sort. Ce n’est guère étonnant quand les usurpateurs se sont emparés des rênes du pouvoir et réécrivent l’histoire à leur façon.

 

 

Par Tayeb Belghiche

 

Peut etre que les responsables s`interessent plus ...to the power of now:D!

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Peut etre que les responsables s`interessent plus ...to the power of now:D!

 

C'est dit dans l'article, les responsables s'intéressent á la rente pétrolière, mais nous, les simples citoyens,pourquoi ne sommes nous plus fiers du combats de nos martyrs, quelles sont les causes de notre indifférence á ces dates symboles?

 

Ps: J'ai voulu importer une image du drapeau algérien et j'ai pas réussi, est ce quelqu'un peut le faire et si c possible nous faire écouter l'hymne national.

 

Allez les algeriens, manifestez vous, faisons de ce 5 juillet au moins une fète d'indépendance virtuelle.

 

Tahia el dzazair

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Tristesse

 

 

Triste Algérie ! Nos fêtes nationales sont devenues des journées de deuil. Le 5 Juillet, fête de l’indépendance, passe totalement inaperçu comme le 1er Novembre, date du déclenchement de la lutte de Libération nationale, il se résume à une réception offerte par le président de la République au corps diplomatique, aux membres du gouvernement et à d’autres personnalités nationales. Où sont passés les grands défilés d’antan ? Où sont passées les belles parades de l’Armée nationale populaire au cours desquelles les Algériens ne cachaient pas leur fierté pour les héritiers de l’ALN ? Des commémorations qui étaient l’occasion pour des personnalités étrangères de marque de venir rendre hommage au peuple algérien et à sa magnifique révolution. Débaptisé également fête de la jeunesse, le 5 Juillet n’offre absolument rien à nos jeunes, ni distraction, ni loisirs, ni espoir, tout juste le hittisme au moment où la fuite dans des embarcations de fortune avec la mort en cours de route dans la plupart des cas.

 

Nos avons presque oublié Kassaman, tellement cet hymne s’est fait oublier sur les ondes de la radio et de la télévision. Pour la plupart des jeunes, Ben M’hidi ou Amirouche sont de simples noms de rue. Ils ne connaissent rien de leur passé. Pourquoi le pouvoir agit-il ainsi ? Cherche-t-il à cultiver l’amnésie ? A faire oublier au peuple algérien son passé et surtout son histoire, militante qui a contribué à l’émancipation du Tiers-Monde ? Les Algériens sont en train de perdre progressivement les repères de leur histoire, au point qu’aujourd’hui les moins de 30 ans n’ont plus de considération pour leur drapeau. Comment en serait-il autrement quand le pouvoir lui-même lui tourne le dos ? L’Organisation nationale des moudjahidine, dont la mission première est d’entretenir la mémoire, est totalement absente du terrain, abandonné aujourd’hui à l’islamisme qui a été jusqu’à violer les tombes de nos chouhada. La rente, la rente, la rente ! Telle est aujourd’hui la préoccupation essentielle de ceux qui nous gouvernent. L’Algérie et son histoire sont devenues le dernier de leurs soucis. Le citoyen est abandonné à son sort. Ce n’est guère étonnant quand les usurpateurs se sont emparés des rênes du pouvoir et réécrivent l’histoire à leur façon.

 

 

Par Tayeb Belghiche

 

Je connais

.... de vieux Algeriens

.... qui ne se levent jamais

.... quand ils entendent Kassaman

.... mais les larmes coulent sur leurs visages

.... quand ils entendent :

.... "Oummi ma tebkichi 3aliya

.... "Oueldek mouda77i 3ala el 7ourriya

.... " 7oub El Djazair ghali 3aliya

.... " rou7i ou mali lel wataniya ...."

.... ils disent qu'ils font le distingo

.... entre ce qui emane du peuple

.... et ce qui est ecrit pour des raisons mercantiles

.... et tous ces gens sont des anciens

.... des Wilayas III et IV.

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je voulais mettre le texte integral de l'hymne national en arabe et sa traduction en francais,trouvé sur le site de la presidence de la republique mais mes connaissances limitées en informatique ont voulu autrement...:confused:

si quelqu'un veut bien le faire..

je ne pense pas que les gens se detournent de l'histoire de notre pays mais peut etre que la difficulté de la vie, la perte de confiance en nos politiques et nos institutions,qui se sont emparé biensur de notre ont fait que les gens associent ces dates historiques au régime et donc a leur mysere..le peuple devrait se reapproprié son histoire,les historiens devraient travailler dans ce sens et mettre a jour les traitres et les laches, devenus aujourdhui les bourrou du peuple

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je voulais mettre le texte integral de l'hymne national en arabe et sa traduction en francais,trouvé sur le site de la presidence de la republique mais mes connaissances limitées en informatique ont voulu autrement...:confused:

si quelqu'un veut bien le faire..

je ne pense pas que les gens se detournent de l'histoire de notre pays mais peut etre que la difficulté de la vie, la perte de confiance en nos politiques et nos institutions,qui se sont emparé biensur de notre ont fait que les gens associent ces dates historiques au régime et donc a leur mysere..le peuple devrait se reapproprié son histoire,les historiens devraient travailler dans ce sens et mettre a jour les traitres et les laches, devenus aujourdhui les bourrou du peuple

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L'auteur des paroles est le poète nationaliste Moufdi Zakaria. Alors qu'il était enfermé dans une cellule à Alger, en avril 1955, il s'est servi de son sang pour écrire le texte sur les murs de sa cellule.

 

 

Tu ne serais pas

.... en train de confondre

.... Barberousse

.... avec Anfa plage a Casablanca ?

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Tu ne serais pas

.... en train de confondre

.... Barberousse

.... avec Anfa plage a Casablanca ?

 

:D

 

Sais tu qu'en contre partie des paroles de l'hymne national , Moufdi Zakaria avait exigé de Abane Ramdane la levée de la méfiance et l'exclusion des Mozabites au sein du mouvement national . Abane Ramdane qui avait été choqué par cette révélation pesa de tout son poids pour lever la mise à l'écart de cette composante importante de l'identité nationale

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bah en annaba la 4 juillet a minuit y a des enfant qui chante des chanson nationnale et y a des gens avec le baroud et tout c'est trop bien oui je sais c'est pas comme avant mais on peut pas dire que y'on a plus car c'est trop bien hier a minuit.

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De toute façon nous sommes en plein conflit en Algérie, l'algérien est de nouveau colonisé, mais cette fois ci par ses frères, et c'est limite plus dramatique que la colonisation française.

 

Donc, nous sommes dans une nouvelle thawra, faut soutenir les combattants actuellement, tous ceux qui essayent de faire qq chose, et arrêter de vivre en décalage en regardant le passé et pleurer !

 

Pour le moment , les seuls combatants valables dans ce pays sont ceux et celles qui font réellement et honnêtement le boulot pour lequel ils sont payés et qui éduquent convenablement leurs enfants .

 

C'est le meilleur patriotisme pour le moment .

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et qui sont ces gens la(les combattants)?perso j'en connais pas

 

Ils sont nombreux , mais noyés dans une masse de "ghachi" incapables de vivre correctement autour d'une cage d'escalier , alors forcement ils sont indetectables parmi les interférences des incivilités de la société algérienne .

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Ils sont nombreux , mais noyés dans une masse de "ghachi" incapables de vivre correctement autour d'une cage d'escalier , alors forcement ils sont indetectables parmi les interférences des incivilités de la société algérienne .

 

qsq ils attendent pour exprimer leur ras le bol,a defaut s'organiser pour changer les choses,pour moi, on est tous complices du malheur de notre pays

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qsq ils attendent pour exprimer leur ras le bol,a defaut s'organiser pour changer les choses,pour moi, on est tous complices du malheur de notre pays

 

 

.....Le degré de responsabilité dans ce drame est proportionnel au degré de responsabilité qu'on a eu à exercer . Et la moindre des ses responsabilités est l'engagement civique envers la société dans laquelle on vit .

 

A toi de trouver le barème exact à appliquer à chaque algérien ! ;)

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.....Le degré de responsabilité dans ce drame est proportionnel au degré de responsabilité qu'on a eu à exercer . Et la moindre des ses responsabilités est l'engagement civique envers la société dans laquelle on vit .

 

A toi de trouver le barème exact à appliquer à chaque algérien ! ;)

 

c'est tres juste,mais tu n'as pas remarqué le mepris qu'ont les algeriens envers leurs responsabilités? la source du mal,ou peut on la trouver? je ne pense pas que ca soit le systeme, les generaux et tout lot dechets humains,ce n'est que la consequence du mal dont jaimerai mettre le doigt dessus

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