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Nettoyage des plages: un Ministre donne l'exemple.


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Qu'il donne l'exemple ou faisant son travail et en ne volant pas le pays.

 

 

Si vous regardez bien ce qu'il s'est passé, c'est l'action de cette association qui l'a amené.

 

Mais le plus important dans l'affaire, c'est cette initiative qui vient de la société civile. Les gens se sont mobilisés.

 

C'est cette Algérie qui est la vraie.

C'est cette Algérie que j'aime.

 

Deriassa Yahyaou ouled/bnat Bladi - YouTube

Rabah Deriassa Yahyaou ouled/bnat Bladi - YouTube

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Qu'il donne l'exemple ou faisant son travail et en ne volant pas le pays.

 

Ya Zine, le problème c'est que vous tombez dans le populisme avec votre "tous pourris".

Moi je préfèrerais une analyse politique du pouvoir à cet anathème si cher à Jean Maris Le Pen.

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Au lieu de tourner au tour du pot

Dis nous clairement que tu es pour le soutien de ce pouvoir!!!!et Bouteflika à vie!!!

 

 

Gouli juste une chose ya si zoubir

 

Dernierement

C'est à dire les elections legislatives de l'année derniere

Votre pouvoir pendant sa campagne electorale,n ' a pas commencé à eradiquer les souks parallelles et netoyer Alger?

 

Pourquoi ils ont arreté juste apres?

 

Donc tu confonds entre le marketing politique

Et la realité du terrain

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Au lieu de tourner au tour du pot

Dis nous clairement que tu es pour le soutien de ce pouvoir!!!!et Bouteflika à vie!!!

 

 

Gouli juste une chose ya si zoubir

 

Dernierement

C'est à dire les elections legislatives de l'année derniere

Votre pouvoir pendant sa campagne electorale,n ' a pas commencé à eradiquer les souks parallelles et netoyer Alger?

 

Pourquoi ils ont arreté juste apres?

 

Donc tu confonds entre le marketing politique

Et la realité du terrain

 

Khouya, semmi rohek "l'Algérois" ou lieu de "Le Parisien".

Oum ba3ad arwah tgassar ma3na.:mdr::mdr:

 

Voilà l'Algérie que j'aime::wavetowel:

 

Le nouveau visage de la baie d'Alger

 

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oui mais il faut un début a tout c est déjà bon signe:D

 

ça peut faire des ptits:D

 

Bonne remarque.

 

1- C'est quoi ce syndrome de qu'on certains de voir que le "verre à moitié vide".

2- Puis dès qu'on dis que dans ce pays, il y a au moins qlq progrès, on devient "border line".

3- Mon point de vue sur la question est le suivant: "ya khouya, tu veux que ça change à un rythme plus vite (et dans le bon sens, car gare aux adeptes du wahabisme:egypt:) et bien bouge toi le c. Comme le font ces citoyens qui nettoyent cette plage":fish2:.

 

Mais bon ...

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Khouya, semmi rohek "l'Algérois" ou lieu de "Le Parisien".

Oum ba3ad arwah tgassar ma3na.:mdr::mdr:

 

Voilà l'Algérie que j'aime::wavetowel:

 

Le nouveau visage de la baie d'Alger

 

 

 

 

 

 

L'avantage avec moi,je descends souvent à Alger

Donc pas de fiction à gober

 

 

Ce n 'est ni ta maquette ni ta video youtube qui peuvent tromper les gens

 

 

Toutes les organisations mondiales classent l'algerie en bas de l'echel

Nous qui descendons à Alger chaque deux mois,on te dit que rien n 'est reglé

Et toi tu veux nous demontrer le contraire

 

Passer une fausse info est un mensonge

Et le mensonge est haram religieusement pas éthique philosophiquement

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En principe il devrait être scandalisé de voir autant de saletés sur nos plages...

 

Le meilleur exemple qu'il pourrait donner c'est d'interdire le déversement des eaux usées dans les rivières qui finissent par charrier toutes cette saleté dans la mer...

 

C'est bientôt le vote et il faut bien redorer un blason qui blase...

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En principe il devrait être scandalisé de voir autant de saletés sur nos plages...

 

Le meilleur exemple qu'il pourrait donner c'est d'interdire le déversement des eaux usées dans les rivières qui finissent par charrier toutes cette saleté dans la mer...

 

C'est bientôt le vote et il faut bien redorer un blason qui blase...

 

Ce qui me fait rire chez Zoubir

il n ' a jamais visité Alger,ni les plages Algeriennes

 

 

On peut se tromper une fois et on peut etre pardonné

Mais qd on collabore à un mensonge d'etat et repetitif!!!!

Et on veut donner une bonne image,alors qu'elle est fausse

Donc on est complice

Et si on est complice,on deduit qu'on est pas neutre

Et prend les gens pour des imbeciles

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Ce qui me fait rire chez Zoubir

il n ' a jamais visité Alger,ni les plages Algeriennes

 

 

On peut se tromper une fois et on peut etre pardonné

Mais qd on collabore à un mensonge d'etat et repetitif!!!!

Et on veut donner une bonne image,alors qu'elle est fausse

Donc on est complice

Et si on est complice,on deduit qu'on est pas neutre

Et prend les gens pour des imbeciles

 

pfffff

yekhi bourourou yekhi ...

pour infos: deux ans de Service National au Barrage vert.:wavetowel:

donc roh tabtab khouya, irooooh...

 

essayez de faire de vrais analyses politiques au lieu de relayer la propagande des khwanedjiya sans vous en rendre compte...

 

Moi je dis, il y a de réels pb en Algérie.

Mais il ne faut pas cracher sur les réalisations actuelles.

Contre la corruption et la hoggra c'est aux gens d'aller dans des assoc des syndicats, des partis

rester à boire du thé aux pignons chez soi et critiquer, c'est signe d'infantilisme boulitique.

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Chouf khouya chouf ce qui se fait dans le domaine de la santé.

Il ne faut pas nier ce qui se fait de bien fi Djazaïrouna.

 

 

Ça se voit que tu ne vis pas en Algérie, que tu n'es jamais tombé malade en Algérie (je ne te le souhaite pas d'ailleurs) pour t'émoustiller devant si peu.

 

Rouh d'rab doura f'sbitarat ta3na, parle aux malades ou radli lakhbar.

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Si vous regardez bien ce qu'il s'est passé, c'est l'action de cette association qui l'a amené.

 

Mais le plus important dans l'affaire, c'est cette initiative qui vient de la société civile. Les gens se sont mobilisés.

 

C'est cette Algérie qui est la vraie.

C'est cette Algérie que j'aime.

 

Deriassa Yahyaou ouled/bnat Bladi - YouTube

Rabah Deriassa Yahyaou ouled/bnat Bladi - YouTube

 

Dit il derriere son salon paghisien, Bande de « caras duras », Wedjeh Chambre á air de tracteur…ntouma….Vous osez en plus parler en notre nom ? Vous etes la pire espece de profiteurs hypocrites et menteurs qui a existé, arrete tes imbéciles interventions de nationaliste á zouj dourou depuis Paris…si tu l´aimes tant cette Algérie tu viens et tu la vis…sinon tu aimes la France et tu nous casses pas la tete avec ton complexe d´inferiorité, superiorité ou de déphasage….

 

C´est comme meme incroyable votre culot ! bande de chambre á air

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Dit il derriere son salon paghisien, Bande de « caras duras », Wedjeh Chambre á air de tracteur…ntouma….Vous osez en plus parler en notre nom ? Vous etes la pire espece de profiteurs hypocrites et menteurs qui a existé, arrete tes imbéciles interventions de nationaliste á zouj dourou depuis Paris…si tu l´aimes tant cette Algérie tu viens et tu la vis…sinon tu aimes la France et tu nous casses pas la tete avec ton complexe d´inferiorité, superiorité ou de déphasage….

 

C´est comme meme incroyable votre culot ! bande de chambre á air

 

Il ne faut pas cracher comme vous le faîtes sur votre pays.

Il y a des réalisations positives, même si beaucoup reste à faire.

On dirait que vous êtes payé par le Makhzen marocain...:mdr::mdr:

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Ça se voit que tu ne vis pas en Algérie, que tu n'es jamais tombé malade en Algérie (je ne te le souhaite pas d'ailleurs) pour t'émoustiller devant si peu.

 

Rouh d'rab doura f'sbitarat ta3na, parle aux malades ou radli lakhbar.

 

Ya khti, n'tiya britiha tayeba

t'habi djik lal foum

il faut se battre dans des associations, des syndicats, des partis politiques pour améliorer la situation

nass gaada fe dar tchouf el moussalssalat massriya oula tal3ab idimino fel kahwa

 

ya khti on n'a rien sans rien

chouffi fi Franssa kiva le mouvement social depuis 1936 et avant a permis des conquêtes sociales, chouffi aussi le poids des associations de consommateurs, des parents d'élèves dans les écoles et lycées

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L'avantage avec moi,je descends souvent à Alger

Donc pas de fiction à gober

 

 

Ce n 'est ni ta maquette ni ta video youtube qui peuvent tromper les gens

 

 

Toutes les organisations mondiales classent l'algerie en bas de l'echel

Nous qui descendons à Alger chaque deux mois,on te dit que rien n 'est reglé

Et toi tu veux nous demontrer le contraire

 

Passer une fausse info est un mensonge

Et le mensonge est haram religieusement pas éthique philosophiquement

Ya Dzayer el maskina, wine rahoume rdjal?

 

Non, je n'ai pas voulu montrer le contraire.

je dis simplement, alors qu'il y a des djounouds qui perdent leur vie ou qui sont handicapés à vie car ils ont perdu une jambe en sautant sur une mine posée par les terroristes islamistes, et cela pour assurer la sécurité des citoyens, il faut savoir reconnaître ce qui se fait de bien dans ce pays.

Et cela ne veut pas dire que je veux cacher les dysfonctionnements.

Ya 3adjaba, est ce si difficile à comprendre une telle ligne politique?

Ou bien, je suis face à des ignares?

Comment l'Algérie du 1 er Novembre 1954 a-t-elle pu enfanter de tels handicapés du cerveau?

Comment les moussalssalates égyptiens et US ont-ils à ce point pu lobotomiser Homo sapiens algerienensis?

 

wallah, loukane tabga ed-dir analyse politique da3 douje dorou, wallah kachi n'har, même sarwalek yadiw houlek!

 

moi je dis nachatt oua hayawiya!

barkake mane edimino fel khawi

barkake mane el hittisme mental

 

roh fi des associations, des syndicats et des partis politiques bech tadjri 3ala hakek

 

yekhi djayeh,

hsablek djik tayeba lal foum

 

soyez un homme et défendez vos droist

a3la tarka3

a3la tkhali el hoggra

noudh

koune radjel

barkek mane el bka!

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L'avantage avec moi,je descends souvent à Alger

Donc pas de fiction à gober

 

 

Ce n 'est ni ta maquette ni ta video youtube qui peuvent tromper les gens

 

 

Toutes les organisations mondiales classent l'algerie en bas de l'echel

Nous qui descendons à Alger chaque deux mois,on te dit que rien n 'est reglé

Et toi tu veux nous demontrer le contraire

 

Passer une fausse info est un mensonge

Et le mensonge est haram religieusement pas éthique philosophiquement

 

Ya si Mohamed.

 

Je vais vous montrer une vidéo de youtube qui montrent les travaux d'aménagement.

Puis je vous donne un peu de lecture. Comme ça vous allez voir rdjal qui voulaient construire l'Algérie, ce qu'ils ont fait et comment les prédateurs ont cassé leurs projets.

Yaw loukane matkounche harass 3ala la redistribution de la rente pétrolière à l'ensemble des Algériens

wallah, même sarwalek, ils te le prendront

rod balek et va dans des syndicats!

 

bats toi

dafa3 3alla hakek!

 

Reda Amrani. Consultant en économie industrielle

«L’industrialisation a été combattue au sein du sérail»

 

le 12.12.13 El Watan

zoom | © D. R.

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-L’Algérie réussit, au cours des années 1970, à construire de nombreux complexes industriels. Aujourd’hui, l’industrie est sinistrée. Quelles en sont, selon vous, les raisons ?

 

L’industrialisation de notre pays a été pensée et réfléchie sur des bases rationnelles et structurées. Les premières usines étaient issues des études de développement agricole et industriel qui ont donné naissance à l’industrie du machinisme agricole et au développement des complexes d’engrais d’Arzew et de Annaba, par exemple. Les premiers grands complexes ont été aussi ceux de l’industrie textile et manufacturière à forte intensité de main-d’œuvre pour répondre à la demande d’emplois. La création de Sonatrach dès 1963 et le lancement du premier oléoduc algérien a conforté la nécessité de développer non pas une usine de production de fonte tel que prévu par le plan de Constantine, mais une sidérurgie intégrée, basée sur les produits à forte valeur ajoutée et sur une longue chaîne de transformation en aval. Des études d’aménagement du territoire étaient menées pour réaliser les pôles de développement régionaux qui permettaient des localisations cohérentes avec le potentiel des régions et les objectifs de développement. En quelques années une infrastructure industrielle et économique à même d’assurer le développement du pays était érigée et pouvait servir de base de lancement d’une réelle maturité économique.

 

De nos jours, l’industrie nationale est sinistrée par le fait que l’industrialisation de notre pays était combattue sournoisement par un ensemble d’opposants au président Boumediène, de l’intérieur du sérail. Dès l’été 1976, ces opposants de l’intérieur du sérail obtinrent la division du secteur industriel en trois ministères : industrie lourde, industrie légère et énergie-hydrocarbure. La mort du président Boumediène fin 1978 sonna le glas du développement industriel. En 1986 la crise de l’endettement était portée naturellement par le pouvoir en place sur les mauvais résultats de l’industrialisation qui, en fait, avait été bloquée et abandonnée ; plus de 70 projets du secteur des hydrocarbures et de leur première transformation étaient abandonnés ainsi que ceux de la chimie de base ; la sidérurgie des produits longs était ajournée, entraînant un recours massif à l’importation du rond à béton ; l’industrie mécanique et électrotechnique était privée d’investissements de renouvellement et d’innovation ; les industries manufacturières étaient totalement déstabilisées par les restructurations organiques outrancières.Le secteur privé, peu enclin aux investissements massifs et à longue durée de retour sur investissement, ne prenait pas le relais des entreprises publiques. L’ajustement structurel de 1994, qui avait rompu le processus d’investissement productif du secteur privé, le décourageait pour de longues années.

 

-Les privatisations pourraient-elles justifier cet état de fait ?

 

Absolument pas car elles étaient annoncées et envisagées de manière dogmatique pour masquer une volonté de participer à la curée entreprise vingt ans plus tôt par le fameux ministre du Plan sous le président Chadli, lui aussi fervent adversaire du président Boumediène. Alors qu’en 1996, face aux effets dévastateurs de l’ajustement structurel mal négocié avec le FMI et la Banque mondiale, une politique de relance basée sur des contrats banques-entreprises supervisés en permanence par les holdings avait permis une reprise vigoureuse de la croissance de la production industrielle en 1998, le nouveau ministre en charge des Réformes déclarait que tout doit être stoppé et que seule la privatisation des entreprises industrielles publiques le préoccupait ; il s’alignait en fait sur le FMI et la Banque mondiale.

Pendant plusieurs années, cette politique de privatisation allait faire appel à de nombreux cabinets de conseil étrangers pour procéder à l’évaluation des entreprises publiques.

 

L’absence d’investissements de renouvellement des équipements et de formation des entraînait cessation de paiement, fermeture d’usines et effondrement de la production industrielle. Les réformes, qui avaient été apportées par la concertation avec les cadres des entreprises, tant par les réformateurs de 1988 que par ceux de 1995, et qui avaient abouti a la création de fonds de participation puis de holdings, avec la séparation claire et juridiquement établie entre l’Etat-puissance publique et l’Etat-actionnaire. Encouragée à nouveau par la formidable hausse de la rente hydrocarbures, la légendaire méprise du gestionnaire technocrate algérien par les dirigeants politiques, doublée des craintes de perdre une part importante du pouvoir économique, reprenait ses droits. La privatisation, accaparée par un seul membre du gouvernement, permettait ainsi de brader au profit d’investisseurs étrangers les entreprises publiques les plus rentables.

 

-Que pensez-vous des opérations de renationalisation opérées aujourd’hui ?

 

Je crois savoir qu’une seule opération a abouti, celle de la reprise de la majorité dans le capital de Sider. J’aurais souhaité que l’on se comporte en financiers avec le groupe ArcelorMittal et laisser les banques algériennes qui lui avaient avancé d’énormes crédits récupérer la totalité de Sider au dinar symbolique, car le partenaire étranger n’était plus en mesure de rembourser ses dettes bancaires. Toujours est-il que cette reprise en main du complexe d’El Hadjar est salutaire pour notre sidérurgie pour autant que cette prise de contrôle soit utilisée à bon escient. Je considère anormal que Sider, majoritaire, ne remette pas en cause le programme d’investissement préparé par ArcelorMittal qui est une véritable bombe à retardement car basé sur un investissement à faible taux de rentabilité interne et surtout concurrencé par des produits italiens et espagnols dont les installations de production sont amortis depuis de longues années et entrant en Algérie sans taxes douanières.

 

Une autre urgence dans la renationalisation devrait concerner l’ammoniac et les engrais en vue de récupérer la rente hydrocarbures attribuée sans contreparties véritables à des investisseurs étrangers, alors que les usines déjà en place étaient parfaitement maîtrisées par les gestionnaires locaux. Le transport maritime devrait être récupéré et accompagné aussi par son ouverture aux investisseurs privés algériens. Le transport maritime et la réparation navale devraient être des secteurs économiques prioritaires tant pour leurs retombées économiques que pour la sécurité des échanges commerciaux de notre pays. Les meilleures politiques à mener seraient d’accompagner la relance réelle de l’investissement productif par la réduction et l’élimination de toutes les entraves bureaucratiques.

 

-Des assainissements financiers ont été menés, sans résultat. Ne croyez-vous pas que c’est le management des entreprises publiques qu’il faudrait revoir ?

 

Il est injuste de parler d’assainissement financier pour l’édification de toute une infrastructure économique publique sans fonds de roulement et sans dotation en capital. Comme rappelé, la création et le fonctionnement des entreprises publiques ont été faits totalement sur la base de l’endettement auprès des banques publiques qui se refinancaient auprès de la Banque centrale en dégageant une confortable marge au passage ; même le Trésor, propriétaire légal de ces entreprises publiques, tirait profit de ce système de financement et de l’accumulation créée de toutes pièces par ces entreprises.

 

Les autorités centrales comme les autorités locales en ont largement bénéficié, à travers les prix administrés en dessous des prix de revient ainsi qu’à travers l’acquisition des produits et services à crédit et sans intérêt lorsqu’elles remboursaient leurs créances auprès des entreprises publiques qui ne pouvaient s’opposer aux injonctions des ministres et des walis. L’Etat n’a pas remboursé les investissements et travaux d’infrastructures publiques réalisés sur les budgets de construction des usines.

 

La restructuration financière des entreprises et non l’assainissement financier, expression impropre, est en fait un remboursement partiel des frais encourus par les entreprises publiques pour leur substitution et aide à la puissance publique. Par ailleurs, cela ne devrait pas masquer certaines insuffisances en matière de management et d’innovation et les effets néfastes du système partisan de désignation de certains managers des entreprises publiques.

Roumadi Melissa

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